Piégée par un oubli dans son selfbondage

Catégories : Femmes soumises SM camisole Selfbondage auto bondage Bondage Shibari Kinbaku
il y a 8 ans
Camille va de plus en plus loin dans ses plaisirs solitaires et quand elle fait de l'auto bondage. Ayant une maison isolée et un grand jardin, elle peut s'amuser en extérieur en laissant libre court à ses fantasmes.

Il n'est pas rare l'été que les lapins la voient nue et menottée dans son jardin à la recherche des clés de ses menottes.

Elle a reçu récemment un plug gonflable avec lequel elle s'est déjà accordée des moments intimes très forts et des jouissances torrides. L'idée lui vient aujourd'hui de se faire un selfbondage en extérieur avec les pieux qui se vissent dans la terre comme point d'accroche de ses entraves. Le plug logé dans son anus de plus en plus gourmand, elle s'entrave assise jambe écartées dans le gazon.

Chacun de ses pieds est attaché à un pieu vissé dans la terre, elle en a placé un au centre pour y attacher la corde qui l'obligera à rester assise sur le plug. L'obliger est un bien grand mot car elle a du le gonfler un peu pour ne pas qu'il s'échappe quand elle préparait le matériel et les cordes. La seule variable pour elle entre "obligée" et "envie" sera qu'elle va essayer de le gonfler beaucoup plus avant de jeter la poire hors de portée de ses mains.

Camille est convaincue de pouvoir faire défaire la corde qui maintient ses menottes attachées au pieux vissé dans la terre dans son dos quand elle sera menottée. Elle ferme donc les bracelets de menottes sur ses poignets puis commence à gonfler le plug logé au creux de ses fesses.

Assise jambes écartées sur son plug, elle agite ses fesses pour s'auto satisfaire, les yeux fermés, elle savoure cette auto dilatation en continuant de gonfler le plug. Lorsque la douleur anale commence à se faire sentir, Camille inspire un grand coup avant de pomper quatre fois sur la poire puis la jette loin de ses mains pour ne pas pouvoir utiliser le bouton permettant de retirer l'air.

La douleur anale est intense mais en bougeant ses fesses, elle parvient à la gérer et à transformer cette douleur en plaisir. Au plus elle bouge, au plus c'est agréable, quand elle s'arrête de bouger, la douleur générée par la dilatation reste malgré tout intense. "J'ai peut-être été un peu trop gourmande" se dit Camille en recommençant à bouger ses fesses. Elle éclate de rire toute seule en pensant qu'elle ressemble à sa petite chienne quand elle a eu ses premières chaleurs et se frottait le cul par terre.

Sa bonne humeur et ses délires psychologiques s'interrompent soudain quand un bruit la tire de ses songes érotiques. Face à elle l'asperseur d'arrosage commence à crépiter et à pulser de l'eau.

  • Et merde j'ai oublié l'arrosage automatique ! S'écrie Camille.

Dix secondes plus tard, avant même que ses petits doigts défassent le moindre nœud, un jet d'eau froide lui arrive en pleine figure. Son chemisier est trempé, l'eau ruisselle dans son soutien-gorge. Cédant à la panique, elle se met à tirer sur ses entraves, puis réalise au troisième passage de l'asperseur et à la troisième douche froide, que c'est une très mauvaise idée car elle serre les nœuds des cordes qui en plus se mouillent à chaque passage de l'eau.

Ses petits doigts tentent de desserrer les nœuds maintenant ses menottes, elle se casse deux ongles et se traite de tous les noms à chaque passage de l'asperseur. Un long moment plus tard, en entendant des cris dans le jardin, le facteur décide d'aller voir ce qu'il se passe et contourne la maison. Camille est folle de rage mais aussi ravie de pouvoir lui demander de couper l'eau. Pour qu'il ne s'affole plus et n'appelle pas la police, elle est obligée de lui avouer qu'elle n'a pas été agressée et qu'elle s'amusait toute seule. Le facteur est plié de rire et Camille monstrueusement gênée.

  • Au moins, vous ne risquiez pas de mourir de soif ! Ajoute t'il devant cette scène peu orthodoxe. Je vous libère ou je vous laisse comme ça ?

  • Aidez-moi s'il vous plait ! Répond Camille avant de prendre conscience qu'il va découvrir des choses comme la poire qui gonflait le plug qu'elle a dans les fesses.

Le froid a raison de sa pudeur, elle le laisse arracher les pieux maintenant ses jambes écartées. Devant la résistance des nœuds, Camille l'autorise à se rendre dans sa cuisine pour aller chercher un couteau. Ce qu'il découvre en passant dans le salon l'éclaire grandement sur les jeux intimes de la jeune fille. Aussi respectueux que taquin, il retourne au jardin avec un grand couteau de cuisine et, à l'approche de Camille, lui indique être le grand méchant loup. Comme l'on peut s'en douter, elle ne goûte pas vraiment l'humour du facteur qui fait quelques photos avec son téléphone portable malgré les réfutations de la belle folle de rage.

  • Qu'allez-vous faire des photos ?

  • Rien, je vous propose juste de passer prendre l'apéritif chez vous ce soir par exemple et de vous les donner. Je crois que vous me devez bien un verre non ?

  • Cela vous amuse de vous moquer de moi ?

  • Non pas du tout Camille, j'aimerai beaucoup faire votre connaissance autour d'un verre et cela en tout bien tout honneur rassurez-vous. Disons que je connais assez bien le monde du BDSM et que nous pourrions échanger sur ce sujet. Si j'étais un sadique, j'aurai profité de la situation ce qui n'est pas le cas. Ok pour prendre un verre ce soir ?

  • Ok mais laissez-moi maintenant, je peux me lever toute seule ! Indique Camille au facteur lui tendant la main.

  • Arrêtez de faire la pudique, j'ai bien vu la poire qui gonfle le truc logé en vous. Et si vous continuez à bouder et à me répondre sur ce ton, je pourrai bien vous donner la fessée que vous méritez !

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Une heure plus tard, malgré la douche chaude Camille a bien du mal à se réchauffer. Elle range ses jouets et se pose mille questions puis se demande si recevoir le facteur est une bonne idée. Vers 18 heures, la sonnette la fait bondir, "c'est l'heure de ma punition" se dit-elle en allant ouvrir la porte. C'est avec un grand sourire qu'il lui tend un bouquet de fleur, le sourire et ce geste la détendent un peu. Elle voit qu'il cache quelque chose dans son dos et lui demande ce que c'est avant de le faire entrer.

  • Ceci pour vous plaire mademoiselle, je ne voulais pas a b u s e r de votre mésaventure de ce matin, le champagne aide bien à se consoler et à faire connaissance qu'en pensez-vous ? Mon prénom est Louis, mon pseudo Maître-A le A signifie attacheur.

  • A vous faites du bondage ?

  • Oui je suis un passionné de shibari mais pas que. Vous comptez aller chercher les flutes à champagne et me laisser sur le pas de la porte ou m'inviter entrer ?

  • Oups, excusez-moi, tout cela va si vite pour moi que j'en perds mes notions de savoir-vivre.

Deux flutes de champagne plus tard, Camille est vraiment plus à l'aise pour discuter. Maître-A lui a fait découvrir Fessestivites et les photos de shibari qu'il réalise. Le feu du désir brillent dans les yeux de Camille, elle ne cache pas son admiration et pose de nombreuse questions.

  • Si cela vous intéresse d'essayer, j'ai toujours mes cordes dans la voiture. Lui propose Louis.

  • Je n'aime pas être nue devant quelqu'un, cela me plairait bien d'essayer mais habillée.

  • Pas de problème. Je vous propose d'aller mettre un pantalon pendant que je vais chercher mes cordes.

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La belle et tendre Camille est attachée puis suspendue aux poutres de son salon. Maître-A a été ultra respectueux, il n'y a eu aucun contact indélicat, elle plane dans sa suspension ultra confortable et digne d'un grand nom du shibari. Très taquin, il s'est allongé sur le sol juste sous Camille qu'il s'amuse à faire se balancer.

  • C'est magique et très jouissif ! Lui indique Camille étonnée par les sensations.

  • Magique peut-être mais avec une fille aussi magnifique que vous, le plaisir va bien au-delà d'attacher. Votre sensualité débordante souligne votre beauté dans les cordes, j'avoue que cela vous rend très désirable. Puisque vous êtes parvenue à vous décontracter, nous allons pousser un peu le jeu, n'ayez pas peur, vous ne risquez rien.

Maître-A se lève, défait une corde qu'il tient d'une main avant de se recoucher sous la belle de plus en plus dans les nuages cotonneux généré par son abandon aux cordes. Au fur et à mesure qu'il donne du mou à la corde tenue dans sa main, La tête de Camille descend lentement, son visage de rapproche de celui de Maître-A, leurs yeux se croisent puis se sondent silencieusement.

La fusion des âmes semblant se faire, il laisse glisser la corde millimètre par millimètre, leurs visages se rapprochent inexorablement mais Maître-A ne fait rien, il se contente de gérer la descente qui rapproche leurs lèvres. Lorsqu'elles se frôlent, Camille ne tourne pas la tête, le regard de Maître-A semble l'envoûter. Elle tourne légèrement la tête et ferme les yeux en signe d'acceptation d'un baiser tant désiré par le facteur shibariste secrètement amoureux de la belle depuis sa découverte du matin.

Il relâche la corde de quelques millimètres, leur premier baiser est d'une douceur si extrême que Camille mouille sa culotte et commence à vibrer. Lorsqu'il passe sa main derrière son cou avec toujours autant de douceur dans ses gestes, elle est prise de petites contactions.

Ce n'est pas un réel orgasme comme quand elle se touche sous sa couette, non c'est totalement différent, c'est une jouissance tout autre, elle est à la fois physique et cérébrale. Au plus il l'embrasse, au plus sa main caresse sa nuque, au plus elle vibre, au plus elle le mange bisous fous. Ils fusionnent ainsi un petit moment dans un bonheur total.

  • Camille, il faut que je te libère, c'est important pour ton corps, je vais te faire redescendre sur terre puis te libérer.

Elle regrette que cela s'arrête déjà mais se laisse porter par les évènements. Maître-A se lève et défait deux autres cordes, puis s'assoie devant la belle toujours dans ses nuages et les yeux fermés. Au fur et à mesure qu'il fait glisser les cordes, elle descend et s'appuie contre lui, quand Camille est enfin libérée de sa suspension mais toujours entravée, elle se love dans ses bras et se met à pleurer de bonheur. Toujours avec la même douceur et aussi prévenant, il défait les nœuds rapides dont il a la maîtrise, en peu de temps ses bras libres entourent le buste de son attacheur et l'attirent à elle pour un gros câlin.

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Depuis cette journée mais aussi cette soirée mémorable, il est fréquent que la lumière brille tard le soir dans le salon de Camille et parfois même dans la chambre. Allez donc savoir pourquoi ?

Ecrivaillon

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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