Un pont trop tôt avec une lesbienne sadique

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il y a 7 ans

Mon amie d’e n f a n c e a émigré à Marseille pour ses études, le pays lui a plus, elle y est restée. Snif car Mathilde me manque. Il nous arrive d’échanger nos appartements, elle monte à Paris de temps en temps pour des concerts et moi, je descends dans le sud l’été pour la plage. Nous avons les clés de nos appartements et une confiance totale l’une en l’autre, en 25 ans d’amitié, il n’y a eu aucune accroche. Une différence nous sépare toutefois, elle est lesbienne et moi hétéro. Je ne dis pas qu’il ne nous arrive pas d’échanger deux bisous, ou que nous n’avons jamais pris la douche ensembles, mais rien de plus. Cette année, elle m’a demandé si elle pouvait venir chez moi pour le pont du mois de mai, j’étais ravie de la revoir, elle aussi. Jusque là tout allait bien.

Comme dit Renaud dans sa chanson, j’étais tranquille, j’étais peinarde. Je n’étais pas accoudée au flipper mais en plein délire BDSM. Mon ex ayant eu la bonne idée de laisser ses accessoires BDSM et de ne pas avoir eu le courage de venir le récupérer, je m’accordais quelques plaisirs solitaires et me préparais un selfbondage pour le premier pont du moi de mai. J’aime mûrir les choses, ce que je vais faire, cela m’excite autant de le préparer que de le faire. Des fois, je me fais même un scénario écrit.

Ce jour là, j’avais de grosses envies. Je m’étais mis un petit plug derrière plus un plus gros devant et un oeuf vibrant. Je faisais tenir avec un petit harnais de corde. Pour m’isoler dans ma bulle, je m’étais imaginée que l’on me bâillonnait avec mon string dans la bouche et du ruban adhésif tout autour de ma tête pour faire tenir le bâillon et m’aveugler. Sous ce ruban, j’avais bloqué les écouteurs de mon baladeur. Réglé sur un dossier avec six morceaux que j’adore, à la fin j’allais donc être dans le noir et sans aucun son. J’avais tiré le lit pour pouvoir poser le ice-timer dans un petit saladier posé par terre. Allongée nue, les jambes maintenues écartées par des cordes, avec de petites pinces sur les tétons, une fois menottées j’allais pourvoir rêver et fantasmer comme une malade.

Mon Maître imaginaire avait décidé de m’offrir à ses copains. Je les sentais en moi quand je me cambrais sur le lit. En fait, ce n’était que les plugs qui bougeaient mais c’était torride. Soudain, j’ai senti le lit bouger !

L’espace d’un instant, j’ai cru que quelqu’un était entrée. Comme il ne se passait rien, je me suis dit que je rêvais mais quand des mains se sont posées sur moi, là j’ai commencé à flipper. Tirer sur mes menottes n’a rien changé. Ces mains ont commencé a caresser l’intérieur de mes cuisses. Je me suis affolée et dit que j’allais y passer et peut-être même trépasser ! Le lit a encore bougé, mes gémissements et « non » de la tête n’ont rien changé, la personne n’était pas décidée à me libérer. Quelques très longues secondes plus tard, le mec s’est allongé entre mes jambes. J’étais terrorisée, tétanisée. Sa bouche s’est posée sur mon sexe, sa langue a commencé à titiller mon clitoris puis ses mains sont venues agacer mes tétons et les pinces. Du plaisir je n’en avais plus du tout. Qui cela pouvait bien être ? Ce n’était pas mon ex, il ne savait pas me brouter le chaton, il n’était jamais parvenu à me faire jouir alors que je suis très clitoridienne. Cela ne pouvait qu’être un cambrioleur et j’étais faite comme un rat.

L’inconnu a arrêté sa dégustation de minou pour grimper sur moi. Je me suis dit que l’heure avait sonné d’y passer, pourvu qu’il n’ait pas le sida. Quand il a commencé à déposer des baisers doux dans mon cou malgré mes « non » et gémissements de désespérée, j’ai senti un parfum féminin et des cheveux longs sur mes épaules. Et là j’ai compris !

C’était Mathilde. Elle devait venir pour le pont du 8 mai, pas celui du 1er mai. Si je savais que ma vie n’était pas en danger, j’étais quand même blême de honte qu’elle me trouve comme ça. Mon baladeur est arrivé à la fin des morceaux que j’avais choisis, j’ai pu entendre sa voix et être totalement rassurée. Elle me disait des mots doux et qu’elle était trop contente que je m’offre à elle !!!!!!!!!!!

Cette salope de lesbienne me dévorait de ses lèvres de gloutonne, elle a retiré trop vite les pinces de mes tétons et fait mal. Cette douleur a été rapidement compensée par ses baisers de louve, elle faisait rouler mes tétons sous ses doigts et sa langue tout en se frottant à moi. Elle est redescendue à la cave pour se remettre à la clito partie. Cette experte de la langue agitait les plugs en même temps, cela commençait à devenir divin quand elle a décidé de changer de stratégie. Elle a écarté mes lèvres intimes qu’elle a bloquée dans la corde qui servait à maintenir les plug. Mon chaton devait ressembler à une grenouille aplatie sur une table de vivisection. Elle m’a abandonnée comme ça un moment, j’ai cru qu’elle allait me laisser tranquille mais non. Je me trompais. Elle est remontée sur mon lit et s’est assise à califourchon sur mon ventre. Soudain, j’ai senti un vibro bizarre sur mon clitoris. Il était comme happé par cette chose mais vibrait aussi. C’était limite trop fort mais ultra perturbant.

Qu’elle s’amuse comme ça avec moi ne me plaisait pas, cette salope a interprétée mes gémissements et agitations comme « c’est trop bon ». Au plus je m’agitais, au plus elle s’acharnait sur mon clitoris. Elle a changé de position puis m’a enjambée comme pour un 69 en posant son sexe nu sur mon visage. J’étais blême ! J’avais beau tirer sur mes jambes pour les refermer, impossible. Bouger sous le poids de son corps en étant menottée était impossible. J’étais condamnée à subir.

« Subir » une jouissance qui montait. Je la sentais arriver comme une lame de fond. Cela devenait divin malgré moi, j’ai senti que je n’y échapperai pas. Cette salope avait tous les vices, elle jouait avec mes plugs en même temps qu’elle s’acharnait sur mon clitoris avec son jouet vibro particulier. Et puis, en pleine perdition, incapable de contrôler quoi que ce soit, je me suis abandonnée à elle, à ce plaisir qui montait jusqu’à l’explosion. Cet orgasme d’une puissance monstrueuse m’a dévastée. J’ai cru que j’allais tomber dans les pommes tellement c’était fort.

Mathilde a eu la bonté de se relever pour que je puisse respirer après cette jouissance abyssique. « Abyssique » parce que d’un telle profondeur que j’avais l’impression que tout mon intérieur avait joui. J’étais d’ailleurs encore agitée de tremblement quand elle a décidé de me retirer mon bâillon. Et là, elle m’a embrassée. Mais embrassée vraiment. Quand j’ai pris conscience de ce qu’elle faisait, je me suis refusée à elle. Cette salope m’a expliquée que si je n’étais pas plus coopérative elle remettait son Melrose en route. Je lui ai répondu d’aller se faire voir. Quand elle a reposé sur truc d’enfer sur mon clitoris, j’ai commencé par bondir pour lui échapper mais en vain. C’était trop fort juste après une jouissance abyssale. J’ai donc cédé en la suppliant d’arrêter. Mathilde s’est couchée sur moi et m’a à nouveau embrassée avec tellement de douceurs dans son baiser et ses caresses, que j’ai commencé à fondre. Fondre sous ses doigts, ses câlins, être entravée sans possibilité de lui échapper a commencer à titiller mes sens les plus coquins. Une demi-heure plus tard, elle a réussi à me faire jouir une seconde fois, j’étais épuisée, laminée. Cette garce ne m’a pas libérée, elle m’a laissée me débrouiller pour aller prendre une douche.

Mes doigts n’ont pas tardés à récupérer les clés des menottes. Une minute plus tard je libérais mes chevilles marquées par la corde, les plugs étaient retirés. J’étais gênée, honteuse en retirant le petit harnais de corde. J’avais peur d’affronter son regard, le regard d’une amie qui m’avait découverte dans mes délires de selfbondage et qui avait pu profiter de moi à me rendre folle. La porte de la salle de bain était ouverte, quand elle m’a vue, Mathilde m’a tendue la main en me disant « comme avant ». Sous la douche, nous avons échangé quelques baisers en nous savonnant mutuellement. Elle m’a dit que j’étais trop belle dans mon abandon.

Pourquoi me suis-je agenouillée, pourquoi ai-je eu envie d’elle, envie d’embrasser son chaton à mon tour ? Je ne sais pas, normalement les filles ce n’est pas mon truc, là ce n’était pas une fille, c’était Mathilde. La nuit a été torride, nous avons fait l’amour comme des folles, j’étais bien, apaisée comme je ne l’avais jamais été.

Le lendemain, Mathilde m’a offert son Melrose pour me remercier de l’offrande de son corps. En partant, entre deux baisers cette salope m’a dit : « la prochaine fois que je viens, je veux te trouver attachée et offerte à mes envies, je te ferai découvrir d’autres trucs sympas ».

Le pire dans cette aventure, c’est que je n’arrête plus de penser à Mathilde quand je joue toute seule. Elle m’a envoûtée.

Ecrivaillon

Découvrir le Melrose la machine à jouir des filles

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