Louise sous la coupe de son intraitable marraine

Catégories : FANTASME Femmes fessées Hommes fessés
il y a 8 ans

Ce récit, purement fictionnel de fessée, se déroule durant la « Belle Époque » en France, période que je trouvais particulièrement inspiratrice de par le romantisme historique et la charge poétique qui s’en dégage.

Époque de transition par excellence, celle-ci incarne en effet un trouble et une effusion qui ont de quoi bouleverser et intriguer l’imaginaire de tout un chacun. Ma tâche était ici de retranscrire une infime partie de cette période, au travers de mon propre point de vue, d’une manière à la fois réaliste et romanesque. Sur ce, bonne lecture !

Printemps 1904

Louise B… venait tout juste d’avoir quinze ans quand son père la confia aux mains de sa marraine, la comtesse de Bouvreuil. C’était une belle jeune fille, au regard espiègle et à la moue parfois boudeuse, pleine de charme et de malice. Ses cheveux étaient d’un blond lumineux, le plus souvent coiffés à l’anglaise, retombaient en longues torsades sur ses épaules menues.

Le séjour auquel elle était destinée ne devait durer qu’une poignée de mois, le temps que Mr B… s’absente en Amérique pour différentes affaires…Ce fut lors d’un bel après-midi de mai que la jeune fille fit son entrée au domaine des Trèfles-Verts, lieu investi par les Bouvreuil depuis maintes décennies déjà. Le domaine se composait d’une vaste demeure de goût rocaille datant du XVIIIe siècle, et d’une portion de forêt d’au moins deux hectares qui s’étendait derrière le château à perte de vue.

La voiture déposa Louise ainsi que ses bagages aux pieds de la comtesse, qui se dressait face à elle les bras croisés, un châle sombre couvrant ses élégantes épaules. Elle portait une longue robe à la retombée droite qui l’enserrait jusqu’en haut du cou, et un chignon « à la goulue » impeccablement coiffé. Point d’excès de coquetterie chez cette femme. Point d’excès d’austérité non plus. Seul un savant équilibre entre ces deux extrêmes semblait faire contrepoint à sa beauté angulaire et intrigante.

Derrière elle, se profilait la silhouette des quatre e n f a n t s de la maison : Catherine, dix-sept ans, Léopold, quatorze ans, Victoire, treize ans, et la petite dernière, Héloïse, onze ans. Louise embrassa sa marraine, le cœur piqué d’appréhension et de curiosité mêlées. D’un geste mesuré de sa main gantée de soie, la comtesse commanda à l’un des domestiques le soin de monter les bagages jusqu’à la chambre que l’on avait préparée pour Louise.

Un majestueux escalier de marbre faisait front aux deux battants de l’entrée dans le hall gigantesque, et Louise ressentit comme un léger vertige lorsqu’elle pénétra dans la demeure. C’était la première fois de sa vie qu’elle se rendait chez sa marraine. Une essence particulière, comme l’arôme témoignant d’une noblesse ancestrale, circulait dans chaque recoin, hantant les lieux du sol au plafond. Les portraits accrochés aux murs semblaient tous darder sur elle des regards de circonspection quand elle gravit prudemment les marches, suivie de près par son hôte.

Arrivée à l’étage, de magnifiques peintures captèrent son attention : des scènes de chasse à courre, des paysages crépusculaires, des amours défendus, des représentations galantes de précieuses demoiselles jouant de leurs froufrous dans l’orée des bois… Bref, un florilège exquis de douceurs qui lui fit perdre peu à peu sa réserve tandis qu’elle avançait dans les couloirs desservant les différentes parties du château. Du coin de l’œil, madame de Bouvreuil l’observait avec application.

« Voici votre chambre », dit-elle, lorsqu’elles arrivèrent devant une large porte. Un somptueux lit à baldaquin trônait au centre de la pièce, sur lequel étaient déjà posées les valises de Louise.

« Je vous laisse le soin de défaire vos bagages, ma chère. Veillez à ranger scrupuleusement vos toilettes dans l’armoire qui se trouve juste ici. Nous débuterons le souper à sept heures. Pendant ce temps, vous pouvez vous reposer, ou explorer les lieux si vous êtes curieuse. Je pourrais déjà parier que vous êtes de cette nature ! Mais attention à ne point être trop imprudente pour éviter de faire des sottises ».

Sur ces dires, elle tourna les talons, laissant Louise seule dans ses nouveaux appartements. Elle s’imprégna immédiatement du lieu, observant ses moindres recoins, s’extasiant devant les lambris des murs pour commencer. Il y avait aussi une belle console Louis XV surmontée d’un grand miroir à volutes, un superbe lustre qui scintillait de mille éclats au-dessus de sa tête, un tapis luxueux décoré de riches arabesques, une bibliothèque débordant d’ouvrages, un petit canapé fort charmant aux pieds et aux accoudoirs rehaussés de dorures, de grandes fenêtres qui ouvraient sur un horizon vallonné et verdoyant, et… un gigantesque crucifix qui pendait sobrement au-dessus du lit.

Elle s’approcha de ce dernier, effleurant le corps décharné du Christ avec son doigt, puis retira précipitamment sa main comme s’il l’eut brûlée car la porte venait de s’ouvrir précipitamment et elle avait sursauté. Dans son encadrement, se détachait les contours sévères d’une femme qui se présenta comme étant Mademoiselle Julienne, la Gouvernante. Sitôt que les échanges formels de premier ordre furent achevés et que la marâtre eut claqué la porte, Louise ressentit comme un certain malaise à son égard.

La jeune femme lui avait paru extraordinairement dure et revêche, pareille à un bloc de granit sculpté à vif. Louise en tremblerait presque d’effroi. Pas plus tard que trois quarts d’heure après, une scène inattendue et stupéfiante corrobora ses premières impressions…

Louise était descendue au salon et s’entretenait avec l’aînée de la famille, Catherine. Les deux jeunes filles conversaient plaisamment, faisant connaissance en toute simplicité, l’une exposant ses broderies avec fierté tandis que l’autre s’extasiait devant ces magnifiques ouvrages. La connivence qui se tissait entre elles semblait d’ores et déjà inévitable.

Soudain, elles furent soudainement interrompues par un concert de cris en provenance de la pièce voisine. Intriguées, elles abandonnèrent leurs occupations pour s’y rendre. Sur les lieux, elles constatèrent qu’Héloïse, prostrée près de la fenêtre, pleurait à chaudes larmes, ses bouclettes brunes retombant sur son visage. Elles virent aussi que Léopold, debout à ses côtés, tentait de la consoler par tous les moyens.

Cependant rien n’y faisait et, dès que le garçon approchait la main, la petite se mettait à geindre de plus belle. La Gouvernante arriva à ce moment précis, son regard acéré se portant en direction des deux e n f a n t s, exigeant des explications sur-le-champ avec une effrayante autorité. Léopold arborait un air penaud et craintif, baissant la tête et s’écartant subrepticement de sa sœur.

La fillette, la voix entrecoupée de pleurs, expliqua que Léopold l’avait v i o l emment repoussée et giflée après qu’elle eut voulu jouer avec lui. Léopold ouvrit la bouche pour protester, mais la Gouvernante ne lui laissa pas le temps de répondre. Un soufflet s’abattit sur sa joue sans qu’il ait pu prononcer le moindre mot. Il était évident que la petite mentait pour faire punir son frère, car le regard de Catherine croisa celui de Louise et celui-ci en disait long.

Louise appréhendait la suite des événements avec une curieuse prémonition. La Gouvernante s’empara de Léopold par le col, puis jeta à l’assemblée un ordre d’une voix péremptoire qui glaça son s a n g :

Que l’une de vous aille immédiatement me chercher le fouet ! »

Catherine semblait être sur le point d’intervenir, mais Victoire, la cadette, se précipita hors de la pièce. Comme lors d’un cérémoniel scrupuleusement orchestré, la Gouvernante coucha Léopold sur le divan, tira sur son pantalon d’un coup sec, découvrant ainsi deux fesses encore meurtries par une précédente correction.

Victoire revint, tenant dans ses bras un fort martinet au manche de bois sculpté prolongé de huit lanières de cuir fines et carrées. Le lugubre instrument, ses lanières de cuir pendant vers le sol, semblaient extrêmement cinglantes.

Ni une ni deux, la Gouvernante s’en empara, pesa de sa main sur les reins de Léopold, leva haut le manche au-dessus de sa tête, puis abattit son bouquet de serpents de cuir sur les deux globes nus et offerts à ses impitoyables morsures.

Le cœur de Louise fit un bond dans sa poitrine, m o r t ifiée par la f o r c e du coup, tandis qu’Héloïse et Victoire semblaient se délecter silencieusement du spectacle. Les fausses larmes de la fillette paraissaient n’être qu’un lointain souvenir. Le beau profil de Catherine, délicat et gracile comme une porcelaine de Chine, grimaçait et se contractait de souffrance à chaque cinglée, comme si elle subissait elle-même le châtiment de son frère. Interminablement, les lanières de cuir pleuvaient, la fouettée prenant de plus en plus d’ampleur.

Léopold, la tête enfouie dans ses bras, ne pipait mot. Les marques brûlantes s’imprimaient durement sur son postérieur comme des langues de feu, rougissant toute la partie exposée, tandis que le silence monacal était entrecoupé du son sec et incisif des coups portés.

Louise, face à cette scène d’un genre nouveau, ressentit comme un déferlement fulgurant de vives émotions contradictoires. Après une quarantaine de volées, la Gouvernante asséna les dix dernières avec tant de froideur et de sévérité que Catherine poussa un hoquet alarmé. Ce fut alors que la marâtre cessa de fouetter.

Cette cruelle démonstration laissa derrière elle une tension presque palpable, et le s a n g battait aux tempes de Louise à tout rompre. Toisant le puni, la Gouvernante conclut :

« Voilà ce qu’il en coûte d’importuner votre sœur. Maintenant, préparez-vous pour le souper ».

Puis elle tourna les talons, le martinet toujours en main. Sitôt qu’elle fut partie, la douce Catherine fondit sur Léopold pour le couvrir de gestes d’amour, l’entourant de ses bras, lui prodiguant ainsi mille soins d’une tendresse infinie.

Après cet épisode d’une nature presque surréaliste pour Louise, l’atmosphère familière reprit progressivement ses marques au sein du château, et l’heure du souper arriva. Louise, encore mal à l’aise et peu adroite avec les conventions aristocratiques, s’attira plusieurs regards désapprobateurs de la part de la comtesse.

Ses joues rosirent fortement lorsqu’elle renversa un peu d’eau sur la nappe en se servant de la carafe en cristal. Sa marraine fronça les sourcils et son visage parut nettement plus rude que d’ordinaire.

Dans son coin, Léopold touchait à peine à ce qui se trouvait dans son assiette. Madame de Bouvreuil porta son regard sur lui, le menton légèrement relevé.

« J’ai appris de votre gouvernante qu’elle vous avait donné le fouet tout à l’heure pour avoir causé du tort à votre petite sœur. Sachez que si j’avais moi-même été dans les parages, je vous aurais corrigé plus durement encore ».

« Mademoiselle, ajouta-t-elle en se tournant vers Louise, vous apprendrez que dans ma maison il n’est pas bon d’enfreindre les règles. Le fouet y veille… J’espère que la démonstration de tout à l’heure saura vous dissuader de faire des bêtises ».

« Vous pouvez en être certaine, madame » répondit Louise en se recroquevillant sur sa chaise.

La curieuse sensation refit son apparition. Par la suite, madame de Bouvreuil revint sur un registre plus léger et annonça aux e n f a n t s qu’ils se rendraient tous les six à la clairière la semaine prochaine pour pique-niquer. Tous se firent une joie de cette nouvelle, et chacun rejoignit sa chambre, le cœur empli de satisfaction.

Louise, seule dans son lit tandis que la nuit tombait, parcourait les pages d’un roman chevaleresque qu’elle avait pioché dans la bibliothèque. À la lueur chétive et tremblotante de la chandelle, les mots finirent par se brouiller, s’entremêlant jusqu’à former devant ses yeux des motifs moins en moins discernables à mesure que le sommeil s’emparait d’elle.

L’ouvrage retomba mollement sur sa poitrine, puis la chandelle s’éteignit, arrivée à terme. Cette première nuit-là, dans cette nouvelle demeure, Louise la vécut d’une drôle de manière, puisque l’épisode de la correction de Léopold du jour lui apparut en songe la nuit.

A la différence près que le rôle tenu à l’origine par Léopold lui était désormais attribué ! Elle se voyait donc à la merci de la Gouvernante, apeurée et la jupe retroussée sur son séant dénudé, ses mains agrippant les larges coussins d’une banquette. La Gouvernante la fouettait alors sans retenue, impitoyablement, lui imprimant une ardente et irrésistible morsure.

L’humiliation et la douleur la transportait dans un état presque vaporeux de volupté qu’elle ne connaissait point, jusqu’à lui faire perdre la tête. Elle se vit ensuite dans la peau d’une jeune punie contemplant le reflet de ses fesses rougies dans le miroir, avant de croiser le regard tendre de la bonne Catherine qui l’observait à la dérobée par une porte entrebâillée.

Sa marraine faisait alors irruption dans la chambre, poussant les deux jeunes filles vers la console, relevant leurs jupons, puis les fouettant à l’aide d’une forte verge, les châtiant d’un tort que Louise n’aurait pu expliquer. Elle se réveilla brusquement, flageolante et trempée de sueur, une curieuse chaleur irradiant l’ensemble de son corps.

Toute chamboulée, elle constata que le soleil du petit matin transperçait la fine dentelle des rideaux, tel le messager annonçant les préludes d’une journée radieuse.

Une semaine était passée depuis l’arrivée de Louise et le pique-nique prévu à la clairière se déroulait sans encombre. Cependant, un élément perturbateur vint interférer avec la quiétude qui s’établissait doucement entre Louise et sa famille d’accueil.

En effet, la jeune fille, particulièrement vive et pleine de fougue en ce jour, se prêtait à des jeux de cache-cache avec Léopold et les autres derrière les arbres tandis que, non loin de là, la Gouvernante et la comtesse conversaient, toutes deux assises sur une nappe posée dans l’herbe.

A un moment donné, Louise, aussi turbulente qu’elle pouvait l’être parfois, fit chuter Léopold en le débusquant par surprise. En se relevant, il remarqua avec horreur un énorme accroc à hauteur d’un genou de son pantalon. Sa gorge se serra. Son postérieur se souvenait encore de la correction infligée par la Gouvernante, et à coup sûr, il serait de nouveau vertement fouetté !

Cette petite chipie de Victoire, qui avait assisté à la scène dissimulée dans un arbre, se précipita à terre et courut vers les dames pour les alerter.

« Mère ! Léopold vient de déchirer son pantalon, il est complètement fichu ! C’est Louise qui l’a poussé !… Le trou est énorme ! », criait la petite à perdre haleine.

Louise et Léopold restèrent figés sur place. Peu de temps après, Héloïse et Catherine accoururent, alertées par les cris. La Gouvernante et madame de Bouvreuil ne tardèrent pas à les rejoindre, suivies d’une Victoire surexcitée qui courait derrière elles. La mère s’approcha pour constater les dégâts, et son regard courroucé se mit à étinceler sous l’ombre de son élégant chapeau à fleurs.

« Léopold, est-il vrai que Louise vous a poussé ? »

Gêné, Léopold garda le silence.

« Je vous ai posé une question, répondez-moi sur-le-champ ! »

« Non, je suis tombé tout seul.

De surprise, Louise ouvrit alors de grands yeux, mais n’esquissa aucun geste.

« Vous insinuez donc que votre sœur Victoire se serait trompée ? »

« C’est cela, mère. »

Victoire s’apprêtait à protester, mais une idée facétieuse l’en dissuada.

« Il est courageux de votre part de reconnaître vos torts. Et que méritez-vous, mon fils, pour avoir dégradé votre beau pantalon ? »

« Le fouet, mère » répondit Léopold tandis que son visage s’empourprait.

« En effet, le fouet… une fois de plus ! » approuva-t-elle d’un air excédé.

Puis elle se tourna vers la Gouvernante et lui désigna un bouquet d’arbrisseaux.

« Mademoiselle Julienne, veuillez couper une tige fine et souple dans ce bosquet. Cette fois, c’est moi qui me charge de cette correction. Et vous, Louise, vous n’avez rien à me dire ? »

Louise, en proie à une angoisse soudaine et indicible, bredouilla avec peine :

« Non, Marraine. Léopold a raison, il est tombé tout seul.

« Très bien, jeune fille ».

La Gouvernante revint avec une badine souple et longue d’une soixantaine de centimètres et la présenta à Madame de Bouvreuil. La comtesse s’en empara de sa main gantée, la fit siffler dans les airs avec une f o r c e étonnante, puis saisit Léopold par une oreille, l’amenant au pied d’un grand chêne.

« Mademoiselle Julienne, merci de défaire le pantalon de ce vilain garçon ! » ordonna la mère de Léopold.

D’un geste sûr qui dénotait l’habitude, la Gouvernante dégrafa la ceinture et baissa le pantalon du malheureux jusqu’à ses genoux.

Ceci fait, elle lui ordonna de prendre position, les mains appuyées contre le tronc et les reins cambrés.

« Je vous remercie, Julienne. Notre jeune homme va apprendre à se soucier de ses affaires. »

Mme de Bouvreuil se plaça légèrement de biais derrière l’a d o l e s c e n t et, d’un geste très élégant, leva la badine en direction du ciel. Louise remarqua à cet instant que Catherine s’était détournée ; sans doute anticipait-elle une punition particulièrement sévère. Hormis la gouvernante, tout le monde sursauta quand le premier coup tomba.

Madame de Bouvreuil semblait posséder une f o r c e extraordinaire. Méthodiquement, avec finesse et grâce, elle relevait son bras, armée de la cinglante badine, puis l’abaissait en un éclair, dans un sifflement tranchant. D’étroits sillons vermeils venaient s’imprimer à chaque impact sur le postérieur nu de Léopold, qui réprimait tant bien que mal ses S a n g lots.

La correction dura bien plus longtemps que celle de la semaine précédente, car la dame espaçait chacune de ses terribles cinglées d’un intervalle d’au moins plusieurs secondes. Même Héloïse et Victoire ne souriaient plus du tout face à la dureté de leur mère. De son côté, Louise, gagnée par la honte, se surprit à désirer secrètement qu’on la punisse elle, plutôt que le malheureux garçon. Enfin, au bout d’un très long quart d’heure, la baguette finit par se rompre dans les mains de la comtesse et l’effroyable correction prit fin.

De retour au château, l’ambiance était beaucoup moins conviviale qu’en début de matinée. Catherine, qui avait dû percevoir la tromperie de Louise, l’ignorait somptueusement depuis que son frère avait été corrigé si sévèrement et si injustement. Quant à Héloïse et Victoire, elles se muraient dans un mutisme total.

Louise, qui ne savait que faire pour apaiser ces tensions ainsi que le trouble qui bouillonnait en elle, esquissa peu à peu les bases d’une perspective qui la remua plus encore, car les conséquences en seraient à la fois terribles et funestes. Après le souper, elle décida de mettre son projet à exécution avec le plus de soin et de sincérité possibles.

Voici en quoi celui-ci consistait : elle rédigea d’abord une lettre dans laquelle elle expliquait qu’elle avait délibérément menti sur le fait que Léopold avait été le seul coupable dans l’histoire, et que toute cette méprise relevait de son entière responsabilité. Elle fit ensuite parvenir cette dernière à sa marraine par le biais d’une domestique.

Après cela, elle resta assise sur son lit, n’osant rien faire d’autre que d’attendre. L’éclat lunaire éclaboussait sa chambre d’un rayonnement blafard. Attentive au moindre craquement de plancher, elle portait son attention sur tout ce qui se passait en-dedans et en-dehors. Le chuintement des branches dans le vent, l’aboiement lointain d’un chien en désespoir de cause, le feu qui crépitait dans la cheminée de la salle à manger, le hululement d’une chouette, les grattements produits par quelques rats au grenier…

…puis soudain, le son de bottines qui claquaient sur le sol, d’abord infime, trahissant néanmoins une démarche qu’on devinait volontaire… puis enfin, de plus en plus proche… comme un roulement sourd qui s’amplifiait, gagnant progressivement du terrain avec une régularité implacable de métronome.

Louise se pelotonnait sur elle-même, triturant la mousseline de sa robe de ses mains tremblantes ; la crainte, l’effroi, et la volupté se distillant en elle en une alchimie suave et terrifiante. Le claquement des bottines se figea enfin… devant sa porte. La poignée de cuivre tourna précautionneusement sur elle-même, doucement ; après quoi, les battants se refermèrent derrière l’ombre gigantesque qui venait de s’y glisser.

Les contours d’un visage apparurent à Louise dans le clair-obscur de la chambre et celle-ci reconnut celui de sa marraine. Terrifiée, elle reconnut la chose qui pendait au bout de son bras… le manche terminé par huit lanières de cuir.

Les lanières menaçantes jouèrent entre les replis de tissu de la longue robe qui traînait à terre lorsque la comtesse s’avança vers Louise. La jeune fille leva la tête, puis comprit d’instinct la marche à suivre. Sans qu’aucune parole ne fût échangée, elle se tourna, puis appuya son buste contre le rebord du lit, de sorte à offrir à son b o u r r e a u une totale liberté d’action.

Elle enfouit son visage dans les couvertures, ses mains se cramponnant à l’édredon, la pointe de ses souliers tendant ses jambes au maximum. Sa marraine releva la robe, puis les jupons, enfin, elle écarta sèchement les deux pans de la culotte fendue.

Deux fesses rondes, charnues, impeccablement lisses, se révélèrent à la lueur faible et spectrale de la lune dans un miroitement d’une blancheur immaculée. Une éternité sembla se passer. La crainte rongeait Louise de tout son être, tandis que le Christ pendu sur sa croix semblait sonder son âme avec miséricorde.

Soudain, d’une puissance phénoménale, la première cinglée s’abattit en produisant un craquement sinistre qui retentit dans tout le château. La deuxième, projetée avec autant de froideur, lui arracha un cri déchirant, ses doigts se crispant sur les draps. La troisième, d’une sévérité plus insoutenable encore, lui soutira des larmes qui s’étranglèrent dans sa gorge. La quatrième, paresseuse et déviée de sa trajectoire, fut am o r t ie par un des pans de la culotte. La cinquième, ajustée cette fois-ci avec une précision redoutable, sembla déchirer son épiderme en de multiples zébrures. La sixième, appliquée sur l’intérieur tendre de la cuisse, la fit se convulser et lâcher un râle qu’elle ne put contenir. La septième, tombant avec un fracas abominable sur les deux fesses, fit fourmiller sa chair comme si elle eut été à vif.

Dès lors, Madame de Bouvreuil, qui semblait avoir trouvé son rythme, fouetta les fesses de Louise sans discontinuer, levant son martinet très haut, s’acharnant à punir la jeune fille comme jamais elle ne l’avait fait avec aucun de ses e n f a n t s.

Alertés par l’écho terrible du fouet, ces derniers suivaient attentivement le déroulement des choses, frémissant à l’idée de subir un jour pareil châtiment. La croupe se cambrait et se cabrait au rythme des fouaillées et de multiples rinceaux se dessinaient progressivement dans les ténèbres. Une brûlure infernale embrasait le postérieur de Louise, d’une nature presque comparable à celle qu’elle avait à la fois tant désirée et tant crainte.

Après plusieurs dizaines de cinglées fulgurantes, la correction magistrale cessa brusquement. Louise resta là, pantelante, remuant faiblement sur le lit.

« Jeune fille, ce que vous avez fait aujourd’hui était impardonnable. Et la prochaine fois, je n’hésiterai pas à vous punir de la même manière. Maintenant, couchez-vous et reposez-vous », déclara sa marraine, s’éclipsant majestueusement de la pièce.

Par Maelström X

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