Rencontres BDSM 2

Catégories : Femmes soumises SM camisole
Ce récit est la suite de : Rencontres BDSM
il y a 9 ans
Après un mois d’éducation à la soumission entre les mains de Maître Master, on n’est plus la même personne, nos tabous se sont envolés en emportant avec eux de nombreux interdits.

Un soir je devais attendre nue, ou pire que nue sous mon manteau avec comme seuls vêtements des bas, porte jarretelle et un soutien-gorge laissant mes seins libres d’accès derrière un transformateur EDF qu’une homme vienne me chercher. Je devais faire tout ce qu’il me demanderait sans quoi je serai punie et le pire pour moi est que je ne devais pas le voir. Si j’avais fait tout ce qu’il m’avait demandé comme tenue, si j’avais mon rosebud en bonne place, j’ai eu envie de tricher en ne mettant pas le bandeau sur mes yeux ni les menottes à mes poignets.

Cachée derrière le transformateur, en espérant que la police ne passe pas sans quoi elle aurait pu me prendre pour une prostituée, j’épiais la route en espérant voir l’homme qui viendrait me chercher. Le bandeau dans la main, je regardais passer les rares véhicules quand mon téléphone portable a sonné.

  • Tu seras punie pour avoir fauté ! Ta soirée commence mal !

  • Mais il fallait bien que je réponde au téléphone Maître. Dis-je comme excuse.

  • Mauvaise réponse, tu triches, tu n’as pas mis ton bandeau et tu me mens. Le prix du mensonge est cher, plus cher que d’avoir triché, deux punitions récoltées en une phrase, il est préférable que tu te taises. M’a dit Maître Master en me raccrochant au nez.

Les larmes sont montées à mes yeux pendant que je mettais le bandeau demandé. J’étais furieuse après moi car je venais de le décevoir. Comment ai-je pu m’imaginer qu’il me laisserait seule menottée dans la nature ? Prêt à intervenir en cas de besoin, Maître Master devait être caché quelque part et voyait tout, je méritais vraiment ces deux punitions que je redoute car avec Maître Master, ce n’est absolument pas du plaisir….. Quand j’ai fermé la deuxième menotte sur mon poignet, les clics m’ont fait froid dans le dos, car là, j’étais vraiment offerte à l’inconnu total.

Un bon moment plus tard, une voiture s’est arrêtée près du transformateur EDF. Le fait de savoir que Maître Master voyait tout, y compris mes bêtises me rassura un peu. En guise de présentation l’homme a ouvert mon manteau et a commencé à me tripoter sans aucune gêne, j’étais blême mais sage comme se doit de l’être une soumise. Il inspecta mes seins, caressa mon chaton apeuré puis vint flatter mes fesses avant d’insérer un doigt dans mon pertuis où il trouva la place prise.

Mon saferword était le nom du site où l’on s’est rencontrés. Si je disais « Fessestivites » l’homme avait pour ordre de me libérer sur le champ et de tout arrêter, serait-il aussi respectueux que Maître Master était la question qui me minait. Il me fit mettre à genou en me donnant l’ordre d’ouvrir la bouche dans laquelle il logea son sexe mou. Il fumait une cigarette pendant que je m’acharnais à le faire bander, était-ce un rustre ou une des idées loufoques de mon Maître, je ne l’ai jamais su mais c’était très gênant.

« C’est pas mal, je te prends pour la nuit, lève-toi chienne » m’a dit l’homme avant de me guider dans sa voiture. Après m’avoir mis la ceinture de sécurité il a démarré puis roulé un moment vers l’inconnu total. Mon Maître suivait-il ? Mon Maître serait-il présent ? Qu’allait-il me faire ce mec dont je ne savais rien ?

Arrivés dans ce que j’imagine une maison particulière puisqu’il n’avait pas cherché de place pour se garer, j’ai été conduite dans la maison où il a ouvert mes menottes pour retirer mon manteau. Le froid m’ayant donné envie de faire pipi, je lui ai demandé la permission d’aller aux toilettes, chose qu’il a refusé en m’indiquant qu’une chienne ne sait pas s’accroupir sur des toilettes. Il est allé chercher un récipient qu’il a mis entre mes pieds avant de m’ordonner de m’accroupir. Il m’a fallu un moment avant d’arriver à faire pipi devant un inconnu, un paradoxe quand on sait que je lui étais offerte et que je lui avais déjà fait une fellation.

Pour en avoir mis à côté, il a décidé de me donner une fessée. J’ai horreur de ça, je trouve que c’est infantilisant et paradoxal avec une femme que l’on baise. Le rustre y est allé de bon cœur en alternant les claques d’une fesse à l’autre puis quelques-unes ultra appuyées. J’ai du le remercier à haute voix en me mettant à genou devant lui, je l’aurai bien giflé ce mec pour lui apprendre les bonnes manières, je ne m’agenouille que devant mon Maître, pas un inconnu. Si je n’avais pas eu l’ordre de satisfaire tout ce qu’il pouvait me demander, il y aurait eu le feu mais une soumise se doit de faire ce que son Maître lui ordonne, surtout après avoir déjà récolté deux punitions dans la soirée.

Il s’est ensuite offert une fellation en prenant un verre, cela l’a amusé de trinquer avec moi en cognant son verre sur ma tempe, une envie de mordre m’est venue. Lorsque son sexe a pris la consistance je dois l’admettre d’une belle verge, il m’a repoussée puis conduite sur une table où j’ai du m’allonger sur le dos jambes écartées. Lorsqu’il m’a prise sans plus de précaution ni de préliminaire, j’ai imaginé que la soirée allait être rapide, une bonne chose car le courant ne passait pas entre lui et moi, quelle erreur ! Alors qu’il allait et venait en moi, il a utilisé un vibromasseur Magic Wand Massageur, une arme fatale pour moi qui suis plus clitoridienne que vaginale.

Quand je commençais à bien « monter » dans les tours, ce rustre s’est retiré, il m’a quasiment arraché le rosbud avant de me lubrifier l’anus et de me loger un gode vibrant dans la chatte. Monsieur s’est offert une double pénétration à lui tout seul en me sodomisant sans plus de détours ni plus de précaution que ça. Le vibromasseur Magic Wand Massageur qu’il a reposé sur mon clitoris m’a aidée à me décontracter, analement et psychologiquement, comment résister à la montée du plaisir quand on a un vibro dans la chatte et sur le clitoris et une bonne bite bien travailleuse dans le cul ?

Oui je sais que cette phrase est vulgaire, mais croyez-moi sur parole, j’étais comblée dans tous les sens du terme…. Quand j’ai jouis cela a été plus fort que moi, je lui ai crié « plus fort » à ce moment là je voulais que cet inconnu me défonce et c’est ce qu’il a fait à merveille en se comportant comme un taureau au point que j’ai fini paraît-il par faire « fontaine », moi je ne m’en souviens pas et je n’ai rien vu sauf que c’était bon. Il m’a faite descendre de la table puis pencher dessus en avant pour me reprendre à nouveau par derrière. J’aime être prise comme ça, comme une chienne cela me fait des choses dans la tête et dans le corps. C’était tellement bon que j’ai encore jouis et que mon petit trou palpitait encore après qu’il se soit retiré pour jouir sur mon dos.

J’ai un peu honte de l’avouer mais j’ai adoré être ainsi offerte et baisée. Maître Master était là, il a assisté à tout et ne m’a jamais laissée seule hormis le temps du trajet. Lorsque nous avons trinqué autour d’une coupe de champagne, j’ai demandé si je pouvais retirer mon bandeau, cela m’a été refusé, Maître ne voulait pas que je vois mon baiseur. Sur le chemin du retour il s’est arrêté chez lui pour me conduire à son donjon. Pour commencer, il m’a félicitée de mon comportement pendant la soirée, j’étais donc fière qu’il soit fier de moi. J’ai cru qu’il avait oublié mes deux punitions, c’était une erreur. Après m’avoir offert une coupe de champagne pour fêter ma première sortie en chienne soumise il m’a indiqué que l’heure des punitions annoncées avait sonnée.

Il m’a demandé de m’installer sur le banc à fesser et de commencer à m’attacher les jambes et les chevilles puis un de mes poignets pendant qu’il sirotait une deuxième coupe de champagne. L’attente de la punition est cruelle tout comme de ne pas savoir ce qu’il va vous arriver. Si je m’attendais à prendre une très sérieuse fessée, je ne m’attendais pas à la façon ni aux accessoires supplémentaires. Pour avoir triché, il m’a donné quinze coups de canne anglaise, ils étaient si forts que j’ai crié et pleuré au cinquième autant de douleur que de honte de l’avoir déçu.

La deuxième punition fut encore plus dure pour mon corps et ma tête. Pour lui avoir menti et en prime avoir songé qu’il me laisserait seule dans l’insécurité de la route il a attrapé un plug de bonne taille et un gode qu’il a recouvert d’une crème que je ne connaissais pas et qu’aujourd’hui je redoute. Avant de me les mettre il a préparé un système avec des sangles pour qu’ils restent logés en moi et que je ne puisse les retirer. Si l’insertion du gode dans mon chaton s’est faite sans trop de difficulté, le plug anal fut plus dur à passer et me faisait mal.

Quand tout fut en place dans mes orifices et maintenu comme il le souhaitait, cela a commencé à me brûler et là, il m’a expliqué que la deuxième punition serait de garder le plug et le gode recouverts de baume de tigre. Il a éteint la lumière puis m’a laissée seule avec ma colère, ma déception, ma tristesse aussi et la douleur montant dans mes orifices. Je prenais feu, j’avais le feu au cul pour de vrai, c’était horrible. J’ai vraiment beaucoup souffert pendant une heure en j’ai aussi beaucoup pleuré.

Quand il est entré dans le donjon au milieu de la nuit, il a commencé par libérer mes orifices et par les soigner avec une crème apaisante qu’il a également appliquée sur mes fesses avec douceur. Une fois libérée de mes entraves, j’étais tellement épuisée que je n’ai pas bougé même si je rêvais de me coucher et de dormir. Maître Master m’a soulevée et portée jusqu’à son canapé où il m’a installée sur ses genoux puis fait un gros câlin comme si j’étais une enfant. Pour la première fois, ce côté régression ne m’a pas gênée, bien au contraire, il m’a apaisée et comblée de gentillesses et de tendres paroles. Mon Maître était ultra doux, ultra câlin, ses doux baisers d’une grande tendresse m’ont à nouveau faite pleurer mais cette fois, c’était de bonheur.

Ecrivaillon

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