Piégée menottée chez des amis elle découvre la fessée punitive

Catégories : Selfbondage auto bondage Femmes fessées
il y a 7 ans

Magalie est en vacances chez des amis. Elle connaît Sandrine depuis toujours, elles allaient à l’école ensemble. Elle s’est mariée avec André, un homme plus âgé, autoritaire mais très gentil. Ils accueillent bien volontiers Magalie chez eux une semaine au mois de juillet, la plage et la piscine feront le plus grand bien pour elle après son grave accident de voiture dont elle est sortie indemne par miracle.

Le lundi, après une longue grâce matinée, en cherchant de quoi se faire du thé, elle trouve des menottes dans un tiroir de la cuisine. Comprenant qu’ils les avaient cachées à la va vite lorsqu’elle est arrivée plus tôt de la plage la veuille à cause de la pluie, elle découvre donc un de leurs jeux coquins. Magalie savait bien que son amie était gourmande des plaisirs de la vie, et avec André, les choses n’ont pas dues se calmer. « Ils font des BDSM les coquins » pense t’elle en refermant le tiroir. Le thé consommé en pensant à cette découverte, lui donne des envies d’en savoir plus. Elle profite donc de leur absence pour aller fouiner un peu dans leur chambre. C’est en bas de l’armoire qu’elle découvre un coffre rempli d’accessoires de contrainte et de sextoys. Prenant conscience que ce qu’elle fait n’est pas bien, elle quitte rapidement leur chambre pour aller lire ses emails tranquillement au salon, la météo ne lui permettant pas d’aller se balader.

Comme tout le monde, Magalie a quelques fantasmes et des petits secrets. Elle retourne donc sur un forum sur la fessée qu’elle connaissait et constate qu’il a disparu. Par google, elle fait donc des recherches et tombe sur Fessestivites. Après quelques surfs, elle décide de s’inscrire pour accéder à tout le site. Deux heures après, elle est très excitée par ce qu’elle a pu lire sur les forums et voir sur les vidéos. Dans les histoires érotiques, elle en trouve un qui correspond à ses fantasmes sur la pluralité sous la contrainte. La femme soumise est livrée attachée par son mari à un de ces amis. Ils ne lui font pas de mal dans ce récit, ils font tout pour la faire jouir et la rendre folle, si bien qu’elle jouit comme jamais.

Dans tous ses états, Magalie laisse courir ses doigts sur son corps et se caresse un peu. L’idée lui vient d’essayer les menottes trouvées dans le tiroir. Elles sont au nombre de quatre, deux pour les chevilles et deux pour les poignets, reliées ensemble par une chaînette. Lorsqu’elle les attrape, sa tête est chaude, ses mains tremblent. Après les avoir touchées et manipulées, dans un état d’excitation avancé, elle se rappelle que dans l’histoire érotique qu’elle vient de lire, la fille avait un bâillon. Comme elle en en vu un dans le coffre secret de ses amis, elle va le chercher pour l’essayer aussi.

Assise sur le canapé, elle commence par mettre le bâillon boule qu’elle serre et bloque derrière sa nuque. N’y tenant plus, elle ouvre son peignoir et caresse ses seins en s’imaginant à la place de la fille obligée de subir les caresses des deux hommes. Dans son imaginaire, l’un d’eux vient toucher son chaton, la main de Magalie fait de même, embrase ses sens et fait tomber les dernières barrières de sa retenue. Elle décide de s’entraver les chevilles, le contact du métal lui fait l’effet d’un électrochoc. Son index s’insinue dans son chaton pendant que de l’autre main, elle titille le bouton magique des plaisirs féminins. Les deux hommes de son histoire fantasmer deviennent de plus en plus entreprenant malgré ses « non » de la tête, le bâillon ne lui permettant pas de parler.

Emportée par la folie du désir, elle retire ses mains de sa zone pubienne parfaitement épilée pour les plaquer dans son dos. Ses neurones s’enflamment, les deux hommes veulent l’attacher complètement pour la prendre dans tous les sens. Elle voit leurs sexes tendus derrière ses paupières clauses. Elle sent déjà en elle un de ces sexes qu’elle refusait, et qui lui fait tant de bien en la pénétrant. Ses mains viennent malaxer sa poitrine et titiller ses tétons, ce sont celle de l’autre homme.

Et là elle va commettre l’irréparable. Mue par l’envie de vivre un peu plus cette aventure imaginaire, Magalie met ses mains dans son dos et referme les menottes sur ses poignets. Entravée et offerte, elle ne peu plus rien pour leur échapper. Elle glisse du canapé, se met à genoux avec la tête posée sur les coussins, les hommes la prennent en levrette en la traitant de « chienne ». Au bout d’un moment, elle n’en peut plus, elle a envie de se masturber et de jouir. La chaîne reliant les menottes de ses poignets à celles des chevilles a été raccourcie, elle ne parvient pas à se toucher. Agacée, elle décide de les retirer et cherche un moyen de les ouvrir. En vain !

Son excitation chute aussitôt pour se transformer en peur.

« Et merde je suis piégée, j’ai déconné » pense Magalie en se traitant de folle. Elle se déplace sur les genoux pour se rendre à la cuisine pour aller voir si les clés ne sont pas dans le tiroir. Après un moment de galère pour l’ouvrir, son s a n g se glace dans ses veines, elles ne sont pas là. Elle tire une chaise pour se mettre à genoux dessus en équilibre afin de donner plus de marge de mouvement à ses mains. En vain !

En se massacrant les genoux pour descendre de la chaise dont elle a failli tomber, elle se rend pliée en deux et à petits pas dans la chambre de ses amis. Les clés doivent être dans leur coffre à jouets coquins. Elle le renverse et fouille avec les précautions d’une fille piégée et très énervée. Ses recherches sont vaines. Les tiroirs des tables de nuit subissent la même fouille, hélas, toujours pas de clés. C’est avec les larmes aux yeux qu’elle quitte leur chambre pour revenir à la cuisine. Avec les dents, elle tire le fameux tiroir maudis et le fait tomber par terre. Les livres et accessoires de cuisine se répandent sur le carrelage mais ne dévoilent pas de clés.

Assise sur la canapé, Magalie pleure à chaudes larmes. Piégée nue, bâillonnée et après avoir fouillé leur chambre et découvert leur intimité, elle n’a pas d’autre choix que d’attendre leur retour. La honte totale, pire que nue, elle prie le seigneur pour que son amie soit la première à arriver. Peut-être lui pardonnera t’elle d’avoir fouillé quand elle lui aura tout expliqué. Une envie pressante la tenaille, les toilettes s’avèrent trop dangereuses, c’est à petits pas quelle va se soulager sur la terrasse avant de revenir s’étendre sur le canapé. L’attente est épuisante après autant de mouvements, de recherches, de peur. Elle finit par s’endormir, cela lui permet de tuer le temps.

  • Salope, tu as fouillé la maison ! Putain, je n’aurai jamais cru ça de toi ! Crie Sandrine debout, mains sur les hanches et face à elle avec un regard méchant.

  • mmmmmmmm essaye de répondre Magalie en faisant des « non » de la tête.

  • Putain tu vas me payer ça !

Magalie continue de faire des « non » de la tête, elle pleure comme une gamine à gros sanglots. Sandrine se met à l’aise, jette ses affaires sur le canapé en ronchonnant. Elle jette ses talons hauts puis s’en va dans la maison. Magalie l’entend crier de leur chambre. Elle est mal, très mal.

  • Pourquoi as tu fais ça ? Je te faisais confiance ! On te laisse la maison et toi tu fouilles ! Hurle Sandrine folle de rage en revenant. Attend-toi à de gros soucis quand André va arriver.

Cette tirade conclue par une gifle magistrale n’arrange rien au désespoir de Magalie. Plantée là au salon, elle voit partir son amie dans la maison. Quelques minutes plus tard, elle l’entend prendre une douche. Les minutes deviennent des heures pour elle. A son retour, Sandrine est toujours aussi énervée.

  • Qu’est-ce que tu fous encore là ? Tu ne pouvais pas te libérer et aller tout ranger ? Tu as démontée la moitié de la maison, je crois que la décence serait de tout ranger après avoir v i o l é notre intimité!

  • mmmmmmmm essaye de répondre Magalie en faisant des « oui » de la tête et en montrant les menottes de ses poignets.

Comprenant qu’il y a un problème, Sandrine lui retire le bâillon baveux et lui demande des comptes avec une rage difficilement descriptible, la rage d’une femme trompée dans sa confiance. Magalie lui explique ses mésaventures, qu’elle a trouvé les menottes dans la cuisine puis qu’elle s’est faite piéger. Elle l’a supplie de la libérer, elle s’excuse platement et oui, bien sûr, elle va tout ranger.

  • Je ne sais pas où il les a mises ces clés. Il a planqué les menottes là quand tu es arrivée de la gare à pieds pour ne pas nous déranger. Il va te falloir attendre qu’il arrive pour être libérée, cela t’apprendra à fouiner.

  • Je n’ai pas fouillé, j’ai trouvé les menottes pas hasard dans la cuisine. Ce n’est pas vraiment leur place, tu en conviendra. Ok je le ai utilisée mais je n’ai rien fait de mal.

Lorsque la porte d’entrée s’ouvre, André affiche un grand sourire !

  • Alors les filles, on s’amuse ?

  • Non pas du tout, et quand tu vas voir l’état de la maison, tu comprendras. En plus, tu avais laissé traîné les menottes et le bâillon à la cuisine, franchement tu as merdé ! Râle Sandrine.

  • Les menottes oui, je les ai planquées là quand elle est arrivée, pas le bâillon, je sais que tu n’aimes pas ça.

Sandrine comprend alors que son amie a réellement fouillé la maison. Elle se jette sur son amie et lui donne des gifles. André l’arrête et lui ordonne de se calmer. Furieuse elle n’en tient pas compte et continue. Attrapée à bras le corps, elle se retrouve couchée sur ses genoux, sa robe d’été est soulevée, des claques s’abattent sur ses fesses. Sandrine hurle, André n’en a que faire et continue de la fesser.

  • Je ne m’arrêterai que quand tu seras calmée !

  • C’est elle qui fouille la maison et c’est moi qui prend une fessée, en plus devant elle, c’est dégueulasse ! Crie Sandrine.

  • Je ne m’arrêterai que quand tu seras calmée et te seras excusée pour la façon dont tu me parles !

Sandrine finit par abdiquer et s’excuser. André s’arrête et lui ordonne de prendre la position 6.

  • Pas devant elle quand même !

  • Je vais chercher le paddle Saku ?

  • Non Maître, pardon ! Répond Sandrine en se mettant en position 6 tête baissée en ruminant des mots incompréhensibles.

  • Magalie, ce que tu as fait est inadmissible. Tu nous dois une explication complète et sans aucun mensonge.

  • Oui, André, je suis désolée et vais tout vous raconter. Après je partirai car je sais que je n’aurai pas du faire ce que j’ai fait. Croyez-moi sur parole j’ai honte et m’en veut au-delà de ce que vous pouvez imaginer. Pouvez-vous me libérer et me laisser m’habiller ?

  • Non ! Tu as v i o l é notre intimité, ne va pas te plaindre si je te vois nue et en mauvaise posture. Raconte-nous tout avec les détails, cela sera le début de ta pénitence.

Magalie n’a pas d’autre choix que de tout raconter. André l’oblige même à leur avouer ce à quoi elle pensait en le faisant. C’est un véritable interrogatoire qui est mené par un Maître pervers connaissant bien les femmes. La tête basse sans oser les regarder, elle répond à toutes les questions.

  • En fait, les clés sont accrochées aux clés de ma voiture, tu pouvais les chercher, tu n’avais aucune chance. Pour avoir essayé les menottes que j’ai oubliées dans la cuisine, tu es pardonnée. Pour avoir osé aller fouiller dans notre chambre où tu as pris le bâillon, cela mérite une punition. Es-tu d’accord ?

  • Oui André, je suis vraiment désolée ! Répond Magalie.

André se lève et va chercher les clés dans son sac pour libérer la fautive. Sandrine demande si elle peut se lever, la permission lui ait donnée sous réserve qu’elle se taise. Elle ne décolère pas mais commence à s’amuser de voir son amie en mauvaise posture.

  • Puisque tu t’es conduite comme une de gamine qui fouille dans les affaires de ses parents, tu vas être punie comme une gamine.

  • C’est à dire ? Demande Magalie inquiète.

  • Je vais te donner la fessée que tu mérites.

Attrapée par la main, elle se retrouve en quelques secondes couchée sur ses genoux. Lorsque la première claque tombe, elle se met à crier et relève les jambes. La fessée est sévère, André ne plaisante pas, il la punit réellement. Magalie se débat, lève les jambes qu’il bloque aisément avec la sienne. Elle essaye de protéger ses fesses, son bras est aussitôt attrapé et bloqué dans son dos. Elle a beau crier, supplier, pleurer, il continue de claquer ses très jolies fesses devenant rouges écarlates.

  • Aller, au coin mains sur la tête et si tu râles, je t’en donne une deuxième ! Dit André sur un ton ne laissant aucun échappatoire possible en la relevant pour la guider dans un angle du salon.

Les fesses en feu, en larmes et couverte de honte, Magalie prend la position demandée. Elle aimerait fondre et disparaître dans le carrelage tant elle est mal.

  • Que veux-tu faire de ton amie maintenant ? Demande André à sa femme. On la vire ou elle est assez punie ?

Lorsqu’elle entend ça, Magalie dit qu’elle va partir, André lui répond qu’on ne lui a pas demandé son avis et lui demande si elle veut une seconde fessée. Rabrouée et en mauvaise posture, elle se tait aussitôt.

  • Je ne sais pas ! Répond Sandrine perturbée.

  • Alors commence par aller soigner ses fesses, je crois qu’elle ne pourra pas mettre de string de si tôt pour aller à la plage.

Sandrine se lève pour aller chercher Magalie au coin, celle-ci se retourne et fond en larmes en s’accrochant à son cou. Au milieux des sanglots étouffés, elle s’excuse, se traite de tous les noms. Elle laisse emmener nue dans sa chambre par la main comme une gamine en oubliant son peignoir. Une heure plus tard avec une grosse culotte pour recouvrir ses fesses pleines de pommade, Magalie revient au salon accompagnée de Sandrine.

  • J’ai réfléchi à ce que nous allons faire d’elle. Dit Sandrine.

  • Je t’écoute !

  • Elle ne connaît le shibari que sur le net. Comme j’ai mal au dos Magalie accepte d’être ton modèle ce soir. Comme je dois aussi être vengée, j’aimerai Maître, qu’une fois qu’elle sera attachée vous me laissiez jouer un peu avec elle.

EPILOGUE

A votre convenance chers lecteurs et si vous désirez en écrire une, n’hésitez pas.

Histoire inspirée de cette vidéo de selfbondage Et merde où sont les clés.

Ecrivaillon

QUELQUES LIENS

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