Le cadeau BDSM

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il y a 4 ans

Ami lecteur, aussi incroyable que ce soit, cette histoire est basée sur des faits réels, la rencontre de Paule et Bruno s'est ainsi déroulée, la suite a pris un peu plus de temps, j'ai condensé, romancé, mais la plupart des scènes décrites sont réelles, Paule ayant des dispositions à la soumission et au masochisme exceptionnelles, tu en penseras ce que tu veux... je suis, dans la vie réelle... un des protagonistes de cette histoire.

Je suis à la cantine avec ma collègue Paule, nous nous sommes mises à l'écart pour discuter tranquillement.

Paule est mon amie... divorcée depuis quatre ans, la quarantaine, brune, cheveux mi-longs, un mètre soixante, une belle poitrine, pas trop mince, sans être ronde, des formes, nous discutons du prochain week-end...

Paule est une collègue, gentille, agréable, son seul défaut irritant, une timidité maladive et une sorte de langueur, de passivité, de soumission à tout.

J'ai décidé d'en faire le cadeau d'anniversaire de Bruno, mon beau-frère, 40 ans, ça se fête... mon mari m'a souvent offerte à son frère, depuis que celui-ci est divorcé.

Nous en avons discuté avec Patrick, mon mari, il a trouvé mon idée excellente, géniale, peut-être que Paule ferai une soumise idéale.

« Vois-tu Paule... j'ai toujours été soumise à mon mari, depuis que je l'ai rencontré, dès le début de notre relation, il m'a attachée et cravachée, m'a utilisée par tous les orifices, m'a offerte à d'autres hommes, depuis que les e n f a n t s sont en fac, j'ai l'impression de revivre une deuxième jeunesse, à cinquante ans, même si ses pratiques sont devenues plus hard, je suis également plus résistante, et ne m'en plains pas, alors qu'est-ce que tu attends, nous en avons déjà parlé, je suis d'accord... »

« Mais enfin, Isabelle, tu me propose de venir passer le week-end chez toi et de me faire éduquer et sauter par ton mari, tu n'es pas jalouse? Et si ça ne me plaît pas, remarque cela va faire cinq ans que je n'ai pas fait l'amour... , quoique je n'ai jamais vraiment aimé ça... Bon OK, je prendrai mes affaires et partirai avec toi vendredi soir, pour les trois jours du week-end ».

« Tu sais ton mari va être déçu, Pierre m'a quitté parce que d'après lui, je ne valais rien au lit, trop passive, c'est le seul homme que j'ai connu... »

Dans la voiture, Paule m'explique qu'elle s'est achetée de la lingerie « coquine » pour être à son avantage, mais qu'elle est un peu inquiète, est ce que Patrick va apprécier.

Je lui fait remarquer qu'en cette fin de printemps, il fait beau et chaud, et qu'il y a de fortes chances que nous passions le week-end nues... je lui demande de relever sa jupe et d'enlever sa culotte, elle s'exécute sans protester, avec cette sorte de langueur qui ne la quitte jamais...

Je lui caresse le sexe, je constate avec plaisir qu'elle m'a obéie, s'est rasée, son sexe est humide, je le fouille, Paule ne paraît pas plus émue que ça, toujours cette passivité... cela m'inquiète un peu...

Nous arrivons à la maison, je fais entrer Paule dans une chambre, la déshabille, elle a vraiment une poitrine extraordinaire, quoique une peu molle, je déballe ses affaires, l'aide à passer le serre-taille qu'elle a acheté sur mes indications une taille en dessous, l'effet est stupéfiant, ses hanches rebondies et sa poitrine sont mises en valeur, je lui attache un collier autour du cou, y suspend une laisse, lui passe des attaches en cuir aux poignets et chevilles, elle se laisse faire, inexpressive, je doute de plus en plus de mon choix...

Je l'envoie se maquiller dans la salle de bains et vais me préparer.

Isabelle revient nue, je vois qu'elle a des anneaux aux seins et au sexe, elle porte un collier, une laisse, des attaches en cuir aux poignets et chevilles, une chaine autour de la taille.

J'entraîne Paule dans notre chambre, la couche sur le lit et la caresse, j'ai envie de jouer avec ses seins, elle a une poitrine magnifique, je les pince, tire sur les tétons, caresse, embrasse, elle ne réagit quasiment pas, je doute de plus en plus de mon « cadeau »...

J'entends un bruit de voiture, Patrick arrive avec Bruno, « le vin est tiré, il faut le boire... je me demande comment va réagir Bruno devant une telle passivité... »

Les hommes sont dans la salle à manger, comme convenu Patrick installe son petit frère, lui offre un apéritif, à moi de rentrer en scène...

Je prend Paule par la main, lui demande « alors prête, pour le saut dans l'inconnu... », elle me répond « oui... », elle est généralement laconique, mais là, elle me scotche, émotive comme une bûche...

Nous entrons toutes les deux, dans la salle à manger, Patrick sourit, Bruno nous regarde totalement éberlué, avec Patrick nous nous exclamons ensemble « Bon anniversaire Bruno... »

Je pousse Paule en avant et déclare « ton cadeau, mon très cher petit beauf d'amour... »

(Mince alors, je suis un cadeau, offerte comme une montre ou un bouquet de fleurs...), cette réflexion me traverse instantanément l'esprit.

Je regarde Bruno, la ressemblance avec son frère est étonnante, il se lève, embrasse son frère, sa belle-sœur, vient vers moi m'embrasse, passe derrière moi...

Je sens les mains de cet homme que je n'ai jamais vu, que je ne connais pas, courir sur moi, s'attarder sur ma poitrine, fouiller mon sexe, doigter mon cul, bizarrement je suis plus excitée qu'avec mon ex-mari, je sens que mon sexe commence à s'humidifier.

« Emmène là dans le « donjon », elle est novice en matière de soumission, amuse toi bien avec Paule... » déclare Patrick à son frère.

Bruno me prend par la main et m'entraîne, il ouvre une porte, la pièce n'est pas meublée, une croix est fixée sur un mur, au milieu trône un chevalet dont l'une des extrémités est une planche percée de trois trous.

Bruno m'embrasse, me pelote, me parle, il me dit que je vais devenir une soumise, un vrai vide-couilles, qu'il va m'attacher, que je vais subir ses pénétrations, qu'il va me cravacher...

J'ai un mouvement de recul... Il dégrafe mon serre-taille, me l'enlève, je suis totalement nue, il me reprend dans ses bras, ses mains courent sur mes flancs, mes hanches, je me laisse faire...

Il me f o r c e à m'allonger sur le chevalet, fixe les bracelets des chevilles aux pieds du chevalet, déverrouille une attache, soulève une planche, me demande de positionner mes poignets et mon cou, referme et reverrouille la planche. Il prend une chaîne et m'entoure la taille en la fixant sur la poutre du chevalet.

« Essaie de bouger... »

J'ai beau essayer de me contorsionner, je suis immobilisée...

« Ouvre la bouche... salope... », Bruno qui s'est déshabillé enfonce son sexe bandé dans ma bouche, il l'enfonce, je suis à moitié étouffée, j'entends un sifflement, un coup sur mes fesses, il me cravache le cul...

Bruno continue ses va-et-vient dans ma bouche, je m'eff o r c e de le sucer du mieux que je peux (en fait je n'aime pas faire ça...), je me sens de plus en plus excitée, mon ventre tremble, je sens mon sexe mouiller, je me rend compte que j'apprécie ce qu'il est en train de me faire, même les coups ne me gênent pas outre mesure, ils m'excitent au contraire...

Bruno éjacule dans ma bouche, « avale tout... soumise... », à moitié étouffée j'avale le sperme, je demande à Bruno « prend moi dans mon ventre, j'en ai envie, fais de moi une chienne... »

« enfin j'entends le son de ta voix, tu as appréciée, je vais t'apprendre à devenir une chienne... une grosse chienne soumise... », il se penche vers moi m'embrasse à pleine bouche, je lui rend son baiser, mon ventre tremble de plus en plus...

Bruno farfouille dans une commode, immobilisée, je ne peux voir ce qu'il fait. Une douleur sur un sein, il vient de fixer une pince, il la lâche, une autre douleur la pince est lestée d'un poids, j'ai l'impression que l'on m'arrache le sein, l'autre sein est traité de la même manière.

Un sifflement, un coup de cravache sur un sein, puis sur l'autre, Bruno est à genoux, il me cravache les seins durement, je gémis, je crie, il se semble pas s'en émouvoir et continue.

Un coup de cravache sur mes fesses, je sens la main de Bruno pénétrer mon sexe, je suis trempée, il prend la mouille, me lubrifie mon anus, caresse mon sexe, pénètre à nouveau mon anus avec un doigt..., je le sens déposer un produit sur mon anus.

Sans précaution, il pousse son sexe érigé dans mon petit trou, je gémis, il m'ordonne de me taire, il commence ses aller et retour dans mon petit trou, commente ses sensations en me disant que je suis trop étroite et qu'il m'agrandira, m'assouplira ma rondelle, cravache à nouveau mon dos, puis accélère son rythme et fini par se vider dans mon ventre, je gémis « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve, encore... », je commence à avoir ses spasmes dans le ventre, jamais je n'ai ressenti ça...

Bruno râle, il s'est sali le sexe dans mon intestin, il me reproche l'état de mon conduit et me dis que la prochaine fois, il me le fera sucer, quelle que soit la matière qui sera dessus avec son sperme.

Il revient quelques instants après, il me tend un verre d'eau, je bois un peu d'eau, le remercie, il me caresse le visage et me demande « alors... tu as l'air d'aimer ça... tu « éprouves » quand tu jouis?, répond... une soumise doit toujours répondre à son maître et lui dire la vérité... »

« Oui, quand je jouis « j'éprouve... », j'aime ça, j'aime cette sensation d'impuissance, de subir, d'être dominée, j'aime être attachée, j'aime les poids qui tirent sur mes seins, j'aime les coups de cravache, mais je dois te prévenir, mon mari m'a quittée parce que je suis trop passive... j'ai peur de te décevoir... »

Bruno rigole et me dit « au contraire, j'adore ton comportement, je pense que tu vas devenir une soumise formidable, ta passivité est de la soumission, tu es née pour être dominée, mais tu ne le sais pas, puisque tu n'a jamais essayé, je te garantis que dans quelques temps tu hurleras ton plaisir, le temps que le déclic se fasse dans ton corps et surtout dans ta tête... en attendant, suce-moi... refait moi bander... »

J'ouvre docilement ma bouche et suce son sexe, l'aspire, je le sens grossir, se raidir, je m'eff o r c e de serrer mes lèvres sans le blesser avec mes dents, il le remarque et me remercie.

Bruno se retire de ma bouche, je l'entend prendre des objets, il accroche de nouveaux poids à mes seins, la sensation d'arrachement me provoque un nouveau spasme dans le ventre, je réfléchis, et s'il avait raison, si j'étais faite pour être une soumise, si pour jouir (ce que je n'avais fait que très rarement...), j'avais besoin d'être f o r c é e, maltraitée?

« tu es trempée ma salope, tu mouilles comme une fontaine, c'est le Niagara la-dedans, cochonne de soumise... », en passant ses doigts dans mon sexe Bruno vient de découvrir et de me faire découvrir que je mouillais...

Son sexe pénètre mon vagin, « je vais prendre mon plaisir sans m'occuper du tien, si tu jouis tant mieux... », il module sa pénétration en fonction de son plaisir, mon ventre me brûle de plus en plus, il a accroché mes hanches, à chaque pénétration je sens ses couilles sur mes fesses, je commence à gémir, il ne s'occupe pas de moi, continue son va-et-vient, soudain je crie « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve... », il se vide dans mon ventre, je crie « encore... » (c'est la première fois que je crie comme cela, j'ai jouis... j'ai le ventre en feu, je sens mon ventre avoir des spasmes).

Bruno ne s'occupe pas de moi, revient face à moi, me met son sexe flasque et gluant à portée de la bouche et m'ordonne « nettoie... », avec ma langue je lèche le mélange de sperme et de ma mouille, il décalotte son gland, je le nettoie...

Il boit à la bouteille, me tend à nouveau un verre d'eau, j'avale quelques gorgées, je suis vidée, je n'ai plus de f o r c e , je me sens toute molle.

Il me libère du carcan, m'aide à me redresser, me libère les chevilles et me prend dans ses bras, m'embrasse, je lui rend ses baisers avec une fougue et un plaisir que je n'ai jamais éprouvé, j'ai mal aux seins, les poids tirent toujours dessus, je ne dis rien, je subis...

Bruno m'amène devant la croix, me positionne dos à la croix, docilement je me laisse faire, attache mes chevilles, mes poignets,je suis écartelée...

Il me met un masque de nuit sur les yeux, je ne vois rien, il prend un de mes seins avec les deux mains, le serre, le triture et me dis « je suis sûr que tu vas aimer... ».

Une odeur de bougie, de cierge?, je sens une goutte brûlante s'écraser sur un sein, la sensation de brûlure, me provoque un spasme dans le ventre (et s'il disait vrai?), il continue son manège, peu à peu mes seins se couvrent de cire.

Une main me croche au sexe, des doigts pénètrent mon vagin, jouent avec mes lèvres, branlent mon clitoris, un sifflement, un coup de cravache m'arrive sur un sein, puis sur l'autre, la main continue son va-et-vient dans mon sexe, les coups de cravache continuent à pleuvoir sur mes seins (je sens la cire se détacher), soudain je commence à gémir « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve, plus fort, plus fort, j'éprouve... », Bruno continue à cravacher les seins, sa main s'active dans mon sexe, un long spasme me secoue, j'ai joui à nouveau...

Les mains de Bruno courent sur mon corps, délicatement il enlève les pinces et les poids de mes seins, les caresses, suce les pointes, m'embrasse, puis me détache.

Il me prend dans ses bras, je sens les poils de sa poitrine contre mon dos, il me serre contre lui, je suis bien, il saisit la laisse et me tire, me guide, comme on guide un chien, plutôt une chienne, nous entrons dans la salle à manger.

« Alors ton cadeau? » demandent en chœur Patrick et Isabelle.

« Formidable, génial, je suis fou d'elle, elle est fabuleuse de docilité et de soumission, c'est une soumise-née, mais elle ne le sait pas... »

Il m'entraîne dans le jardin, prend un tuyau d'arrosage, ouvre le jet, et me nettoie le cul et le sexe, l'eau est glacée, je frissonne, mais me tais... « tu vois une femme normale aurai pu prendre une douche, une soumise comme toi... non, le maître décide, j'ai décidé de te nettoyer comme on nettoie un anima...l, au jet d'eau froide... sois en fière... »...

Il me ramène toujours en laisse, dégoulinante dans la salle à manger, Isabelle va chercher une serviette et m'essuie.

Bruno me détache mon collier, le pose sur le guéridon, s'assied dans un fauteuil et réclame un apéritif à son frère.

Il boit une gorgée, je suis debout devant lui, ne sachant que faire, il me regarde et me dit « si tu veux devenir ma soumise pour la vie, une esclave sexuelle, ma propriété, ma chose... prend le collier et la laisse, sur la table, attache-toi le collier autour du cou et vient t'agenouiller devant moi... attention, il n'y aura pas de retour en arrière, tu m'appartiendras totalement..., je serai ton maître... »

Une impulsion, je ne réfléchis pas, je prend le collier et la laisse, tombe à genoux, m'attache le collier autour du cou... (jamais je n'ai éprouvé de telles sensations, cet homme fera de moi ce qu'il veut, je ferai tout, je veux à nouveau vibrer comme il m'a fait vibrer, je ferai tout ce qu'il veut, je le lui dit...).

Bruno attr a p e la laisse, me fait lever et m'invite à m'asseoir sur ses genoux, Isabelle et Patrick applaudissent, Isabelle, suivie de son mari viennent m'embrasser et me féliciter, je suis heureuse.

Un bras passé autour du cou de Bruno, je bois l'apéritif qui m'a été servi, Bruno me caresse le bas du dos et les flancs, je l'embrasse sur les tempes, dans le cou, glisse ma langue dans une oreille.

Bruno s'adresse à Isabelle « Isa, s'il te plaît, va chercher du lubrifiant pour son anus, une cravache et une s a n g le, Patrick, je voudrais que tu la prennes sur le guéridon, dans tous ses orifices, je veux la voir se faire prendre, (s'adressant à moi) ta carrière de soumise commence maintenant... », je remercie mon maître...

Je suis agenouillée sur le guéridon, Bruno me demande de poser mon torse sur le guéridon et de ramener mes cuisses contre mon ventre, je me positionne maladroitement, il me guide, jusqu'à ce que je prenne la position qu'il veut obtenir, la s a n g le est passée derrière mes cuisses et sur mon dos, j'entends le bruit du cliquet, la s a n g le est tendue, je suis immobilisée.

Un flash dans ma tête, je me rend compte que j'aime être ainsi exposée, offerte, prête à être utilisée, une chaleur soudaine envahie mon ventre.

Je sens un doigt me lubrifier l'anus, un sexe le f o r c e r, je gémis un peu, Patrick m'attr a p e les bras, et tirant dessus règle sa pénétration, Bruno s'est positionné devant moi, il tient la cravache, chaque fois que Patrick me redresse pour s'enfoncer un peu plus en moi, il me cravache les seins, s'appliquant à ne pas trop appuyer les coups...

« Viens voir Isa ta copine, soit-disant frigide, je n'ai jamais vu ça, viens voir Bruno.. »

Patrick se dégage de mon anus, j'entends les commentaires « impensable, regarde ça la mouille pend, en stalactites, jamais vu un truc pareil, j'en prend plein les couilles à chaque fois, frérot je vais lui défoncer le cul..., toi... (dit-il en s'adressant à moi) tu la ferme..., je ne veux t'entendre que quand tu jouiras, salope... soumise... vide-couilles... »

Isa me demande « tu ne m'as jamais dit, que tu mouillais comme ça, une vraie fontaine, vilaine cachotière... »

« C'est la première fois que ça m'arrive, j'ai éprouvé à chaque fois que Bruno m'a prise ou m'a branlée, je ne sais pas ce qui se passe, je ne comprend pas... »

« Tu as raison Nono, t'es un veinard toi, c'est une soumise-née qui s'ignorait, on a réussi notre cadeau au-delà de toute espérance, à voir ta tête, t'en es raide dingue, hein mon Nono?... » déclare Patrick en riant.

« Oui, plus je la regarde, plus elle m'excite, plus je l'aime, car je sais que je l'aime, pourtant je serai très dur avec elle... »

Cette révélation me bouleverse, je pleure, je s a n g lote, Isa vient me réconforter « alors Cocote, ma Paule, qu'est-ce qui t'arrive?... »

Entre deux s a n g lots, j'explique que je me pensais moche, conne, inutile, frigide, un vrai boulet et je me découvre aimée, je demande à Isa de me moucher, mon nez coule..., je renifle... « Bruno, si j'ai passé le collier, c'est parce que je veux toujours être à tes côtés, moi aussi je t'aime, je veux être ta soumise, être traitée comme une chienne, si tu veux, je me prostituerai pour toi, fais de moi ce que tu veux, mais continue à me faire ce que tu m'as fait dans le donjon, j'accepte tout, tout... mon amour... »

Patrick me tire les bras en arrière, je suis redressée, Bruno s'agenouille et m'embrasse longuement, je lui rend son baiser, puis il me glisse à l'oreille « supporte tout sans gémir mon amour, rend moi fier de toi... »

Patrick réinvestit mon anus et me tire v i o l emment les bras en arrière, mon cul s'écrase sur ses couilles, il pilonne mon anus sans pitié, je sens mon ventre trembler je commence à psalmodier « j'éprouve, j'éprouve, j'éprouve, encore, plus profond... j'éprouve.. », les coups de cravaches continuent à s'abattre sur ma poitrine, je crie « Ouiiiiii... » quand Patrick se vide dans mon ventre.

« T'as pas crié comme ça, avec moi » me dit Bruno « je ne suis pas vexé ou jaloux, ma puce, tu es en train d'apprendre... c'est très bien... »

Patrick se présente devant moi, Bruno m'attr a p e les bras, me tire en arrière pour me redresser « lèche ma queue... soumise... », je m'exécute et nettoie le sexe de Patrick avec ma bouche.

« Les hommes, venez voir sa chatte, c'est incroyable, ça coule de partout... »

« Lèche-la puisque tu adores ça, grosse cochonne... », suivant l'ordre de Patrick je sens la langue d'Isabelle me nettoyer le sexe, j'ai de nouveau un spasme dans le ventre « nom de dieu, elle est de nouveau en train de jouir... » déclare Isa qui reprend aussitôt sa caresse.

Je sens un doigt me passer quelque chose sur l'anus, « fiste-la... » ordonne Bruno.

Deux doigts menus, pénètrent mon anus, puis trois, il se dilate, la douleur est supportable, je sens le petit doigt f o r c e r pour pénétrer, un mouvement de droite à gauche anime la main, mon anus me fais souffrir, je me tais, puis je sens le pouce pénétrer, c'est horrible, mon sphincter va éclater, puis la main pénètre en entier, Isa recommence à me lécher le sexe, sa main continue ses mouvements de rotation dans mon anus, je sens son poignet frotter contre mon sphincter, mon ventre est rempli, mon ventre tremble, je ne tarde pas à crier, à nouveau « Ouiiiiiiiiii...... »

« Inouï... » s'exclament en chœur Bruno et Patrick, « t'es vraiment une grosse cochonne » me dit Isa « supporter ça... à sa première séance... chapeau... bravo l'artiste... chapeau ma grande... t'es vraiment douée pour ça..., tu es faite pour subir, tu es vraiment une soumise-née..., j'ai eue la main heureuse et une sacrée intuition, tout à l'heure je t'initierai à l'amour au féminin, tu apprendras à lécher une femme... »

Patrick me reprend par les bras, investi mon sexe, Bruno se positionne devant moi, il bande à nouveau, j'ouvre ma bouche et le suce au rythme que m'impose Patrick, j'ai de nouveau le ventre en feu, Patrick prend son temps, Bruno de fait en fait autant, je sens mon ventre fondre, des spasmes de plus en plus v i o l ents l'agitent, Patrick accélère ses mouvements, Bruno me regarde, je ne tarde pas à hurler des mots sans suite, puis lorsque je sens Patrick éjaculer dans mon sexe je hurle à nouveau « Ouiiiii... »

Patrick me lâche les bras, je tombe sur le guéridon, je sens une main débloquer la s a n g le, Bruno m'aide à me relever, me soutient, Isa pose la serviette sur un fauteuil, Bruno m'assoit, je suis tétanisée, incapable de bouger, je réalise que je suis une soumise, faite pour être dominée et qui ne jouit que dans ces conditions, je suis anéantie et heureuse...

Je reste une vingtaine de minutes dans le cirage, Isa, Patrick et Bruno, se resservent un apéritif, je les entend commenter ma prestation en termes élogieux, je sais que désormais, je serai leur « jouet » , bizarrement j'en suis heureuse....

Nous sommes à table, nous avons fini de souper, Bruno me demande de reculer ma chaise, de me branler jusqu'à ce que je jouisse, durant le repas, j'ai du leur raconter ma vie sexuelle, je me suis exécutée honnêtement, leur racontant la vérité, le néant de ma vie sexuelle jusqu'à aujourd'hui, le ratage complet de mon mariage du fait de ma passivité, maintenant je me caresse sans aucune honte, jambes écartées, le sexe béant, commentant mes sensations.

Je me caresse depuis plusieurs minutes, rien ne se passe, Bruno se lève, prend la cravache et me cravache les seins, mon ventre à un spasme, sur son ordre je n'ai pas ralentie ma caresse, mais l'ai accéléré...

« Regarde la mouille Patrick... » s'exclame Isa « incroyable... », les coups continuent à pleuvoir sur mes seins, je commence à murmurer des mots sans queue ni tête, Bruno abandonne la cravache, se penche vers moi, et me mord un sein, puis l'autre, mon ventre à un nouveau spasme, les morsures continuent, mon ventre tremble, je hurle « j'éprouve... j'éprouve... Oui.... », j'ai jouis encore une fois.

« Totalement maso... » déclare Bruno, « impensable, elle ne jouit que sous la contrainte et la douleur, je t'aime ma biche, ma soumise, je te rendrais heureuse, tu seras marquée continuellement, mais une femme comblée... », il m'embrasse à pleine bouche, je lui rend ses baisers, je suis heureuse, je jouis enfin, la douleur de mes seins mordus, marqués par ses dents, m'indiffère, il me fait jouir, j'aime ça, je l'aime, qu'il me fasse ce qu'il veut...

Nous sommes de nouveau à table, Isa revient avec une cafetière, nous buvons notre café, Bruno me caresse, je sens mon ventre réagir, je lui avoue, il me félicite de ma franchise, je lui répond « je n'ai pas le droit de te mentir, mon amour, mon maître... ».

Je suis toujours gluante du sperme dans mon cul et mon sexe, je demande à Bruno la permission d'aller me nettoyer dans la salle de bains... « Isa, dans le jardin et au jet... »

Je subis à nouveau, grelotte, Isa m'essuie et me ramène dans la salle à manger par la laisse, je me laisse faire passive, heureuse, les autres décident pour moi... je suis vraiment née pour être serve, cette évidence me ravie, enfin mon existence à un sens...

Nous sommes allongés sur le lit avec Isa, tête-bêche, nous nous léchons, les hommes assis sur des chaises nous regardent en buvant un digestif, commentent nos ébats, je me plie aux directives d'Isa, sur son ordre, enduit son anus de lubrifiant, elle en fait autant avec le mien, j'ai compris ce qu'elle désire, je réitère les gestes qu'elle a utilisée sur moi et les imite, nous nous « fistons » mutuellement, elle continue néanmoins à me gamacher le sexe, j'en fait autant.

Isa mouille, soudain elle demande « Bruno, cravache... j'ai la main dans son cul, je ne vais pas tarder à partir, elle n'a pas plus de réaction qu'une moule sur son rocher... punis la, sois sévère... »,

Les coups arrivent sur mon cul, une main me saisit un sein (Patrick) tord la pointe, le malaxe, j'ai un spasme dans mon ventre, des ongles griffent mon dos (Patrick), la houle envahie mon ventre, Isa sent ma réaction, accélère les mouvements de sa langue, je règle mon tempo sur elle, les coups continuent à pleuvoir sur mes fesses soudain je crie « Ouiiiii... », Isa hurle à l'unisson avec moi, nous avons jouis ensemble.

« Eh ben, camarade, mon frérot ,tu t'es mis un sacré fardeau sur les bras, Isa est soumise, mais Paule, ça dépasse tout, je n'en ai jamais eu entre les mains des comme-ça..., je pense qu'il te faudra la marquer au fer rouge et l'anneler rapidement, la v i o l er dans son sommeil, le plus souvent possible, la dominer en permanence... ».

« Le fer est prêt, je l'ai fait en perruque au boulot, elle sera marquée ici, samedi prochain, elle aura ma marque sur son sexe, je la percerai ensuite aux seins et au sexe, ainsi... quiconque la prendra aura mes initiales sous les yeux, lorsqu'elle écartera ses jambes... à l'automne, je la prostituerai dans les rendez-vous de chasse... »

J'entends ces paroles et les prend pour argent comptant, c'est ma destinée... « Oui mon amour, fais de moi ce que tu veux... je t'appartiens totalement désormais, je suis à toi... ».

Je suis dans le donjon, Bruno me fixe une corde autour d'un sein, serre, fait un nœud, un nouveau tour, recommence, après cinq tours, il fait une boucle, procède de même avec l'autre sein, mes seins me font mal à gémir, ils ne tardent pas à v i o l acer, je ne bronche pas, j'attends.

Une barre est fixée à mes chevilles, mes jambes sont écartées, mes bras attachés dans le dos.

Bruno manipule une corde, elle descend, un crochet la termine, il positionne les deux boucles qui terminent les cordes qui enserrent mes seins, tire sur la corde, je me sens soulevée, bientôt je n'ai plus que le bout de mes orteils qui touchent le sol, une dernière traction, mes pieds décollent du sol, je suis pendue par les seins, la douleur est horrible.

J'entends Bruno, remuer des objets, il revient vers moi, me regarde, me dit « je t'aime... », tire sur la pointe d'un de mes seins, la transperce à la verticale avec une aiguille, puis à l'horizontale avec une autre, il procède de même sur l'autre sein, revient avec une chaîne terminée par deux boucles, passe les boucles derrière les aiguilles, puis accroche des poids, la douleur est infernale.

Il me détache les mains « branle-toi, soumise... », maladroitement mes mains trouvent mon sexe, je commence à me caresser, un sifflement, un coup de cravache m'arrive sur les fesses, Patrick appuie ses coups, mes fesses me brûlent, je continue néanmoins à obéir et me caresser... mon ventre à un spasme, un autre coup arrive sur les fesses, je vois une bougie s'approcher de mes seins, Isa penche la bougie, la cire brûlante coule, elle recouvre mes seins, mes mains continuent à s'activer, Isa prend une cravache et fait sauter la cire avec, mon ventre tremble... j'obéis à Bruno, règle ma masturbation selon ses ordres, je gémis, je ne sens plus la douleur « j'éprouve... j'éprouve... » je ne tarde pas à hurler « Ouiiiiii.... ».

« Impensable... » tel est le commentaire de Patrick, je suis descendue, déliée, les aiguilles enlevées, Bruno me caresse, insiste sur mes seins, m'embrasse, je répond à ses baisers...

Je suis ramenée par la laisse dans la salle à manger, Patrick tire au milieu de la pièce une malle, s'allonge dessus, Bruno me positionne, Patrick sans précaution aucune m'encule, Bruno se penche sur moi, il pénètre mon sexe, les deux hommes s'activent, ils ne tardent pas à décharger en moi, je me laisse faire, inerte, je n'ai aucune réaction...

« Maso à ce point-là, c'est du vice... » déclare Bruno, « t'as raison frérot, j'ai un drôle de taf devant moi... mais je suis persévérant... »

Isa me ramène dans le jardin et à nouveau me nettoie au jet, je suis laissée dégoulinante sur la terrasse, je grelotte... je me contente de grelotter...

Bruno vient me rejoindre, Patrick le suit, il me prend par la laisse, m'amène sur la pelouse « à genoux, ouvre la bouche... », je m'exécute, il prend son sexe, je vois le jet jaillir, il urine dans ma bouche, sur ma figure, sur mon corps, c'est bon, c 'est chaud... lorsqu'il a fini Patrick prend le relais, je subis sa miction, Isabelle arrive m'ordonne de m'allonger, s'accroupit au dessus de moi, et elle aussi urine sur moi, suivant l'ordre de Bruno ma main s'active, mon ventre tremble, je finis par hurler mon plaisir...

« En plus elle adore être humiliée, c'est vraiment la soumise idéale, je t'aime ma Paupau... » s'exclame Bruno...

Je suis à nouveau nettoyée au jet, mise à sécher attachée à un poutre de la terrasse...

Nous sommes couchés dans le lit de la chambre d'amis, Bruno me caresse, m'embrasse, je répond à ses baisers et ses caresses, il commence à me manier le sexe, mon ventre tremble, coule, Bruno se redresse, se met à genoux sur le lit, place mes jambes sur ses épaules et me dit « je ne veux t'entendre que pour jouir.., je vais t'utiliser pour ce que tu es, mon vide-couilles... », sans précaution il pénètre mon anus, mon visage se crispe, j'ai mal, puis se retire pénètre mon ventre, alterne les pénétrations, mon ventre tremble, lorsqu'il accélère ses mouvements, je prononce des mots sans suite, lorsqu'il éjacule, je hurle mon plaisir...

Nous sommes couchés enlacés, épuisés, je confie à Bruno « mon amour, c'est la première fois que je jouis comme ça... », il m'embrasse, me serre dans ses bras, les mots sortent seuls de ma bouche « ... mon amour, avant que nous nous endormions, je voudrais que tu me cravache le ventre, le cul, les seins, s'il te plaît... soit sévère... »

Quelques instants plus tard, je suis allongée sur le ventre, je mords l'oreiller, les coups de cravache arrivent avec régularité sur mon cul, sur l'ordre de Bruno, je me retourne, mon ventre et mes cuisses reçoivent leur ration, je compte en disant « Merci » à chaque coup, selon l'ordre de mon maître, lorsqu'il est satisfait du résultat, il m'ordonne de m'agenouiller sur le lit, de lui présenter mes seins en les soutenant avec mes mains, je recommence à compter les coups en remerciant... je ne suis plus que douleur...

Bruno me caresse le sexe, à nouveau je jouis, j'en suis désormais convaincue, je ne peux jouir que dans la douleur, en soumise... paradoxalement j'en suis heureuse, sereine...

Nous nous endormons enlacés...

Lorsque je me réveille, j'aperçois le jour au travers des volets, je suis seule, j'entends des voix, j'arrive dans la cuisine, embrasse Patrick, Isa, qui me fait tourner sur moi-même pour admirer mes marques (je me suis regardée dans la glace de l'armoire, je suis fière de ces marques de coups, j'en ai sur les seins, les fesses, les cuisses, le ventre...), j'embrasse Bruno à bouche que veux tu.

Je m'assied, Brubru se lève, remplit un mug, me demande « avec ou sans sucre, du lait?, tu veux du thé à la place du café? », « non mon amour du café sans sucre, à partir d'aujourd'hui, il faut que je maigrisse un peu, je suis trop grasse du cul, en maigrissant tu pourras rentrer plus profond dans mon ventre, j'en ai envie... mon amour... »

En buvant mon café, je questionne Isabelle « c'est quel jour l'anniversaire de Bruno? », « Aujourd'hui... », j'embrasse Bruno « bon anniversaire mon amour de la part de ton « cadeau », excuse-moi mais personne ne me l'avait dit, bon anniversaire Brubru chéri..., mon Brubru d'amour... ».

« On fête ça quand Isa?... »

« Ce soir, barbecue, côte de bœuf, carpaccio, œufs en gelée, patates à la braise, roquefort, tiramisu..., je lui ai préparé un repas composé de ses plats préférés, il adore les grillades, si tu n'a jamais vu un homme se taper une côte de bœuf à lui tout seul, tu verras, aimer la viande à ce point là c'est impressionnant... un ogre le Nono d'amour... un goinfre oui... un goret... quand tu lui fais ce qu'il aime... le Nono... ah je l'adore, du coup à cause de toi, je n'ai pas pu en profiter, j'ai dû me contenter du vieux débris d'amour qui me sert de mari, salope... adorable salope soumise... »

Isa se lève et vient me rouler une pelle, je répond à son baiser, je suis consciente que je dois tout accepter, et le fait avec joie...

Nous sommes dans la salle de bain, sous la douche, Bruno m'a débarrassé de mon collier et mes attaches, il me nettoie consciencieusement, insistant sur mes marques, m'embrassant à chaque fois que je grimace, il est derrière moi, une de mes mains, branle son sexe... je suis heureuse...

(En fait, j'attends le moment favorable pour lui demander ce qui a germé dans mon esprit, s'est imposé à moi comme une évidence...).

Bruno me sèche avec une serviette, je lui fais face, je l'enlace autour du cou, me penche et murmure à son oreille « mon amour... marque moi ce soir, il y aura de la braise dans le barbecue, marque moi avant le repas, pose moi des anneaux, tu m'attacheras, me bâillonneras, je serai courageuse et muette, je t'en supplie, je suis ton cadeau d'anniversaire après tout... »

Bruno m'embrasse et me murmure à l'oreille « merci ma Paule, ma soumise, mon amour, tu as raison, nous allons aller chercher chez moi le fer, et annoncer notre décision à Isa et Patou... je t'aime.... » (sa main caresse mes fesses, je sais que je supporterai la brûlure, je supporterai tout venant de lui, il me caresse doucement les seins en murmurant) « ils sont magnifiques... je les adore.. », je répond « ils sont à toi, tout à toi, qu'à toi, d'autres peuvent leur faire subir ce qu'ils veulent, malgré tout ils sont, seront et resteront à toi, mon amour... »

Nous revenons dans la cuisine, Isa et Pat sont toujours en train de petit-déjeuner, la nuit a dû être aussi agitée pour eux, ils ont l'air de comater pas mal et se ressourcent avec du café, Bruno annonce sa décision de me marquer dès ce soir et mon total accord, en soulignant que c'est mon désir...

« D'accord, c'est votre choix, je téléphone à un copain infirmier pour qu'Isa aille acheter à la pharmacie ce qu'il faut pour les brûlures et leur soin, nous vous offrons les anneaux, tu décideras quand lui faire poser, bon anniversaire mon frérot... »

« J'aurais jamais cru que ça tournerai comme ça, j'en suis baba... incroyable... » déclare Isa pensive... elle joue avec les boucles de ses seins et me dis « regarde ce qu'il en a fait, à f o r c e d'accrocher des poids, des gants de toilette, ils pendent... salaud de sadique, pauvre femme soumise... »

« Dis donc, Mamie, tu exagères, tes seins se tiennent encore bien, et je te signale pour mémoire, que tu adores lorsque je tire dessus... » répond Patrick...

Dans la chambre, Bruno m'ordonne ma façon de m'habiller, sur son ordre, je me penche en avant, main sur les genoux, cul cambré, il m'enduit l'anus, une douleur, un objet vient de le pénétrer, Bruno m'essuie les fesses, je reçois l'ordre de me relever, mon anus dilaté me fait mal, je me tais, je passe sur les indications de Nono un chemisier, une jupe courte, des chaussures à talons compensés, il déboutonne au-delà du raisonnable le chemisier, relève la jupe pour me caresser les fesses, je me cambre pour recevoir la caresse...

Bruno roule prudemment, par contre, sadiquement, accélère lorsqu'il y a des ralentisseurs, malheureusement, il y en a beaucoup dans notre ville... mon cul souffre, je supporte... (dès que je suis montée dans la voiture, j'ai relevé sur son ordre ma jupe, je suis assise fesses nues sur le siège...), il profite du peu de circulation pour me fouailler le sexe avec sa main droite, je mouille bien évidemment, il tire également sur mon sein gauche en tordant le mamelon, je gémis de douleur, mon ventre coule, je le sens...

Les doigts de Nono s'agitent dans mon sexe, j'entends distinctement le « floc floc » que fait ma mouille, je rougis, Nono s'en aperçoit et me murmure « adorable salope... soumise d'amour... »

(c'est dingue, Bruno se dirige vers le quartier où j'habite, lorsqu'il tourne dans une rue, je réalise que j'habite la rue en face, de l'autre côté du « city stade »)...

Nous arrivons à son appartement, l'ascenseur nous dépose à l'avant-dernier étage, j'ai effectuée la montée, la jupe relevée, la main de Nono sur mon cul..., nous pénétrons sur le palier dans le couloir, Bruno ouvre une porte...

« c'est incroyable mon amour, regarde, viens voir, j'habite en face... », Bruno se rapproche de la fenêtre, « tu vois le balcon avec les fleurs, la table et le parasol fermé? », « Oui.. au deuxième étage... », « c'est chez moi... mon amour, nous sommes voisins... ».

« Tu veux prendre quelque chose, un café? », « volontiers, j'en ai besoin... », Bruno s'affaire sur la cafetière, je jette un coup d'œil autour de moi, apparemment le rangement et le ménage ne sont pas son fort, sa tasse de thé, je me promet d'y remédier...

Le bruit de la cafetière envahit la pièce, Bruno me fait face, il déboutonne mon chemisier, descend ma jupe « je ne veux te voir que nue, à l'intérieur... », il me caresse la poitrine, suce les pointes de mes seins, me murmure « je les adore... tout.. tout comme ton ventre et ton cul, ma salope d'amour... »

Assise sur une chaise, devant une tasse de café, je sens le « plug » (j'ai appris le terme) me défoncer encore un peu plus l'anus et manipule entre mes mains, une tige de fer terminée par un ovale, un « B » est soudé sur dans l'ovale.

Bruno me prend par le main et m'entraîne vers sa chambre, le lit n'a pas été fait, il y règne un désordre indescriptible..., un fatras, c'est le fouillis total...

Je suis allongée, sur le ventre, Bruno retire le plug, me fait me retourner, repasse mes jambes sur ses épaules, pénètre sans aucune précaution mon anus, commence à le limer, puis pénètre mon sexe, je sens mon ventre trembler, Bruno continue d'alterner ses pénétrations, puis se concentre sur mon sexe, je ne tarde pas à gémir, je bredouille des mots sans suite, gémis et ne tarde pas à hurler mon plaisir lorsqu'il éjacule dans mon ventre.

Je suis allongée sur le dos, mon ventre tremble, Bruno le caresse, je n'aurais jamais cru qu'il était possible d'éprouver un plaisir pareil, j'ai enfin joui... je pleure, Bruno joue avec le fer, le pose sur mon ventre, là où ce soir je serai marquée à jamais, Bruno lèche mes larmes sur mon visage, je tiens son sexe dans une main, je me redresse et le nettoie avec ma bouche, je suis heureuse, je sais maintenant ce que veux dire une femme comblée, je le confie à Bruno, qui pour réponse, me caresse tendrement le ventre.

Nous restons un long moment allongés côte-a-côte, nos mains frôlent nos corps, je suis heureuse, je suis amoureuse...

Bruno me nettoie le ventre et le cul, remet en place sans précaution le « plug », mon visage se crispe et m'ordonne d'aller me rhabiller, il s'habille, prend un sac de sport, y dépose le fer qui me marquera à jamais...

Nous revenons chez Patrick et Isa, à peine entrés dans la maison, Bruno me dénude, puis leur montre le fer, qui me marquera ce soir.

Isa me prend par la main « on va se baigner, vous venez... on barbote un peu, après nous prendrons l'apéro et nous mangerons, allez les hommes à poil et dans l'eau », je n'avais pas fait attention hier soir, une piscine est installée dans le jardin, entourée de protection en plastique imitant les thuyas qui occulte toute vue sur le bassin.

Nous nageons tous quatre dans l'eau, j'ai toujours mon plug dans l'anus, ne le sent plus, je suis coincée dans un coin de la piscine, là où la profondeur est la plus faible, six mains me caressent, me fouillent, me palpent, je me laisse faire, je suis heureuse...

Nous avons fini de déjeuner, Bruno me prend par la main et déclare, « nous allons faire une sieste crapuleuse... »

Je suis agenouillée sur le bord du lit, Bruno retire le plug de mon anus, je sens son sexe contre ma rondelle, je tend mes bras en arrière, il les saisit, les tire vers lui, son sexe pénètre mon anus, il me sodomise lentement, prenant son temps, je sens mon ventre se crisper, lorsqu'il accélère ses mouvements je ne tarde pas à murmurer « oh oui... j'éprouve... j'éprouve... », lorsqu'il se libère dans mon conduit, je crie...

Je me retourne, embouche son sexe et le nettoie avec ma langue, il me félicite de mon initiative, nous nous couchons enlacés et nous endormons...

Dix-huit heures, nous avons dormi longtemps, nous nous levons, je murmure à l'oreille de Bruno « marque moi vite, mon amour, perce moi vite aussi, j'en ai envie, je ne bougerai pas... »

« Reste allongée »...., allongée sur le lit je vois Bruno revenir avec un rasoir coupe-chou, un blaireau, un bol, je gigote lorsqu'il enduit mon sexe de mousse (avec le blaireau ça chatouille) et consciencieusement, délicatement, il rase à nouveau mon sexe.

Lorsque nous débouchons sur la terrasse, nous voyons Isa et Patrick lézarder dans des bains de soleil, le barbecue fume, le fer est plongé dans la braise, Bruno s'étonne « ... vous aviez deviné?... », « évidemment... ».

Les deux hommes ont installé le guéridon sur la terrasse..., je suis allongée sur le guéridon, bras et jambes écartés, mes pieds sont coincés derrière ceux du guéridon, je serre dans mes mains les autres pieds, j'ai refusé d'être attachée...

Patrick me glisse un morceau de bois dans la bouche, je mord dedans, il se place derrière moi et positionne un miroir, de la tête je fais signe que c'est ok, j'ai demandé à voir mon marquage, Bruno s'approche, il tient le fer rougi dans une main, l'autre me caresse le ventre, d'un geste décidé il appuie le fer sur mon ventre, l'odeur de chair brûlée envahie instantanément la pièce, la douleur est horrible, je ne gémis pas, je ne bouge pas, je vois désormais le « B », gravé à jamais sur mon ventre, j'en suis fière.

Patrick a pris le fer des mains de son frère, Bruno m'embrasse le ventre, m'enlève le morceau de bois, m'embrasse, embrasse mon visage plein de larmes...il laisse couler de l'eau froide sur mon ventre...

Isabelle me pulvérise, un produit sur la brûlure, une sensation de froid, la douleur s'atténue, Isa continue ses pulvérisations, toujours cette sensation de froid, à nouveau de l'eau froide, la douleur est désormais très atténuée, Bruno me couvre de baisers.

Je me lève et prenant mon maître par la main me dirige vers la chambre pour me regarder dans un miroir, Isa et Patrick nous suivent.

Je m'admire dans la glace, embrasse mon maître, le remercie...

Nous prenons l'apéro sur la terrasse, je suis assise sur une chaise protégée par une serviette de toilette, un coup de sonnette Patrick va ouvrir, revient avec un homme..

« Gérard, l'infirmier... », Isa lui propose un verre « un jus de fruit, je bosse cette nuit... pas d'alcool... », « lève-toi et montre moi... » me dit-il en me prenant par la main, « tu ne lui as pas fait de cadeau à ta soumise, elle est résistante ou motivée la môme... » dit-il à Bruno, « chapeau... rien à dire c'est propre, la marque au fer nickel, donc pommade, les spray, dans 10 jours normalement ce sera cicatrisé, elle est en bonne santé, tu passes cette pommade, pour la marque, cette nuit, tu lui pose un pansement de protection, une culotte, dans la journée, à poil, ça cicatrisera à l'air, comme je te l'ai expliqué Isa... », l'homme boit son verre d'un trait, « allez salut, je repasserai Mercredi... bon appétit... »

Je rigole comme une folle, Bruno est aux prises avec l'os de la côte de bœuf qu'il est en train de ronger, c'est d'un comique...

Bruno a fini de s'escrimer sur son os, revient après s'être lavé les mains, il tient une serviette à la main, la pose sur ses genoux, je vais m'y installer, il me caresse doucement les seins, joue avec mon sexe, mon ventre ne me fait pas trop mal.

Isa m'a guidé pour mes soins de marquage, je m'allonge dans le canapé, je refuse les spray, je veux jouir de ma douleur, elle en convient m'enduit la plaie de pommade, pose un pansement de protection et se fiche de moi en me tendant une culotte (à ma taille) que je dois garder cette nuit.

Je suis blottie contre Bruno dans le lit, je tiens son sexe dans ma main, il durci à nouveau, je me penche, l'engloutis, c'est la deuxième fois depuis que nous nous sommes couchés que je le prend dans ma bouche, il éjacule à nouveau, j'avale son sperme lentement.

Bruno n'arrête pas de me caresser le ventre, je descend ma culotte, la retire, me retourne à plat ventre, glisse l'oreiller sous mon ventre, me cambre...

Bruno sort de la chambre, revient... Il pose une cravache sur mes fesses, fixe des pinces sur mes seins, les mâchoires des pinces sont crènelées, mes pointes cruellement mordues, comment a t-il deviné ce que j'attendais... allongé à côté de moi, il caresse mes fesses et mon dos avec la cravache, juste un frôlement, il manipule une molette sur une pince, la pression augmente, mon visage se crispe, il en fait autant avec l'autre sein, il enduit mon anus de lubrifiant, me demande d'écarter mes fesses avec mes mains, enfonce le plug dans mon petit trou, il me frôle doucement le bas des reins, je sens mon ventre se crisper, une main écarte mon sexe, un frôlement, une sensation de piqûre, il me caresse le sexe avec ce que je crois être un blaireau, l'effet est extraordinaire, mon ventre ondule, la caresse diabolique se poursuit, je me cambre pour m'offrir plus, m'ouvrir plus, les poils irritent mon sexe, les changements de rythme qu'il impose à sa caresse m'excitent, je mord le traversin pour ne pas hurler, Bruno a maintenant enfoncé le blaireau dans mon sexe, les poils irritent mes lèvres, il accélère ses va-et-vent, lorsqu'il me juge à point, il enfonce d'un coup sec le blaireau dans mon vagin, les poils du blaireau s'écartent, m'irritent le conduit, la vague de plaisir me saisit brutalement, je mord le traversin, je pleure...

« Tu es diabolique... tu es en train de faire de moi un véritable animal... regarde (je visse les molettes des pinces, la douleur de la pression sur mes pointes est infernale...), tu vois, je t'offre ma douleur, (je tire sur les pinces) tu vois, je supporte tout pour toi... », il me remet sur le ventre, me pénètre le sexe, je ne tarde pas à hurler mon plaisir...

Il prend une pince, tire dessus, la douleur est atroce, l'enlève, fit de même avec l'autre sein, me prend dans ses bras, lèche mes larmes « je veux que tu sois mon animal, ma Paule, mon animal soumis, mais aussi mon amante, mon amour... ».

Il me repasse de la pommade, me pose un pansement, qu'il fixe avec du sparadrap...

Nous avons fini par nous endormir, il a laissé le plug dans mon anus..., m'a expliqué que je devais avoir le réflexe de toujours écarter mes fesses avec mes mains, pour faciliter la pénétration par cet endroit...

Je dors mal, j'ai un sommeil agité, la brûlure ma démange, je sais que je ne dois pas y toucher, en prime Bruno bande en dormant, il est collé contre moi son ventre contre mon cul, je passe une main, m'enlève le plug, guide le sexe de mon amant dans mon conduit, me contorsionne pour qu'il pénètre plus profond, il dort toujours, mais maintenant par réflexe, lime doucement mon conduit, un baiser sur mon dos, m'apprend qu'il s'est réveillé, il me serre contre lui, une de ses main se glisse sous moi et m'attr a p e un sein, l'autre fouille mon sexe...

Un main me triture, tire, tord mon sein, l'autre s'active dans mon sexe, alternant les caresses entre mon vagin, mes lèvres, mon clito, par réflexe je cambre mon cul pour qu'il pénètre plus profondément, la chaleur envahit mon ventre, son doigt s'attarde dans le conduit de mon vagin, il caresse à travers la paroi son sexe, l'effet est extraordinaire, je ne tarde pas à psalmodier « j'éprouve, j'éprouve... », une pression sur mon épaule, je me redresse, je suis assise maintenant sur son sexe, sa main continue de fouiller le mien, s'active sur mon clito, je serre mes lèvres pour ne pas hurler, tout mon corps tremble, je m'écroule en arrière sur le lit, secouée de tremblements, je n'avais jamais joui avec une telle intensité.

Il me bascule à plat ventre, je me cambre, me pénètre pour prendre son plaisir dans mon anus, mon cul animé d'une vie propre va au-devant de ses coups de boutoir... lorsqu'il se vide dans mon conduit, je suis à nouveau tétanisée.

Allongés, côte à côte il me caresse la poitrine, quelques minutes plus tard, une pression sur ma tête, je me redresse et lui nettoie le sexe avec ma bouche, ma langue s'active à le nettoyer.

Il se lève, revient avec un plateau et les produits pour nettoyer ma cicatrice, m'essuie et me nettoie le derrière, nettoie mon sexe, je me laisse faire comme un bébé, il enlève mon pansement d'un coup sec, me tend une glace... je pleure de bonheur... comment a t-il deviné que je voulais voir ma marque...

Nous sommes allongés côte à côte, tête contre tête, je tiens la glace à bout de bras, j'admire ma marque...

Il m'embrasse sur la joue, de petits baisers rapides, passe une main sous mon dos, serre un sein, sa main serre l'autre, je continue à tenir la glace, il tire maintenant sur mes seins, les tord, les pince, je murmure « encore... encore... », il alterne les caresses, les mauvais traitements sur ma poitrine, je continue à râler doucement « encore... encore... », il continue à caresser et martyriser ma poitrine, soudain mon corps se tend comme un arc, mon ventre se propulse vers le haut, mon dos se cambre, mes jambes me soulève, je m'écroule fauchée par l'orgasme...

Je l'embrasse tendrement, j'ai la tête sur son épaule, je caresse les poils de sa poitrine « c'est pas normal, maintenant quoique tu me fasses, je jouis... tu sais ce dont j'ai envie... j'ai envie d'être cravachée, attachée, nous ne pouvons pas, je ne veux pas réveiller Pat et Isa, pourtant mon amour, je n'ai envie que de ça... t'offrir mon corps, ma douleur, t'appartenir totalement... », il m'embrasse « merci mon amour de soumise... ».

Il me nettoie à nouveau le sexe, passe de la pommade sur la cicatrice (je le regarde faire avec la glace...), repose un morceau de tulle gras, le fixe au sparadrap, m'enfile ma culotte, je me laisse faire.

Nous discutons enlacés, nous finissons par nous endormir.

severe18

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