Catégories : Femmes soumises SM camisole
Ce récit est la suite de : Dilatée
il y a 10 ans
La ville nous avala à nouveau et il fallu trouver d'autres jeux que ceux de plein air que nous avaient offert ces quelques jours de vacances. Mais enfin, pas de trop de regrets non plus, la ville offre elle aussi, bien des possibilités en matière de délicieuses taquineries... Je disposais alors d'une maison de campagne pas trop éloignée que me prêtaient des amis. Cette maison comportait un garage, équipé par le bricoleur averti qu'était son propriétaire. D'une robustesse à toute épreuve, s'y trouvait une poutre d'acier qui servait à attacher un treuil pour lever de lourds moteurs, ce qui m'inspirait particulièrement.
J'installais au sol, sous le treuil., une couverture épaisse, préparais une rude paire de gants de soudeur et commençait de rassembler le petit matériel propre aux plaisirs et souffrances de ma belle. Elle était encore dans la salle de bain et l'eau venait à peine de s'arrêter de couler lorsque j'entrais. Restée debout dans la baignoire, j'entrepris de la sécher, en prologue aux actes suivants.
Ses cheveux noirs, portés longs se tenaient dans son dos en lourds paquets trempés. J'aimais les lui ramener en arrière pour dégager son visage (et surtout ses yeux) et les grouper en une queue de cheval qui bougeait souvent harmonieusement avec son corps. Impatient de la voir nue et vulnérable dans le garage, je ne voulais pas perdre de temps à les lui sécher trop, étant attachés ils ne seraient, plus tard, pas trop difficile à démêler. En revanche, je ne laisserai pas mouillée la moindre parcelle de son anatomie. Certaines parties - étrangement au vu de mon impatience - furent séchées à plusieurs reprises.
Une deuxième serviette bien sèche fut frottée énergiquement sur ses fesses jusqu'à les colorer d'un beau rose vif. Puis l'intérieur des cuisses qu'elle ouvrit, par réflexe, plus généreusement, connu le même traitement. La place semblait acquise et je m'aventurais à frotter, doucement pour commencer, sa vulve qui donna quelques signes d'intérêt pour cette caresse. Une deuxième main, couverte par la première serviette, empauma son sein droit et vrilla une forte caresse qui la surprit et provoqua un souffle léger. Je la fis se pencher en avant, les jambes écartées, les mains sur le rebord de la baignoire. J'alternai à cinq ou six reprises la claque d'une lourde serviette mouillée avec une caresse douce de l'entrée du vagin au clitoris.
Elle passa du souffle léger aux petits cris en passant par les premiers gémissements porteurs habituels de réjouissantes excitations. J'abandonnais ma victime pour me saisir des grossiers gants de cuir rapportés du garage. J'enfilai le droit et promenais une caresse circulaire sur le postérieur de satin rosé de mon petit animal. La roseur se réactiva, commençant de s'approcher du rouge. Je quittais le gant et y enfilais cette fois ses mains à elle.
Elle s'interrogeait sur l'utilisation de cet accessoire, je le comprenais : que pourraient faire les menottes menues de cette poupée de chair alors perdues dans ces gants épais et bien trop vastes pour elles ? Rien, sans aucun doute et c'était justement pour cette raison qu'ils m’étaient indispensables. Une fois les gants bien enfoncés sur ses mains, je les serrais aux poignets à l'aide de ce ruban adhésif "Duck" très résistant et très collant.
N'ayant ainsi plus aucune liberté, il lui était impossible de se libérer une main avec l'autre. Resserrant les gants, je fis de nombreux tours de ce ruban pour solidariser solidement ses poignets joints. Elle avait maintenant au bout de ses bras une sorte de coque de cuir et de plastique rendant ses mains impuissantes tout en les protégeant. Je lui bandais les yeux, elle eut un petit mouvement de recul, jamais je ne l'avais jusqu'alors aveuglée de la sorte. Prisonnière et aveugle, elle ressentait un peu plus que de l'appréhension.
Il y n'y avait que dix mètres pour aller de la maison au garage mais cette distance suffit à lui faire sentir la fraîcheur du vent et lui faire craindre d'être surprise, nue et attachée par un éventuel passant. Il n'en fut rien. Je la guidais vers le garage et l'agenouillais sur la couverture et fis passer entre ses poignets un gros émerillon à écrou permettant de l'attacher au treuil. Je fixais le treuil à l'émerillon et commençais à tirer sur la chaîne mouvant la poulie. Le premier cliquetis la fit frissonner, elle ne connaissait pas ce bruit, agenouillée, elle sentait lentement ses bras se relever, découvrant maintenant les seins que je gratifiais de caresses frustres.
Les bras tendus haut, toujours à genoux elle commença de sentir s'étirer lentement et le poids de son corps tirer sur ses épaules. Je la maintins quelques instants dans cette position pour prendre le temps de lui pincer les tétons et obtenir quelques tentatives d'évitement que j'appréciais tant. Je lui permis de s'accroupir pour qu'elle se libère de la tension naissante dans ses bras.
Elle put se tenir un peu plus haut et gardait l'équilibre grâce à la chaîne qui la tenait mains en l'air. Lui écartant les cuisses, je vérifiais son état d'excitation. Elle n'était pas encore au comble de sa lubrification mais elle en donnait des signes encourageants. Après lui avoir écarté les jambes en grand angle, je continuais de tirer sur le treuil et j'en arrivais à l'étirer suffisamment pour que ses pieds touchent d'un peu plus que les orteils sans qu'elle puisse les poser à plat. J'entourais prestement d'une corde chacune de ses chevilles et liais les autres bouts, qui au pied du lourd établi, qui au gond du bas de la porte.
Les jambes écartées et les bras joints étirés vers le haut, sa posture me faisait penser à un Y inversé... Je caressais avec une ivresse montante chaque parcelle de cet Y impudique et n'hésitais plus à y glisser mes doigts. Je l'amenais à trois reprises au bord de son plaisir sans la laisser jouir. Chez elle, trois doigts pistonnant dans son vagin provoquaient irrésistiblement et rapidement une montée du plaisir, une douzaine d'aller retour pouvaient l'amener à l'orgasme si elle était suffisamment excitée et c'était aujourd'hui le cas ! Je cessais une nouvelle fois tout mouvement et elle trembla de dépit laissant échapper un faible "Non !".
Je repris ma to r t u r e m'arrêtant encore une fois alors qu'elle pensait que, cette fois, je l'autoriserais à aller au bout de son orgasme. J'arrêtais une fois encore. Elle commença de gémir tout en remuant de tous ses membres, mais elle restait solidement liées, impuissante. Je laissais passer un temps et repris l'exercice. Au bout de quatre autres arrêts qui chacun décuplèrent sa frustration désormais incontrôlable, elle se mit à crier, secouant ses entraves et semblant pleurer de rage. Je laissais à nouveau quelques instants s'écouler et décidais de la bâillonner pour étouffer les cris.
Elle se secoua encore une fois ou deux en signe de protestation et je repris l'ouvrage faisant glisser mes doigts sur son clitoris ou dans son vagin en arrêtant tout mouvement au moment opportun. Testant le bâillon, elle comprit qu'elle pouvait se libérer un peu de sa frustration par ses cris et hurla sans que cela ne provoque, grâce au bâillon, une crise de panique chez les voisins alentour. Je repris une dernière fois ma torture et m'arrêtais. Il m'apparu qu'elle était à point pour l'ultime séquence. Je fixais alors une pince à chacun de ses tétons et attachais à chacune d'elles une ficelle.
Je plaçais les deux brins de part et d'autre de son visage et je joignis les deux ficelles en une les faisant passer, au dessus de ses mains liées, dans un des maillons de la chaîne. Le bout passé à travers le maillon mettant en tension le bout des seins fut attaché à son tour à une patère du mur. Ainsi, si elle ne bougeait pas, la tension sur le bout des seins se maintenait là où elle en était. Elle ne pouvait reculer mais si elle devait avancer, elle tirerait cruellement sur ses aréoles. J'approchais un tabouret haut de son entrejambe et j'y fixais le long vibromasseur qu'elle affectionnait particulièrement - et même hors de ma présence -.
Comme elle ne pouvait qu'entendre mes mouvements, il lui fut difficile de comprendre ce qui se tramait. Je repris sa masturbation là où je l'avait laissée pendant quelques instants et je compris qu'elle restait très proche de l'orgasme même après une bonne minute sans sollicitation. Je l'amenais à nouveau au point où elle ne pouvait s'empêcher de crier sa souffrance de ne pouvoir se satisfaire d'une jouissance libératrice. Je lui demandais ensuite d'avancer le bassin au plus loin que ses tétons douloureux le supportaient.
Une fois dans cette position j'approchais le tabouret armé de son gode vibrant de son clitoris tout en laissant un espace suffisant pour qu'elle n'arrive à le toucher sans forcer encore sur le bout de ses seins. Je la masturbais encore un peu et lui dit quel était le dispositif. Je l'autorisais donc à jouir si elle arrivait à attiser le feu de son sexe suffisamment longtemps sur l'objet qu'elle ne manquerait pas d'implorer au point culminant de ses frustrations. Elle tenta de premières approches essoufflées en essayant de trouver un moyen terme entre la douleur et le souhait de gagner du terrain pour jouir de la vibration. Elle essaya aussi de se torde, buste en arrière et bassin en avant cherchant le contact avec la vibration qu'elle percevait.
Cette posture était charmante, cuisses ouvertes, sexe béant, la cyprine faisant un filet qui balançait maintenant au rythme de ses tentatives, la douleur faisait grimacer lorsqu'elle changeait la tension de ses muscles et faisait s'étirer la pointe de ses seins. Plusieurs fois elle s'arrêta pour reprendre souffle et à chacune de ces pauses, je lui caressais vulve et entrée du vagin pour la rappeler au plaisir d'une frustration démente. Elle arriva par trois fois à toucher du clitoris le jouet tant désiré. Mais à chaque fois, une des pinces tombait en claquant, provoquant un cri de souffrance particulièrement excitant puisque inattendu et m'obligeant à la remettre en place et à relancer pour un temps la masturbation de la prisonnière. Le jeu dura longtemps. Elle ne parvint pas à se libérer, par la jouissance, des frustrations accumulées pendant ce temps. Tout en conservant les entraves de ses mains, je la détachais du treuil et l'assis sur la couverture, tremblante, à la limite des sanglots.
Après quelques secondes, elle tenta de se masturber, sur le dos, cuisses ouvertes avec ses pauvres mains emprisonnées par les gants de cuir grossier. Elle aurait pu se satisfaire si ses mains rendues maladroites avaient été plus précises. Elle tenta de se frotter à ses gants, la rugosité ne semblant pas la déranger, elle donna quelques coups de bassins avant que je ne la saisisse et la remette sur jambes pour lui interdire toute nouvelle tentative de masturbation. D'excitation ou de colère, son visage était rouge, elle était essoufflée, tremblante, sa cyprine, qu'elle avait toujours eue abondante, avait coulé sur l'intérieur de ses cuisses.
Je la couchais à plat ventre sur un banc, les jambes pendantes de part et d'autre de la planche, ses mains toujours prisonnières des gants, sous elle, très proches de son sexe. J'armai ses mains du gode vibrant libéré de la chaise haute et l'autorisais à s'en faire jouir. Impatiente, elle commença de s'y frotter. Ses mains ne pouvant guère bouger, elle était contrainte à des mouvements de bassin délicieusement obscènes l'amenant à crisper les muscles des fesses lorsqu'elle rapprochait son sexe du banc et ouvrant largement son cul, offrant son anus, lorsqu'elle le remontait. Je lui laissais quelques secondes de cet espoir de jouissance et me saisissais d'un fouet lourd, constitué de plusieurs dizaines de brins.
Ce fouet ne cinglait pas, il frappait de sa masse lourde et faisait chauffer sur une large surface la peau touchée tout en imprimant une secousse au corps de la suppliciée. Je commençais de frapper pendant qu'elle se faisait jouir. Le premier coup fut une surprise qui lui coupa le souffle et lui fit arrêter un instant sa masturbation. Elle reprit vite ses mouvements de bassin et poussais à chaque coup un cri étouffé par son bâillon. Elle s'approchait malgré tout de l'orgasme, j’accélérais le rythme des coups et leur puissance à mesure qu'elle approchait de l'issue. Elle poussa lorsqu'elle jouit, un cri animal qui ne me fit pas regretter de lui avoir laissé son bâillon. Je frappais de toutes mes f o r c e s alors qu'elle atteignait le sommet de sa jouissance.
Comme son corps se détendait enfin, j'espaçais les coups en amenuisant leur f o r c e, jusqu'au calme total. Elle sanglotait. J'enlevais le bâillon et me rendis compte qu'elle souriait dans ses sanglots. Les hoquets qu'elle laissait échapper témoignaient de la tension accumulée dans les exaspérations de l'attente. Son bassin continuait de bouger frottant son clitoris sur le vibromasseur. Je lui retirais l'engin des mains et attachai ses poignets, loin devant elle, à l'autre bout du banc.
Je lui remis son bâillon. Je m'asseyais à califourchon sur ses reins, pesant lourdement sur son corps. Sa respiration se faisait plus difficile du fait du poids qui comprimait son ventre sur le banc et faisait épouser à ses reins une cambrure qui ouvrait ses fesses. Quelques claques retentissantes la ramenèrent à la réalité de sa soumission et je décidais de jouer avec le gode que je venais de lui reprendre. Assis sur elle, tourné vers ses fesses, je commençais de promener dans son sillon le jouet tentateur.
Je le lubrifiais de sa cyprine et le faisait coulisser entre les deux fesses ouvertes dans la palpitation de l'attente. Ses gémissements montraient qu'elle comprenait que la longue attente du premier orgasme ne serait pas la seule qu'elle connaîtrait ce jour. Elle n'avait jamais été prise par derrière et chacun de mes jeux était un prétexte au lent apprivoisement de son petit orifice. Je maintins son excitation en la caressant lentement du jouet vibrant du clitoris à l'anus. Chaque approche du clitoris se traduisait par une convulsion vive et de petits cris retenus.
J'observais qu'à l'approche de l'entrée de son vagin elle tendait fortement le cul en arrière comme pour absorber en elle tout ce qui pouvait se trouver à sa portée. Je me gardais bien d'y faire pénétrer quoique ce soit de plus d'un centimètre, ce qui accentuait encore son mouvement réflexe et sa cambrure sans parler de sa frustration. Lorsqu'un peu plus haut j'en arrivais à caresser, du gode, son anus, le temps semblait se figer.
Elle conservait la posture cambrée et ne bougeait plus... Haletante. Elle restait statufiée dans une attente qui ne disait rien de son intention ni de son envie. Essayait-elle de mieux sentir une caresse nouvelle ? N'osait-elle pas donner le coup de rein qui me donnerait le feu vert pour une pénétration ? Attendait-elle que je décide de la pénétrer ? De toute façon j'avais décidé depuis longtemps de ce que je ferai de cette virginité préservée. Son sexe avait été défloré par un autre mais cet orifice là m'appartenait et j'avais décidé de lui réserver toute l'attention et toutes les douces violences dont j'étais capable avant d'en jouir pleinement.
Ce ne serait pas pour aujourd'hui. Aujourd'hui, je cherchais à la pousser au delà de sa frustration, je ne voulais la laisser jouir qu'au moment désespéré où je sentais qu'elle ne s'appartenait plus. Le jour de sa défloraison, elle connaîtrait une longue journée dans l'attente d'un orgasme qui ne viendra qu'avec ma décision de la déflorer. Elle suppliera pour obtenir ce qui sera, ce jour, ce privilège. Elle en pleurera sans doute. De frustration, de désir, de douleur. Mais je voulais qu'elle en garde un souvenir profondément imprimé dans sa mémoire. Le souvenir de sa soumission consciente de l'offrande qui restait à faire. De la montée incontrôlable du plaisir comme une note grave, profonde, prenant peu à peu possession de son être et se finissant dans la délivrance extatique de son explosion.
Mon esprit s'était égaré dans ce futur que je voulais proche et je dû me ressaisir pour revenir à ma captive qui se tortillait d'impatience... Une fessée sans rythme régulier calma ses ardeurs pour quelques instants. Je savais qu'une fessée rythmée permettait à la soumise de s'attendre au coup suivant ce qui amenuisait son effet. Un coup tombé par surprise trouve toujours sa suppliciée détendue avant et plus douloureuse après. Je décidais d'achever ma captive : je pesais de tout mon poids sur son corps, malaxai puissamment ses fesses, les écartant, les resserrant, les frottant l'une contre l'autre, créant ainsi un bruit de succion qui, je le savais la mettait d'habitude mal à l'aise.
Cette fois, non. Obnubilée par l'attente de l'orgasme qu'elle pressentait que je permettrais, j'aurais pu lui faire subir n'importe quoi, elle n'aurait rien refusé tant que cela l'aurait amener à jouir. Je la souhaitais dans cet état, hors d'elle même, de son propre contrôle. Je m'armais à nouveau du gode et l'enfonçait sans qu'elle en soit prévenue, fermement et sans à coups au fond de son sexe. Je le laissais planté là sans le faire bouger.
Elle en cria de plaisir dans son bâillon. Comme aucun mouvement ne vint, elle se cambra du mieux qu'elle pu malgré le poids de mon corps sur ses reins. Je retirai le gode et ne le replongeais pas dans ses humidités. En chaleurs, elle tentait de se débattre sous la frustration, rouge de désir de colère et de désespoir. Je décidais de la faire jouir et cette fois jusqu'au bout de son envie. Je pistonnais allègrement son sexe avec une régularité profonde et la laissais jouir sans entraves.
Hurlements, contorsions, cabrée à s'en briser les reins elle abandonnait toute fierté. Donnant de violents coup de reins elle aurait pu me renverser si je n’étais si bien installé sur sa croupe. Un moment passa dans ce va-et-vient mécanique et dans ses cris étouffés. Mon bras fatiguait et je dû donner plus d'amplitude à mon mouvement pour éviter de tétaniser mon bras.
Désormais, je piochais dans ses tréfonds plus que je ne pistonnais. Ses cris se muèrent en un feulement rauque que je ne lui connaissais pas, son corps s'était cabré violemment et restait ainsi suspendu subissant une série de spasmes qui, lorsqu'ils l’abandonnèrent, la laissa retomber, sans force, vide d'énergie dans une sorte de semi évanouissement essoufflé. Me levant, j'approchais mon visage du sien. -
- Tu vas bien ?
Entre deux halètements : "Oui...merveilleux... Je suis à toi... Toujours..."
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