J’ai du acheter mon martinet !

Catégories : Hommes fessés
il y a 8 ans

Pour aller acheter un martinet au grand magasin, je devais y aller en mini short. C’était là mon défi-punition.

Il y avait une famille au rayon, aussi j’attendais au rayon voisin en faisant semblant de m’intéresser à autre chose quand j’entendis la maman dire :

« Tu vois, ça c’est un martinet. »

Je jette un coup d’œil et je vois le jeune garçon caresser les lanières, totalement inconscient de ce à quoi pourrait servir cet objet. Enfin ils s’éloignent et je me précipite sur la gondole. Le manche est en bois tourné avec une dragonne en ficelle. Les lanières sont en simili cuir. Il s’agit là d’un petit ustensile d’allure inoffensive, mais il représente bien sa fonction et tout le respect qu’on lui doit…

Je sens un regard sur moi lorsque je décroche le martinet, mais je n’ose plus me retourner comme si j’avais les œillères de la honte qui m’enveloppaient. Il faut dire que ma tenue vestimentaire est on ne peut plus parfaite pour une première approche et je m’imagine observé et jugé !

« Ce petit garnement en short court est en train de choisir lui-même son instrument de punition. Comme c’est mignon ! »

En réalité j’ai peur mais j’apprécie cet instant. Je n’ose rien encore. C’est une première approche, une première manipulation, de plus je suis vêtu de la tenue appropriée, et c’est très troublant. Quoique que je ne ressente aucune excitation, je me sens soudain tout petit garçon et vulnérable dans mon petit short si court. Et sous ce short, je porte un string. Mes fesses sont en contact direct avec le tissu fin. Pas d’autres sous vêtement non plus. Je suis en short, un point c’est tout. Mes jolies petites fesses bien galbées sont ainsi bien mises en valeur. Je dois me faire à l’idée de recevoir la fessée illico presto !

Je quitte le rayon canin pour réfléchir… Et si j’osais faire le grand pas aujourd’hui ? En achetant quelques objets, je pourrais bien revenir à ce rayon et ajouter le martinet parmi mes courses. Pour l’instant tout va bien, je suis un client ordinaire, mais avec un martinet en main… ce serait une autre affaire.

Après avoir collecté quelques articles sans importance, un peu par formalité obligatoire, je reviens innocemment sur le lieu stratégique de ce « rayon martinet », et je prends enfin la grande décision : j’achète mon martinet !

Je me jette à l’eau corps et âme dans une situation troublante. Je choisis puis tiens en fin entre mes mains l’objet de mes désirs les plus fous. C’est bon et comme un interdit dont on s’affranchit. C’est mal, bien sûr, mais suis-je en état d’assumer mon acte ? Car au fond de moi, je ne suis qu’un garnement en culotte courte qui est en train de faire une grosse bêtise.

Vite ! Je m’empresse de passer en caisse et d’en finir. Il y a déjà beaucoup de clients à faire la queue, le temps me paraît long. Je serre contre moi mes quelques articles en dissimulant des lanières rebelles. Puis arrivent d’autres clients derrière moi. Jamais je n’oserai les regarder dans les yeux car je me sens coupable.

Évidemment, ils vont tout voir, tout comme la jeune caissière. Ils vont m’observer et, voyant mes jolies petites fesses moulées dans mon petit short satiné et ce drôle d’article entre mes mains, ils en déduiront simplement que je vais goûter à la correction dans peu de temps…

La petite caissière passe un à un mes articles, puis quand c’est le tour du martinet, elle lève les yeux sur moi. Au moment de régler, je la regarde en souriant comme pour la rassurer que tout est normal et que j’assume mon achat coquin. Mais je suis trahi et m’entends lui répondre d’une petite voix de freluquet tout tremblant lorsqu’elle me souhaite une bonne journée :

« Merci, vous vous aussi. Au revoir ! »

C’était comme si je l’avais entendu dire :

« Bonne punition ! Mon garçon ! »

Je n’en menais pas large dans ma petite culotte courte, et je peux vous dire que je n’ai pas flâné en sortant du magasin, j’ai plutôt rasé les murs.

Arrivé à l’appartement, j’ai dû aller me mettre au piquet avec ma preuve d’achat et l’instrument de punition et j’ai aussitôt pris une photo pour marquer ce grand jour et me rappeler comment j’ai tremblé dans mon minishort, vulnérable et soumis au Martinet. Ce Martinet que je respecte et que j’embrasse à genoux. Quel bonheur !

Auteur : l’élève Daniel

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