Les bouleversements liés à ses fessées

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il y a 4 ans

Une très jolie histoire érotique de femme fessée

La route petit matin doux de mai, comme elle les aime, elle se sent légère au moment même où la voiture démarre, le cœur et l’esprit déjà ailleurs gonflés d’envie et de joie.

Pourquoi parler de cœur ? Pourquoi perçoit-elle cet attachement ?

Jamais une histoire de fesses ne pourrait être aussi délicieuse sans ce sentiment.

Elle ne vient pas se faire frapper. Elle vient s’abandonner à lui, lui qui lui accorde du temps, lui qui offre ses mots, qui l’écoute, qui se confie à elle depuis des semaines.

Elle tremble cette fois, de peur de se gaver de cette tendresse et d’en être privée un jour.

Elle craint aussi dans son abandon si bienfaisant pour elle d’être considérée comme une gamine en manque. Ou comme une femme pas assez femme. Un être immature.

Voilà à quoi elle pense sur la route.

Le cœur gonflé, le corps tendu, et ces gros routiers qui l’effraient à coups de klaxon … pauvres types en manque ! Cela l’amuse finalement …sa jupe un peu trop relevée sans doute …

Elle se dit que tous ces types vils, vulgaires ne doivent rien connaître

de la rencontre magique de deux âmes qui se sont trouvées et se découvrent avec étonnement.

8h35 Parking. Il la serre fort, il l’enlace, baisers, étoiles dans les regards, tendresse. Oh ! ses bras qui l’étreignent et l’emportent toute entière, une minute d’éternité, sans mot.

L’ascenseur, une main relevant sa jupe, le jeu d’émotions commence. Un frisson entre ses cuisses.

La chambre, vite, porte fermée.

Elle observe la mallette posée sur le bureau, imaginant à l’intérieur ce qu’il lui a promis.

Pour de vrai, elle meurt d’envie de faire pipi. Elle sait la règle, laisser la porte ouverte ! Mais cette fois, il l’accompagne et l’observe, elle baisse les yeux, intimidée.

-Je ne peux pas, je n’y arrive pas, c’est impossible !

Il sort sans un mot. Elle ne croise pas son regard.

Ouf soulagée … lavabo robinet …elle sort sourire dans les yeux elle est sûre qu’il a entendu le petit ruisseau tiède dont elle l’a privé …. Cela l’amuse … désolée dit-elle légèrement effrontée … Mais il ne rit pas, il l’attend assis sur la chaise, elle comprend.

-Tu as désobéi Isa !

Frisson, basculement dans le jeu et sur ses genoux, pour une humiliation e n f a n t ine de se retrouver jupe relevée sous sa main sévère qui s’abat et qui claque, qui baisse sa culotte, qui continue à danser à voltiger.

Elle se sent à la fois honteuse sous son regard, e n f a n t punie immédiatement après une désobéissance, contrainte et maintenue par son bras qui la tient, honteuse de cette première fessée qui résonne et qui doit s’entendre dans le couloir, honteuse de cet immense plaisir qui l’envahit au creux du ventre en même temps que la chaleur de ses fesses, …mais aussi fière de l’excitation qu’elle imagine en lui, fière qu’il apprécie sans doute son cul sous ses yeux et sa main …

Un cocktail explosif de tant de sensations où se mêlent avec confusion sa personnalité morcelée de femme, e n f a n t , sauvage, soumise, joueuse, prête à se révolter à obéir à crier non et à s’offrir en chuchotant oui.

A peine eu mal … elle aurait aimé plus, plus longtemps plus fort ! Et sa voix si douce qui gronde à peine !

Mais le coin imposé lui rappelle que le jeu ne fait que commencer.

5 minutes. Elle rêve de se caresser, elle sent son sexe humide, il la regarde sans doute, un regard comme une caresse. Dans cette position obéissante sans qu’il ne la touche, elle se sent soumise, à distance, sans son corps contre le sien. Elle gigote un peu, descend ses mains qu’il lui a demandé de laisser sur sa tête. Elle le fait exprès pour qu’il s’approche et lui saisisse les poignets pour la remettre en position de punie. Elle aime ce geste autoritaire. Sa main enserrant son poignet avec fermeté. Elle ne sait pas ce que cela évoque en elle. Elle refuse de se questionner. Mais elle a besoin de se heurter à ses gestes, de sentir sa peau, sa f o r c e . C’est un trouble énorme.

Il lui impose la lecture de sa feuille de punitions pour ses comportements vrais et inadmissibles, elle tremble à la vue des instruments qu’il a apportés, elle ne désirerait que sa main à lui et son corps contre le sien. Non négociable ,,, Elle le sait et ne peut y échapper.

La seconde fessée à la main résonne encore dans la chambre.

Elle a si peur d’être entendue ! Et de rougir de honte en sortant et en croisant quelqu’un !

50 claques qui lui rappellent ses abus, ses impolitesses, ses impatiences réelles et qui lui brûlent les fesses jusqu’à la douleur. A-t-il vu sa main à elle glissée sous son ventre et ses doigts à l’entrée de son sexe ruisselant ? Courbée sur son genou, elle a envie de le mordre et paradoxalement de se laisser aller, d’ouvrir ses cuisses, d’offrir son cul pour qu’il la désire en entier, et de nouveau, ce mélange fulgurant de se sentir comme une gosse corrigée et comme une femme qu’il va posséder avec fureur.

Elle doit choisir ses instruments, goûter … presque un jeu honteux de choisir dans la mallette et de lui apporter l’objet et de se courber devant lui pour qu’il exécute ce qu’il lui a promis !

Elle sent qu’il est raisonnable et qu’il ne se laisse pas aller à la colère, il reste dans la modération parce que c’est la première fois ou presque. De nouveau, elle résiste et lorsqu’il prend des photos de son cul ensoleillé, elle est presque fière et souriante de son endurance ! Non Monsieur !! Même pas mal !

Mais quand elle se retrouve assise sur ses genoux, blottie dans ses bras , le visage caché dans son cou, perçoit-il les larmes qui arrivent à ses yeux, le bouleversement de son âme qui part avec lui vagabonder sur des chemins interdits ? Et cette envie de baiser, de se donner toute nue toute entière et d’être femme pour lui seul, de le dévorer, de le goûter, de le lécher, de le sucer, de lui dire avec sa bouche, sa langue, ses doigts, son sexe, ce désir fou de se mélanger et de tout faire sans tabou ?

Alors ils le font, et c’est si bon que son cœur à elle a envie de crier au secours, non, non, oui encore please please recommence continue je te veux je me donne. Tout, partout, en entier,je veux tout connaître de toi, de nous ensemble, aller loin, là où nous porteront ces fantasmes avec f o r c e et tendresse.

Et quand tous deux s’apaisent après ce corps à corps, Monsieur veut encore jouer, elle lit dans ses yeux un désir nouveau, elle a vu les dés dans la mallette, elle s’en amuse à l’avance, elle ne peut deviner la règle mais oui, elle lui dit oui à tout.

Debout nue à sa gauche, elle lance les dés successivement, et reçoit des coups au hasard sur les seins, les mains le sexe les cuisses les fesses …. étranges et douloureuses sensations qui n’ont plus rien à voir avec une fessée e n f a n t ine, sa main droite tient l’instrument, sa main gauche enserre son bras et elle se sent soumise et acceptante, parce que c’est lui qui a décidé de la règle, et qui frappe ses seins si petits avec délectation, son sexe nu qui frémit de peur, la paume de sa main .

Elle rêve de le mordre, de le gifler, de se recroqueviller par terre, mais elle désire aller dans ce mystère de l’acceptation, d’aller au bout du jeu sans renoncement par orgueil ou par curiosité, et sentir encore dans son ventre la vague de ce désir pour lui. Fin du jeu, ses seins sont sensibles et douloureux, jamais ils n’ont été ainsi maltraités, et ils se tendent et pointent avec insolence sous les yeux de Monsieur.

Il la bascule sur le lit, et à nouveau ses gestes tendres son regard gentiment pervers quand il la voit en train de se caresser devant lui, il promène ses mains sur ses seins et lui annonce la punition surprise. En silence, il lui bande les yeux … Elle a en mémoire des images de BDSM et n’ignore pas son désir à elle de faire un premier pas sur ce chemin mystérieux.

Totale acceptation, confiance. Et peur de la douleur. Elle ne peut se retenir de gémir lorsque les pinces métalliques mordent ses tétons, lorsqu ‘elle sent la chaîne tirée, tournée, c’est terriblement douloureux et nouveau, et pourtant à genoux, elle se redresse et lui tend ses seins pour qu’il s’amuse et jouisse de la voir ainsi « torturée » et soumise à sa volonté. Tout au fond de son esprit, elle se livre en entier à ce Monsieur qui depuis des semaines, l’écoute et se confie.

L’attachement, le lien … Comment exprimer le plaisir infini qu’elle vit à se laisser aller aussi loin ? Réalise-t-il la douleur ressentie qui est pire encore quand il retire doucement les pinces ? Elle s’écroule sur le ventre au bord du lit où il la fesse de nouveau durement sous son bras prétextant que ce matin, elle s’est lavée alors qu’il la désirait avec son odeur de la nuit. Et quand il lui applique une dernière claque retentissante, elle sait qu’il est brûlant de désir et qu’il bande comme un fou !

Comment résister à une autre étreinte, aux bouches aux doigts qui se cherchent, à leurs sexes qui s’attirent ? jouir de tout donner, tout offrir, baiser comme jamais, et sentir le lien qui désormais les attache.

Ils sortent de la chambre, elle marche devant lui, les fesses chaudes et nues sous sa jupe ; dans le couloir un peu sombre, il relève le tissu pour apercevoir son cul et elle se moque bien d’imaginer quelqu’un les observant. Elle en serait presque fière. Elle est arrivée ce matin comme une gamine qu’il devait corriger, elle ressort comme une femme qui a joui de chaque minute et de chaque geste.

Amisa

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