La fessée pour un employé

Catégories : Hommes fessés
il y a 8 ans

Je suis employé dans une moyenne structure qui gère les appels téléphoniques et les contacts par mail : ContactPhone. Outre, la téléphonie, nous devons assurer, sur la plate-forme la réception et les réponses des mails de grosses entreprises. Pour les réponses, cela se fait souvent avec des pièces jointes tels que : PDF, ou vidéos.

Nous sommes une équipe de 8 et j'étais le seul homme avec mon camarade, Joffroi de la Patelière. Malgré son nom titré et ses origines issues de la haute société (il n'y avait pas si longtemps que son grand-père était décédé et c'était un Conte) Joffroi était un garçon simple, à l'âme généreuse. De tempérament philosophe, il ne prenait pas mal le travail basique qu'il menait avec nous. Âgé, de 30 ans, il avait eu beaucoup de mal à s'insérer sur le marché du travail malgré son bac plus 5 en informatique. C'est sans doute pour cela qu'on l'avait pris, ici, à ContactPhone.

Il était comme nous, employé du centre d'appels mais il assurait, de par ses connaissances, la maintenance et le dépannage des appareils informatiques. Joffroi était heureux et d'une bonne compagnie tant pour moi, qu'il encourageait et aidait dans mon travail quand j'avais du mal à le réaliser que pour ses collègues féminines. Ils n'hésitait pas à les taquiner ou les faire monter sur leurs grands chevaux.

Quant à moi, si j'étais assez heureux de travailler avec de jolies employées, j'étais assez seul avec mes difficultés. En effet, ces jeunes femmes représentaient pour moi, ni plus ni moins, la catégorie des chipies qui s'esclaffent pour un rien, bavardent dès qu'elles le peuvent entre 2 appels et n'hésitent pas à se moquer de moi avec des sourires en coin (bien féminin, ça !) et des regards entendus entre elles quand j'étais face à une difficulté ce qui m'arrivait assez régulièrement, notamment pour ce qui était de poster correctement une vidéo dans les mails des entreprises.

J'étais le plus âgé de la bande. Je venais d'avoir 50 ans. J'avais échu ici à cause d'une reconversion professionnelle. J'avais été, jusqu'à un temps, un enseignant musical dans le milieu associatif. Pour des raisons politico-soico-économique cet emploi était devenu précaire. Dans le cadre d'accompagnement d'un TH (Travailleur reconnu handicapé), j'avais fait une formation de 9 mois en secrétariat. On m'avait promis monts et merveilles. Que c'était une formation superqualifiante et que j'allais trouver vite du travail par la suite. Las ! Après avoir eu mon diplôme, je m'aperçus vite que dans le domaine administratif et particulièrement de l'accueil-secrétariat, on ne prenait quasiment que des femmes. La parité qu'elles ne cessent de proclamer. Mais j'aimerais bien qu'elle soit aussi du côté des hommes la parité. C'est par un emploi réservé TH que j'ai été embauché par ContactPhone. Je ne me faisais pas d'illusions. Ce n'était pas par charité que j'étais là. Mais parce que l'entreprise pouvait bénéficier d'une réduction de charges pendant 2 ans et d'une prime à l'embauche.

Et... il y avait... Gloria Germain ! C'était notre supérieure hiérarchique avant la Directrice, elle m'impressionnait et à plusieurs titres. D'abord, elle avait des formes plantureuses et chaque fois que je la voyais ou la rencontrais pour faire le point, ce qui se faisait 2 fois par semaine, je me laissais à être distrait par son corps bien en chair et mis en valeur par son habillement. Une jupe, juste ce qu'il faut de longueur, qui laissait apparaître une belle portion de jambes rondes et fermes. Elle épousait un fessier manifestement charnu qu'il m'aurait plu de pouvoir m'occuper. Un chemisier rempli d'une opulente poitrine qui ne me lassait pas d'être en admiration devant.

À tel point, qu'un jour, nous étions dans son bureau. Elle me prenait entre les 4 yeux, une nouvelle fois, pour me faire des remontrances concernant l'envoi de liens vidéo sur des courriers mails et des sites d'entreprises... En effet, pris par la rapidité, j'en avais interchangé pour 2 de celles–ci, l'une recevant celle de l'autre et vice-versa.

D'autre part, il fallait aussi que je veille, pour certaines d'entre elles à insérer le lien vidéo de telle façon que l'on voit celle-ci sur leur site et non pas seulement la référence du lien. Là aussi, pris par le rendement, mais pas que, j'avais du mal, de façon récurrente, à y parvenir. Soit je croyais avoir réussi et ce n'était pas le cas, et l'entreprise de téléphoner à Madame Germain pour s'en plaindre. Soit, je n'y arrivais pas, manœuvrant comme je pouvais et envoyais en désespoir de cause la référence du lien.

Tandis qu'elle m'entretenait d'une voix qui se voulait autoritaire et supérieure, elle me fit une remarque de façon cinglante :

  • Curouci, je vous signale, à toutes fins utiles, que mes yeux ne se trouvent pas au niveau de mon bustier et vous pourriez avoir la politesse de me regarder là où il faut, si cela ne vous dérange pas.

Je sursautais et me sentis confus, le rouge me montant au front. Et, je relevais vivement la tête. Elle m'impressionnait par sa stature physique mais aussi parce qu'elle m'appelait par mon nom, que j'avais toutes les peines du monde encore à supporter et ne pas trouver ridicule. Si elle m'appelait par mon prénom : Jean, encore ! Mais, elle ne le faisait pas.

Et puis je fus convoqué par la Directrice en chef.

  • Monsieur Curouci, Gloria n'en peut plus de devoir vous expliquer en long et en large comment insérer une vidéo sur les sites de nos entreprises partenaires. Elle voit bien votre bonne volonté quand elle est sur la plateforme pour vous montrer la chose de façon concrète et elle vous a laissé un mode d'emploi qu'elle a réalisé à votre intentions avec des explications claires, de plus. Fine psychologue, elle vous sent complexé, stressé. Que vous avez besoin de remettre de l'ordre dans votre tête. Tout cela, pour que vous soyez, enfin, plus efficace. Et aussi, que vous laissiez un peu Monsieur de la Patelière qui passe un certain temps à vous épauler. Mais, depuis 2 ans que vous êtes ici, il va falloir être autonome désormais.

Ainsi, Gloria m'a fait part d'une très bonne idée à laquelle je souscris totalement.

  • Je suis sûre que, lorsque vous serez passé entre ses mains une bonne fois pour toutes, cela ira nettement mieux pour vous ensuite. Mardi matin, Monsieur de la Patelière gèrera votre poste avec le sien. Installez-vous à l'heure habituelle et Gloria viendra vous chercher pour venir à mon bureau.

Qu'avait donc pu trouver Madame Germain ? Sans doute une brochure détaillée, illustrée et compréhensible, qu'elle m'expliquera une fois, une bonne fois pour toutes comme avait dit la Directrice et je n'aurais plus de remontrances de quiconque. Youpi ! Je vais le dire tout de suite à Joffroi qui s'inquiétait de cette convocation dans le bureau de notre PDG.

Le mardi suivant, à 9h, Madame Germain vint me chercher pour me mener au bureau de Madame Delanou La Directrice. Je trouvais ma chef de service plus affable avec moi qu'à l'accoutumé. Nous entrâmes chez La Directrice. Elle était assise bien droite à son bureau.

  • Bonjour Monsieur Jean, je crois savoir que vous souffrez de porter votre nom et je le comprends. Je suis heureuse de nous voir ici. Alors voici : Gloria m'a proposé de vous donner ce que les e n f a n t s recevaient dans le temps pour les aider à rester sur le droit chemin. Une bonne fessée ! Une vraie ! Fesses nues et culotte baissée. Je remercie infiniment votre responsable du plateau de nous avoir, enfin, trouvé une solution définitive pour vous faire progresser de façon efficace et durable dans le maniement des nouvelles technologies que vous devez savoir manier avec maîtrise pour la renommée et la bonne réputation de ContactPhone.

J'étais complètement stupéfait. Ainsi, Madame Germain allait m'administrer une fessée ! Déculottée qui plus est ! J'en était tout retourné et confus. En effet, moi qui avait si souvent fantasmé sur elle. J'avais imaginé à plusieurs reprises que je l'allongeais à plat ventre sur mes genoux, lui troussait sa belle jupe qui lui allait si bien et qui mettait tant ses formes charnues en valeur. Que je lui claquais de façon déterminée sa croupe bien en chair, presque chevaline et qui m'émouvait tant. Qu'ensuite je lui baissais prestement sa culotte tandis qu'elle faisait un grand « Nooon ! » et que je lui tenais les mains coincées sur son dos.

Alors, je lui claquais rageusement ses belles grosses fesses que je rendais rouge vif tandis qu'elle me demandait grâce en s'écriant : « Aïe ! Aïe ! Vous me faites mal. Cessez immédiatement, je vous prie ! ». Tout cela pour ses moments d'impatience vis à vis de moi, de remontrances comme à un petit garçon alors que je faisais due mieux que je pouvais. Mais voilà ! C'était des rêves ! Et là ! J'étais dans la réalité. C'était Gloria Germain qui allait m'administrer une fessée cul nul et devant Madame Delanou, notre Directrice.

  • Gloria, c'est à vous

  • Monsieur Curouci, vous allez baisser votre pantalon.

  • Euh !... hem... c'est à dire... oui... enfin...

J'avais le rouge au front comme un gamin pris en faute.

  • Détendez-vous, Curouci, tout va bien se passer me dit Madame Germain d'une voix tendre et presque maternelle

  • Vous savez la fessée, je connais bien. Mon père, qui disait que j'étais une vraie chipie qu'il fallait sans cesse recadrer me l'a donnée de nombreuses fois et devant mon frère et mes sœurs. J'étais l'aînée. Eh bien ! Vous voyez ce que je suis devenue ! Cette expérience de fessées reçues e n f a n t m'est restée. En effet, je la pratique en tant qu'adulte. Ainsi, nombre d'hommes viennent me voir pour que les aide à s'améliorer et à progresser dans leur vie.

Elle disait cela d'une voix posée et paisible. Mais comme chaque fois où j'étais trop émotionné, j'étais inhibé. Je restais donc sans bouger, sans pouvoir faire un geste, la gorge nouée.

  • Vous êtes encore stressé, Jean. Je vais vous aider

Et Madame Germain vint vers moi avec un sourire délicat. Elle prit la boucle de ceinture de mon pantalon, la défit et fit glisser tranquillement celui-ci vers le bas. Elle me prit la main comme un e n f a n t pour me faire venir près d'une chaise qui était libre où elle se mit assît. Tirant vers elle, elle me bascula sur ses genoux. J'étais décontenancé et je me sentais honteux. Je sentis sa main passer doucement sur mes fesses. Cela éveilla en moi une sensation agréable.

  • Vous êtes prêt, Curouci ?

  • Heu... oui..., dis-j e d'une petite voix

La claque s'abattit sur ma croupe. Elle me fit un effet qui n'était pas si désagréable. Cela éveillait quelque chose de trouble que je n'arrivais pas à définir. Puis la 2ème suivit. Elle continuât un certain temps, claquant d'une fesse à l'autre de façon posée et ferme. Ceci eut pour effet de me faire ressentir quelque sensation érotique. D'ailleurs, mon sexe s'était mis à durcir.

  • Maintenant ! Passons aux choses sérieuses ! Je vous baisse votre culotte.

Un réflexe de pudeur intense et de sentiment d'inconvenance monta en moi de telle façon que j'eus un sursaut. J'essayais de sortir de l'emprise de Madame Germain. Je me contorsionnais à droite, à gauche. Mais elle me tenait fermement.

  • Madame Delanou, venez m'aider, je ne pourrais pas le tenir comme il faut trop longtemps s'il ne fait que bouger comme cela.. .Ainsi, je ne pourrais pas lui donner sa fessée correctement et valablement.

  • J'arrive, Gloria

La Directrice vint à nous. Elle me prit par le haut des chevilles et les tint bien fort... Alors, avec son aide qu'elle apportait à Gloria, je me retrouvais quasiment coincé.

  • Allez !...

Disant cela, Gloria baissa mon slip d'un geste.

  • Hmm ! Que cela va être agréable à fesser ! Vous êtes bien bâti Curouci. Je vais donc vous rendre l'esprit plus clair. Vous allez voir, vilain garnement, qui passez votre temps à trifouiller les liens vidéos et à nous faire perdre celui-ci pour ne pas cesser de vous expliquer comment cela fonctionne.

Clac ! Ouch ! J'ouvris la bouche tant la claque était forte. Elle continua comme cela pendant un bon moment en explorant les différentes parties de mon postérieur. Une certaine douleur diffuse montait en moi et je sentais mes fesses chauffer. Enfin ! Elle s'arrêta, puis me remis debout. Je ne savais pas où me mettre, car, sous les coups de la fessée, mon sexe était totalement en érection. Je voulus le cacher de mes mains mais Gloria les repoussa aussitôt.

  • Puisque vous vous arrêtez volontiers à regarder de façon continuelle ma poitrine quand je vous cause, laissez donc moi l'occasion de voir ce joli membre qui vous orne entre les cuisses, Jean.

Et elle me tenait solidement les mains écartées, son regard plongé dans le haut de mon entrejambe.

Puis lâchant celles-ci, Madame Germain me dit :

  • Tournez-vous, Curouci, Voilà une bonne œuvre ! À voir, le rouge vif qui colore votre postérieur, je pense que vous avez dû la sentir passer.

Elle posa délicatement sa main sur mes fesses. Elles étaient hypersensibles.

  • Madame Delanou, je vais parachever l'aide que nous apportons à Monsieur Curouci pour qu'il puisse encore progresser.

  • Je vous en prie, faites

  • Auriez-vous une brosse à cheveux ?

  • Oui, dans mon sac.

  • Pourriez-vous me la prêter ?

  • Bien sûr ! »

Et notre Directrice en chef de prendre son sac, de l'ouvrir et d'en tirer une brosse à cheveux d'un format assez large. Vu la belle chevelure que portait Madame Delanou, je pouvais comprendre qu'elle eut un tel objet en sa possession. En effet, elle pouvait avoir besoin de se brosser les cheveux durant la journée. D'autre part, son statut l'obligeait à avoir une présentation irréprochable. Mais pour moi, qui avait les cheveux ras, je ne voyais pas ce que Gloria Germain pouvait faire de cette brosse, à moins qu'elle-même eut besoin de remettre ses cheveux en ordre.

  • Merci ! Madame Delanou

Madame Germain tapotait le dos de la brosse à cheveux sur la paume de la main en faisant :

  • Hm,hm... Jean, revenez donc vous mettre à plat ventre sur mes genoux.

Je fus surpris. Je croyais la fessée finie. Je me retournais. Un grand sourire de satisfaction éclairait le visage de Gloria Germain.

  • Vous avez un air étonné, Curouci. Mais je compte bien vous faire rentrer dans la tête comment mettre une vidéo correctement sur le site des entreprises qui font appel à nous. Allez ! Venez

Je revins sans opposer de résistance, cette fois ci. Au point où j'en étais rendu. J'avais reçu une bonne déculottée sévère et devant notre PDG. Ma chef de service et elle avaient vu mon sexe en érection. Je m'installais donc sur les genoux de Gloria quand j'eus en un éclair l'idée de l'usage possible de la brosse à cheveux de Madame Delanou. Madame Germain allait me fesser avec !

  • Bien ! Nous y allons, Jean

Paf ! Ouch ! Une onde douloureuse partit de mes fesses pour monter vers mes reins et se diffuser dans mon corps. Paf ! Paf ! Elle y allait de bon cœur, frappant ici, là, ailleurs... J'eus à chaque fois un fort pincement. Sous les coups soutenus, je sentais mes fesses se contracter et se décontracter d'un coup quand elle relevait son instrument.

  • Ooh ! Jean ! que j'aime voir ce jeu des fesses qui se serrent et se desserrent lorsque je vous claque.

Et elle continuait vivement. Je sentais mon fessier devenir de plus en plus brûlant. Je me mordais les lèvres pour me retenir de crier : « Aîe ! Aîe ! ». Elle tapait sans retenue désormais. Et puis, ouf ! Elle cessa. Elle caressa de façon concentrique mes fesses, les tapota. Une douleur intense m'étreignait. J'en avais presque les larmes aux yeux. Elle me fit relever.

  • Reculottez–vous Curouci. Je suis sûre que vous allez être beaucoup mieux maintenant et être efficace dans votre travail !

  • Merci ! pour votre dévouement vis à vis de notre employé, Gloria !

  • Tenez ! Voici votre brosse. Un bon format !

  • Merci ! Vous pouvez aller Gloria

Madame Germain sortie, je restais en attente dans le bureau de la Directrice. Elle me regardait avec un regard pétillant.

  • Je vous dis chapeau ! Monsieur Jean ! Vous avez vécu votre fessée avec beaucoup de contenance et vous l'avez assumée jusqu'au bout. Vous avez de la classe pour moi. Je vous le dis très sincèrement. J'ai été aussi... comment dire... impressionnée par votre... mem... bre, votre... queue tout à l'heure. Aussi, je vous propose que nous allions manger ensemble quelque part samedi soir et que... nous finissions la soirée... chez moi... je suis sûre que vous saurez m'apporter ce qu'il faut. Cela vous dit ?

  • Euh....pourquoi pas, »

L'heure et le lieu convenu, je quittais le bureau de Madame Delanou pour rejoindre ma place sur le plateau de la téléphonie. Joffroi m'accueillit avec un grand sourire.

  • Alors ? Cela s'est bien passé ? t'a-t-elle donné enfin des explications claires pour que tu puisses te débrouiller seul ?

  • Oh ! Oui ! pour ça oui ! Ce fut franc et direct. Et claquant si je puis dire.

  • Claquant ? !

  • Laisse tomber, veux-tu

  • Tu es satisfait alors ?

  • Certainement ! D'ailleurs j'ai un rencart samedi soir avec Madame Delanou.

  • Non ! ce n'est pas possible ! ? Comment as-tu fait ?

  • Qu'est-ce que tu crois ? Je suis beaucoup plus grand et adulte que ce que tout le monde croit. J'ai bien argumenté.

  • Eh ! bien ! Ton argument devait être imparable

  • Oui ! je crois en effet, dis-je en souriant en coin sans m'étendre plus.

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