Fessé par la maman d’Aubry

Catégories : Hommes fessés
il y a 5 ans

Après des années, en y repensant, les fessées que reçut mon camarade Aubry étaient toutes largement méritées. Bien malgré moi, il m’est arrivé d’assister à l’une de ses fessées mémorables de la main de sa mère. C’était une très jolie femme dans la quarantaine – et ça je peux l’affirmer clairement avec le recul – toujours vêtue avec élégance, mais combien impressionnante d’autorité et de sévérité envers ses e n f a n t s, Aubry et Magaly ! Et pour ça elle m’impressionnait terriblement !

Nous avions des voisins qui avaient nommé leur villa « Ma campagne », ce qui collait bien à sa situation puisque par rapport à notre cité, leur maison était en retrait de la rue et placée entre champs et prairie. Dans le jardin il y avait un toboggan et une grande balançoire. Et bien sûr, on attendait que les propriétaires s’absentent pour aller jouer chez eux. C’est là que je commis une gaffe stupide sur un copain qui m’a valu une fessée de sa mère.

Aubry aimait une chose en particulier : jouer avec des allumettes. Cela nous faisait un peu peur et systématiquement nous l’en empêchions autant que possible. Un jour, alors que Didier, ma cousine Marie-Pierre, Tony et moi étions réunis, Tony eut une idée : pourquoi ne pas faire peur à Aubry ? Nous nous sommes mis d’accord : il fallait qu’il cesse de jouer avec le feu !

Tony, qui avait toujours plus d’un tour dans son sac, attrapa une grosse araignée qu’il plaça dans une boîte d’allumettes. (Moi je craignais ces bestioles, mais pas lui !). Ceci fait, il offrit la boîte à Aubry qui la mit dans sa poche sans méfiance. Au bout d’un moment, alors que nous jouions, Aubry sentit quelque chose remuer dans sa poche et y plongea une main quand on entendit sa mère crier au loin.

« Aubry, à table ! »

Feignant de ne pas entendre, il sortit la boîte d’allumettes et l’entrouvrit prudemment. Quand il aperçut des pattes commencer à sortir, il la laissa tomber par terre en hurlant.

« Maman ! Maman ! »

Sa mère fut rapidement sur les lieux trouvant son fils en larmes. Comme elle lui demandait pourquoi il pleurait, il nous accusa d’avoir mis une grosse araignée dans la boîte d’allumettes.

« Et que faisais-tu avec une boîte d’allumettes ? » le questionna durement sa mère plutôt mécontente.

« C’est Tony qui me l’a donnée ! »

« Ah oui ? Rentre tout de suite à la maison ! »

« Mais Maman !… »

« Il n’y a pas de mais, Aubry ! Rentre et va dans ta chambre ! »

Il fila sans demander son reste et sa mère nous regarda d’un air accusateur. Marie-Pierre, qui avait senti que les choses allaient mal tourner pour nous, eut le temps de partir. Quand la mère d’Aubry me saisit pas un bras, Tony prit peur et détala à toute vitesse.

« Je vais avertir ta mère, Tony ! Tu vas la sentir passer, je te le garantis ! » lui cria-t-elle, furieuse.

Elle resserra sa prise autour de mon bras pour prévenir tout mouvement de fuite de ma part.

« Quant à toi Herbert, tu viens chez moi, nous allons nous expliquer ! »

Je savais trop bien comment elle punissait Aubry et le ton de sa voix ne me laissait aucune illusion sur mon compte. Une fois chez elle, elle me demanda ce qu’il s’était passé.

« Ben… euh !… »

« Herbert regarde-moi quand je te parle ! Réponds à ma question !… Je t’écoute ! »

Je n’en menais pas large à 12 ans face à une dame très jolie certes, mais déterminée à venger son fils d’une mauvaise blague.

Je me mis à bafouiller des tas d’explications confuses dont l’une eut le don de lui faire tendre l’oreille quand je dis qu’Aubry aimait beaucoup jouer avec des allumettes.

« Tiens, c’est nouveau, ça ! »

Et la seconde d’après :

« Aubry descends immédiatement ! »

Les vibrations de sa voix se transmirent aussitôt à mon corps et je me mis à trembler. J’entendis Aubry se précipiter dans l’escalier, avec un « oui, Maman ! » de garçon obéissant. Il pleurait de frousse.

« Garde tes larmes, Aubry, tu vas en avoir besoin dans un instant ! »

Mon camarade ne fit aucune difficulté pour avouer sa passion funeste pour les allumettes, de préférence celles que l’on fait craquer sur des supports râpeux pour les allumer.

« Baisse ta culotte et ton slip ! »

« Mais Maman… il y a Herbert ! »

« Et alors ? Herbert ou pas, obéis et penche-toi sur la table ! »

Je le vis se déculotter puis se courber au-dessus de la table, son derrière nu en évidence. Sa mère sortit d’un tiroir une mince ceinture en cuir rouge qui devait lui appartenir au vu de sa finesse. Mon camarade devait savoir ce qui l’attendait, mais moi, spectateur involontaire et transi, j’étais très anxieux car si je recevais parfois le martinet, jamais je n’avais été fouetté à coups de ceinture comme Aubry avait l’habitude d’en prendre.

Sa mère replia la ceinture en deux et leva le bras. Je perçus un bruissement dans l’air puis le claquement sec du cuir frappant les fesses d’Aubry qui sursauta en poussant un s a n g lot tandis qu’une rayure rose barra ses fesses blanches par le travers.

Sa mère réarma son bras qui se détendit et une deuxième rayure naquit parallèlement à la première. A chaque cinglée, mon camarade se cabrait légèrement sans pour autant changer de position. Il pleurait désormais de façon continue, toutefois ses pleurs restaient discrets ne se rehaussant que lorsque la ceinture enlaçait ses fesses ou ses cuisses.

La fouettée fut plutôt brève et après une dizaine de cinglées, sa mère lui ordonna de se redresser et d’aller se mettre au coin, mains sur la tête, sa culotte toujours baissée. Ses fesses et ses cuisses s’illuminaient de rayures rouges, certaines même écarlates, et qui parfois se chevauchaient.

Sa mère le sermonna longuement, lui décrivant les dangers que pouvaient receler les allumettes pour soi et les autres et s’assura qu’il avait bien compris. Pour ma part, j’admirai Aubry qui avait subi cette correction avec stoïcisme et sans trop de s a n g lots. Ensuite, il y eut un moment de flottement pendant lequel je me suspendis aux gestes de cette femme dont je savais que j’avais tout à craindre à présent. Quand elle rangea la ceinture dans le tiroir, je me sentis soulagé… le temps d’un soupir seulement !

« Herbert, à 12 ans tu es plus grand qu’Aubry et devrais donc être plus raisonnable car tu sais qu’on ne joue pas avec des allumettes. Alors pourquoi l’as-tu laissé faire ? »

Sa voix n’était pas trop sévère. C’était plutôt un ton de reproche peu agréable mais pas alarmant.

« Mais, Madame, je ne savais pas que Tony avait mis une araignée dans la boîte ! »

« Je ne parle pas de Tony et de sa blague stupide mais de toi ! Depuis le temps que vous vous connaissez, Aubry et toi, pourquoi ne l’as-tu pas empêché ? Et pourquoi n’es-tu pas venu me le dire ? »

Ses remarques étaient imparables et, au passage, je me sentais flatté qu’elle me traite comme un grand garçon. Tandis qu’elle me parlait, je la vis prendre une chaise de la salle à manger et s’asseoir.

« Viens près de moi, Herbert ! »

Je m’approchai d’elle, saisi à la fois par le charme de cette femme autoritaire et par l’appréhension.

« Herbert, j’ai puni mon fils parce qu’il a pris la mauvaise habitude de jouer avec des allumettes et que je veux qu’il cesse. Mais toi, je vais maintenant te punir parce qu’en tant que grand garçon tu avais le devoir de l’en ’empêcher, ou du moins de me prévenir, ce qui aurait été normal pour un garçon avisé. »

J’eus alors le réflexe de répondre que ce n’était pas juste parce que Tony et Marie-Pierre étaient également fautifs.

« Pour Marie-Pierre je ne sais pas, dit-elle, mais j’en toucherai un mot à la maman de Tony qui vient tantôt boire le café. Comme je la connais, je suis certaine qu’elle lui donnera une bonne fessée et même une bonne correction au martinet.

  • Chez moi, pas de martinet, Herbert ! C’est la fessée à la main ou avec ma ceinture comme tu viens de le voir. Je vais parler à ta maman de ta négligence et elle prendra la sanction qu’elle jugera utile. Mais moi, je vais te punir parce que tu n’as pas protégé ton ami Aubry et que d’une certaine façon c’est à cause de toi et de Tony que j’ai dû le corriger pour le dissuader de jouer avec des allumettes une fois pour toutes.

  • Non Herbert, inutile de t’échapper, tu ne sortiras de chez moi que lorsque tu auras reçu ta fessée ! me prévint-elle en m’attrapant d’une main par un poignet, l’autre se plaquant sur le bas de mes reins. D’une forte bourrade elle me précipita d’un coup en travers de ses cuisses.

  • Je vais te faire comprendre que lorsqu’on a de bons camarades on doit les aider et pas se moquer d’eux ! »

Affolé de me retrouver dans cette position, je pensai la supplier, mais déjà une claque tombait sur le fond tendu de mon short suivie d’une seconde. Je commençai à me débattre en réalisant qu’elle me donnait réellement la fessée quand sa main passa sous la ceinture élastique de mon short.

« Ah ! Notre petit monsieur a l’intention de lutter avec moi ? Eh bien ! ce sera donc une fessée cul nu ! »

Aussitôt dit… j’eus beau me tortiller, short et slip furent abaissés au-dessous de mes genoux et la fessée reprit pour de vrai cette fois, la main de la mère d’Aubry claquant à grandes claques et à toute volée ma pauvre croupe déculottée.

Je n’en étais pas à ma première fessée mais là, les claques étaient d’une autre f o r c e ! Il me semblait que sa main aplatissait et faisait rebondir successivement chacune de mes joues fessières. Le bruit des claques retentissait dans la salle à manger et leurs morsures étaient d’une intensité insupportable. Bien que mon ventre fût bien calé entre les cuisses de ma fesseuse, je devais me retenir de mes deux mains appuyées sur le parquet. Relevant la tête je vis qu’Aubry s’était retourné et me regardait, une lueur de satisfaction dans les yeux, me sembla-t-il.

Si j’avais douté de sa parole quand il venait nous retrouver après avoir reçu l’une de ses fessées, je compris maintenant qu’il ne nous racontait pas des histoires. Sa maman était une femme intraitable qui me fessait sans états d’âme. Je pouvais ruer dans les brancards, pleurer, rien à faire ! La fessée durait et mes fesses étaient deux boules en feu et quand vint le tour de mes cuisses, je me mis à crier comme un goret.

« Voilà enfin une belle paire de fesses et des cuisses cuites à point comme je les aime chez un garçon ! J’espère que cette fessée te servira de leçon ! »

Ce fut la phrase qui annonça la fin de ma fessée et ma délivrance. Je dus attendre qu’elle m’aide à me relever tant mon arrière-train me faisait mal. Me tenant par le bras elle me fit rejoindre son fils au piquet où je me tins larmoyant, ma croupe et mes cuisses brûlantes semblant grésiller d’étincelles enflammées.

On sonna à la porte. C’était la maman de Tony qui venait boire le café. Quand elle nous aperçut, Aubry et moi, nos fessiers rougis bien en vue, elle s’exclama et voulut en connaître la raison.

Bien entendu, nous entendîmes l’histoire de deux vilains garnements racontée par le menu et sévèrement punis en conséquence. Mais quand, la réservant à la fin pour la bonne bouche, la maman d’Aubry mentionna la participation active, irresponsable et malfaisante d’un certain Tony dans l’affaire, la réaction de sa mère ne se fit pas attendre. Sans doute vexée d’apprendre la nouvelle de la bouche de son amie, elle explosa de colère.

« Ah ! le vaurien ! Il ne m’a rien dit ! Ah ! il ne s’en est pas vanté ! Mais ne t’inquiète pas, ce que ces deux-là ont reçu comme fessée n’est rien à côté de ce qui attend Tony quand je serai rentrée à la maison ! Le cuir de mon martinet est encore tout chaud de la veille. Gare à ses fesses, je te le dis !

Le lendemain, retrouvant Tony, il lui fut superflu de nous raconter ce qui s’était passé : les zébrures des coups de martinet sur ses cuisses en étaient les témoins bien visibles bien que muets. Et plus haut, à l’intérieur de sa culotte, elles n’en avaient pas fini de cuire. Le soir, j’appris que ma cousine avait reçu elle aussi une bonne fessée culotte baissée à la suite des révélations de la maman d’Aubry.

Vingt ans plus tard, des années après avoir quitté la région, j’ai revu par hasard la mère d’Aubry. Je dois dire que les années n’avaient pas altéré sa beauté. Elle était aussi élégante et jolie que quand elle m’avait fessé. Non sans émotion, je lui ai rappelé cette mémorable fessée. Non seulement elle ne l’a pas reniée mais m’a confirmé par-dessus le marché que je l’avais bien méritée. Et que si c’était à refaire… On en rit beaucoup, moi avec un brin de nostalgie.

Herbert

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