La saga infernale d'un jeune soumis

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il y a 5 ans

Je venais d'avoir dix huit ans quand une jaunisse me cloua au lit pendant près d'un mois. Nous étions en Avril. Après ma guérison les docteurs décidèrent que je devais suivre une convalescence de trois mois au moins et qu'il n'était donc pas possible que je retourne au lycée.

Le fait d'échapper au troisième trimestre n'était pas pour me déplaire; j'avais eu de bonne notes et les cours par correspondance suffisaient pour mon passage l'an prochain. Mais là où j'eus du mal à jouer les malades et à cacher ma joie c'est quand mes parents, au lieu de me garder à la maison ou de m'envoyer dans un établissement spécialisé, demandèrent à ma tante Rose si elle pouvait me garder jusqu'à la fin des vacances.

Rose était la sœur aînée de mon père, elle avait une fille, ma cousine Martine qui devait avoir dans les vingt cinq ans. Je l'avais toujours connue seule sans savoir si elle était veuve ou divorcée. Elle habitait une grande maison dans une petite ville à 150 kilomètres de chez nous et souvent gardait l'un de mes frères ou ma petite soeur. Mais sans aucun doute c'était moi le chouchou. J'allais être gâté comme un patachon, je pourrai aller me promener avec la mobylette de Martine mais surtout, j'allais échapper à la surveillance de mes parents, frères et soeurs et m'adonner à ce qui était devenu mon occupation préférée: la masturbation. Bref ces grandes vacances avaient déjà un goût de paradis.

Le soir où Tati Rose vint me chercher, ma valise était prête depuis le matin.

Nous arrivâmes très tard. Après m'avoir aidé à monter mes affaires dans la chambre elle me dit. "Couches-toi, il faut que tu te reposes, nous rangerons les affaires demain, je téléphone à tes parents leur dire qu'on est bien arrivé et ensuite je viens te dire bonsoir."

Je me mis rapidement en pyjama et entrai dans le lit en emportant une des revues porno que j'avais achetées la veille au kiosque près de la gare. Je sentis quelque chose de bizarre, le drap glissait et chacun de mes mouvements faisait un bruit de froissement, je passai la main sous le drap et reconnus au toucher une alaise en caoutchouc comme il y en avait à la maison sur le lit de Cathie. Je m'allongeai de tout mon long, repoussant le bouquin au fond du lit, caressant mon sexe d'une main et le caoutchouc de l'autre.

J'avais atteint une forte érection quand j'entendis des pas et la porte s'ouvrir. Rose entra et alla vers la fenêtre. "Je vais tirer les tentures pour que tu ne te réveilles pas à cause du jour." Puis elle s'approcha et s'asseya sur le lit pour m'embrasser: "Suis-je bête," dit-elle "j'ai oublié d'enlever l'alaise que j'avais mise pour ta petite sœur, tant pis, on ne vas pas défaire le lit maintenant, je la sortirai demain. Un grand garçon comme toi n'en a plus besoin." Elle avait glissé la main sous le drap et, involontairement, la posa en plein sur ma verge érigée qu'elle serra entre ses doigts.

"Qu'est ce que c'est que ça? fais voir." Elle saisit mon poignet, porta ma main à son visage et renifla mes doigts. "Tu étais en train de te tripoter petit sale!"

Le ciel me tombait sur la tête ! Elle tira les draps jusqu'au pied du lit et découvrit le bouquin. "Et ça c'est quoi ? Un remède que t'a donné le docteur peut-être ? Retourne-toi !"

Je me mis à plat ventre et enfouis ma tête dans l'oreiller. Je sentis qu'elle saisissait l'élastique de mon pantalon et elle le descendait jusqu'aux genoux.

"Cochon! je vais te soigner moi, je la connais ta maladie de sale petit pervers." Elle ponctuait ses phrases de retentissantes claques sur mes fesses exposées. J'avais tellement honte que je ne ressentais pas la douleur.

"Remets-toi sur le dos, non seulement tu vas garder l'alaise dans le lit, mais en plus je vais te mettre une culotte spéciale pour t'empêcher de salir les draps."

Elle alla prendre quelque chose dans le placard. "Elle était trop grande pour ta petite sœur mais pour toi elle ira bien en serrant un peu." C'était une culotte de bébé en plastique translucide, avec des pressions. Elle m'enleva le pantalon du pyjama, me fit lever les fesses, glissa la culotte sous moi, elle rabattit le devant et ferma les pressions sans difficulté car ma verge était redevenue molle.

"Ca me rappelle quand tu étais petit et que je te gardais souvent, je te langeais dans de grosses couches en coton, il n'y avait pas de Pampers à l'époque, et les culottes étaient en caoutchouc, on appelait ça des bambinettes, et d'ailleurs ton surnom c'était Bambi, à cause de tes culottes en caoutchouc. Il faudrait d'ailleurs que je t'en retrouve, c'est tout à fait ce qu'il faut pour ce que tu as là!" Elle avait gardé sa main sur mon sexe qui avait recommencé à grossir et à raidir. "Ne t'avises pas à l'enlever et gare à toi si tu la déchires!"

Elle remit les draps en place et alla vers ma valise. "Je te prends tes slips car tu n'en as plus besoin à présent et ça aussi petit pervers." Elle avait trouvé les trois autres livres porno.

"Bonne nuit Bambi." Elle sortit de la chambre en éteignant la lumière et fermant la porte à clé derrière elle.

Chapitre 2 : Nouvelles émotions pour Bambi

Jamais, dans mes rêves érotiques, mon imagination ne m'avait amené aussi loin.

La culotte plastique, à la place de mon pyjama, était là pour me rappeler que ça n'était pas un rêve. Malgré ma honte et l'angoisse de ce qu'il allait advenir de moi, le souvenir des paroles de Rose et de sa caresse trop fugace sur mon sexe me maintenaient dans un état d'excitation indescriptible. Une main frottant le caoutchouc de l'alaise sous le drap, je me masturbais de l'autre avec frénésie jusqu'à atteindre l'orgasme, ma queue battait fort et je sentis l'éjaculation contre mes doigts à travers le plastique de la culotte. Soulagé et épuisé, je m'endormis.

Je ne me réveillai qu'au matin quand Tati Rose entra dans la chambre et ouvrit les volets. La culotte me serrait à la taille et aux cuisses, et en plus elle était collante ce qui la rendait très inconfortable. Elle revint vers le lit, tira les draps, et passa sa main sur mon bas-ventre. "On dirait que tu as fait une grosse saleté là dedans. Allez debout et descends à la cuisine, le petit déjeuner t'attend." je me levais et attrapais le pantalon de mon pyjama mais Tati Rose me le sortit des mains. "Non descends comme ça, Bambi." Elle me tapota gentiment le derrière par dessus la culotte et me suivit à la cuisine.

Après le petit déjeuner elle me fit monter à la salle de bains pour la toilette, elle m'ôta la veste du pyjama et je restai en culotte plastique. "Tati, j'ai envie de faire pipi" dis-je timidement. "Attends, je t'enlève la culotte." Elle se colla dans mon dos me ceintura des deux bras et défit les pressions de la culotte sur le devant. Puis elle s'écarta et une main par devant et l'autre par derrière, elle descendit la culotte entre mes jambes. "Regarde petit cochon les saletés que tu as faite dans la jolie culotte de ta petite sœur, n'as tu pas honte ? Je devrais te la faire lécher." Elle mit la culotte sous mon nez et me frotta le visage avec. Je pleurais de honte. "Vas au cabinet mais laisse la porte ouverte, et ne reste pas debout, assieds toi comme une fille. D'ailleurs je vais t'acheter un pot rien que pour toi."

Elle me fit mettre debout dans la baignoire et après avoir réglé la température de l'eau, elle ôta sa blouse. Elle ne portait dessous qu'une culotte et un soutien-gorge, malgré ses quarante cinq ans passés, elle avait un corps splendide, elle était sportive, faisait de la danse et enseignait la gymnastique. Elle enfila un tablier en plastique brillant, des gants de ménage en caoutchouc et commença à me savonner avec une grosse éponge.

Sa main s'attardait sur mes fesses, mon entrejambe puis vint sur mon sexe qui répondit aussitôt à cette attention. Elle mit un pied dans la baignoire, me ceinturant de la main gauche elle me plaqua contre son tablier et entreprit de me masturber de la droite. J'avais les bras ballants et, comme un idiot, me laissait faire en haletant. Rapidement elle m'amena à l'orgasme, mon sperme jaillit sur la faïence où il laissa des traînées blanchâtres.

"Nettoies ça, rince-toi et commence à te sécher, je vais chercher tes affaires, Bambi" dit-elle en m'administrant une forte claque sur les fesses avec sa main caoutchoutée.

J'étais abasourdi par tout ce qui s'était passé depuis hier soir. J'éprouvais une honte incroyable mais pourtant jamais l'idée de me révolter contre la façon indigne dont j'étais traité ne m'était venue à l'esprit. J'aimais Tati Rose depuis toujours mais de l'avoir vue presque nue avaient décuplés mes sentiments et surtout il y avait ce plaisir inouï qu'elle m'avait donné de sa main caoutchoutée, j'avais envie qu'elle me donne des ordres, j'avais envie de lui obéir, toute velléité d'indépendance avait disparue de mon esprit.

Chapitre 3 : Tati Rose et Bambi font des emplettes

Elle revint vêtue d'une robe coquette, je dus enfiler une gaine culotte extensible au fond doublé de plastique qui enserrait mon sexe et mes testicules entre mes cuisses, ensuite vint un pantalon et un T-shirt. "Vas mettre tes souliers pendant que je sors la voiture, dépêche-toi car nous ne sommes pas en avance." "Oui Tati." répondis-je humblement.

Le premier magasin fut une quincaillerie. A l'évidence Tati Rose connaissait la patronne, "Bonjour Monique." dit-elle en poussant la porte. "Ah bonjour Rose, comment vas-tu ? et voila ton neveu Jérôme dont tu m'as parlé, qu'il a grandi !

  • J'espère qu'il ne te pose pas trop de problème."

"Justement je venais un peu pour lui, je voudrais un martinet. "Regardes tu les as derrière toi." répondit Monique. Rose attrapa un de ces horrible engins le mis sous mon nez et le remua en guise de menace. J'étais paralysé de honte, j'aurai voulu trouver un trou de souris pour m'y réfugier. Monique enchaîna: "Tu devrais lui faire porter des culottes courtes, quand il aura reçu quelques cinglées sur ses cuisses nues, tu verras qu'il filera doux. N'est-ce pas Joël?" Elle se retourna vers un garçonnet d'une quinzaine d'années, en culotte courte, qui baissa la tête en rougissant.

Tati Rose acheta d'autres articles dont deux petits colliers pour chats, avec des clochettes, ce qui me parut étrange car je n'avais vu aucun chat chez elle. Puis elle régla ses achat et je me dirigeais vers la porte, soulagé de quitter cet enfer et le regard sarcastique de Madame Monique, lorsque Rose se ravisa.

"Ah! j'oubliais, il me faudrait un pot de chambre pour lui. Tu sais comment sont les garçons avec leur petit robinet ils laissent toujours des gouttes dans leur slip ou par terre ou sur l'abattant. J'ai interdit à Jérôme d'utiliser mon siège il lui faut donc un petit pot à lui." "Oui, je vois." Répondit Monique. "J'ai exactement ce qu'il te faut mais ils sont chez moi au dépôt. Si tu veux je te l'amène, voyons pas ce soir mais demain soir c'est possible." "Entendu, amène Joël aussi, comme ça ils feront connaissance et si tu veux il pourra dormir à la maison. Alors à demain soir." Enfin nous sortîmes du magasin.

"S'il te plaît Tati Rose rentrons à la maison, je vais mourir de honte." Suppliais-je lorsque nous furent dehors. "Tu n'as rien trouvé à redire tout à l'heure dans la baignoire, alors à présent tu fais ce que je te dis et arrête de pleurnicher comme un bébé." Répliqua-t-elle sèchement. "A présent nous allons à la pharmacie." Lorsque vint notre tour, Tati Rose me pris par le poignet et s'approcha du comptoir. "Je voudrais des culottes d'incontinence en plastique." demanda-t-elle à le vendeuse. "Oui quelle taille?" demanda celle-ci. "C'est pour ce jeune homme." dit Rose. J'ai cru que le sol se dérobait sous mes pieds, j'essayais de faire demi-tour pour fuir mais Tati avait prévu ma réaction et serra mon poignet avec tant de f o r c e que les larmes me montèrent aux yeux.

"J'ai du quatorze ans, sinon il faut passer au 42." dit la vendeuse, elle attrapa quelques boites sous le comptoir et les ouvrit. Elle en sortit une culotte en plastique translucide, elle passa les mains à l'intérieur et étirant l'élastique de la ceinture, elle approcha la culotte de ma taille. J'étais au comble de l'humiliation. "Ca risque à être un peu juste, il lui faut du 42." Dit la vendeuse sur un ton professionnel. "Bien, donnez m'en trois alors, et je voudrais aussi deux culottes ouvrantes." dit Rose.

"Là je n'ai plus que du quatorze ans, mais ça porte grand, seulement c'est des culottes de fillette, elle sont doublées extérieurement en tissu rose. " Répondit la vendeuse. "Ca n'a pas d'importance, ça n'est pas pour aller au bal qu'il va les porter." répondit Tati Rose. Tout le magasin éclata de rire. Sauf moi bien sur. J'étais rouge de confusion et de honte, à peine sorti de la pharmacie, je fondis en larmes en hoquetant.

"Allons Bambi, ne pleure pas, tu étais bien content la nuit dernière d'avoir la culotte de ta petite soeur, à présent voila que tu en as cinq pour toi tout seul, tu vas pouvoir faire tes petites saletés dedans!" Les larmes coulaient encore sur mes joues quand nous sommes arrivés à la voiture.

Une fois assis, avant de démarrer, Tati Rose m'entoura les épaules du bras droit et posa sa main gauche sur mon sexe. Après un bref baiser sur mes lèvres, elle murmura à mon oreille: "Encore un magasin à faire et on rentre à la maison pour s'occuper de ton petit machin." Une fois encore j'étais subjugué.

Elle m'amena dans un grand magasin de vêtements pour m'acheter des pantalons à jambes courtes, et aussi des shorts de fille aux couleurs criardes. "Pour ta gymnastique." dit-elle, et aussi un justaucorps extensible. "Pour ta danse." Le plus humiliant fut que je dus tout essayer sous les yeux de la vendeuse qui, la première surprise passée, s'amusa beaucoup de voir un grand garçon en gaine culotte. Pour terminer elle me fit enfiler une culotte plastique par dessus la gaine, puis une culotte courte et un ridicule T-shirt qui arrivait à peine à la ceinture avec un dessein de Donald sur le devant.

Elle s'arrêta une dernière fois devant le Secours Catholique pour y déposer un paquet. "Ce sont tes pantalons, tu n'en as plus besoin à présent, tes slips je les ai mis aux ordures ce matin." Dit-elle en redémarrant.

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