A jouer avec le feu on finit par se brûler

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il y a 8 ans

En préambule

Nous nous sommes rencontrés, aimés et mis en ménage très rapidement. Au fil du temps et des discussions, nous nous sommes avoué nos fantasmes et nos expériences mutuelles sans pudeur, un peu comme des gens pressés et expérimentés qui souhaitent gagner du temps pour pouvoir apprécier la vie.

…………..

D’un fort caractère avec une masculinité intérieure assez appuyée malgré sa féminité, la personnalité de Veroline s’est accordée à merveille avec la mienne. Je suis à la fois switch, bi et maso je l’avoue malgré mon naturel de dirigeant un brin machiste. Rapidement, entre-nous s’est installée une relation amoureuse avec une grande complicité sexuelle. Madame peut laisser sa masculinité s’exprimer, j’ai dévoilée ma féminité sans trop de pudeur. Cet état nous convenant pleinement, il n’a pas fallut longtemps pour qu’entre nous s’installe une relation de domination/ soumission respectueuse. Je me suis plus ainsi, Madame semble s’épanouir et jouit sans complexe de cette confortable situation puisque je suis beaucoup plus qu’un homme dévoué et attentif. Mais pourquoi me direz-vous ? Pour deux raisons. La première parce que j’en ai assez d’être l’Homme à qui reviennent les responsabilités et à cause d’une cage de chasteté que je porte maintenant 24/24.

Je m’explique pour la cage de chasteté. Depuis que nous sommes entrées dans ces jeux de domination soumission avec la cage mais également par amour, j’avoue que pour moi tout devient encore plus fort que ce que j’ai pu connaitre par le passé. Je suis en manque perpétuel de ma doudou que j’aime avec passion.

Quand je la regardais « débuter » dans la domination et qu’elle me donnait des ordres ou m’imposait des choses avec prudence en testant pour voir mes réactions, je fondais et fond encore comme neige au soleil. La servir est devenu un centre d’intérêt nettement plus marqué qu’une simple relation sexuelle. Elle en a b u s e parfois en « grattages » de dos, massages ou heures de soins intensifs de ses petits petons, mais je ne m’en plains pas.

Physiquement, grâce ou à cause de la cage de chasteté, je suis en état de perpétuelle excitation et ma perception des choses est exacerbée. Sa peau semble plus douce et son corps plus chaud. Mon désir pour elle est multiplié par 100, quand je parle de désir je ne parle pas de baise mais de la toucher, de la caresser, de me lover contre elle. Ces gestes simples prennent une dimension démesurée et me comblent de bonheur.

La cage me rappelle aussi en permanence que j’ai un sexe. Mon sexe encagé me rappelle en permanence que je suis un peu sa chose et j’aime ça. C’est fabuleux même si cela pousse parfois mes délires un peu trop loin, à croire que l’état de manque génère de bien troubles pensées au point d’en avoir le cerveau en marmelade !

A jouer avec le feu on finit par se bruler !

Lors d’une de ses absences pour causes professionnelles, un impérieux besoin de sexe et de jouer BDSM me submergeait. Ne pouvant apaiser le feu qui grondait en moi par la pratique de l’onanisme, l’idée m’est venue de me faire une petite séance tout seul comme un grand et d’essayer de jouir malgré la cage tout en jouant avec le bondage et une tonne d’accessoires que la morale réprouve.

Pour cela, je me suis fait un ice time (Gros glaçon emprisonnant les clés des menottes et des cadenas), j’ai préparé un plug annal gonflable vibrant, les boulles de gaïcha vibrantes de madame, nos chaînes et cadenas, une couche pour adulte pour éviter de tacher la maison et des pinces à seins. Le plan délire était prêt, j’allais pouvoir m’amuser et me donner du plaisir !

Autour de mon sexe encagé, j’ai entouré une chaînette que j’ai fait passer entre mes jambes, au-dessus du plug annal qui s’était logé là où vous pensez sans trop de difficultés. Autour de mes bijoux de familles et de la cage de chasteté, j’ai fixé les boulles vibrantes puis j’ai enfilé la couche anti fuite en prenant soin de faire ressortir la chaînette au bas de mon dos pour y bloquer les menottes. La chaîne et les menottes ainsi positionnées, il devient impossible de remonter les mains jusqu’aux seins sur lesquels j’ai posé nos pinces à seins en position « cruelle ». Ouf, ouf, ouf.

Le glaçon étant posé dans une assiette au salon, j’avais pour objectif de m’entraver sur le lit de notre chambre en bloquant mes chevilles avec une chaînette et un cadenas. Une paire de collant attira mon attention, ma féminité n’a pas résisté à la douceur de cette matière sur mes jambes. Me voilà donc en collant sur le lit, en train d’enchaîner mes chevilles tout en fantasmant un maximum sur ma doudou d’amour qui aurait pu m’attacher elle-même avant de s’offrir un interminable broute minou en me laissant vibrer de partout.

Autour de ma taille, j’ai bouclé une autre chainette à laquelle j’ai relié celle de mes chevilles, me f o r ç a nt ainsi à être tendu vers l’arrière et qui m’obligerait à ramper comme un vers pour me rendre au salon attendre que les clés se libèrent du glaçon. Un léger moment de lucidité m’a fait douter un instant, mon Popaul gorgé de désir mais terriblement compressé dans son tube, m’a incité à laisser mon délire s’exprimer. Avant de verrouiller mes poignets dans les menottes elles-mêmes bloquées par la chaine au bas de mon dos, j’ai lancé les vibrations puis gonflé courageusement (trop) le plug annal. 1,2,3 je ferme !

Celui qui n’a jamais connu cet instant de solitude, ne peut réellement comprendre les émotions que l’on ressent. On se sent à la fois stupide tout en étant monstrueusement excité, on transpire, la tête tourne un peu, une petite peur de ne pas pouvoir vous libérer vous travaille sournoisement pour ne pas dire insidieusement, mais c’est bon.

Dans un premier temps, je me suis plus à chercher la jouissance maximum en tirant sur mes entraves et en roulant un peu sur le lit. Les pinces à seins s’écrasaient sur la couette en se vengeant sur mes tétons ce qui libéra une dose d’endomorphine me permettant de savourer cette douleur. Je me voyais malmené par ma doudou d’Amour m’obligeant à la déguster sous sa cuisante cravache (Offerte récemment) avant de me retirer ma cage de chasteté pour me v i o l er en jouant la chevauchée fantastique puis faisant nettoyer de ma langue la pollution de son puits d’amour. Au bout d’un petit moment de plaisir solitaire mais hélas toujours sans jouissance, je me suis décidé à migrer vers le salon. Descendre du lit qui est bas, fut assez facile, mais les pinces à seins se sont frottées brutalement lorsque j’ai glissé ce qui m’a fait crier de douleur. Ouf, ouf, ouf.

Ramper est devenu très délicat à cause des pinces à sein et parce qu’à chaque mouvement, le plug trop gonflé me donnait l’impression que j’allais exploser du popotin. A cela se rajoute, qu’une envie très pressante commençait à me tenailler. Dans le port de la couche, ce n’est pas l’uro qui m’attire mais la douceur et la chaleur qui s’en dégage, mais au bout d’un moment d’effort, l’abandon est devenu obligatoire. Uriner encagé n’est pas très agréable, uriner encagé et en érection est presque douloureux, mais quand en plus, vous vibrez devant et derrière, c’est ….. « chaud », bizarre….. et ……très fort en même temps. Les sensations sont si particulières qu’elles en sont difficilement descriptibles.

Remis de mes émotions vibrantes, humides, contractantes devant et derrière, j’ai parcourus les derniers mètres pour atteindre le glaçon libérateur en déchirant le collant sur une petite vis de baguettes de sol. Et là …………

Et là, un bruit de clé dans la serrure m’a glacé le S a n g !

Veroline est entrée, d’un seul regard elle a embrassé mon jeu solitaire puis s’est mise à rire, mais à rire à s’en étouffer. Submergé de honte ave un grand H, j’aurai tout donné pour disparaitre sous le plancher de bois !

Passé le moment d’euphorie, ma maitresse d’Amour s’est reprise, son rire et ses commentaires amusés particulièrement gênants firent place à une avalanche de reproches et d’agressions verbales à mon orgueil bien mal en point. La meilleure défense étant l’attaque, je lui ai reproché de me délaisser et le fait que nous ne jouons plus BDSM depuis bien longtemps. (Une semaine) La cage de chasteté, le manque de câlins, de rapports, de jeux amoureux, de romantisme, enfin, j’ai essayé de trouver de bonnes raisons pour me justifier mais la belle n’étant pas du style à se laisser impressionner déjà en temps normal, m’incendia et prit l’assiette et le ice timer avec les clés me privant ainsi de toute fuite possible.

(Transcription du dialogue de mémoire)

  • Tu fais quoi là ?

  • ………

  • Je réfléchis à comment je dois prendre la chose !

  • Libère-moi !

  • Non !

  • Libère-moi, j’ai mal !

  • Fallait y penser plus tôt !

  • S’il te plait.

  • Non, je suis furax. Tu portes la cage de chasteté soi-disant par amour mais tu profites que j’ai le dos tourné pour t’éclater et en plus, tu m’incendies !

  • Oui, c’est vrai, mais la cage, c’est toi qui me l’impose en permanence. Je t’ai déjà expliqué que sans câlins ou jeux, cela me rend dingue.

  • Je vois ça ! (Eclats de rire) Mais qu’à cela ne tienne, je vais palier aux manques de romantisme et de jeux dont tu parles. Rampe un peu pour voir !

  • Va te faire voir, libère-moi !

  • Tu rêves !

En guise de libération, Veroline s’est mise à l’aise, est allée faire son petit pipi avant de s’installer devant l’ordinateur en allumant une cigarette.

  • « Cahier de punitions », ça y est, j’ai trouvé. Voyons voir,…. Les motifs.

Jouer sans moi, tromper ma confiance, voler mon collant, déchirer mon collant, utiliser mes jouets, vider mes piles, manque de respect à sa Doudou d’Amour, la liste est longue. Toi qui me reprochais de ne pas utiliser le cahier de punitions, tu vas être servi ! Que vais-je mettre ? Pour avoir joué sans moi et trompé ma confiance…quinze jours de chasteté, ça me semble correct, tu es d’accord ?

  • Hummmmm. Pffffff. C’est dur.

  • Tu n’avais qu’à réfléchir avant. Pour avoir volé et déchiré mes collants que tu vas racheter avec tes sous, tu m’inviteras au restaurant puis au cinéma. Puisque tu sembles aimer les couches autrement que quand je t’attache la nuit, tu iras au resto avec le plug dans les fesses et avec une couche. Pour m’avoir reproché l’absence de jeux alors que je bosse comme une malade, ce soir tu mettras ton déguisement de soubrette et t’occuperas de mes pieds avec amour pendant tout le film à genoux par terre. Pour le reste, je vais chercher la cravache que tu as eu la gentillesse de m’offrir.

A ce moment là, j’avoue avoir eu peur, peur de ma Doudou d’Amour, car lorsque nous jouons, sa main est déjà plutôt « leste ». La correction n’a pas tardée. Debout au-dessus de moi, Veroline commença à claquer mes cuisses puis mon dos sans trop de v i o l ence, mais les coups me faisaient quand même bondir à chaque fois. Chacun de mes mouvements se répercutaient douloureusement sur mes pinces à seins et me cambrer inutilement pour essayer de fuir la cravache me faisait contracter, contractions qui se répercutaient sur mon anus distendu. En ballotant, la poire qui sert à gonfler le plug attira son attention, elle la pressa 2 ou 3 fois, je ne sais plus, mais comme j’avais déjà un peu exagéré, la douleur me donna l’impression de me déchirer. D’une main leste, elle arracha ma couche exposant mes fesses à son courroux. Mes mains toujours menottées au-dessus de mes reins ne me permirent pas d’éviter beaucoup de coups mais l’ennuyèrent profondément.

Elle fit une courte pause pour délivrer mes chevilles et la chainette qui maintenait mes menottes, m’obligea à me lever pour m’installer couché en avant par-dessus le « bras » du canapé. Avec mes fesses en l’air, le tube et les fils des jouets vibrants sautant dans tous les sens sous mes ruades à chaque coup, « j’avais l’air d’un con ma mère » et je n’en pouvais plus.

Mes suppliques désespérées eurent raison de sa colère, elle finit par interrompre la correction en me promettant dix fois plus si je recommençais. Lorsqu’elle dégonfla le plug, mon anus se mit à se contracter comme si j’avais une jouissance annale. Cette libération fut un grand plaisir très proche de la jouissance, je l’avoue. Libéré des menottes, je dus me rendre à la salle de bain pour retirer le plug et laver tous les accessoires que je dus ranger sans tarder.

Sur le canapé nous avons coucouné, enfin, je me suis lové contre elle et j’ai eu droit à quelques bisous d’amour, sa colère étant passée.

La chasteté n’a pas durée quinze jours, ses envies de me « sentir » ont pris le dessus, mais cette aventure restera à jamais gravée dans nos mémoires. Le restaurant et le ciné plugué et en couche furent le prélude à ma libération anticipée pour « bonne conduite ».

Ecrivaillon

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