Délire auto bondage clic clac

Catégories : Rencontres BDSM Selfbondage auto bondage
il y a 8 ans

Écrivaillon

J’étais décidé à réaliser un délire Auto bondage SM.

En effet, après trois jours de liberté, donc d’auto érotisme ( ma femme étant absente 3 jours ), je m’offre le matin un délire bien décidé à aller au bout d’une expérience érotiquo/bondage/SM.

Très excité, je me fabrique un ice timer avec les clés de tous mes cadenas et des menottes puis j’installe mon matériel dans une pièce de la maison où nous avons un canapé clic clac.

Dans la folie du moment je retire l’habillage du canapé et le matelas pour ne laisser que le cadre métallique.

Pour les jambes, je fixe les bracelets de chevilles au cadre métallique de façon à avoir les jambes écartées.

Pour les poignets, j’installe les menottes à l’autre extrémité en rajoutant une chaîne pour limiter encore les mouvements des bras et un cadenas.

Pour bloquer le corps, j’installe à travers les lattes de bois une autre chaîne et un autre cadenas.

En attendant que les clés soient emprisonnées dans la glace, je fais un peu de ménage dans l’appartement avant que ma douce moitié arrive puis me mets à surfer sur Internet sur des sites adaptés à mes idées et fantasmes du moment.

Finalement, je pense que ce n’était pas une si bonne idée mais vous allez comprendre pourquoi !

Après quelques lectures excitantes, je tombe sur des images SM et bondage avec une quantité impressionnante de pinces à linge posées sur les corps des hommes et femmes photographiés.

Je réalise alors que je n’ai jamais tenté l’expérience avec autant de pinces posées sur mon corps. Pour rajouter à mon inconscience du moment, je m’offre un apéritif puis deux puis trois pendant que je surfe. Lorsque je me rends compte qu’il est 13 heures, je décide, pour faire un petit régime puisque je commence à prendre du ventre et de sauter un repas mais je me ressers un dernier apéritif.

Extrêmement excité, je sors sur la terrasse et prends le récipient qui contient les pinces à linge. A ce moment là, je me rends compte que j’ai un peu abusé de l’alcool car j’ai la tête qui tourne un peu. Je ne me méfie pas et vais déposer les pinces avec mes accessoires dans la chambre d’ami.

Finalement, je reviens au salon avec mon slip de cuir à sangles, un gros plug et du lubrifiant. Je m’installe confortablement sur le canapé après avoir enclenché une vidéo SM que j’aime bien. Mes doigts préparent mon fondement et courent là où vous pensez, mais je m’interdis malgré une forte excitation les plaisirs que je me réserve pour plus tard. Tant bien que mal et après de longues caresses, je parviens à faire entrer le plug dans mon fondement mais je suis à deux doigts du plaisir que je m’interdis. Je boucle mon slip de cuir avec les sangles de façon à ce que le plug reste bien en place.

Et à partir de ce moment que je fais n’importe quoi !

En effet, j’entends mon ordinateur qui dit : « vous avez des emails », je réalise alors que je suis toujours connecté et qu’il serait bien de libérer la ligne.

Comble du hasard, c’est un de mes contacts qui m’adresse un texte d’autobondage !

Après l’avoir lu, je le trouve franchement gentil et lui en adresse un plus corsé en me resservant un autre apéritif. ( Celui-là était de trop ).

Lorsque je me suis déconnecté après nos échanges, j’étais dans un état second à cause de l’alcool donc particulièrement déraisonnable.

Arrivé à la chambre d’amis avec mon ice timer que je pose à la tête du lit en attachant la double ficelle de sécurité aux menottes. Le monte sur le canapé sans trop de précaution et casse une latte. Malgré cela, je fixe les bracelets à mes chevilles et m’agenouille cette fois avec plus d’attention pour ne plus rien casser. C’est à ce moment là que j’ai vraiment exagéré sur les supplices érotiques que je me préparai.

Totalement en délire par l’excitation, les photos visionnées et l’alcool, je me mets à fantasmer sur les pinces à linge et m’en pose en quantité sur les fesses, la peau de mes parties puis trois sur chaque sein. C’est un peu douloureux, mais je suis sûr que cela va se calmer et continue mon entreprise d’auto satisfaction érotico/bondage/SM. Un peu ivre, j’en rajoute sur mes flans.

Je me pose mon bâillon boule et m’allonge sur le cadre métallique et les lattes. OUFFF et AIE !!!!

Décidé à ce moment là à aller au bout de mes idées, j’enroule la chaîne froide autour de mon corps et la verrouille au cadre avec un des cadenas. Je pose ensuite ma cagoule et c’est à l’aveugle que j’allonge les bras pour attraper les menottes que je ferme sur mes poignets. A chaque clic, je m’excite un peu plus car c’est le moment irréversible pour un long moment dans ma séance d’auto bondage.

Particulièrement excité, je m’accorde un moment de repos et de concentration avant de ruer dans mes liens pour faire entrer en mon fondement la deuxième boule du plug. ( La plus grosse )

Au bout de quelques minutes, je me rends compte que j’ai peut être exagéré sur le nombre de pinces à linge car les douleurs commencent à être lancinantes. OUFFFF AIE !!!

Sur l’instant, je me dis, « tu l’as voulu tu es servi ». Pour forcer mon attention sur autre chose, je pousse mes fesses en arrière pour forcer mon fondement à absorber la deuxième boule du plug. Si effectivement la sangle de mon slip de cuir fonctionne et pousse le plug en moi, la chaîne que j’ai posée autour de mon corps bloque mes mouvements pour la faire entrer totalement. La douleur et forte car je suis bloqué à la partie la plus large, je resserre mon petit anneau fortement douloureux pour faire reculer la deuxième boule du plug mais la sangle le retient et il ne recule pas beaucoup. OUFFFF AIE !!!

A cet instant, les douleurs confondues et l’inquiétude commencent à me faire transpirer et je respire de plus en plus vite et mon bâillon ne me facilité pas la tâche.

Même si je suis couché, j’ai la tête qui tourne et il me semble que le lit bouge !

La douleur aidant, je me rends compte que j’ai trop bu et que j’ai fortement présumé de mes facultés à transformer la douleur en plaisir.

Je tire sur les ficelles pour faire venir le bloc de glace à moi et le prends entre mes mains pour faire fondre la glace plus rapidement. Oh là là, j’ai encore trop forcé sur la taille du bloc de glace et que j’en ai pour un long moment à attendre pour pouvoir me libérer.

Les douleurs se font sentir comme chacun de mes mouvements OUFFFF AIE !!!

Mon anus me fais mal de chez mal, j’essaie encore de faire reculer la boule mais la sangle la retient bien, je force ma respiration puis tente encore de le faire entre en moi pour que la boule entre en que mes sphincters le laissent passer car la boule est suivie d’une partie plus étroite.

OUFFFF AIE !!! Mes mouvements ont fait bouger les pinces à linge et je commence à déguster réellement. Je force sur mes avant-bras comme un malade, une latte se casse et mon coude s’enfonce dans le vide tandis que le plug entre totalement en moi. OUFF un moment de plaisir érotique !

Lorsque je repose mon buste, les pinces de mes seins se posent sur les lattes et glissent sur les cotés créant une tension supplémentaires. OUFFFF AIE !!! OUFFFF AIE !!!

Je frotte la glace entre mes mains pour limiter le temps d’attente mais j’ai l’impression que cela ne change pas grand-chose.

Ma respiration est saccadée, j’ai mal partout ! Je tente alors de réduire la pression sur les pinces mais je dois tirer sur mon dos et je sais hélas rapidement que je ne vais pas pouvoir tenir cette position longtemps sur un seul coude et sur une latte qui menace de céder.

J’ai envie d’aller aux toilettes à cause des apéritifs, je frotte à nouveau la glace entre mes mains pour limiter le temps d’attente mais sans grand résultat.

J’essaie de ruer dans mes liens pour faire tomber les pinces pendant un petit moment fort douloureux mais une seule accrochée à la peau de mes fesses tombe. J’ai mal partout pourtant mon sexe prend de l’ampleur et se pose suite à mes mouvements sur la barre centrale du cadre. C’est froid mais c’est bon.

J’entreprends alors de légers mouvements pour essayer de retrouver un semblant d’excitation. Chaque mouvement se répercute et a des conséquences sur le plug de mon fondement, mon sexe coincé entre mon ventre et la barre d’acier puis sur les pinces.

Douleurs, contraintes, fantasmes, a l c o o l, transpiration et respiration accélérée, je suis en transe je craque, je me perds je ne sais plus où j’en suis.

Si je n’arrive pas à me faire jouir, je commence à me sentir bien et à oublier un peu la douleur. Lorsque j’arrête mes mouvements pour me reposer un peu, la douleur revient, je commence à avoir vraiment envie de faire un gros pipi !

Je ne peux pas, je ne dois pas, comment pourrais-je expliquer à ma femme le pourquoi de la tâche sur la moquette de la chambre d’amis ?

Je frotte mes mains sur la glace, sous mes doigts engourdis il me semble toucher les clés. Totalement inconscient des risques, j’essaie de casser la galette de glace qui se brise en plusieurs morceaux. Soudain je réalise que cela pourrait casser les fines clés des menottes et me calme aussitôt fortement inquiet. Ai-je cassé une clé ?

Chaque fois je mets les deux, je ne peux pas avoir cassé deux clés en même temps !

J’ai mal au dos mais continue mes légers mouvements pour entretenir l’excitation. Je me calme et me raisonne car ma libération est proche. Je me surprends à être bien, à ne plus sentir les douleurs, épuisé je pose ma tête sur le cadre et me repose un instant. Cet instant dure longuement. Soudain je sursaute, je me suis endormi, lorsque je tire sur la ficelle des clés, elles viennent à moi sans problème.

A l’aveugle j’essaie d’ouvrir les menottes, horreur ! Je n’ai pas fait attention et les serrures sont du mauvais coté. Je prends les clés des cadenas et tire sur les menottes qui me broient les poignets, par chance la première clé est la bonne, la chaîne libère les menottes et je peux bouger mes bras. Avant même de retirer la cagoule je retire les pinces accrochées à mes seins, OUFFFF AIE !!! OUFFFF AIE !!!

Ensuite je retire la cagoule qui m’aveugle et retire sans trop de difficulté les menottes mais je constate que j’ai des marques qu’il va m’être difficiles à expliquer à ma douce moitié.

Après avoir retiré les autres pinces, ( OUFFFF AIE !!! OUFFFF AIE !!! ) et retiré tous les liens, mes mains se sont posées sur mon intimité pour quelques plaisirs que nous pourrions qualifier de self service.

Après avoir tout rangé, lorsque j’ai pris ma douche j’ai constaté avec stupeur que j’avais des bleus partout sur le corps. J’ai prétexté plus tard le soir quand ma douce moitié était rentrée, que j’étais fatigué et je me suis couché de bonne heure afin de laisser à mon corps le temps de se remettre et que les traces disparaissent.

Vous me croirez ou non, pour une fois elle avait des grosses envies de câlins ! ( Je sais c’est rare chez les femmes mais cela arrive ! )

Finalement, les conséquences de mes jeux érotiques de la journée se sont répercutées le soir de façon douloureuse et fort agréable mais elle n’en a jamais rien su.

Écrivaillon

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