Parcours du combattant ABDL et self bondage

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il y a 8 ans

Parcours du combattant ABDL et self bondage

Ci-dessous la trame du jeu d’auto bondage et d’auto SM avec la liste des vêtements et accessoires que j’avais mis sur moi juste après m’être administré deux poires de lavement avec mes commentaires sur les astuces pour s’auto martyriser. A noter, je ne suis pas s c a t o c’était donc un auto défi et l’idée était de ne pas « faire »

LISTE DES ACCESSOIRES / VETEMENTS / ASTUCS

Ø 2 couches (La première percée pour que les liquides puissent se répartir sur les 2 couches)

Ø 1 culotte en plastique (pour les fuites éventuelles)

Ø 2 culottes ABDL (rembourrées entre les jambes ce qui les f o r c e à l’ouverture)

Ø 1 culotte à cadenas dont la clé était au fond du jardin. (La ceinture est une chaine)

Ø 1 corset

Ø 2 pinces à seins

Ø 1 body sculptant (bien épais et qui serre le corps) Là il serrait aussi les couches.

Ø 1 grenouillère à cadenas dont les clés étaient dans la boite à lettre. (La fermeture éclair est dans le dos, avec à l’encolure des anneaux pour la bloquer par un petit cadenas)

Ø 1 chaînes aux pieds avec 2 cadenas dont les clés étaient dans la maison.

Ø 1 bâillon boule maintenu en place par sécurité (parce que je triche) par un masque Hannibal qui se verrouille avec un cadenas dont les clés étaient dans la voiture garée dans le jardin.

Ø 1 paire de menottes dont les clés étaient à côté de moi dans un petit bloc de glace sauf que j’avais bloqué les menottes sur mes fesses avec la chaine allant de mon masque Hannibal à mes chevilles ce qui m’obligerait à marcher comme un canard. (Donc presque la position de quelqu’un aux toilettes…..)

…………………………….

Libérer mes poignets dans une des multiples annexes de la propriété ne fut pas bien difficile car je commence à avoir une certaine habitude et surtout plus de stress. Les fesses serrées je pouvais donc passer à la suite qui fut bien plus délicate…….

Tout d’abord, j’ai du aller à ma voiture garée dans le jardin (devant la maison) pour récupérer les clés de la chaine reliant ma tête à mes pieds et m’obligeant à marcher comme un canard. Par deux fois, j’ai du m’étendre sur le sol en serrant les fesses et les jambes comme un fou pour contenir le lavement sauf que les culottes rembourrées ne m’aidaient pas. Ouf ouf ouf d’autant plus que les pinces à seins commençaient à se faire cruelles.

Lorsque j’ai enfin pu retirer le bâillon boule maintenu en place par sécurité par le masque Hannibal, je me suis redressé ce qui a eu pour effet de tirer sur mes pinces à sein que je ne pouvais retirer à cause de la grenouillère cadenassée et du body ultra épais les recouvrant et rendant impossible l’accès aux pinces.

L’urgence pour le lavement et surtout mes seins de plus en plus douloureux fut de « foncer » à la maison pour prendre les clés des cadenas maintenant mes pieds enchaînés. Le trajet (30 mètres environs) me parut une éternité. Libérer mes pieds m’obligea à me baisser, mon anus me rappela que cette idée n’était pas la meilleure que je puisse avoir….. C’est donc en marchant normalement ou presque que j’ai pu me rendre à la boite à lettre située à l’entrée du terrain qui est assez grand.

En même temps que je marchais vers le fond du jardin pour cause de grande urgence annale, j’ai entrepris de retirer le cadenas de la grenouillère. SAUF que, le cadenas est fixé dans le dos juste sous la nuque, ce qui m’a obligé à lever les deux bras jusque derrière ma tête. Mes tétons se sont révoltés et vengés car en levant les bras je étirais ma poitrine. Ahouuuuuu !

Quand j’ai gesticulé pour faire descendre cette putain de fermeture éclair ce fut vraiment douloureux. Même si je suis maso et quelque peu habitué à ces délires, une pause me fut nécessaire. Appuyé contre le mur de la maison, j’ai enfin pu retirer les pinces à sein en passant mes mains sous le body. Le retour du flux S a n g uin dans les tétons me fit tourner la tête tant ce fut douloureux. J’avais vraiment présumé de mes f o r c e s sur ce coup là.

A f o r c e de gesticuler, de marcher et de souffrir, mon ventre gargouillait de plus en plus surtout que le corset me donnait l’impression de se serrer tout seul. Certes un corset ne se serre pas tout seul mais c’est vraiment l’impression que cela me donnait. Malgré que je garde les fesses ultras serrées, un début de fuite se fit sentir. La totalité de mes muscles y compris ceux des mains serrées se tendirent pour soutenir moralement mon anus. Mon corps tremblait pendant cette effort tant il était contracté.

L’ACCIDENT

L’accident est arrivé en traversant le gazon mouillé par la rosée pour aller chercher les clés de la culotte en plastique. Concentré sur mes fesses, je marchais vite et n’importe comment sans prendre garde au panneau que j’aurai pu mettre : « chaussée glissante ». Mon pied droit est parti en avant plus vite que je l’aurai souhaité et il ne s’est pas arrêté. Oh que ce fut dur ! Non je ne me suis pas fait mal physiquement car je suis tombé dans du gazon sur mes fesses ultra protégées par les culottes rembourrées et les couches sauf que dans ma chute mon sphincter n’a pas aimé et encore moins quand j’ai voulu me lever. Et m e r d e ! (Au sens propre et au sens figuré)

J’ai donc récupéré quelques mètres plus loin les clés de la culotte à cadenas posées sur le sol histoire d’augmenter mes gestations (quel con) ce qui m’a valu un complément de fuite. Grrrrr ! A petit pas, le cul m e r d e ux (Au sens propre et au sens figuré) je me suis donc rendu à la maison pour le grand nettoyage de printemps. Les doigts tremblants j’ai ouvert le cadenas de la culotte à cadenas que j’ai fait glisser tant bien que mal sur mes jambes. OUF, c’était propre mais je craignais le pire car je vous rappelle que je n’aime pas les jeux s c a t o s.

Le retrait du body de la première culotte rembourrée fut aisé par chance cela n’avait pas traversé. Le retrait de la deuxième se passa comme la première. La culotte en plastique du type médical avait bien fonctionné car j’avoue que l’idée de faire une lessive de tenues couvertes d’e x c r é m e n t s aurait été pour moi une véritable punition. C’est dans les toilettes avec un rouleau de Sopalin et en position d’attaque que j’ai entrepris de retirer la culotte en plastique. Rien, il n’y avait rien hormis un peu de transpiration. Ouf et encore ouf, mais je craignais quand même la suite.

La suite me surpris car les couches étaient sales mais bien moins que je ne le pensais. Roulée en deux temps trois mouvements à mes pieds j’ai pu savourer le fait de me soulager et entre nous, ce fut divinement « bon ».

La douche salvatrice me permit de me remettre de mes émotions tout en imaginant un autre scénario.

Ecrivaillon

Rappel en auto bondage : rien autour du cou, des entraves qui ne se serrent pas toutes seules où vous risquez de vous faire des garrots.

ASTUCES POUR LES COUPLES ET TRUCS POUR DU MATERIEL QUE VOUS N’AVEZ PEUT-ETRE PAS :

Vous pouvez reprendre tout ou parti de ce scénario en l’adaptant avec l’un des deux qui observe, titille, ennuie, se moque, fait des photos…. et pourquoi pas, impose des gentillesses et caresses en cours de parcours. Ce que vous faites sous la couette prendra une autre dimension……

Ø Vous n’avez pas de culotte à cadenas ? Trouvez un pantalon trop grand (pour avoir du volume afin d’y mettre des couches) et mettez une chaine en guise de ceinture.

Ø Vous n’avez pas de culotte rembourrée ? Mettez 3 ou 4 couches.

Ø Vous n’avez pas de grenouillère qui se cadenasse ? Prenez un bleu de travail et faite deux trous à l’encolure pour la fermer avec un cadenas.

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