Corporal Punishment au pensionnat de garçons

Catégories : Hommes fessés
il y a 8 ans

Ou comment une jeune demoiselle bien élevée apprit à manier la « cane » sur des postérieurs de vilains écoliers anglais fort mal élevés et par trop désobéissants.

En ces temps bénis des dieux, les écoliers anglais avaient l’honorable privilège de goûter aux châtiments corporels. Malheureusement pour eux, la « cane », qui régnait en souveraine Maîtresse de Discipline, fut ignominieusement proclamée hors-la-loi et jetée aux oubliettes par cette Barbarie autoproclamée « modernité ».

Cependant, l’anecdote que je m’en vais vous conter vous montrera combien son exercice eut un effet miraculeux entre les mains d’une jeune Française. C’était presque hier, en ces temps heureux de la fessée éducative.

On était au tournant des années 50. Bac en poche, et forte de ses 18 printemps tout frais, gonflée de naïve fierté, Marie-Thé, mon amoureuse de l’époque, avait choisi durant les trois longs mois de vacances estivales de joindre l’utile à l’agréable en saisissant l’opportunité d’un poste de surveillante-lectrice en Grande Bretagne dans un pensionnat de garçons dont la vocation était de remettre en selle des élèves en perdition.

Elle n’avait pas soupçonné la surprise étrange qui l’y l’attendait, surprise que j’eus à partager quand elle me narra, non sans une grande émotion, ses souvenirs lors de nos retrouvailles.

Marie-Thé, une ravissante brunette bien faite de sa personne et dont le corps pulpeux qui s’accordait merveilleusement à sa sensualité expansive mais toute de pudique retenue et de timidité, trouvait parfois à s’épancher langoureusement entre mes bras.

A 18 ans, cette demoiselle de bonne famille n’avait qu’une connaissance sommaire des choses de la vie et rien donc ne l’avait préparée à vivre l’expérience qui allait lui être réservée là-bas, un choc qui allait réveiller à son insu son appétence sensuelle cachée sous le boisseau de son éternelle candeur !

Cette expérience marqua d’un pas décisif l’avenir de nos propres inclinations.

Dès son arrivée, ma mignonne brunette fit sensation auprès des pensionnaires, garçons de 12 à 16 ans, avec ses deux petites couettes nattées encadrant sa mine épanouie, ses prunelles noisette reflétant toute la naïveté du monde.

Le directeur et son adjointe lui exposèrent les points essentiels des règles internes de discipline du pensionnat et des sanctions afférentes et, s’il lui fallait sévir, ils lui firent une brève démonstration du maniement de la « cane » de rotin et du « tawse » de cuir, se contentant de frapper le dossier d’un fauteuil en guise de « bottom ».

N’ayant jamais connu ce mode d’éducation ni chez elle ni dans son collège français, elle avait répugné à faire l’essai qu’on lui proposait, préférant oublier cet intermède sur la pratique du « Corporal Punishment » à l’anglaise qui la décontenançait.

La réalité allait vite la rattr a p e r…

A cette révélation, mes oreilles se dressèrent. A son insu, Marie-Thé remuait des souvenirs pas si lointains où moi-même pensionnaire… Voyons, serait-il possible ?… Voulant tout savoir, je ne cessai alors de la harceler de questions.

Les premiers jours, Marie-Thé eut toutes les peines à imposer son autorité. Les garçons ne s’y trompèrent pas et commencèrent à profiter des faiblesses de leur nouvelle surveillante. Cependant, le face à face pour la première fois de sa vie avec les pensionnaires, certains proches de son âge, la mit fort mal à l’aise. Sa confiance ébranlée, la timidité assortie de rougeurs firent le reste.

De toute manière elle comptait s’appuyer sur une autre surveillante plus aguerrie qu’elle, Fräulein Monika, une Allemande de son âge dont l’autorité et l’intransigeance face à quelques pensionnaires les plus âgés la rassura.

Le drame eut lieu un soir à l’étage des dortoirs alors qu’elle surveillait, seule et pour la première, fois le coucher et l’extinction des feux. Quelques farceurs cherchèrent à l’assaillir de plaisanteries douteuses dans le couloir menant aux dortoirs. Comme elle ne réagissait que faiblement à ces provocations, d’autres pensionnaires se prirent au jeu qui dégénéra en une sarabande incontrôlable.

Paralysée d’effroi, elle se laissa acculer contre un mur et, impuissante, fut contrainte d’assister à un spectacle d’une indécence inimaginable.

Devant ses yeux horrifiés, quelques jeunes garçons, qui étaient en train de revêtir leur pyjama, se mirent à gambader quasiment nus à travers les corridors, rejoints peu après par trois autres plus âgés qui paradèrent devant elle, n’hésitant pas baisser leur culotte de pyjama et à exhiber leur pénis sans vergogne. A la vue de leur nouvelle surveillante clouée de stupeur, ses yeux brillants de larmes, l’excitation alla crescendo jusqu’au paroxysme

Des cris et de grands éclats de rire fusaient dans l’air. De jeunes virilités se dressaient insolemment telles des figures de proue, prêtes à effleurer Marie-Thé. Jamais de sa vie elle n’avait éprouvé plus grande frayeur ! Dépassée par les événements, elle ne contrôlait plus rien. Soudain, un vent de panique balaya le couloir. En un clin d’œil, ses assaillants s’égaillèrent comme une volée de moineaux. Un silence glacial succéda au tintamarre.

Fräulein Monika venait de faire irruption à l’étage. Visage crispé, yeux étincelants de colère. En main, sa « cane » brandie comme une épée. Une beauté d’Amazone ! Et là, sous les yeux de Marie-Thé, un stupéfiant spectacle s’organisa !

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