Accident de selfbondage

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il y a 8 ans

Soumise Sandrine profite de l’absence de son Maître pour s’accorder quelques plaisirs. Rien que de mettre ses ballets boots noires et vernies avec des talons extrêmes l’excite. Poser son bâillon génère quelque chose entre ses jambes car le miroir lui renvoie l’image de sa soumission et de son abandon imposé, quand il l’attache pour lui faire des choses parfois très sexuelles. Comme elle sait pouvoir rejeter le bâillon, elle rajoute du gros scotch avant de poser son harnais de tête.

L’excitation est à son comble lorsqu’elle entrave ses jambes et pose le cadenas aux anneaux reliant ses ballets boots. Lorsque sa main s’aventure sur son body noir très sexy, elle se gronde elle-même en se disant « non c’est trop tôt ». Elle se lève doucement et à très petits pas dans un équilibre précaire à cause des ballets boots, elle parvient au portique ayant servi à suspendre le sling avant hier soir et à l’obliger à se tenir droite maintenue par la tête hier soir pendant qu’il la fouettait. Elle monte sur les deux calles, utilisées la veille pour fixer son harnais de tête au sommet du portique, puis, après avoir fixé son harnais avec un mousqueton, en se tenant par les mains elle fait valser les calles.

Maintenu droite sur la pointe de ses ballets boots, ses mains s’aventurent sur son corps quelques instants. Pour ne pas céder à la tentation, Sandrine se presse d’attraper les menottes puis de les mettre à ses poignets. Une fois menottée, son esprit gambade, elle se revoie sous le fouet qui la faisait danser la veille, mais avec des invités, qui cette fois tripoteraient la pony-girl avant de la baiser debout. Elle est tellement dans son trip qu’elle ressent presque le contacts des mains vagabondant gaiement sur ses courbes ou ses fesses. L’idée d’être sodomisée entravée debout sans défense et comme ça devant son Maître la rend folle, quel dommage d’avoir les mains entravées, elle se serait envolée en un rien de temps. Cette idée et son énorme envie de jouir la poussent à chercher à se libérer en attrapant les clés des menottes posées sur la barre du portique.

L’instabilité dût aux ballets boots rend la chose difficile, et, quand elle parvient à les toucher de la pointe de ses doigts, les clés chutent sur le sol. N’ayant pas mis de ficelle de sécurité Sandrine prend conscience qu’elle est piégée. Seul son Maître pourra la libérer quand il rentrera déjeuner. Elle évalue l’heure et le temps qu’il lui reste à attendre avant qu’il arrive. Passer deux heures sur la pointe des pieds dans ses ballets boots va être douloureux, sans parler de la punition qui l’attend quand il va la découvrir comme ça.

LA CASTASTROPHE

A son s’inquiétude s’ajoute soudain le téléphone qui sonne. Après six sonneries, le répondeur s’enclenche, elle entend la voix de son Maître lui dire : « Allo, chérie, je ne rendre pas déjeuner ce midi, ne m’attend pas, gros bisou »

EPILOGUE

L’attente fut horrible à cause des crampes dans les pieds contre lesquelles elle n’a rien pu faire. Lorsqu’il est arrivé chez lui vers dix-neuf heure, Maître Paul a trouvé sa femme en larme avec une énorme flaque à ses pieds. Il s’est précipité pour la libérer et lui a demandé une fois le harnais, le gros scotch arraché et le bâillon retiré ce qu’il s’était passé. En guise de réponse il a eu un hurlement quand il a commencé à libérer les pieds. Devant l’état de sa femme, Maître Paul a immédiatement appelé les pompiers. Transportée d’urgence à l’hôpital elle a dû avouer ses petits jeux. Il lui a fallu un mois pour retrouver totalement l’usage de ses jambes, les ballets boots ont fini leur vie à la poubelle, elle n’a pas été sévèrement punie, juste une petite fessée de principe.

Ecrivaillon

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