Accréditation fessée 2 sur 8

Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Accréditation fessée 1 sur 8
il y a 4 ans

La journée se déroule sans incident. Miss Jane et Miss Crumble nous prennent en charge comme de petits e n f a n t s, surveillant notre toilette, s’occupant de nous savonner sous la douche. Nous n’avons qu’à nous laisser faire et surtout obéir sinon c’est la fessée immédiate.

Après un dîner fort copieux au cours duquel Jean et Sara ont reçu le martinet par tante Magda pour ne pas avoir fini leurs assiettes, nous sommes conduits dans la chambre pour la mise en pyjama. Tante Magda a mis la cloison pour protéger l’intimité entre garçons et filles. J’aperçois, honte à moi, posé sur le lit des garçons deux couches intégrales en plastique. Je suis saisi de stupeur, je ne comprends pas. Je questionne Miss Jane pendant qu’elle me déshabille, m’ôtant à la volée le bas et le haut du survêtement me laissant avec ma seule culotte comme mon camarade Jean.

« Mais Miss Jane, on ne va pas porter de couche » une terrible gifle me cingle la joue.

« Tais-toi Vincent, tante Magda insiste pour que je vous mette en couche avant d’aller dormir, cela vous évitera de mouiller votre lit, les toilettes sont en bas, le plancher grince et je ne veux pas d’aller et venu pendant la nuit pour aller faire pipi. »

Pas de résistance possible, miss Jane avec une grande maîtrise me soulève les jambes, glisse le plastique sous mes fesses et rabat la couche qu’elle ferme avec les attaches en scratch. Miss Crumble a fait de même avec mon copain Jean après lui avoir flanqué une fessée pour désobéissance. Tante Magda s’occupe des filles pendant ce temps-là. Elle ouvre la séparation et je constate que Marie et Sara portent la même couche que nous. Nous sommes assis en couche sur nos lits respectifs avec un sentiment de honte que nous avons du mal à dissimuler.

« Avant de dormir je vous ai promis que la fessée serait doublée au moment du coucher mais je veux bien faire une exception car vous êtes fatigués et avez besoin de bien dormir. Je vous fais un câlin à chacun en vous bordant et je vous dis bonne nuit mes e n f a n t s »

« Bonne nuit tante Magda »

« Demain réveil à 8h et petit déjeuner à 8h15, nous vérifierons l’état de propreté de vos couches gare à vous si elles sont mouillées ! Dormez bien »

Pendant la nuit, à demi endormi, j’ai entendu des bruits provenant de la chambre de Miss Stick, des éclats de voix, des pleurs et des coups, à rythme régulier mais soutenu. Le bruit caractéristique d’une main qui claque et d’un derrière qui reçoit. Je n’osais quitter ma chambre de peur de subir le même sort. Je m’endormis assez tard un peu perturbé par ce que j’avais entendu. Ce peut-il que Tante Magda soit en train de fesser Miss Stick ?

Le lendemain, Miss Jane nous tire du lit l’un après l’autre pendant que Miss Crumble réveille les filles. Elles soulèvent complètement les draps pour vérifier leur état. Miss Jane se tourne vers nous.

« Trois draps bien propres et un drap bien mouillé, celui de Vincent, je suppose mon garçon que votre couche l’est aussi, je vais vérifier ».

Elle m’allonge sur le dos et défait les scratchs. Pas de doute la couche est mouillée et bien pleine, Je suis confus car j’ai compris qu’il y a dû avoir une fuite pendant la nuit.

« Mon cher petit je suis au regret de vous annoncer que pipi au lit égale grosse fessée au martinet de la part de tante Magda »

Tante Magda dans sa belle nuisette qui met en valeur son imposante poitrine revient brandissant le martinet, l’instrument familial de correction si redouté par les e n f a n t s. Tante Magda brandit le martinet et après m’avoir couché tout nu sur ses genoux me cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues. Je dois compter à voix haute les coups, 40 en tout. Elle me fesse devant mes petits camarades, une fessée retentissante et expéditive qui après le martinet soulage presque. Me revoilà fébrile les fesses nues en pénitence à nouveau mains sur la tête assis sur le bord du lit. Tante Magda devient tout à coup beaucoup plus aimante m’attirant contre elle, elle m’assoie sur ses genoux et me prend dans ses bras pour me consoler.

Cela me fait bizarre cette cajolerie après la fessée, un câlin si tendre assis sur les genoux de tante Magda. Quelle sensation agréable d’être consolé par tante Magda qui vient de me flanquer une bonne correction si méritée. Dans ma tête je l’entends me dire « mon e n f a n t , je fesse et je câline à la fois. Je t’aime comme mes e n f a n t s et je dois aussi sévir quand tu n’es pas sage, tante Magda est stricte mais juste, elle t’a donné une bonne fessée car tu l’as mérité ». Elle poursuit son câlin avec de tendres paroles.

« Tu vois mon Vincent, tante Magda est douce et sévère à la fois. Tu devrais avoir honte de mouiller ton lit mon e n f a n t , je n’ai pas d’autre choix que de te corriger pour que tu ne recommences pas c’est tout simple, compris mon Vincent ?

« Oui tante Magda »

« Pour votre information, Miss Stick a essayé de me voler un bracelet dans mon tiroir, je l’ai surprise en flag. Miss Stick a reçu une fessée carabinée longue et méritée. Je crois qu’elle a compris »

« Allez ouste tout le monde dans la cuisine pour le petit déjeuner, Miss Jane vous pouvez changer les draps s'il vous plait. »

Tante Magda revient dans sa tenue de cavalière, portant pantalon noir en stretch et bottes en cuir montantes la cravache à la main. Nous sommes attablés au petit déjeuner dégustant un assortiment de viennoiseries et buvant notre chocolat chaud quand tante Magda se lève et nous questionne

« Qui a utilisé la selle de course dans l’écurie hier après-midi ? »

On se regarde tous, sans comprendre. Une main se lève celle de Sara.

« C’est moi tante Magda, je voulais faire une balade à cheval, je ne savais pas… »

« Je vous ai pourtant interdit de la prendre non ? »

« Heu oui mais »

« Mais quoi, tu as volontairement désobéi à tante Magda, regarde dans quel état elle est, je vais devoir sévir ma petite Sara »

« Oh non pardon tante Magda, je ne recommencerai plus »

« File t’habiller dans ta chambre, nous allons régler ça, Miss Jane, apportez-moi la strappe en cuir rouge »

Sara revient, c’est Miss Stick qui lui a passé une jolie robe de petite fille, elle lui a noué les cheveux avec un beau ruban. C’est une Sara ravissante, apeurée et bien calme qui se présente devant tante Magda. Nous sommes tous spectateur de la scène dans la cuisine. Tante Magda se dirige vers le large banc ou elle s’assoie. Elle propulse la pauvre Sara en travers de ses cuisses. C’est sans doute la position la plus humiliante quand on reçoit une correction en public. Elle prend son temps tante Magda, pour bien dégager la robe et baisser la petite culotte en coton blanche. Sara sens monter en elle une certaine angoisse : quand la fessée va-t-elle tomber ? Combien de claques ? Tante Magda a saisi la strappe par le manche et lève la main au-dessus des fesses de Sara

« Ma Sara tu es ravissante dans ta jolie robe de petite fille sage sauf que tu dois être punie, c’est la fessée de tante Magda »

Et la raclée commence, terrible volée, une main très énergique claque ses fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. Tante Magda a décidé de faire un exemple et donne à la fille une fessée retentissante aussi forte que possible en tapant avec la strappe . C’est très douloureux. Elle lui bloque le bras dans le dos et la fait pivoter sur sa cuisse gauche emprisonnant ses cuisses avec son autre jambe. Sara reçoit une fessée exemplaire devant nous tous, Tante Magda est furieuse et cela décuple son énergie. La fessée de Sara est la plus grosse correction que nous ayons reçue, une double fessée manuelle et avec la strappe qui frappe avec souplesse et provoque les cris, les pleurs de la pauvre Sara.

Après une mise au coin réglementaire, Miss Jane consigne Sara dans sa chambre qui pleure à chaudes larmes. Vient mon tour. Tante Magda a remarqué que mes affaires sales traînaient par terre au pied du lit.

« Mon petit Vincent qu’est-ce que tante Magda t’a promis en cas de grosse bêtise ? »

« Heu, non pas… »

« Non pas quoi mon e n f a n t ? »

« La fessée tante Magda, vous m’avez promise la fessée déculottée »

Elle me conduit dans le salon et me couche en travers de l’accoudoir du canapé. Elle me gronde et me donne la plus grosse fessée jamais reçue sur mon pyjama, sur ma culotte puis déculottée. Une fessée retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je supplie, je demande pardon et au bout de longues minutes, je suis en s a n g lots alors tante Magda ralenti le rythme de ses claques, la fessée devient plus légère, elle soulage presque. Elle fait une pause sans doute pour reposer sa main et constater la couleur rouge de mes fesses. Je me relève les fesses me brûlent, je rougis d'être puni de cette façon Jamais je n’avais reçu de fessée aussi forte et longue, Je me sens honteux. Je n’attends pas qu’on me le demande, je me rends au coin, empêtré dans mon bas de pyjama. Tante Magda m’autorise heureusement à me reculotter. C’est une pause bienvenue pour mes fesses si rouges et brûlantes.

« Toi aussi tu es puni dans ta chambre et ne t’avise pas de déranger Sara sinon je te fesse avec ma cravache !»

Me revoilà assis sur mon lit massant mes fesses endolories. Je relis le formulaire détaillant les règles familiales. C’est décidé je ne sors plus de la chambre, je préfère rester allongé et attendre que la cuisson passe. Au bout de quelques temps, cela fait moins mal mais je sens quand même la chaleur qui irradie mon séant. Je me concentre sur ma feuille, il s’agit de bien comprendre les règles de tante Magda et d’être conscient de ce qui peut arriver en cas de désobéissance. La deuxième journée est plus apaisante. Finalement au bout d’une heure j’ai été autorisé à rejoindre les autres qui ont entamé une partie de basket coachée par une ex pro, tante Magda. On plaisante, on rit et on oublie bien vite notre statut d’e n f a n t . Une après-midi joyeuse et détendue sans fessée.

Jean a emprunté la belle moto pour aller faire un tour en ville avec Marie. Nous sommes dans le jardin quand le téléphone sonne. C’est la gendarmerie qui signale que Jean a commis un excès de vitesse. Tante Magda négocie avec eux de ne pas avoir de retrait de permis en échange d’une punition exemplaire Jean et Marie arrivent en poussant la moto, tout honteux de s’être fait arrêter et sermonner par les gendarmes.

« Approchez tous les deux, vous avez encore fait une grosse bêtise, tante Magda sais ce qu’il vous attend »

« Une petite fessée pour Marie et une grosse fessée pour le conducteur, mon petit Jean »

Tante Magda cale la moto sur sa béquille et prenant de l’élan bascule Marie en travers de la selle. Elle cale bien le ventre de Marie en l’appuyant de sa main gauche. Avec la droite elle baisse à la volée le leggings et la culotte de la petite, juste ce qu’il faut pour exposer ses fesses nues. Et la fessée commence, pas plus d’une vingtaine de claques. Elle libère Marie qui se reculotte pendant que Tante Magda cale Jean dans la même position. Cette fois ci nous assistons à une fessée déculottée longue et très intense le pauvre Jean sursaute en travers de la selle pendant que tante Magda lui claque les fesses imprimant à chaque fois une marque rouge sur ses hémisphères. C’est encore pire car tante Magda revient avec le martinet. Elle lève la main brandissant le martinet à larges lanières et lui cingle les fesses en demandant de compter les coups. Après 60 coups, Jean demande pardon en larmes. Quelle raclée il a reçu. Elle finit par une formidable fessée courbée sous son bras. Je compte au moins cent claques et sa main se calme. Jean est conduit au coin du jardin pour réfléchir à sa bêtise. A qui le tour pour le prochain, la prochaine ?

Les deux punis sont consignés dans leur chambre. Marie m’entraîne dans une partie de cache-cache fort amusante. Vers 19h, tante Magda, nous annonce que ce soir elle va se changer pour mettre une tenue plus festive. Elle nous invite à remettre notre belle tenue d’écolier pour être plus présentables devant elle. Etant de nature curieuse, et étant le premier habillé, je décide de flâner et je passe devant la chambre ouverte de tante Magda et là je reste subjugué devant la scène : ma tante en train d’ajuster son soutien-gorge en dentelle bleu, les deux mains en train de remonter ses beaux seins (poitrine 95C au moins) en culotte de type tanga assorti au soutien-gorge, dévoilant ses longues et belles jambes sur lesquelles elles comptent enfiler de beaux bas nylon. Je reste bouche bée, sentant une forte érection dans mon pantalon. Tante Magda me voit dans le reflet de son miroir, elle me fait signe d’approcher, je ne peux qu’obtempérer, la logique voulant que je prenne mes jambes à mon coup mais je suis pris à mon propre piège fasciné et en émoi devant la beauté féminine. Elle me saisit par l’oreille et me dirige vers son fauteuil devant sa coiffeuse me tenant légèrement penché elle murmure à mon oreille

« Le spectacle t’a plu petit vicieux ? »

Evidemment je n’ose répondre

« Si j’en juge par la raideur dans ton pantalon, il semblerait que oui, tu devrais avoir honte d’espionner Tante Magda en train de s’habiller, pris en flagrant délit en plus, qu’as-tu à dire pour ta défense ? »

Je sais que je suis en faute, que c’est impardonnable alors résigné je lui réponds

« Ma tante je vous demande pardon, je n’ai aucune excuse, je comprendrais que vous vouliez me corriger »

« Tu ne crois pas si bien dire, bien sûr tu mérites une correction mais j’hésite entre te la donner sur le champ en privé ou d’attendre et de le faire en public après le diner »

« Oh non s’il vous plait la fessée ici dans votre chambre »

« Très bien jeune homme, alors cela restera entre nous, d’ailleurs je ferme la chambre pour plus d’intimité »

Elle se lève pour enfiler ses bas nylons. Elle est splendide en soutien-gorge, tanga et bas gris perle. Elle me met à genoux, l’occasion pour moi de mater de plus près ses jolis seins. Elle me baisse à la volée pantalon et culotte et me couche sur ses cuisses. Elle me donne une petite fessée qui ne fait pas trop mal, vu sa tenue on dirait presque une fessée érotique mais elle est de courte durée. Elle se lève et dispose deux gros coussins en travers de son lit.

« Couche toi en travers du lit, le ventre bien collé aux cousins et ne bouge pas »

Me voilà étendu en travers du lit les fesses relevées par rapport au matelas, la culotte retournée à mi cuisses, le pantalon qui boudine à mes pieds. Tante Magda s’approche et mesure la portée qu’elle doit avoir pour me fesser correctement. Elle lève la main bien haute et la fessée commence. J’ai reçu 200 claques par série de 10. Les dernières de plus en plus fort. Je mesure à cet instant que tante Magda est une fesseuse exceptionnelle, elle a l’endurance, la vitesse, la technique et l’expérience. Plus tard en aparté elle me confiera qu’elle donne chaque week-end plus de 20 fessées, une sacrée bonne fesseuse.

Tante Magda me reculotte et me conduit dans la cuisine ou nous attendent mes camarades Jean, Sara et Marie ainsi que Miss Crumble et Miss Stick. Seule Miss Jane manque à l’appel. Nous dinons en silence. Aucun des convives n’osent parler vu le palmarès de fessées reçues depuis le début du séjour. Miss Jane arrive. Oh surprise elle a changé de tenue et porte une robe à smoke et un chemisier blanc qui ne la distingue pas de nos tenues d’écolier. Elle semble tout intimidée, un silence de m o r t règne. Tante Magda se lève.

« Approche Heater Jane, car je dois dire ton prénom maintenant que tu ressembles à une petite fille. J’ai téléphoné à Madame Leblanc, ton précédent employeur et quelle ne fut pas ma surprise quand elle m’a dit qu’elle t’avait renvoyé pour avoir manqué à ton rôle de nounou. Tu m’as mentie quand tu m’as dit que tu étais partie pour raisons personnelles. Je devrais te renvoyer mais comme je suis compréhensive je veux bien te laisser une chance. Tu vas rejoindre les quatre camarades et tu finiras le week-end sous ma coupe. Il est évident que tu perds tes privilèges d’adulte et que je te considère désormais comme une petite fille, d’où ta nouvelle tenue d’écolière modèle. Pas si modèle en fait. Il faut que je te corrige pour ton mensonge »

Elle saisit la pauvre Heather et lui relève la jupe qu’elle coince en la roulant contre son buste révélant à tous sa petite culotte blanche et ses belles jambes profilées. Heather est si honteuse de montrer ses dessous, elle réalise ce qui lui attend.

« Pardon Madame VanRieskem » une claque lui atterri sur la croupe

« Pour toi je suis tante Magda compris jeune fille » en lui assenant deux autres claques sur les cuisses.

« Ah ma petite, tu continues à me provoquer et bien tu vas le regretter ! Tante Magda va te donner une de ces fessées, tu vas t’en souvenir longtemps, tes fesses vont te cuire longtemps mon cher e n f a n t ! »

Elle pose sa jambe en appui sur la chaise de cuisine légèrement en hauteur et l’attire penché vers sa cuisse. Elle lui baisse promptement la culotte. Heather Jane réalise qu’elle va payer cher son insolence. Nous allons assister à la fessée de Miss Jane, elle qui nous a si souvent déculotté et corrigé est maintenant à notre place, c’est une agréable surprise. C’est la position idéale pour tante Magda qui de par sa stature n’a aucun mal à placer Heather en équilibre sur sa cuisse. Ses bras tendus sont agrippés à la table, ses jambes battent dans le vide comme un pantin. Faisant preuve d’une grande maîtrise tante Magda lui enroule le ventre et l’emprisonne pour la maintenir en position, les fesses bien tendues et offertes à la correction.

« Mes chers e n f a n t s, tante Magda doit punir Heather qui en mentant prouve qu’elle mérite la fessée déculottée devant vous »

Elle annonce la bonne fessée, la fessée parentale exemplaire. Elle lève la main bien haute et lui claque rapidement les fesses. Elle reçoit plusieurs séries de claques, par dizaine, des claques de plus en plus fortes et rapides. Tante Magda a décidé de faire un exemple donc elle s’applique à bien rougir le postérieur. C’est une fessée disciplinaire elle doit faire mal. Elle fesse la petite Heather pendant vingt minutes. Quelle correction et quelle endurance. Heather a beau pleurer et demander pardon, tante Magda ne l’écoute pas et continue à lever sa main. Sa fessée est retentissante, mémorables et très cuisante, dans le silence de la cuisine, on entend les faibles gémissements de la fillette et le bruit assourdissant des mains de tante Magda qui fesse, fesse et re fesse avec énergie et rythme.

On en est à 300 claques et la fessée continue, Heather a beau supplier et demander pardon. Rien n'y fait quand Tante Magda fesse, elle déculotte et elle fesse longtemps et avec une grande maîtrise. Elle ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire. Elle termine sa formidable fessée déculottée par 30 claques retentissantes que nous devons compter en cœur « 1,2, 3…10…15…28,29 et 30 » Ah que tante Magda fesse fort, je me dis en mon for intérieur. Tante Magda du haut de son 1,90 m fesse la pauvre Heather comme une sale gamine, ce qui montre que Tante Magda a l’habitude de flanquer de bonnes raclées aux e n f a n t s pas sages. La correction se termine, Heather finit au coin, vu la couleur rouge tomate, elle va dormir sur le ventre. Tante Magda lui remonte sa culotte et lui baisse la jupe.

« Tu as vraiment mérité cette grosse fessée ma petite Heather ? »

« Oui ma tante, j’ai les fesses toutes rouges, ça me brûle » (en sautillant sur place)

« Tu as eu ce que tu mérites, file dans ta chambre, Miss Crimson vous la mettez en pyjama et n’hésitez pas lui donnée la fessée si elle ne vous obéi pas »

« Oui Madame, viens Heather que je m’occupe de toi, fillette »

"Il est l’heure d’aller au dodo, tout le monde en pyjama, les dents, pipi et au lit ».

Nous montons en silence et en vitesse dans la chambre. Quand nous arrivons Miss Crimson est en train de flanquer une terrible fessée à la pauvre Heather qui n’a pas du obéir assez vite. Cela nous conforte dans l’idée qu’il ne vaut mieux pas traîner si on ne veut pas être le prochain. En cinq minutes nous avons lavé nos dents, fait pipi et sommes en train de nous mettre en pyjama. Miss Crimson et Miss Stick sont là pour surveiller nos moindres faits et gestes et gare à celui ou celle qui traîne, quelques claques sur les fesses vous remettent vite à l’œuvre. Nous sommes tous en pyjama, allongés sur nos lits respectifs. Miss Crumbe a rajouté un lit d’appoint dans le coin des filles pour Heather. Tante Magda arrive, elle porte une belle robe, une belle pièce de soie et de broderie avec de la dentelle.

« Fessée du matin câlin, fessée du soir bonsoir. Je ne vais pas tergiverser, ni reprendre les nombreuses bêtises et fautes commises aujourd’hui mais il est clair que vous méritez tous une bonne fessée pour votre comportement. Miss Crumble et Miss Stick nous ne serons pas trop de trois pour corriger les petits derrières. Mesdames à vos mains !»

Que dire de cette fessée collective. Elle fut brève, intense et très cuisante. Pour ma part, j’ai dégusté. J’ai reçu dans la foulée la fessée sur les genoux de Miss Crimson, la fessée allongée sur le lit de Miss Stick et pour finir une formidable fessée de tante Magda debout, sous son bras légèrement penché. Trois fessées déculottées de suite avant d’aller au lit les fesses bien au chaud pendant que mes autres camarades subissaient le même sort. Il me reste en mémoire l’image que dans mes draps je me consolais en frottant mes fesses endolories en assistant à la dernière fessée, celle de Jean allongé de tout son long sur les genoux de Miss Crimson pendant que Sara avait la même position tête bèche en travers des genoux de tante Magda.

Deux fessées cul nu spectaculaires, claques en cadence, à gauche, à droite, la main qui se lève et s’abat, les bustes qui font des soubresauts après chaque claque et les pleurs des deux pauvres victimes.

« Bonne nuit mes petits diables et diablesse, que cette fessée vous serve de leçon, Tante Magda vous aime et vous pardonne, un câlin à chacun et dormez bien »

Le lendemain, le week-end se termine, tante Magda nous raccompagne tous les quatre à la gare. Dans la voiture nous plaisantons, nous sommes devenus amis ; nous échangeons nos impressions ; tante Magda est d’humeur joviale, nous la découvrons beaucoup plus chaleureuse et cool que nous le pensions. Assez à l’aise pendant le trajet, nous continuons à nous titiller et quelques objets volent à l’arrière du véhicule. Tante Magda nous demande de stopper nos e n f a n t illages quand soudain Marie crie

« Oh ça va c’est fini le week-end lâche nous un peu la grappe ! »

Les pneus crissent, tante Magda a brusquement pris la sortie d’autoroute. Elle freine fort et arrête son 4*4. Elle se tourne vers Marie en lui lançant un regard sévère.

« Descend tout de suite jeune fille, je vais t’apprendre la politesse »

« Oh non pardon Madame, je ne voulais pas dire ça »

« Et pourtant tu l’as dit, trop tard pour tes fesses mon e n f a n t »

Tante Magda ne laisse pas le temps à Marie de sortir de la voiture, elle l’empoigne, la soulevant de terre. Elle enroule son bras sous son ventre et avec sa main droite lui baisse le pantalon à mi cuisse puis vient le tour de sa petite culotte rose. De la voiture nous assistons à la scène surréaliste, tante Magda qui porte la pauvre Marie qui se débat fesses nues tentant d’échapper à la prise de sa correctrice.

« Le week-end n’est pas terminé et je peux encore sévir, tu n’as pas encore récupéré ton statut d’adulte donc je vais te corriger comme une sale gamine pour ton impertinence »

La fessée qui s’en suivit fut douloureuse pour Marie. A son retour elle dut envoyer un mail pour s’excuser

Bonsoir Madame ou devrais-je dire « Tante Magda » au risque de me retrouver sur vos genoux.

Je suis partie de chez vous en étant insolente sur le chemin du retour. Vous m’avez bien sermonné en me sortant de la voiture, j’ai eu bien honte et vous m’avez flanqué une bonne fessée déculottée. J'ai les fesses encore rouges et me souvient avec appréhension de mes multiples passages sur vos cuisses. Mes fessées étaient toutes méritées et vous a bien fait, je ne vous tiens pas rigueur et je vous prie de m’excusez pour mon comportement déplacé.

J'espère revenir bientôt pour un prochain week-end de recadrage.

Bises

Marie

PS : pour la petite histoire sachez que suite au week-end Vincent et moi sommes en couple et que nous aimerions revenir tous les deux

Quelques minutes plus tard Marie reçoit sa réponse :

Bonsoir Marie, merci pour ton mail. Tu es une jeune femme intelligente et charmante mais tu as besoin qu’on te fixe un cadre pour ne pas dériver. J’ai aimé te fesser c'est très plaisant et tu sais mériter les bonnes corrections.

J’avoue que je me doutais un peu pour toi et Vincent, je vous ai souvent vu vous jeter des regards complices (y compris pendant vos corrections respectives) cela me plairait bien de vous accueillir de nouveau à la maison, je vous recevrais en toute intimité c'est-à-dire si en travers de mes genoux !

A bientôt Madame VanRieskem

Vincent

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