Drôle de piège pour Noël

Catégories : Rencontres BDSM Bondage Shibari Kinbaku
il y a 4 ans

Une histoire érotique de bondage surprise entre filles.

Une fois encore, l'histoire est vraie à la base mais un peu romancée histoire de mieux couler. Il y a 75% de vrai et 25 de "jonction". Ce fut un réveillon de Noël plutôt spécial. Avec Christelle, nous avions convenu de préparer le repas en attendant les garçons qui devaient arriver vers 22h. Les garçons avaient invité deux de leurs amis et nous devions être six pour la soirée. J'étais habillée simplement. Mini jupe de cuir bordeaux, petit col roulé sombre ultra fin et moulant. J'avais laissé mes cheveux libres et pour faire une petite touche sexy, j'avais chaussé les escarpins que j'utilise normalement pour le bondage , avec des talons de douze centimètres.

Il faisait déjà noir et j'avais fermé toutes les tentures et rideaux. Les décorations de Noël étaient en place et avec l'éclairage artificiel et quelques chandelles, l'effet était parfait. Répondant au coup de sonnette, j'ai eu la surprise de voir que Christelle était accompagnée d'une copine, Marie. Une très jolie noire entre vingt et vingt-cinq ans. Grande aux longs cheveux, tout sourire. Toutes deux étaient protégées d'un imper de cuir sombre. L'arrivée imprévue de Marie ne posait pas de problème car il y avait assez de nourriture pour tout le monde.

Pendant qu'elles entraient, je remarquai en riant qu'elles portaient toutes les deux des bottes de cuir noir à talons aiguilles. Après qu'elles aient déposé leurs cadeaux sous le sapin, dans le coin opposé de la pièce, je les invitai à se débarrasser. Sous son imper, Christelle portait un pantalon noir en lycra satiné très moulant, doté d'une large ceinture dorée, et un chemisier noir serrant également satiné. Marie portait une tenue plus exotique : bas résilles, petit short de cuir noir ultra moulant et un très fin pull collant Shocked sans manches, de couleur sombre et profondément décolleté.

Evidemment, ma cuisine n'est pas fort grande et à trois, on s'y marche sur les pieds. Marie était donc seule dans le salon, près du sapin pendant que Christelle et moi commencions les préparatifs. J'ai demandé à Marie d'aller chercher les cadeaux dans la chambre pour les disposer sous le sapin. Au bout d'un moment, elle est revenue m'annoncer que c'était chose faite puis a chuchoté à Christelle :

Tu sais qu'elle a des amusements spéciaux, ta copine ? Elle tenait un gros bâillon boule rouge à la main Shocked .

  • Chacune son truc, répondit Christelle en me regardant.

  • Il y a plein de cordes aussi. Tu crois qu'elle aime être attachée ? Quelle drôle de pratique ! Christelle se taisait.

  • Remets ça en place, répondis-je.

  • Je veux voir ça, a insisté Marie. Si elle est du genre à aimer ça, Anne peut bien nous faire une démonstration.

  • Mais, ce n'est pas… commençai-je.

  • Viens là ! Dit Christelle en nous poussant vers le salon.

  • Mais… Dans l'autre pièce, Christelle qui me suivait a agrippé mes poignets par derrière.

Aussitôt elle me plaquait contre elle, enlaçant mes coudes d'un bras et maintenant mes poignets de l'autre.

  • Bâillonne-la.

  • Mais arr… tentais-je de m'écrier.

Inutile de le lui dire deux fois, Marie m'a aussitôt enfoncé fermement le bâillon dans la bouche.

  • Ca doit être très strict pour être efficace, dit Christelle.

  • C'est amusant, dit Marie en serrant scrupuleusement la s a n g le de cuir au dernier cran malgré mes petits couinements etouffés.

Je me tortillais pour échapper à la poigne de Christelle. Stupéfaite, j'entendis Marie lancer :

  • Je te remplace. Va vite chercher les cordes sur son lit, dit Marie en prenant résolument mes bras aussi fermement Christelle.

  • Mmmgnhh…

Je me débattais en soufflant. J'entendis le pas rapide de Christelle s'éloigner vers la chambre, au passage elle brancha la radio histoire de masquer nos bruits. Marie me maintenait très efficacement. Cette fille a une poigne incroyable. Quelques instant plus tard, les cordes formaient un tas sur le canapé. - Nous risquons de froisser ses vêtements, s'inquiéta Christelle. - Ce serait dommage.

  • C'est juste. Enlève-lui sa jupe, répondit Marie en riant.

Grhhmmfmhh… En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire et malgré mes gloussements aigus et tous mes sautillements, ma jupe était partie. Elles eurent une exclamation de surprise en voyant que je portais un porte-jarretelles sexy et un string bordeaux dessous.

  • Joli ! Très excitant ! dit Christelle avec un petit sifflement.

  • Au tour du petit pull à présent ! Commanda Marie. Seule contre elles, je ne pouvais strictement rien faire. Les deux amazones ont maintenu chacune un bras et fait passer le pull avec l'autre main. Le pull rejoignit ma jupe sur le fauteuil voisin. Je me trouvais à gesticuler autant que possible en bavant tandis que Marie avait déjà resserré sa prise autour de mes bras.

  • Dis, elle est vachement souple ! S'exclama Marie. Regarde ça ! Elle montrait mes coudes et avant-bras aisément joints sous son étreinte.

  • Oui, c'est très souple une danseuse. Ses poignets à présent.

Marie pivota légèrement et présenta mes poignets à Christelle déjà munie d'une corde. Elle me déséquilibrait en permanence afin que je ne sois pas capable de lancer un pied. Je sentis les tours de corde s'accumuler rapidement. Elle passa la corde quelques fois entre mes poignets puis remonta faire plusieurs tours juste sous mes coudes. Enfin, elle fit plusieurs tours entre mes coudes et termina par un nœud rigoureux totalement hors d'atteinte. Je n'étais pas revenue de ma surprise que Marie me faisait pivoter face à Christelle qui passa aussitôt une nouvelle corde au-dessous de mes genoux.

  • Cela nous évitera ses ruades, commenta Christelle.

A peine avais-je repris mon équilibre que plusieurs tours de corde enserraient déjà mes jambes. La corde fut sécurisée autour du lien avant de serrer sèchement le dernier nœud. La corde formait une bande blanche de quelques centimètres sur ma peau. Penchant la tête, je voyais la scène entre mes seins. Mes lèvres étaient comme scellées à l'énorme balle du bâillon qui m'obstruait complètement la bouche et la s a n g le de cuir m'entrait dans les joues.

Revenons au bras, ce n'est pas terminé, lança Christelle. Marie me fit pivoter face à elle et saisit mes épaules pour me taire tenir en place. Elle regardait Christelle s'affairer avec beaucoup d'intérêt. Je sentis une corde former des boucles autour de mes bras, au-dessus des coudes cette fois. Un passage autour d'une épaule, puis autour de l'autre. Cela formait un croisement dans le haut de mon dos, auquel elle attacha la corde le mes coudes, puis celle de sous mes coudes.

Voilà, tout est bien solide. Ce n'est pas excessivement serré et rien ne devrait pouvoir bouger.

  • Oh dis donc, c'est vrai quelle aime ça ! Ses seins pointent, c'est fantastique ! Dit Marie.

Je ne savais comme tenter de me tourner pour me soustraire à son regard. Je sautillais frénétiquement en agitant la tête. Christelle utilisait une autre corde pour attacher mes poignets à ma taille. Elle formait une nouvelle bande blanche comme une ceinture. Elle fit encore quelques tours entre mon dos et les poignets avant de remonter faire le nœud au niveau des coudes. Encore hors d'atteinte !

  • Ha ! Rit Cristelle. Tu pensais pouvoir atteindre ce nœud ?

  • Mphhffg !

A chaque nouvelle corde, je me trouvais insensiblement immobilisée plus parfaitement, au point de ne plus pouvoir remuer du tout ! Je voyais le regard coquin de Marie face à moi. Elle ne quittait pas ma poitrine de l'œil. Une nouvelle corde formant un joli ruban sous mes seins avait déjà été arrimée dans mon dos. Déjà je voyais se succéder de nouvelles boucles qui passaient devant mon visage et se posaient au-dessus de mes seins pour y former une véritable ceinture blanche. Pour couronner le tout, elle fit se croiser le lien entre mes seins, en serrant. La réaction ne se fit pas attendre, pendant que Christelle sécurisait ce lien dans mon dos et tirait mes épaules en arrière, mes seins ont pointé encore plus fort. Marie tendit une main curieuse.

  • Et bien son copain ne doit pas s'ennuyer ! Ils sont vachement fermes mais tu devrais tâter ses pointes !

  • Ah oui, en effet ! Belle performance, s'exclama Christelle après avoir palpé à son tour !

Marie continuait à soupeser mes seins pendant que Christelle s'occupait de mes chevilles. Cette fois, la bande formée par la corde faisait bien dix centimètres. Elle achevait de sécuriser soigneusement le lien.

  • Je suis curieuse, Murmura Marie comme pour elle-même en laissant descendre sa main vers mon bas ventre.

Je roulais de grands yeux en poussant de faibles grognements. - Ah oui, c'est efficace. Et comme cela… Elle pinça mon nez tandis que sa main descendait plus bas. Elle commença à passer lentement le doigt sur mon string, caressant mon sexe. Je me trémoussais stupidement en tentant de hurler.

  • Vraiment chouette cette boule, elle ne peut réellement plus crier ! conclut Marie.

  • Bon, on la conduit là bas. Dit Christelle en désignant l'autre côté du salon d'un mouvement de la tête. Elles m'empoignèrent et je fus transportée comme un paquet à côté du sofa, près du sapin. Elles m'assirent sur le parquet, juste entre la petite table de salon et la cheminée dans une demi pénombre. La scène était éclairée par la guirlande clignotante du sapin de Noël tout proche.

  • On ajoute un cadeau sous le sapin, rit Christelle en passant une corde sous mes genoux. Elle utilisa cette corde pour me f o r c e r à ramener les genoux sous mon menton, contre ma poitrine. - Mfhhghh… Mrrhhghh !!!

Mais Christelle passait méthodiquement la corde autour de mon torse et après quelques tours, elle sécurisa également très scrupuleusement le lien. Marie s'était redressée et contemplait avec intérêt la scène à ses pieds. Avec ces bas, ce mini short moulant et ces bottes à talons, elle avait tout d'une dresseuse sado-maso ! Christelle me fit basculer sur le flanc, face vers le centre de la pièce.

  • Ghhfffgpfhhh…

Je bavais abondamment. Elle passa une corde autour de mes chevilles et la tendit de sorte que mes jambes étaient pliées au maximum, mes talons contre les fesses. Ce lien tendu fut finalement noué dans mon dos, avec un nouveau nœud rigoureusement hors d'atteinte. Je formais une petite balle et tout mouvement m'était impossible. Je pouvais encore pousser de petits grognements, agiter les pieds ou les mains, secouer la tête… et c'était tout. Dans cette position, on a aucun élan pour pivoter d'aucune façon.

  • Allez, dit Christelle en se redressant. Sous le sapin, ma jolie ! Mets-la avec les autres cadeaux.

Marie s'accroupit et me poussa doucement. Je glissai parmi les cadeaux, continuant à grogner et à gigoter de mon mieux. J'étais à moitié dissimulée par le divan et la table du salon. Quelqu'un a tambouriné à la porte de l'appartement. Christelle est allée voir. C'était le voisin.

Euh, Anne n'est pas là ? Demanda-t-il, surpris de se trouver devant une inconnue.

  • Si, mais elle est très occupée avec les cadeaux.

Le voisin se pencha pour jeter un regard mais n'eut que la vision de Marie, très sexy avec son short moulant et ses bottes, qui lui adressait un gentil salut de la main.

  • Oui, euh… vous pourriez baisser un peu le volume de la musique ?

  • Certainement, répondit Christelle en faisant quelques pas dans la pièce.

Le pire est que je voyais parfaitement la scène entre le pied du canapé et les genoux de Marie, mais dans ce coin sombre de la pièce il ne pouvait pas me voir. J'entendis avec horreur Christelle lancer :

  • Voulez-vous entrer un instant prendre un petit verre ?

  • Euh… il regarda derrière lui. En vitesse alors.

Il entra dans le salon et Christelle le dirigea vers le canapé qui me cachait. Marie se leva et vint l'accueillir en l'embrassant. Il n'est resté que quelques instants, mais je transpirais de crainte d'être vue. Il s'est assis à moins de deux mètres de moi. S'il avait simplement tourné la tête, il aurait trouvé sa voisine quasiment nue sévèrement bâillonnée et ligotée aussi strictement qu'une vulgaire dinde de Noël. Seulement il y avait deux nanas sexy et accueillantes juste devant lui pour capter toute son attention. Au bout de quelques minutes, il prit congé et une fois la porte fermée je me suis mise à grogner en me tortillant.

  • Laissons la, dit Christelle. Il y a un repas à terminer.

Elles ont dressé la table et terminé de tout préparer dans les délais. Marie jetait un coup d'œil de temps à autres. Une fois tout terminé, Marie vint s'asseoir calmement près de moi, dans le sofa. Christelle vint la rejoindre peu après. Marie me regarda en croisant ses longues jambes. - Tu l'as vraiment très bien ligotée, elle n'a pas bougé du tout. Et ce bâillon est véritablement impressionnant, on ne l'entend presque pas.

  • Mfphhghhhgn !!!

Mes couinements se faisaient aigus. J'agitais la tête comme une furie et je tentais tout pour faire jouer un lien, mais c'était sans espoir. Je restais toujours aussi rigoureusement immobilisée malgré tous mes sursauts saccadés. Elles ne vont tout de même pas me laisser comme cela pour l'arrivée des garçons ! De plus il y a deux invités que je ne connais pas au programme.

  • Gnhhfhh… GRfhhGnhh ! MPFHHgn…

Je m'agitais de mon mieux.

  • Manifestement elle adore cela ! C'est impressionnant, dit Marie songeuse.

  • En effet, et on dirait qu'elle est aussi un peu exhibitionniste. Chacune son truc, répondit Christelle en tournant la page de la revue quelle feuilletait.

  • HhhGhhMfHHH !

  • C'est presque l'heure, les garçons devraient arriver.

Elle achevait sa phrase précisément au moment où la sonnette retentit. Christelle et Marie se levèrent pour accueillir les quatre garçons. Il y avait bien deux inconnus.

  • Anne n'est pas avec vous, questionna mon copain ?

  • Si, bien sûr. Elle est sous le sapin, avec les autres cadeaux.

Les garçons s'approchèrent du sapin et y découvrirent soudain le spectacle que j'offrais. J'étais m o r t e de honte. Pas moyen de remuer ni de dire qui que ce soit. L'instant de stupéfaction passé, Christelle ajouta :

  • Pas question de déballer les cadeaux avant minuit !

  • Mais il reste deux heures, dit le copain de Christelle.

  • Ou alors il y a un gage et elle reste dans cette tenue-là tout le réveillon.

Ils ont discuté plusieurs minutes autour de moi, l'un s'agenouillant, l'autre tâtant, le troisième caressant. Je sentis une petite tape sur la fesse. Finalement, ils ont décidé de me libérer, mais avec l'accord qu'après le repas, je serais laissée aux bons soins de Marie pour être à nouveau ligotée et bâillonnée, et que je serai ensuite assise parmi les autres dans le salon. C'est comme cela que j'ai participé au réveillon de Noël topless, en string et porte-jarretelles avec des escarpins vertigineux entourée uniquement de gens normalement habillés. Et c'est aussi pourquoi j'ai terminé le réveillon assise sur une chaise, presque nue, bâillonnée et ligotée comme un saucisson, les bras passés derrière le dossier et les chevilles solidement attachées au barreau unissant les pieds avant du siège.

Marie a très bien fait cela. Très méthodique, strict et efficace. Elle apprend vite et fait d'excellents nœuds ! Elle m'a bâillonnée aussi rigoureusement que la première fois et une fois totalement ligotée à la chaise, je ne pouvais plus remuer d'un pouce.

Au moment de prendre congé, tout le monde est venu me faire gentiment la bise sur ma chaise. Marie en a d'ailleurs profité pour me toucher à nouveau les seins. Après avoir fermé la porte derrière eux, mon copain mis un film X à la TV pour me distraire pendant qu'il faisait du rangement. Il est venu regarder la fin avec moi avant de me libérer.

Par Dominique Dono

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