La mitraillette en selfbondage pour Karine

Catégories : Rencontres BDSM Selfbondage auto bondage
il y a 8 ans

Karine aime le BDSM et le bondage, lorsqu’elle est seule chez elle, il lui arrive fréquemment de s’accorder des moments de plaisir en succombant au selfbondage. Se retrouver dans des situations difficiles et être obligée de lutter, ramper pour se libérer l’excite énormément. Elle a vu une vidéo BDSM sur Fessestivites où le Maître fixe des épingles à linge attachées ensembles par de la ficelle sur corps d’une soumise. L’idée lui a plus tout comme de pimenter un peu son selfbondage.

Après s’être fait une culotte de corde à la façon shibari, elle pose sur son corps des épingles à linge reliées ensembles par de la ficelle comme sur la vidéo. Elle l’attache à la tête de son lit puis recule pour tendre la ficelle et vérifier si cela tient. L’excitation est à son comble, cela fonctionne. Tout en se mettant un bâillon, Karine est convaincue qu’elle va s’éclater à devoir les arracher pour atteindre les clés de ses menottes, qu’elle ne tarde pas à verrouiller sur ses poignets mains dans son dos.

LA SURPRISE !

Tirer les pinces à linge fait plus mal que prévu comme le constate Karine. Les arracher très vite génère une douleur fugace, là au ralenti une après l’autre c’est une autre histoire. Lorsque parvient à trouver le courage d’en arracher quelques-unes posées sur ses seins, la douleur est telle qu’elle revient sur son idée et essaye d’attraper les clés avec ses orteils. Hélas pour Karine, elles glissent sur le matelas et tombent sur le sol, du moins le pense t’elle. Elle commence à se maudire car les menottes bien coincées dans sa culotte de corde, ne permettent pas à ses mains d’arriver aux pinces à linge posées sur son ventre, ni à celles qui restent sur ses seins.

Si elle aime devoir lutter pour parvenir à se libérer, Karine comprend que cette fois, elle va réellement devoir souffrir. Une après l’autre, c’est réellement douloureux surtout qu’elle n’a pas lésiné sur le nombre et que les pinces à linge sont neuves. Les larmes aux yeux, en bavant lamentablement à f o r c e de mordre son bâillon, elle parvient à en arracher d’autres. A chaque fois elle s’accorde une pause sans penser que plus les pinces resteront de temps sur elle, plus cela sera douloureux lorsqu’elles s’arracheront. Les dernières posées sur son bas ventre ne lui font pas de cadeaux, elles résistent et lui font un mal de chien. La toute dernière lui fait un effet surprenant, c’est comme si la douleur était bonne, si ses mains étaient libres, elle s’accorderait immédiatement un moment de plaisir.

Attraper les clés tombées et se libérer ne lui pose pas de problème, elle l’a tellement pratiqué de selfbondage qu’il lui est arrivé de mettre des gants pour corser ses libérations. Et là, en se penchant elle constate qu’elles sont tombées entre le matelas et le lit. Démonter le lit avec les mains menottées et bloquées dans le dos par la corde n’est pas une simple affaire, essoufflée elle doit s’y prendre à plusieurs fois pour parvenir à faire glisser le matelas rebelle. Pour les attraper elle doit se coucher sur les lattes et là, dans la dernière ligne droite elles chutent sur le sol. Une envie pressante la taraude depuis un moment quand elle se couche sur le carrelage froid. Au moment où elle parvient enfin à attraper les clés de ses menottes, sa vessie rend l’âme, sa culotte et les cordes sont trempées mais se soulagement purement physique cumulé à l’excès d’oxygène dût à la lutte féroce avec le matelas puis au frottement des cordes sur son clitoris l’emporte dans la jouissance sans même s’être touchée. Étendue à même le carrelage, Karine n’a plus froid et s’accorde une pause avant de se libérer.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement