Passion et jeux: L'entrée..

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il y a 8 ans

Aujourd'hui cela fait un an qu'ils sont ensemble, qu'il est son Maître et elle sa soumise. Pour cette occasion il lui a préparé une soirée spéciale, mais a tenu à en garder le contenue secret. Toute la semaine il l'a tenue en haleine en soufflant le chaud et le froid. Finalement la seule indication qu'il lui a donné, c'est d'avoir une tenue apprêtée pour ce soir. Nadia a donc choisi une belle robe noire au décolleté léger laissant juste entrapercevoir les chaires se cachant sous le tissu. Elle lui descend un peu au-dessus des genoux, galbe ses formes, dévoile de belles jambes nues, comme une invitation à la caresse.

Elle réserve une petite surprise à son Maître pour ce qui est des sous-vêtements.

Sa longue chevelure de feu est tressée à mi-course, pour finir tombant souplement sur son épaule. Le maquillage est léger, elle est prête, anxieuse, excitée, mais prête.

L'ENTRÉE

Il ouvre la porte et l’accueille avec un sourire charmeur qui la fait fondre. Il lui attrape la main pour y déposer un baiser délicat avant de l'attirer contre lui pour l'embrasser fougueusement. Nadia ne sait plus où elle en est, elle se laisse aller à la passion.

Tout en la tenant par la main il l’emmène vers la salle à manger et lorsqu'elle aperçoit la table elle rayonne. Devant elle se trouve un magnifique dîner aux chandelles qu'il a pris soin de lui préparer.

"Aujourd'hui voilà une année que tu t'offres corps et âme à moi et qu'en retour j'essaye d’être le meilleur Maître possible, cela mérite une soirée un peu spéciale. Assied-toi." dit-il tout souriant.

Une larme coule fugacement sur son visage, il passe son pouce d'un geste tendre pour l'effacer et doucement l'invite à s'asseoir.

Elle se met à détailler la table. Une magnifique rose rouge est posée en travers de son assiette, une coupe de champagne n'attend que ses lèvres, des bougies et un cercle de pétales forme le centre de table et puis..elle se met à sourire intérieurement puis à rire ouvertement en avançant dans son exploration. Elle note quelques détails, la rose garde toutes ses épines à sa tige, une cravache ainsi qu'un martinet sont posés sur la table et ne font certainement pas qu'office de décoration de table. Elle n'a pas non plus de couverts et avant qu'elle n'en voit plus il lui bande les yeux.

Évidement ils ne sont pas un couple vanille, son Maître ne se contentera pas d'un simple dîner aux chandelles. Elle sent monter l'excitation, ses sens s'aiguisent pour se concentrer sur son Maître, sur tout ce qu'il veut bien lui laisser entrevoir..

"Tend les mains, paume vers le ciel." Le ton est toujours doux, mais de cette phrase elle sent se dégager toute son autorité.

Elle frissonne de plaisir lorsqu'elle sent le cuir à ses poignets, elle adore qu'il l'attache et ne peut s’empêcher un grognement de satisfaction.. Il rit et un petit claquement sec à la cravache vient sanctionner ses mains offertes "Gourmande!"

Le jeu commence.

"Trinquons ma belle soumise, aux moments déjà passés et à tous ceux qui nous attendent. Ce soir tu vas ressentir tout un panel de sensations, je vais te rendre folle. Folle de désir et d'amour, avide de douceur et de douleur.", joignant le geste à la parole il lui dépose la coupe dans les mains et trinque.

Il aime la voir comme ça, joyeuse, épanouie, attachée..offerte à lui. Il se réjouit déjà de tout ce qu'il va lui faire subir ce soir.

"Bien passons à table si tu veux bien.", il dépose une assiette devant elle.

Elle sourit et le devance en prenant une moue contrite et innocente: "Maître, pourriez-vous m'aider à manger, je n'y arriverai pas sans votre aide et je ne voudrai pas salir la robe que j'ai choisi pour vous."

En réponse elle sent glisser les lanières du martinet sur ses épaules, descendre entre ses seins. Elle retient sa respiration, les lanières remontent le long de son cou, toujours aussi douces. Elle accompagne le mouvement pour ne pas perdre le contact de cette caresse.

"Bien sûr. Ouvre la bouche." Les lanières caressent ses lèvres, puis il dépose délicatement une tomate dans sa bouche. Elle se sent d'humeur joueuse et joue un peu avec sa langue avant de la croquer. Ils continuent un peu ce jeu jusqu'à qu'il n'y ait plus de tomates.

Il la regarde se jouer de lui, le défiant gentiment de ses mouvements de langue et prit d'une envie soudaine il l'attire sur ses genoux. D'abord surprise elle se contracte, puis comprenant son intention elle se laisse glisser sur ses genoux. Il caresse doucement ses cuisses tout en remontant sa robe. Il marque une pause en arrivant sur ses fesses qu'il caresse.

Sa main ne rencontre aucun tissu et glisse vers l'intimité de la demoiselle. Lorsqu'il enfonce un doigt elle ne peut s’empêcher de bouger afin de mieux le sentir. Il le retire immédiatement et annonce: "Pas de sous-vêtements ? Et tu es déjà trempée. Je te trouve bien impatiente, voyons si l'on peut atténuer tes ardeurs!"

Sur ces mots il relève bien sa robe pour dégager ses fesses dont il admire la douce blancheur quelques instants.

Il commence par une claque appuyée, suivie d'une caresse. Il frappe une fesse après l'autre dans un rythme espacé. Nadia pousse déjà de petits soupirs lorsqu'elle reçoit une claque plus cinglante. Il alterne les claques de plus en plus appuyées et caresses, elle commence à gigoter, il intensifie encore les claques, les soupirs deviennent râles. Nadia est transpercée par les sensations, le son des claques, la douceur des caresses, la douleur, tout se mélange déjà dans sa tête, le plaisir monte inexorablement sur une dernière claque cinglante. Elle est vidée, mais complètement épanouie, heureuse, elle pourrait rester sur ses genoux des heures.

Il la laisse reprendre pied doucement puis glisse deux doigts dans son intimité :

"On dirait que je n'ai pas réussi à te calmer. Tu n'es vraiment pas sage ce soir." Dit-il d’un ton rieur.

Il marque une pause et reprend d'un ton tranchant :

"T'ai-je autorisé à jouir ? "

Nadia est encore en partie dans un état second, mais le ton du Maître a changé, elle redescend rapidement de son nuage et lui répond:

"Pardonnez-moi Maître, c'était tellement bon de vous sentir de cette façon... Punissez-moi s'il vous plaît.."

"-Mais c'est bien ce que je compte faire, tes fesses ne sont pas assez rouges semble-t-il".

Cette fois la volée est rapide, mais cinglante, sans aucune caresse, elle bouge un peu sous les coups en geignant, mais accepte cette punition. Il l'aide à se relever, dépose un baiser sur son front et l'a fait se rasseoir.

"Poursuivons le repas, le plat va refroidir..."

[A suivre ici)(https://fessestivites.com/recit/133513)

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