Les confessions érotiques d’une soumise maso insatiable

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il y a 3 ans
Le BDSM a changé ma vie. Il a révélée ma vraie nature. Au départ j’étais libertine, cela m’a amusée un temps, je l’avoue mais bof. C’est toujours pareil, et il faut faire avec les queutards égoïstes n’ayant qu’un but, leur plaisir. Le BDSM par contre, avec mon Maître, c’est l’inverse malgré les apparences.

Avec lui je suis devenue une soumise, maso assoiffée de sexe sous toutes ses formes. D’autres diront « salope », un mot débile que je déteste. Si tu dis que je suis une salope et que tu accepte que je te traite de salop, alors on peut s’entendre.

On peut s’entendre parce que ces mots peuvent être remplacés par gourmandes, gourmands, pour parler de personnes aimant les plaisirs débridés, que la vie nous offre. Ce ne sont pas des injures ou un manque de respect, s’ils peuvent être utilisés au féminin comme au masculin.

Comment tout a commencé.

Nous étions dans un club libertin, mon ex se tapait une brunasse, ça change.. et j’étais au bar. J’avais eu ma dose de sexe. Pendant que je sirotais un cocktail, un homme m’a abordée, pas pour me draguer ou simplement essayer de me conduire dans un coin câlins, juste pour discuter. Quand il m’a demandé si je connaissais le BDSM sexuel, je lui ai répondu « oui, des filles attachées que l’on fait baiser ». Sa réponse m’a surprise.

  • Si cela se limite à ça, c’est du BDSM sexuel de primates ! Le BDSM sexuel a pour but d’exciter la soumise, de lui faire quelques misères sexuelles pour la faire vibrer, lui donner du plaisir, pour la rendre folle de désir, et parfois même, la faire jouir sans même la baiser. Le but du BDSM sexuel, est le plaisir de la soumise avant tout. Celui du Maître, est alors principalement cérébral, même si la conclusion est souvent un rapport sexuel.

La discussion a durée un long moment, comme le contact était très agréable, nous avons échangé nos « 06 ». Trois mois plus tard, mon couple explosait pour x raisons, autres que le libertinage. Passée le moment de peine, même si c’est moi qui ait fini par le virer, un soir de grande déprime, j’ai adressé un texto à CoquinSM, pour lui dire que je n’aurai rien contre une soirée découverte.

Depuis cette soirée là, le BDSM a changé ma vie !

Pour que je sois rapidement dans l’ambiance, et que je prenne un maximum de plaisir sans blabla, il m’a proposée d’entrer dans le vif du sujet dès mon arrivée.

  • Le champagne, ce sera après que tu ais joui plein de fois ! M’a indiquée CoquinSM.

Jouir plein de fois sonnait bien à mes oreilles.... J’ai donc accepté ses règles.

A peine arrivée, il m’a dit « A poil ». En guise de bonjour, cela surprend ! Etre vue nue ne me posant aucun problème, je me suis exécutée. Avec un regard malicieux, il m’a posée avec douceur des bracelets de bondage aux poignets et aux chevilles. J’étais un peu perdue quand, au lieu de me pousser vers sa chambre ou son canapé pour me sauter, il m’a entravée debout bras et jambes écartées.

Quand il est arrivé avec un martinet, je me suis dit « là tu es mal ». En fait non, pas du tout, il me tournait autour comme le loup autour de la brebis en me flattant avec les lanières. Cela n’avait rien de douloureux. Au bout d’un moment, il a mis le manche du martinet dans ma bouche en me recommandant de ne pas le laisser tomber, si je ne voulais pas souffrir, puis il a accroché des pinces à clochette aux lèvres de mon sexe puis à mes tétons. Ses doigts ont commencé à visiter ma chatte, un peu comme s’il voulait faire connaissance.

Lorsqu’il a récupéré son martinet et a commencé à me fouetter un peu plus fortement qu’au début, les clochettes s’animaient et tintaient à chacun de mes mouvements. C’est comme ça que j’ai découvert, qu’un martinet cela peut être très agréable sur tout le corps. Quand j’ai commencé à être très « chaude », il a pris une sorte de ceinture et un espèce de vibro en forme de micro. Après avoir fixé la ceinture à ma taille, il a bloqué le vibro contre mon sexe et a repris son martinet en me disant « maintenant tu vas chanter pour moi ».

Si les vibrations échauffait grandement mon chaton, les lanières de son martinet échauffaient tout le reste de mon corps. Il a retiré les pinces de mes tétons pour me fouetter que les seins. Ce n’était pas très fort, c’était juste bon, et avec le gros vibro ...... j’ai vraiment commencé à sentir monter le plaisir en moi. Quand il a vu que je commençais à décoller, il a fait semblant de me battre sauvagement. Traduction : il armait son bras très haut comme pour me frapper à pleine puissance, mais il retenait les coups. Petit à petit, il a augmenté la puissance en me fouettant un peu plus fort. J’ai vraiment aimé ces sensations de plaisir dans la douleur. Soumise au vibro sous des coups de martinet, essayez les filles, quand c’est bien fait, on décolle.

Vous l’aurez compris, j’ai joui, et comme il ne s’est pas arrêté et n’a pas coupé son « putain » de vibro, c’était trop fort. Pour la première fois de ma vie, je ne voulais plus qu’on me fasse jouir. Cela n’a pas duré ! Après plusieurs orgasmes, il a eu pitié de moi. Quand il m’a libérée, s’il ne m’avait pas soutenue, je me serais écroulée comme une carpette sur le sol.

En guise de champagne, je n’ai eu droit qu’à un verre d’eau ! Et pour cause, il n’en n’avait pas fini avec moi. Conduite à sa chambre, j’ai du me mettre à quatre pattes sur le lit. J’ai compris qu’il avait envie de me prendre en levrette, je n’étais évidement pas contre, même si j’étais fatiguée, avec tout le plaisir qu’il m’avait donnée, je ne pouvais pas refuser.

Encore une fois, CoquinSM n’a pas fait comme tout le monde. Il a lubrifié mon anus, ce qui m’inquiétait un peu car je ne suis pas, (pardon, je n’étais pas) très anale. Au lieu de me sodomiser, il m’a insérée le plug d’une petite queue de chienne. Après m’avoir posée un collier autour du cou, il a posé la laisse sur mon dos en m’ordonnant de ne pas bouger. Je l’ai vu se dévêtir et enfiler un préservatif. Attendre comme ça à quatre pattes sur le lit avec une queue et un collier, cela m’a perturbée.

Il n’arrêtait pas de me dire que j’étais belle, belle dans le plaisir, belle dans mon abandon et belle tout simplement. Reconnaissez que cela change de « salope »....

Ce qui devait arriver arriva, le préservatif ce n’était pas pour protéger de la poussière ! Au lieu de me prendre comme un assoiffé de sexe, il a été doux. Monsieur prenait son temps ! Ses mouvements étaient lents, il jouait avec ma queue et tirait légèrement sur la laisse. Parfois, il se penchait sur moi pour venir caresser mon petit bouton, avant de le délaisser et de recommencer son jeu d’allumage de pauvre petite soumise, qui commençait à avoir envie de plus hot !

  • Sans nulle offense dans le mot que je vais employer, si la petite chienne désire quelque chose de plus intense, elle n’a qu’à agiter ses reins comme une chienne en chaleur !

L’enfoiré, me traiter de chienne en chaleur, alors qu’il faisait tout pour me rendre justement chienne en chaleur ! ! ! Et le pire c’est qu’il n’avait pas tord sur le parallèle avec l’animal, parce que mentalement, j’étais un peu comme ça. Il s’est mis à tirer sur la laisse, ce qui se reportait sur mon cou.

Ce que je vais décrire va vous sembler fou, mais tel a été mon vécu.

Ma chatte a pris les commandes, elle a ordonné à mes cuisses de s’agiter pour l’empaler. En abandonnant la « gestion de mon moi », mon cerveau est entré en ébullition, avant de se concentrer uniquement sur les sensations.

  • Celles du collier pour commencer, il m’étranglait un peu et créait à lui seul une « ambiance ».

  • Celles du plug de la queue de chienne, que je sentais bouger surtout quand son ventre claquait contre mes fesses.

  • Celles de ma chatte devenant de plus en plus gourmande et demandeuse.

  • Celles de ma position de chienne, car là, j’en devenais une, il avait raison le bougre !

Au bout d’un moment, CoquinSM a décidé de prendre les choses en main, si on peut dire comme ça. Il a tiré la laisse encore plus fortement et m’a défoncée. Au moment ou j’ai joui à en perdre la raison, au plus il m’étranglais, au plus c’était bon.

Il a su se retenir « le bougre » ! Dans SA dernière ligne droite, il s’est retiré et a arraché le préservatif. Attrapée par le cheveux par une main très ferme, j’ai été conduite au bord du lit. Et là il a crié « ouvre la bouche, j’ai du bon jus de Maître pour toi ». Je l’ai bu, mais pas que, j’avais envie d’honorer de mes lèvres cette verge qui m’avait rendue si heureuse.

En galant homme, il m’a embrassée ensuite avant de me donner un peignoir et de murmurer « champagne ». J’ai vu son visage heureux, presque attendri et non pas celui de certains libertins, qui affichent parfois la fierté, comme si baiser une nana pouvait la justifier.

Quand il a voulu retirer le collier de chien, je lui ai demandé si je pouvais le garder encore un peu, pendant qu’on buvait le champagne. Je suis partie avec ce collier et depuis cette nuit là, je ne lui ai jamais rendu.

EPILOGUE

CoquinSM m’a fait explorer beaucoup de choses, je l’ai même un peu poussé parfois dans le SM. Par exemple, le martinet et le vrai fouet sur la chatte. cela fait mal mais qu’est-ce que c’est bon ! Au début, il ne faisait que claquer légèrement parce qu’il avait peur de me faire trop mal, maintenant quand je suis chaude, il ne l’épargne plus.

Il m’a révélée. J’aime qu’il me brutalise (avec amour) j’aime qu’il m’humilie (avec respect).

Le libertinage ne m’intéresse plus. On jouit beaucoup plus mentalement et physiquement avec le BDSM. Je ne suis pas opposée à un trio ou plus, mais uniquement si c’est BDSM. Cela n’arrive que rarement, quand il a l’occasion et surtout l’envie de ME faire plaisir avec ses plans de « salop ».

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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