Le cri du coeur de son dernier selfbondage

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il y a 7 ans

Abandonnée, soumise Katia, désespérément seule se morfond dans son appartement. Accrochée à ses souvenirs, elle regarde les photos d’eux, d’elle, de lui. Dans un grand moment de déprime, elle les a imprimées et punaisées sur les murs. Elle passe ses moments de solitude à regarder ces images de leurs séances BDSM, de leur corps à corps chauds, très chauds quand ils ne donnaient pas dans le SM hard. Son corps inassouvi malmène son esprit, réclamant des caresses, les pieux ou le massage des lanières. Ses seins, regrettant les morsures, la langue de l'amant, les doigts sadiques du Maître cèdent aux douces pensées érotiques, pointent très souvent pour un simple frôlement.

Elle se revoit empalée sur des énormes gode devant les invités, ou hurlant de plaisir carrément attachée offerte à leurs queues impétueuses. Pire encore dans leurs folies, comme lors de cette soirée, où, dans un moment de perversité extrême, il avait bloqué tous ses atours dans une ceinture de chasteté. Ce soir là, il était allé jusqu’à l’équiper d’un soutien-gorge de chasteté assorti à la ceinture. Elle avait du sucer les hommes, les soumises, pour les exciter sans même, que son corps puisse avoir une caresse. C’était sa punition pour avoir osé dire « non ».

Ce soir là, il ne l’avait pas fouettée, prêtée, baisée, ni même fessée. Elle n’avait servie qu’à exciter, nettoyer des queues, des chattes et même des culs. « C’est ça ou je te rends ta liberté et te retire mon collier » lui avait dit son Maître. Cette phrase l’avait trucidée. Déchirée par les larmes, elle avait tout accepté et s’était jetée à ses pieds. Elle avait passé la nuit à regretter d’avoir dit « non ». Ce n’est qu’au petit matin, après l’avoir obligée à lécher la chatte d’une soumise qu’il avait baisée, qu’il avait daignée lui dire qu’il l’aimait et qu’elle était pardonnée.

Lorsqu’ils était rentrés en leur logis cossu, il l’avait guidée jusqu’au donjon. « Attache-toi seule et dit-moi ce que tu as maintenant envie que je te fasse, je te le donnerai de bon coeur car je suis fier de toi. Oui je suis fier que tu ais acceptée cette sévère punition ».

« J’aimerai tout de vous, mon corps, mes orifices sont à vous, fouettez-moi au s a n g pour me faire regretter encore ma faute » avait été sa réponse. Il l’avait regardée se mettre nue, passer les bracelets à ses poignets puis monter sur le tabouret juste sous la chaîne de la poutre. Katia avait passé ses menottes dans le mousqueton avant de descendre du tabouret, et de le pousser pour s’interdire toute fuite. La tête baissée, elle avait attendu en frémissant de peur, d’envie de souffrir aussi pour lui. Ce soir là, son Maître ne l’a pas fouettée, il a juste fait claquer très fort son fouet, à chaque fois, elle en avait senti le souffle, juste le souffle. Avec douceur, il avait retiré la ceinture et le soutien-gorge de chasteté puis s’était plaqué contre elle dans son dos. Des mains il avait flatté la courbe généreuse de ses seins, il titillait ses tétons tout en mangeant sa nuque de baisers.

« Tu as déjà été punie, une fois suffit » lui avait murmuré son Maître tout en l’étreignant. En guise de punition, il la sodomisa debout tout en titillant son clitoris. Katia s’envola comme jamais sous son braquemart la dilatant comme à chaque fois. Il avait libéré ses mains et poussée sur le banc à fessée. Et là, en levrette, elle s'abandonna heureuse d'être honorée, écoutée, respectée. Elle se sentait sa chose, sa chienne.

Le lendemain, il croisa une putain de moto volée lancée à plus de deux cents kilomètres à l’heure sur une départementale. De sa voiture disloquée, on retira son corps sans vie, le motard fortement a l c o o l i s é s’en est sorti.

Après son deuil, Katia est devenue une chienne en sommeil, ses rares amants de passage sont incapables d'honorer son corps fait pour être caressé, baisé, enculé, fouetté. Le soir, elle s’enferme dans leur donjon, Elle s’attache seule sous la poutre en accrochant des poids de plus en plus lourds à ses tétons, ses lèvres intimes. Ses blocs de glace contenant les clés de ses menottes sont de plus en plus gros, de plus en plus long à fondre. Dans ses moments de selfbondage où elle s’impose de plus en plus de douleur, elle ne cherche pas le plaisir, elle cherche à expurger toute cette douleur qui est en elle.

Un lundi, en pleine crise de mal-être, elle a décidé de faire son dernier selfbondage. Katia a étudié les noeuds de pendu, tout préparé pour souffrir le plus longtemps possible avant de rejoindre son Maître en poussant la chaise. Les mains menottées dans son dos et sans ice-timer, elle ne pourra rien faire pour s’échapper de son propre piège.


Le visage ruisselant de larmes, Katia monte sur la chaise, passe la corde à son cou. Pour son dernier selfbondage, elle a accroché près d’un kilo de poids à ses pinces à sein et à chacune de ses lèvres intimes. Ses doigts tremblent, peinent à refermer les menottes. La douleur est si intense qu’elle gémit et s’essouffle. Dans la tête, un kaléidoscope diffuse les images des souvenirs de bonheur. « J’arrive Maître, j’arrive auprès de vous » répète sans cesse Katia en s’accordant encore un peu de temps, un peu de douleur.

Soudain, il apparaît devant ses yeux, lui crie « non, ne me fait pas ça. Je te regardais vivre d’en haut, j’ai trop besoin de te voir encore, je te veux heureuse ». Il pleurait en la voyant, joignait ses mains comme à la prière.

Un hurlement de détresse sort aussitôt de la bouche de Katia. Ces hurlements deviennent ceux d’une bête aux abois. Elle n’arrive plus à se résoudre à sauter. Elle souffre l’enfer. Outre la douleur et maintenant la peur, elle se désespère de ne pouvoir revenir en arrière, de ne pas pouvoir écouter ce que son Maître vient de lui crier de l’au-delà.


Dans la rue, un militaire en permission promenant son chien est saisi par le hurlement qu’il vient d’entendre. Spontanément, sans aucune hésitation, il saute le portail de cette villa et s’approche de la porte d’entrée. Les cris d’une femme raisonnent dans la maison, ils sont si puissants et horribles qu’il en frémit. Lorsque Katia se mets à hurler des « non » de désespoir, son sang ne fait qu’un tour. Abandonnant toute réserve, il prend la table en fer de la terrasse et la projette sur la baie vitrée. Convaincu qu’une femme est t o r t u r é e par un sadique, il fonce dans la maison, poings fermés, prêt à se battre. Les cris qu’il continue d’entendre lui donne des ailes, des envies de massacrer le responsable de ce qui peut être pour lui qu’une ignominie. Quatre à quatre, il monte les marches de l’escalier conduisant à l’étage de la maison pour aller secourir cette pauvre femme.

Lorsqu’il la voit nue, prête à être p e n d u e, debout sur une chaise et avec des trucs accrochés sur son corps, il se jure de mettre en pièce le fautif. Il quitte le donjon pour visiter les chambres, personne. Ses investigations sont rapides, Jack revient dans la pièce, lui crie qu’il va l’aider, qu’elle n’a plus rien à craindre. Il l’enserre de ses bras pour la soutenir pendant qu’il défait la corde. Katia pleure, tremble, gémit le temps qu’il défasse le noeud puis se met à hurler lorsqu’il la couche à même le sol, les poids accrochés à ses parties intimes et ses tétons lui font horriblement mal.

Lorsqu’il lui demande si elle sait où sont les clés des menottes, elle lui répond sans hésitation. Le militaire commence alors à se poser des questions et lui demande qui lui a fait ça. « Le motard qui a tué mon mari » lui répond Katia.

  • Il est où cet enculé ?

  • En prison !


Katia ferme les yeux, serre les cuisses, elle espère, elle le veut, le désire. Son ventre la t o r t u r e, elle adore tellement se faire enculer, se faire dilater l'anus pour atteindre des jouissances extrêmes. Devenu son Maître, son sauveur a réveillé son corps, remis en beauté sa silhouette en l’obligeant à prendre soin d’elle. Elle est redevenue une femme, une soumise aimante dans les bras de Jack.

Ecrivaillon

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