Scénario selfbondage suspension avec ou sans couche

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il y a 7 ans

Ce scénario ne nécessite pas de gros moyens et vous permettra, si vous n’avez pas déjà ce qu’il faut, de créer d’autres variables. Cela est très simple à fabriquer + très simple à faire + réutilisable autrement.

Se suspendre en selfbondage n’est pas facile, peut être dangereux et vous faire mal entre les jambes sans la planche du croquis. Avec mon système tout cela n’est plus un problème.

Le principe :

Fabriquer une planche type balançoire pour vous asseoir dessus en la faisant passer entre vos jambes pour vous suspendre et vous attacher. Vous pouvez aussi acheter une balançoire et adapter le principe mais les cordes seront vraiment à adapter. Les serres joints servent à fixer votre matériel au-dessus d’une porte si comme moi vous n’avez pas de poutre au plafond.

Construction facile : (C’est comme se fabriquer une balançoire)

Prendre une planche de 40cm sur 30 cm.

Percer 4 trous aux angles pour y fixer la chaîne avec des boulons + écrou + rondelles.

Une fois que vous aurez fait les 2 V de chaîne, ajoutez soit une chaînette soit de la corde pour ne pas chuter vers l’avant ou l’arrière quand vous vous attacherez. (Flèche anti chute sur le dessin)

Posez deux serres joints au dessus d’une porte en mettant un chiffon entre le plâtre et le serre joint pour protéger le plâtre ou le papier peint et fixez votre support avec des mousquetons ou autre.

Le scénario

Une fois que votre balançoire et fixée et que votre ice-timer est prêt, vous n’avez plus qu’à choisir vos accessoires plaisirs. Exemple :

Plug

Couche

Pinces à sein

Bocal à lavement si vous aimez ça

Vibro à mettre où vous voulez ou dans la couche

La tenue de vos fantasmes.

Bâillon / cagoule / autres....

Une corde pour bien vous bloquer (et ne pas tomber) quand vous serez assis en travers sur la balançoire.

Une paire de menottes + votre ice-timer

Une chaise pour monter sur la balançoire et chaise que vous ferez tomber quand vous serez assis en hauteur.

Le récit de mon selfbondage en suspension

Ma balançoire était fixée entre la porte de ma chambre et le couloir.

Je m’étais mis un plug avec 3 boules, avec seulement deux enfoncées dans mon anus. Par dessus je m’étais mis une couche, j’aime bien faire pipi tranquille pendant mes selfbondages, cela rajoute du piment à mes délires.

Les pinces à sein étaient provisoirement posées sur la chaîne avec ma cagoule. Le ice-timer était posé par terre avec la ficelle attachée à la chaîne de derrière à la hauteur de mes mains qui seraient menottées.

Les bracelets de chevilles étaient posés sur la chaise qui me permettrait de prendre place sur la balançoire.

J’étais tout excité.

Le départ a été difficile car quand, perché sur ma chaise j’ai enjambé la balançoire, le plug s’est barré. Tant bien que mal, je suis arrivé à le remettre, enfin, les deux premières boules la troisième étant un peu grosse pour moi si je ne suis pas très très excité. Une fois assis mais assez penché vers l’avant pour fixer mes bracelets de cheville, je me suis fait peur car si je n’avais pas mis la sécurité, j’aurai fait un plongeon dans le mur et par terre. C’est là que le plug a commencé à me faire mal, la dernière boule fait quand même 60mm. Pour m’aider un peu, je me suis caressé les tétons et le sexe par dessus la couche. Cela allait déjà mieux mais je sentais bien que j’allais déguster.

Avant de mettre ma cagoule, j’ai passé la corde (qui m’empêcherait de tomber) dans les maillons des chaînes et je l’ai serrée ce qui a eu pour effet de faire remonter un peu la balançoire et donc, de pousser le plug. Comme à ce moment là j’avais encore les pieds sur la chaise, j’ai compensé avec les jambes par réflexe.

L’heure de mes folies ayant sonnée, j’ai posé les pinces sur mes seins et rapidement mis la cagoule que j’ai vite fermée car les bras en l’air, ça tire sur les tétons et les pinces. J’ai ensuite vérifié que les mains menottées dans mon dos, je pouvais attraper facilement la ficelle de mon ice-timer. Cela était faisable facilement, je pourrai donc me libérer dans une petite heure environ quand la glace aurait fondu. J’ai donc verrouillé les menottes dans mon dos derrière la chaîne en tremblant d’excitation. C’est quand j’ai viré la chaise qui est tombée par terre comme prévu que j’ai commencé à douiller à cause du plug. Quand il était tombé au moment où je suis monté, une partie du lubrifiant s’était essuyé sur la couche !!!!

Pour me soulager le fion, je me suis penché en avant mais je m’appuyais trop sur les testicules. J’ai donc entrepris de me pencher d’avant en arrière pour finir de faire entrer le plug en moi. Mais quand on fait ça sur une balançoire, elle bouge ! J’ai eu peur que les serres joints s’arrachent alors je me suis arrêté, car c’était la première fois que je testait ce truc. L’idée m’est venue de soulever les jambes vers l’avant pour m’obliger à bien m’asseoir sur ce putain de plug. J’y suis arrivé sans problème mais s’il est enfoncé en moi, il n’arrivait pas à passer en plein. Ce qui est bon dans un blug, c’est quand il s’enfonce en vous, là, il restait sur la partie la plus large de la dernière boule et j’ai dégusté. J’en avais la tête qui tournait. Je me suis donc arrêté de bouger pour me mettre à faire de la respiration et me ventiler un max, mais sous la cagoule cela n’était pas évident. Je transpirais comme un malade.

En pause de tout, j’ai commencé à prendre mon mal (au cul) en patience jusqu’au moment où j’ai eu envie d’uriner. Quel plaisir que de sentir l’urine chaude envahir la couche, plaisir de courte durée mais si agréable. Ce plaisir a généré ma décontraction, et le plug en a profité pour finir de se loger dans mon petit cul trop gourmand. Oufffffffff. Au bout d’un long moment j’ai commencé à m’endormir, c’est une maîtresse sadique qui m’a réveillé en faisant bouger la balançoire. En fait, en m’endormant j’aurai pu tomber et me massacrer si je n’avais pas mis la corde. Me remettre droit n’a pas été facile côté cul mais cela s’est fait. je suppliais cette maîtresse cruelle imaginaire de me libérer mais elle ne voulait pas, enfin, le ice-timer n’avait pas fini de fondre.

Ce n’est qu’un très long moment plus tard que mes doigts ont pu récupérer les clés mouillées et froides. J’ai encore bataillé quelques minutes pour pouvoir retirer les menottes et la cagoule sous laquelle j’étais trempé de transpiration à en avoir les yeux qui piquent. Le retrait des pinces à sein étant toujours une étape douloureuse, j’ai donc décidé de le faire plus tard, quand je serai descendu sur terre. Après avoir retiré la corde de sécurité, mes pieds ne touchant pas le sol, j’ai du glisser doucement sur la planche en me tenant aux chaînes. La couche n’a pas trop aimé quand la planche a glissé d’un coup. Arrivé sur le plancher des vaches, m’allonger sur mon lit pour me branler est devenu une urgence capitale.

Quand ma jouissance est arrivé j’ai retiré les pinces à sein, oufffffff et puis au moment de l’orgasme quelques secondes plus tard j’ai cru imploser parce qu’en même temps le plug est sorti tout seul d’un seul coup. C’était tellement fort que j’ai agonisé un moment sur mon lit avant de m’endormir.

Une gros pipi couche et une douche plus tard, j’ai soigné mon petit cul trop gourmand pour me mettre à l’ordi pour partager cette expérience avec vous. La prochaine fois, j’essayerai de refaire la même suspension mais avec un bocal à lavement comme ça, je serai obligé d’aller jusqu’au bout mais ce sera une autre histoire.

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