Ma première expérience en selfbondage

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 8 ans

Cher ami sadique, je reposte à ta demande le texte posté sur les groupes yahoo à la belle époque.

Tu pourras te vanter de m’avoir fait découvrir quelque chose. L’auto bondage était une piste de moi inconnue. A l’époque, tu as su motiver mes pensées érotiques, m’instruire en perversité par ton blog et les groupes, je vais donc sans pudeur dévoiler ma première réelle tentative.

Si tu veux tu peux y rajouter des liens si cela t’arrange ou adapter le texte sans trop le changer quand même.

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Ma première expérience de selfbondage

Assise devant l’ordinateur, alors que je me sustentais à la lecture des récits du groupe, l’idée m’est venue d’essayer. Ayant quelques expériences et accessoires en matière de bondage et de jeux non consensuels, je me suis dit après tout pourquoi pas !

Les clés de mes menottes ont soudain décidé de se rendre au congélateur et de noyer leur tristesse dans un gobelet d’eau. En suivant attentivement tes conseils éclairés, je les ai liées entre elles avec de la ficelle à rôti en laissant deux bons mètres de fil. (Trop mais bon)

Pendant le sachet de haricots verts et les frittes observaient sans comprendre la congélation des clés, j’ai sorti innocemment quelques bricoles comme des s a n g les, des menottes + des bracelets achetés sur le net et la corde utilisée pour étendre le linge quand il pleut ainsi que les épingle qui vont avec. Les sous-vêtements étant une de mes passions, il m’est venue l’idée d’enfiler un petit ensemble en satin noir avec son porte-jarretelles assorti, des bas ainsi que ma dernière acquisition : de superbes bottes de cuir à très hauts talons achetées sur ABC-charme.com. Une folie, mais bon, on ne vie qu’une fois.

Une petite douche est devenue obligatoire pour faire patienter mes folles envies car un glaçon prend quand même un peu de temps à se faire, même en surgélation. L’eau n’a pas réellement atténué mes désirs avec son passage entre mes cuisses et le jet dirigé sur mes seins aux tétons érigés non plus. Vêtue seulement de mes sous-vêtements et de mes bottes, je me suis installée devant mon PC pour méditer et trouver des idées pratiques pour ne pas dire techniques. Les images prennent dans ces moments, une certaine dimension dans l’imagination……

L’attente étant trop cruelle, mon hystérie érotique m’a poussée à commencer le jeu. Ton idée de ballade bondagée en ville m’ayant donné une solution d’attente. J’ai enroulé la corde autour de ma taille puis l’ai faite passer entre mes jambes pour m’en faire un string comme sur une des images. Mon mini godemiché s’est logé sans aucune difficulté dans mon ventre devenu « affamé ». Comme se promener en ville avec un mètre cinquante ou de mètres de corde qui sortent de votre robe est gênant, je me suis acharnée pour la faire disparaître.

En conclusion : la corde est devenu le plus gros string que l’on peut imaginer et la douche précédente a perdu tout son sens tant je transpirais. Par prudence j’ai remis mon string mais bon ne te moques pas. Tu dis le mot prudence quatre fois par page.

Perdre son gode dans un café peut engendrer des risques tu as raison. Alors j’ai décidé de t’écouter, tu vois cela arrive.

Mes mains devenues curieuses, n’arrêtaient pas de fureter dans le creux de mes cuisses….. L’appel des tétons turgescents a été entendu et après des pincements et roulements divers et multiples, s’il n’y avait pas eu la corde protectrice, j’aurai craqué. Passer une robe pour sortir devenait une urgence. Pour dissimuler la bosse qui soulevait le derrière et le devant de ma robe, un manteau s’imposait malgré le temps encore doux.

Les escaliers de l’immeuble ne m’ont pas posés de problème, mais marcher dans la rue si ! Surtout au début ! J’avais l’impression que tout le monde me regardait. Pour me donner une contenance, je suis passée à la boulangerie pour prendre une baguette de pain puis…. une part de tarte aux pommes. Ne va pas dire que je suis gourmande, c’est parce que ma tête tournait. Au début, j’ai cru à une crise d’hypoglycémie mais après l’avoir dévorée sur le trottoir, j’en suis arrivée à la conclusion que c’était l’excitation. Entre-nous, la boulangère n’a pas du comprendre pourquoi je persistais à garder mon manteau fermé pendant que je faisais la queue. MDR comme dit ta copine Bluette !

La sagesse, si l’on peut dire, m’a guidée sur le chemin du retour, mais de vous à moi les filles, c’est délicieusement érotique de se promener ainsi « équipée » et cela fait perdre quelques kilos pour cause de sudation massive. J’ai dit la sagesse, car l’idée m’est venue d’aller prendre un café au bar de l’OM histoire de m’émouvoir encore en regardant quelques beaux sportifs bien musclés même si je n’aime pas les voir beugler des insanités devant la télé.

Retour donc à la case maison. Plus délicats, les escaliers. La porte enfin close, le sadique manteau protecteur et la robe n’ont pas tardé à chuter à même le sol, mes mains étant prises d’une frénétique envie de palpations. Le ventre en feu et la tête brûlante, plaquée contre le mur de la chambre devant le lit recouvert de tous les accessoires, je me suis acharnée sur mes seins et mes pauvres tétons en gesticulant du popotin sans pour autant arriver à la jouissance.

La S a n g le bleue qui sert à fixer les bagages sur le toit de la voiture, ne me tendait pas les bras mais presque. Elle m’a donnée l’idée d’un petit bondage de poitrine comme sur tes images encore une fois je sais. Je me suis donc conçu un deuxième soutien-gorge type cœur croisé en enroulant la S a n g le autour de mon buste puis en réalisant un X. Ce n’était pas terrible mais pas déplaisant quand même.

J’étais dans un état second, le désir me tenaillait. Accélérer les choses est devenu une obligation. J’ai donc coincé les menottes dans mon dos avec la corde de mon gigantesque string et posé des épingles à linge sur mes seins en rabattant doucement le balconnet car la pince en s’appuyant sur mon buste tordait douloureusement mon téton.

L’espèce de folle en chaleur qui a débarqué dans la cuisine ainsi accoutrée c’est moi. Elle a ouvert le congélateur, pour constater que le glaçon n’était pas tout fait prêt quand arraché de son gobelet de l’eau s’est répandue sur le carrelage mais qu’importe, elle s’en foutait royalement n’étant pas disposée à faire du ménage. Pour ne pas mettre de l’eau partout, j’ai pris une coupelle puis je me suis précipitée à la chambre.

Que faire, comment faire ? J’ai posé la coupelle avec son glaçon sur le sol et la ficelle sur le lit qui me tendait les bras. Quand j’ai passé les bracelets à mes chevilles assise sur mes fesses, (logique je sais), le petit gode c’est enfoncé profondément en moi et m’a procuré un plaisir intense et un gémissement de satisfaction des plus impudiques mais on s’en tape quand on est seule. Au cas, où le délire m’emporterait, l’idée d’un bâillon m’est venue pour ne pas ameuter les voisins. Le foulard rouge a quitté le tiroir de la table de nuit, pour venir se loger entre mes dents pendant que mes mains tremblantes réalisaient un double nœud derrière ma tête. Comme il me restait une ceinture, je l’ai enroulée et serrée autour de mes cuisses en bricolant un peu pour cause de longueur inadaptée. Son contact cumulé à la pression de l’entrave des jambes et au fait que j’étais assise sur mes fesses m’a encore comblée d’agréables sensations.

J’avais un peu peur en fermant les menottes sur mes poignets, mais en même temps j’étais ravagée par une envie de vivre l’aventure. Etendue sur le dos, les menottes me faisaient mal aux poignets, je me suis donc retournée sur le ventre. Là, j’ai failli tomber du lit. J’ai donc gesticulé pour parvenir à la position souhaitée. Les liens ne m’ont pas aidé et c’était très bien ainsi question sensations. Sur le ventre, la douleur des pinces à seins était supportable. Quand j’ai commencé à tirer et f o r c e r sur mes entraves, c’est devenu génial.

La corde de mon string légèrement détendue, permettait par de savants jeux des reins, d’obtenir un petit mouvement de l’objet figé en moi (si vous voyez ce que je veux dire) tout en frottant un peu mon clitoris. Avec cette auto pénétration cumulée à la pression de mon buste aux seins pincés sur les draps, mon plaisir exacerbé par les entraves gagnait en intensité.

J’ondulais en poussant des gémissements exaltés dans le coussin tout en dévorant le bâillon de tissu. Les effets diaboliques de la situation d’une indécence folle ont généré une onde de chaleur bienfaitrice dans mon ventre. Mes yeux fortement fermés projetaient dans ma tête brûlante le film d’un homme viril qui abusait de mon jeu pour me labourer le ventre de sa verge en m’écrasant sur le lit. Plus je bougeais, plus il me taraudait, plus mes seins réclamaient sa rudesse. Prise de frénésie, j’ai accéléré les mouvements de riens et la pression sur mes seins jusqu’à ……..l’explosion finale. C’était si fort, si puissant, si long, si bon que le bâillon doit m’en vouloir.

Je suis restée un petit moment sans bouger, épuisée mais heureuse et bien. Mes seins se sont un peu révoltés et me retourner sur le côté ne les a pas réellement apaisé bien au contraire. J’ai découvert plus tard les raisons de la douleur de mon sein droit. La pince a bougé, (normal) et ne pinçait plus que la pointe. Cette douleur motivait une libération rapide. Lorsque j’ai cherché la ficelle pour tirer les clés jusqu’à mes mains, j’ai découvert qu’elle était tombée !

Lorsqu’après quelques reptations délicates j’ai posé mes pieds sur la descente de lit pour entreprendre de une descente prudente, la dite descente de lit a glissé. Je me suis fracassée lamentablement sur les fesses (Aie et aie pour deux raisons) avant de tomber sur le ventre. Si j’ai pu préserver mon visage, cela n’a pas été le cas de ma poitrine. Les pinces, m’ont fait mal, très mal. Je voulais de la grande secousse, j’ai été servie. Je me suis mise sur le côté pour ramper un peu jusqu’au fil des clés.

Il y avait de l’eau parterre mais pas là où j’étais. Une barre s’est installée sur mon front pendant mes reptations. Comment le fait de ramper comme un ver de terre peut-il procurer autant de plaisir ? Je suis débile peut-être, mais c’était exquis. Assise sur mon popotin avec la tête tournée vers les menottes pour me délivrer, bouger des fesses me sublimait encore. J’avais chaud à ne plus en pouvoir, je transpirais à grosses gouttes, j’étais encore prisonnière et j’avais encore envie de plaisir.

Je vais être impudique et ignoble mais je t’avoue que me frotter les fesses par terre comme une chienne en chaleur, m’a à nouveau conduite au plaisir. Quand je me suis enfin libérée la première des choses a été de retirer les pinces à seins. (Douloureux) je me suis étendue sur le sol toute heureuse de cette aventure.

Sacré TSM !

La capricieuse

Mars 2003

QUELQUES LIENS

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