Nous avons trouvé un petit camping bien sympa, avec une rivière à proximité pour permettre au chien de se baigner. Parcours acrobatique pour y accéder, mais le coin est désert et je remarque de belles tiges de forsythia, bien droites, longues, flexibles à souhait. Je les regarde avec envie tout en lançant nonchalamment un bâton au chien.

Ma Déesse nous regarde jouer, elle ne semble pas s'être aperçue de mon trouble, de mon envie d'être fouetté et je n'ose pas lui en parler.

Le soirée me paraît morne; J'a b u s e de nouveau de l'alcool et celui-ci aidant, j'exprime mon besoin d'être fouetté à ma Déesse. Elle m'indique alors que je ne perds rien pour attendre et que demain, elle accédera à mon désir. Sur ce, elle va se coucher, me laissant seul avec ses paroles qui résonnent dans ma tête, devant une bouteille de rosée pamplemousse que, pour une fois, je ne finis pas.

Le lendemain, nous retournons à la rivière. L'endroit est toujours aussi désert. Ma Déesse m'ordonne alors de couper une belle baguette. Je m'exécute, Opinel en main, et coupe une longue et fine badine de forsythia que je lui présente. Elle l'a fait siffler en l'air pour tester sa solidité, et satisfaite, elle me demande de me mettre en position, courbé, main sur les genoux et fesses nues. Le lui obéis rapidement, impatient de goûter aux brûlures de la baguette.

Le premier coup me surprend par sa v i o l e n c e et dès le deuxième, je me relève tant la douleur est insupportable. Je m'excuse auprès de ma Déesse, lui indiquant que cela me fait beaucoup trop mal et que je ne peux en supporter plus. Elle insiste pour m'infliger un dernier coup, me disant que ce sera le dernier. Je reprend la pose et la baguette me cingle cruellement. Je me redresse et me rhabille, déçu de ne pas avoir pu en supporter plus.

Je lance le bâton au chien, triste et frustré. Ma Déesse semble déçue elle aussi par mon manque de résistance. Je pense qu'elle se faisait une joie de me fouetter plus longtemps. Elle m'a dit aimer cela. Tout en jouant avec le chien, je réfléchis, je me motive et je demande à ma Déesse de m'infliger une série de six coups. Elle sourit et m'annonce que notre chiffre est le sept. ce sera donc une série de sept coup. Je reprend la position, mains sur les genoux, fesses nues et offertes, bien décidé à supporter cette série. La baguette me cingle durement sept fois, mais je réussis à garder la pose. Je vais pour me relever, mais ma Déesse m'ordonne de ne pas bouger car elle veut immortaliser la scène.

Je suis heureux et fier d'avoir endurer cette série. Je lance le bâton au chien avec un peu plus d'entrain, mais je reste sur ma faim. Je propose une deuxième série à ma Déesse qui accepte avec entrain.

Je reprend donc la pose pour subir sept nouveau coup qui me cinglent tout aussi durement. Mais je connais la douleur, je m'y attend et j'arrive à supporter la punition qui m'arrache quand même quelques crispations. Je garde de nouveau la pose afin que ma Déesse photographie le résultat. Je suis très fier de mes zébrures.

Je joue de nouveau avec le chien. Je fume une cigarette avant de proposer une autre série à ma Déesse qui accepte. Elle m'annonce aimer me fouetter.

Je reprends la pose tandis qu'elle reprend la baguette. Elle me cingle durement et le dernier coup me fait me relever. Mais je me remets rapidement en position afin qu'elle fasse quelques clichés.

Le retour au camping se fait dans un état second. Je me sens bien. J'ai les fesses en feu, certes, mais je me sens bien, détendu. D'ailleurs, je modère ma consommation d'alcool durant la soirée. J'ai l'impression d'avoir trouvé un équilibre.

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