Laure me domine et fait découvrir le selfbondage

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il y a 8 ans

Laure m'avait prévenu par email qu'elle souhaitait me recevoir dans son appartement pour me féliciter de notre dernier jeux qu'elle avait adoré suivre grâce à la web cam.

Ravi de ce nouveau rendez vous, j'attendais avec impatience je jour de nos retrouvailles. Je montais quatre à quatre les marches qui mènent à son appartement et son accueil chaleureux laisse entrevoir que nous allons passer ensemble un bon moment.

  • Félicitations pour ton courage de l'autre jour. J'avoue que je n'aurais certainement pas pu avoir autant de volonté que toi pour lutter et aller jusqu'au bout de toi même. J'ai décidé de te récompenser à la hauteur de ton effort. Met toi entièrement nu et va t'allonger sur le lit de ma chambre. Je reviens, le temps de prendre quelques affaires.

  • Au fait tu trouveras dans la chambre un petit mot. Suis les instructions, tu ne le regretteras pas.

Je filais sans attendre dans la chambre et tout en commençant à me déshabiller, je prenais connaissance de sa demande.

Rien de bien méchant: Il me fallait simplement me bander les yeux. M'allonger nu sur le lit, sur le dos, et attendre sa venue. Il m'était simplement demandé de mettre mes bras en croix et de joindre mes jambes.

Quelques minutes plus tard, le claquement de la porte et le bruit de pas sur le sol annonçaient le début de notre nouvelle séance.

Je sentais le parfum subtil de Laure et lorsque ma verge fut emprisonnée dans un fourreau chaud et humide, je compris que j'allais avoir droit à une fellation de grande classe.

Sans un mot et sans autre contact que celui de ses lèvres, Laure m'administrait la plus agréable fellation qu'il m'avait été donné de recevoir depuis fort longtemps. Sa langue remontait lentement le long de ma verge pour s'attarder autour de mon prépuce, et lorsqu'elle sentait qu'il fallait changer de rythme, elle enfonçait ma verge toute entière dans sa bouche.

Un va et vient lent et régulier faisait monter en moi un plaisir intense. De temps en temps elle emprisonnait une à une entre ses dents, mes testicules, me faisant comprendre par là même qu'il fallait mieux ne pas bouger.

Au moment ou elle sentit que j'allais exploser, Laure arrêta ses caresses buccales.

Je l'entendais fouiller dans ce qui devait être un sac en plastic. Soudain alors que je ne m'y attendais absolument pas je sentis en même temps mes deux bras pris en même temps dans des noeuds coulants. Laure avait du passer des cordes sous le lit et elle tirait maintenant conjointement les deux cordes, afin de m'immobiliser sur le lit. Une fois les cordes tendues, elle passa également un noeud coulant autour de mes pieds joints et en seulement quelques secondes, je me retrouvais avec les jambes tendues vers le bas du lit, complètement immobilisé, tel un supplicié sur la croix.

  • Maintenant que tu es bien attaché, je vais pouvoir continuer et te récompenser selon ton courage.

Laure venait de reprendre sa lente fellation, mais cette fois ci, ses deux mains participaient activement. Elle alternait avec un art inégalé, les caresses avec sa langue et sa bouche et les phases de masturbation extrêmement rapides avec les mains. Lorsqu'elle me branlait avec les mains, elle mordillait avec insistance la pointes de mes seins, comme pour me montrer que cette partie du corps était très sensible.

Ces lèvres fraîches venaient de se poser sur mon prépuce et comme pour le faire dégonfler ou bien pour en extraire sa sève, elle se mit à aspirer par longues pression sur la chair tendre. Je n'avais jamais eu droit à un tel traitement. Incapable de résister plus longtemps, je succombais en me répandant dans sa bouche. Laure continuait à m' aspirer, bien décidais à me vider totalement de la liqueur séminale que je répandait dans sa bouche.

Laure se redressa et son visage se rapprocha de ma tête. Ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes et me faisant comprendre avec sa langue que je devais ouvrir la bouche, elle pénétra en moi avec sa langue, me rendant par la même occasion tout ce qu'elle m'avait pompé il y a quelques minutes. J'étais bien obligé de recueillir ma propre liqueur, ne voulant pas lui blesser la langue, qu'elle continuait à faire tourner sur la mienne. Le goût inhabituel de mon sperme dans ma bouche me faisait un effet bizarre.

Je sentis soudain que laure montait sur le lit. Elle prit l'initiative de s'asseoir à califourchon sur mon visage, son slip de coton plaqué sur ma bouche. Elle passa rapidement une main sous ma tête pour me maintenir en contact avec son "entre jambe" et de l'autre main, elle écarta le tissu de son sous vêtement afin de mettre directement en contact son sexe humide et ma bouche. Une fois l'entrée dégagée, elle resserra ses cuisses m'emprisonnant la tête qui bloquée de tous les cotés ne pouvait se soustraire à son bon plaisir.

-Maintenant ce la va être à toi de me faire jouir. Dépêche toi, car ma position n'est pas très confortable. Enfonce bien ta langue si tu veux obtenir un résultat rapide. Si tu traîne trop, je serais obligé de te punir et aujourd'hui je n'en ai pas envie.

Maladroitement, je commençais à faire tourner ma langue autour de son clitoris déjà bien gonflé. Puis par petits coups réguliers, j'enfonçais le plus que je pouvais ma langue au fond de cet étroit fourreau au goût de miel.Au bout de quelques minutes je commençais à avoir mal au mâchoire et toujours pas de résultat. Laure ne jouissait toujours pas.

  • Continue avec ta langue ou je te promet une fin de journée difficile !!!

J'avais beau essayer de continuer, les crampes de ma mâchoire inférieur, m'interdisait de continuer au rythme souhaité par Laure.

Furieuse elle se releva, libérant ma tête et ma bouche.

Sans dire un mot je l'entendit descendre du lit et sortir de la pièce. J'en été réduit à imaginer le type de punition que j'allais devoir subir.

Lorsqu'elle revint, elle s'approcha de moi et m'enleva le foulard qui m'empêchait de voir.

  • Pour ta punition tu va devoir t'attacher toi même.

Sans pour autant me libérer les chevilles du noeud coulant, elle défit la tension de la corde qui tendait mes jambes.

Elle libéra également mes bras avant de me faire retourner sur le ventre. Je n'osais pas lui opposer de résistance et lui obéit. Une fois à plat ventre,elle me fit mettre les jambes en position repliée dans le dos et posa la corde qui liait mes chevilles sur mes fesses. Elle termina la corde par une boucle.

Laure prit mes poignets et les passa ensemble dans une corde munie également d'un noeud coulant.Elle fit une boucle à quelques centimètres seulement du noeud coulant afin d'interdire out coulissement et toute libération de mes poignets.

  • Je vais te déposer dans la main trois cadenas. Tu devras en passer deux gros dans la boucle des cordes et le dernier te servira à relier les cadenas entre eux. Il va te falloir te cambrer un peu pour y arriver, mais tu verras, rien de bien difficile.

  • Je vais aller faire quelques courses, le temps que tu récupères les clefs que je pose au sol devant la porte. Bonne promenade. A tout à l'heure. Tu vois je suis gentille, je t'ai laissé la vue !!!

Juste avant de s'éloigner, elle écarta très rapidement la raie de mes fesses et pressa son doigt sur mon anus le rentrant légèrement en moi en une fraction de seconde. Je sentis simplement en même temps que son doigt, le contact d'un corps gras. Son initiative ne dura même pas une seconde, et sur le moment je ne compris pas bien les raisons de cette manoeuvre. Pourquoi donc venait-elle de me "chatouiller les sphincters" ?

La porte se referma presque aussitôt après.

Je savais qu'il me fallait obéir, car commençant à connaître Laure, je ne doutais pas un instant qu'elle devait surveiller si je refermais bien les cadenas sur moi. Prenant mon courage à deux mains, je plaçais rapidement les deux premiers cadenas dans les boucles et me cambrant un peu plus je réussit du premier coup à refermer le troisième sur les deux autres.

J'étais maintenant allongé sur le ventre, les chevilles à hauteur de mes fesses, les bras légèrement tirées vers elles. Si je cherchais à détendre mes jambes et à les déplier, cela avait pour effet immédiat de tirer mes bras vers le bas de mon corps. Il me fallait donc trouver un juste milieu entre la pliure de mes jambes et le positionnement de mes bras.

Je pouvais facilement me mettre sur le coté, ce que je fit au plus vite pour me permettre d'analyser la situation. Il allait d'abord falloir descendre du lit sans me faire mal. Manoeuvre relativement facile, car maintes fois répétées lors de séances d'auto bondage.

Un rapide coup d'oeil vers la porte me fit voir les clefs déposées par Laure. Elle n'avait pas mentie, les clefs étaient bien là.

Machinalement je comptais le nombre de clefs. C'est là que je découvris le "problème". Il n'y avait pas trois clefs, mais un nombre bien plus important, qui étaient posées à même le sol. J'essayais de loin de les compter, et à vue de nez, je ne comptais déjà pas moins de 6 clefs.

Laure venait de me piéger. Il allait me falloir soit avoir beaucoup de chance, soit pas mal de patience.

Bien décidé à ne pas perdre de temps je faisais glisser mes jambes le long du lit en plaquant mon buste sur le lit, afin de descendre en douceur. En quelques secondes simplement, je me retrouvais au sol. Il allait me falloir maintenant ramper jusqu'à la porte et essayer toutes les clefs pour espérer me libérer rapidement.

Il me fallut une bonne dizaine de minutes pour arriver devant la porte de la chambre. Tête en avant, je pouvais maintenant voir le nombre de clefs exact. Catastrophe !!!! Sous chacune des six clefs il y avait en réalité trois autres clefs. Bien empilées les unes sur les autres, je n'avais pu le voir avant. Il y avait donc au final dix huit clefs. Le nombre de combinaisons possibles venait donc de grandir de façon dramatique.

Il me fallait procéder avec méthode, si je ne voulais pas risquer de rester immobilisé pendant des heures. La position n'était pas trop inconfortable et dès que je sentirais venir la fatigue, il me suffirait de me mettre sur le coté pour me reposer.

Le plus important était de trouver au moins une bonne clef afin de pouvoir bénéficier d'une plus grande latitude de mouvement en attendant de trouver les quatre autres. Pour espérer récupérer une clef, il me fallait tout d'abord me mettre sur le dos, me cambrer le plus possible pour dégager mon dos et en attr a p e r une avec mes doigts, puis me remettre sur le ventre sans la lâcher et essayer tour à tour les trois cadenas. Chaque essai me demandait au minimum quatre à cinq minutes.

Au bout d'une bonne demie heure, j' avais essayé seulement 5 clefs et cela sans aucun résultat. J'étais toujours attaché solidement. Et rien n'était à espérer au niveau des cordes bien trop solides pour céder à une quelconque pression.

Je m'attaquais à la sixième clef lorsque les premiers mots de ventre se firent ressentir. Sur le moment je n'avais pas bien fait attention au fait que Laure avait introduit son doigt dans mon anus. N'ayant rien senti passer en dehors de son index, je n'arrivais pas à comprendre ce qui se passait.

Mais il fallait se rendre à l'évidence, les maux de ventre devenant de plus en plus réguliers, une terrible envie d'aller à la selle venait de me tordre le ventre. Laure avait du trouver une sorte de pommade laxative, c'était la seule explication plausible. Si c'était bien ça, cela voulait dire que Laure m'intimait un horaire limite à mon auto délivrance. Il me fallait accélérer la recherche des bonnes clefs, si je ne voulais pas renouveler la dure expérience de notre dernière séance. Décidément Laure avait le chic pour me punir de la façon la plus honteuse possible.

Mais cette fois, il m'était totalement inimaginable d'envisager de me soulager dans son appartement dans un autre lieu que ses toilettes.

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