Ma meilleure amie est une lesbienne sadique

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il y a 6 ans

Le BDSM m’a toujours très attirée, le seul souci majeur est ma timidité maladive. Je me suis donc tournée vers le selfbondage et les sextoys pour satisfaire mes envies en rêvant qu’un jour, je passerai dans le monde du réel. Oups pardon, je ne me suis pas présentée. Je suis âgée de 26 ans. On me dit jolie et il est vrai que je fais de l’effet aux hommes comme aux femmes d’ailleurs qui jalousent un peu ma plastique. Un mètre soixante et dix pour soixante kilos, les yeux bleus et je suis une vraie blonde. Si je n’arrive pas à vivre ma sexualité c’est donc psychologique je le sais. Quand on me drague, je rougis immédiatement et j’ai envie de fuir.

Etre timide n’empêche pas d’avoir des envies et une sexualité puis des fantasmes. Je regarde des vidéos BDSM ou je lis des histoires érotiques sur fessestivites qui me font des choses comme tout le monde. Et, quand elles me font des choses ..... j’ouvre ma male secrète pour éteindre le feu qui couve en moi.

Au début de n’avais quasiment pas de matériel BDSM, quelques ceintures, quelques cordes puis un petit vibro acheté sur La Redoute. Le jour où je suis tombée sur ABCplaisir, j’ai fait des folies. Je me suis offerte les deux paires de menottes en promo, un bâillon, des pinces à seins, un plug vibrant, un gode et un magic wand. A partir de là, mes jeux solitaires ont pris de l’ampleur et une orientation plus musclée.

Entre filles on se dit tout, enfin presque, mais moi, je n’osais pas raconter mes petits plaisirs. Un soir, mon amie Sandrine m’a poussée dans mes retranchements pour en apprendre plus sur mon intimité mais je n’ai rien lâché. Sandrine aime les filles, elle m’a alors raconté quelques unes de ses aventures et, après quelques verres de punch, j’ai fini par me dévoiler un peu. Elle m’a tirée les vers du nez petit à petit en n’arrêtant pas de me resservir à boire. Quand elle a voulu voir mes sextoys, dans l’état où j’étais je n’ai pas pris garde. Si bien qu’elle m’a suivie dans ma chambre sans que je m’en rende compte et elle a découvert ma male secrète, où j’étais allée seule chercher mon magic wand massager sans fil. J’étais décomposée ! Cette salope a voulu tout voir, tout savoir en attrapant mes jouets. J’aurai bien aimé disparaître sous la moquette quand elle me posait des tonnes de questions.

  • Tu t’en sers avec qui de ça ? Ma demandée Sandrine en me montrant mes deux paires de menottes.

« Personne » a été ma réponse pour passer à autre chose.

  • Quoi, tu t’attaches toute seule ? Oh raconte !

  • Non, ce n’est pas ce que je voulais dire, je n’ai personne avec qui jouer.

  • Non, non non, te ne me la fait pas à moi. Tu as rougis et baissé les yeux quand je t’ai posée la question. Avoue !

  • Bon, ça va, ok, il m’arrive de mettre les menottes pour me masturber. Ca va tu es contente ?

  • Les ceintures soigneusement enroulées et les cordes, c’est pour étendre le linge ? Arrête de faire la timide avec moi ! Tu as le droit de faire tout ce que tu veux de ton corps et ce n’est pas moi qui vais te juger. Au contraire, je suis ravie de découvrir que ma meilleure amie a une sexualité. Tu veux que je t’attache ?

  • Non, cela ira, j’y arrive toute seule merci !

  • Bien, on avance ma puce, il y a quoi d’autres dans cette male, je veux tout voir parce que moi, tout ces trucs m’excitent.

Une fois que Sandrine est lancée, il est impossible de l’arrêter. Elle a vraiment tout sorti en me posant mille questions !

  • Tu sais que cela pourrait être dangereux ton truc. Imagine-toi qu’un jour tu n’arrives pas à te libérer. On pourrait faire un truc. Quand tu t’attaches, tu m’envois un texto pour me dire que tu joues. Si le lendemain tu ne m’as pas re-contactée je débarque chez toi. Un peu comme quand je sors et que je t’envois un texto avec le tel et l’adresse de là où je vais.

Deux verres de punch plus tard, Sandrine m’a attachée ! J’avais honte mais j’étais ultra excitée et j’étais un peu pompette.

  • Bon, je vais me coucher car je suis bourrée que toi. On va faire un truc, je te laisse les clés par terre dans l’entrée et tu te débrouilles pour te libérer. Je vais squatter ta chambre car je ne me sens pas de conduire. M’a dit Sandrine en me faisant une bise avant de partir, non sans me claquer les fesses en me traitant de vilaine.

La salope a éteint la lumière en allant se coucher. J’ai du ramper à l’aveugle pour aller attraper les clés et me libérer. J’avoue que cela m’a donnée des idées pour mes futurs selfbondages. Je transpirais à grosses gouttes parce que j’étais obligée d’aller vite sans quoi, j’allais finir par me pisser dessus. Une fois libre, je suis allée prendre une douche avant de me coucher. Sandrine ronflait comme un tracteur et ne s’est même pas réveillée quand je l’ai poussée. Le lendemain, après le café, elle est revenue à la charge en me disant qu’à partir de maintenant, quand je m’attacherai, je devrai lui envoyer un texto de sécurité.

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Cette soirée a énormément titillée mes pensées et fouettée ma libido. Si bien que le lendemain, j’ai envoyé un texto à Sandrine. C’était à la fois très gênant et à la fois excitant. Lorsque je me suis attachée, avant de menotter mes mains dans le dos, j’ai éteint la lumière pour augmenter le temps de bondage. La grosse variable entre la soirée de la veille et ce jour là, c’est que j’étais nue puis que j’avais des choses qui vibrent dans les orifices et des pinces sur les tétons. Mon imagination s’est mise à gambader. Je m’imaginais bloquée et que Sandrine débarquait pour me libérer. Elle me laissait un peu souffrir et prenait un café en commentant les mouvements du vers de terre que j’étais...... Ce soir là, j’ai joui deux fois. Une pendant le selfbondage, une autre fois dès que mes mains ont été libérées.

TEXTO : Je vais bien, bonne nuit.

TEXTO de Sandrine : génial je viens de me faire une petite salope.

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Trois jours plus tard, je lui ai adressé un texto de sécurité. J’avais décidé ce soir là d’essayer de me faire un Hogtied avec les nouvelles cordes de shibari que je venais de m’acheter. Sur la table du salon, j’avais mis en évidence mon magic wand massager. Il serait ma récompense une fois libre. J’ai donc lié mes chevilles, mes jambes et fait des tours de corde autour de ma poitrine et mes épaules. Les menottes étaient bloquées dans la corde, les clés étaient dans un bol posé par terre à côté de la table. Juste avant de me menotter, j’ai posé les minces sur mes tétons, mon bâillon et mis en route mon petit plug vibrant. Hummm, un délice.

J’étais en train de fantasmer comme une malade en tirant sur mes cordes quand j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir. J’étais blême ! Que cette salope de Sandrine me voit nue ne me dérangeait pas, mais qu’elle me voit avec tout ça..... la honte.

  • Salut ma cochonne ! Je voulais voir si tout allait bien ! M’a dit Sandrine en s’approchant de moi pour m’inspecter.

Je l’aurai tuée !

  • Oh tu as oublié de mettre ton magic là où il faut ! Attend, je vais t’aider, ne bouge pas !

Comme si j’avais pu bouger ! Sans aucune gêne, cette salope l’a pris sur la table puis est venue le coincer en haut de mes cuisses en f o r ç a n t un peu pour y parvenir à cause des cordes. Une fois en place, elle l’a mis en route, et moi j’ai bondi de surprise même si je savais qu’elle allait le faire. A la suite de quoi, elle a pris une des cordes qui restaient et a complété le Hogtied en m’obligeant à me plier un peu plus en rapprochant mes pieds de mes épaules. Elle a tellement tiré que j’étais presque en appui sur le nombril !!!!! J’avais beau râler, comme je pouvais à cause du bâillon, elle a fait ce qu’elle voulait et s’est même offert un café en me regardant « vibrer » ».

  • Allez ma puce, je te laisse, n’oublie pas de m’envoyer un texto quand tu seras libre.

Cette garce a éteint la lumière en partant ! Enfin seule, j’ai pu me décontracter et savourer les vibrations..... J’ai pris un pied d’enfer avec le magic, sauf que je n’avais pas accès au bouton pour l’arrêter et que c’est devenu vraiment trop fort. Il fallait que je me libère rapidement car je n’en pouvais plus. En bougeant comme je pouvais, je suis arrivée à me rapprocher du bol contenant les clés et à faire tomber le magic qui continuait de vibrer sur le plancher. Après avoir renversé le bol d’eau glacée, j’ai pu attraper ----> un glaçon ! Il n’avait fondu qu’à moitié.

Le vibro sur le plancher faisait un bruit infernal, j’avais peur que mes voisins finissent par réagir. Pour faire fondre le glaçon je me suis gelé les doigts pendant un moment que j’ai trouvé très long. Les clés enfin libres, j’ai pu m’attaquer aux menottes sauf que, les doigts gelés, c’est plus difficile et surtout plus long. Les mains libres, j’ai pu couper le vibro mais ayant tiré sur les cordes, les noeuds ont été difficiles à défaire. J’étais en nage quand je suis arrivée à la salle de bain pour prendre une douche salvatrice.

TEXTO : Salope !

TEXTO de Sandrine : j’ai adoré et je me suis branlée en pensant à toi, je t’aime !

La douche m’a donnée une idée. Sous la couette j’ai commencé à gamberger pour un selfbondage dans la baignoire. Les « gambergements » coquins donnant des envies..... j’ai n’ai pas eu d’autres choix que de les apaiser.

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Depuis presque un an maintenant, j’envois un texto à Sandrine chaque fois que je joue. Elle m’a encore fait des coups pendables, je vous les raconterai un autre jour car là, mon ice-timer doit être prêt.

Bisous

Ecrivaillon

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