Une nouvelle maison pour Clara

Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
il y a 4 ans

A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la chef de magasin du supermarché local, a emboîté le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre.

Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, devient un spectacle commun.

Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien et celui de leur entourage.

Clara descendit du bus la peur au ventre. Comment allait se passer sa confrontation avec sa belle-mère ? Depuis qu’elle la connaissait, elle avait toujours été très impressionnée par cette femme formidable. Une véritable tornade quand elle s’y mettait.

Madame Gorevski avait tout réussi dans la vie. Le décès prématuré de son mari l’avait obligée à prendre la direction de la petite entreprise d’import-export dans le bois. Elle en avait fait, dix ans plus tard, un fleuron du secteur qui s’était spécialisé dans le bois de luxe. Elle n’avait pas accumulé une fortune dépassant l’entendement, mais les revenus de son activité la mettaient à l’abri de tout besoin jusqu’à la fin de sa vie.

Cela ne s’était pas fait tout seul. Elle avait la réputation, justifiée si on en croyait les bruits qui circulaient, d’être intraitable en affaire. Tous les employés de sa firme craignaient se jugements froids qui ne se traduisaient jamais en colère. Mais c’était pire. Madame Gorevski ne laissait jamais passer de l’à-peu-près dans le travail. Elle exigeait un investissement sans faille dans son travail qu’elle récompensait sans hésitation, mais qu’elle sanctionnait sans état d’âme quand elle ne le trouvait pas suffisant. Les employés jugés insuffisamment impliqués, se retrouvaient sur la touche avant d’avoir pu comprendre ce qui leur arrivait.

Madame Gorevski avait géré sa famille comme elle avait géré son entreprise. Elle exigeait une soumission absolue à ses objectifs. Stanislav, son fils unique, y avait été soumis jusqu’à sa majorité. Il avait fait preuve d’une autonomie étonnante en allant travailler en dehors du giron familial. Cela n’avait pas été une réussite fulgurante.

Stanislav occupait un poste de commercial et il gagnait chichement sa vie. Sa mère ne cessait de le lui faire remarquer. Quand Clara était arrivée dans sa vie, il y a presque dix ans, ça avait été un amour passionné qui s’était joué de tous les obstacles. Madame Gorevski n’avait ni approuvé ni désapprouvé ce choix de son fils, mais elle ne cessait de pester contre le manque d’ambition du couple qu’ils formaient tous les deux : lui un petit commercial et elle une vendeuse en grand surface.

Clara n’avait jamais réussi à décrypter les relatons entre la mère et le fils. Elle savait que Stanislav voyait sa mère régulièrement sans qu’elle en soit informée. Cela ne l’aurait pas gênée si son mari n’en revenait pas le caractère assombri par les exigences de sa mère. Stanislav avait plusieurs fois allusions aux méthodes radicales qu’employait sa mère, dans son e n f a n c e , pour maintenir la discipline familiale. Il n’était pas explicite sur celles qu’elle utilisait encore, malgré les trente ans de son fils, pour lui faire savoir son désaccord. Clara se gardait bien de lui demander trop d’éclaircissement. Stanislav était très attaché à sa mère, même s’il semblait énormément craindre ses jugements.

Clara s’était toujours tenue à distance prudente de cette femme avec laquelle elle ne pouvait rivaliser. Elle ne sentait pas que Madame Gorevski désapprouvât le choix de son fils, non, ce n’était pas cela. Madame Gorevski regrettait que Clara ne pousse pas son fils à une plus grande ambition et qu’elle se contente, elle-même, de la petite situation qu’elle avait. Quand le reproche lui en avait été fait, Clara ne s’était pas rebellée contre cette intrusion dans sa vie privée, elle s’était juste refermée et éloignée, réduisait au minimum les contacts avec sa terrible belle-mère.

Clara se demandait, depuis quelques mois, quelle serait la réaction de sa belle-mère quand celle-ci découvrirait les difficultés financières du couple. Ils avaient acheté le petit appartement dans lequel ils vivaient et les mensualités à rembourser dépassaient leurs possibilités. Les dettes commençaient à s’accumuler mais Stanislav avait toujours refusé de faire appel à sa mère.

« Tu ne te rends pas compte, disait-il à Clara. Maman prendrait les choses en main et ce serait terrible. »

Clara trouvait la formulation un peu énigmatique, mais elle n’avait pas insisté. Les dettes n’en n’avaient pas pour autant diminué.

Clara se demandait ce qu’elle devait faire. Elle avait, dans son sac à main, le courrier de Madame André, la responsable du magasin dans lequel elle travaillait. Comme elle en avait l’habitude afin de s’épargner un travail monotone, elle avait prétendu avoir fait le tri des fruits abîmés qu’il fallait ôter du rayon. En fait, elle avait juste mis sur le dessus les pommes vendables et laissé au fond celles qu’elle aurait dû enlever du rayon. Habituellement, sa cheffe de rayon n’y prenait pas garde et c’était souvent une collègue qui devait se charger de ce travail inintéressant.

Clara aurait dû se méfier. La bruit courrait qu’une caissière avait reçu une fessée le matin même. Cela avait amusé Clara. Elle n’aurait pas dû. Sa cheffe de rayon avait vérifié son travail et elle avait découvert la supercherie. Saisissant Clara par le bras elle l’avait emmenée dans le bureau de Madame André. Malgré ses protestations, Clara avait dû suivre. Là elle avait appris avec stupeur le marché qui lui était mis dans les mains : être licenciée sur le champ ou recevoir une fessée.

Clara ne pouvait se permettre de perdre le maigre salaire que lui rapportait son travail. Elle avait choisi la fessée. Alors qu’elle s’attendait à quelques claques assénées sur le fond de sa jupe, mais Madame André avait exigé que la punition fût plus démonstrative. Allongée en travers des genoux de sa chef de rayon, elle avait reçu une sévère fessée déculottée qui l’avait laissée en larmes pendant les longues minutes qu’elle avait passées au coin, dans le bureau de Madame André, jupe relevée et culotte baissée. Le passage de nombreuses personnes dans le bureau durant sa pénitence, n’avait pas justifié qu’elle retrouve une tenue plus décente. Elle ne savait plus ni combien de personnes, ni qui avait pu la contempler dans cette tenue.

Elle devait maintenant attendre sa belle-mère qui s’était engagée à lui administrer une autre fessée selon le principe : une fessée au travail, une fessée à la maison. Clara n’arrivait pas à imaginer comment Madame Gorevski s’y prendrait ni comment elle réagirait. Elle devait pourtant subir sa punition, faute de quoi la lettre ne serait pas signée. Madame André avait été claire : revenir sans le courrier signé signifiait recevoir le lendemain une fessée à chaque pause, puis une mise au piquet.

Sa belle-mère ayant été mise au courant, Clara ne pouvait plus reculer. Elle craignait que la fessée en préparation n’ait rien de symbolique. Madame Gorevski faisait toujours les choses à fond. Clara se doutait qu’elle ne ferait pas d’exception, surtout s’il s’agissait de prendre l’ascendant sur sa belle-fille. Comment cela allait-il se passer ?

Clara poussait la porte d’entrée dans le hall de l’immeuble quand sa belle-mère se matérialisa derrière elle.

« Te voilà enfin ! Je t’attendais. »

Clara sursauta. Elle n’eut pas le temps de dire un seul mot que sa belle-mère lui prit l’oreille entre deux doigts et le pinçon l’obligea à se courber légèrement tout en tendant le cou au maximum pour soulager la douleur du côté de son oreille.

« Madame André m’a raconté ton comportement au travail. C’est une honte. Je vais te faire passer l’envie de mentir et je vais t’apprendre à être un peu plus travailleuse. »

Madame Gorevski se mit en route et Clara dut suivre. Sa belle-mère ne lui lâcha pas l’oreille tout le temps que l’ascenseur mit à arriver. Clara priait silencieusement pour ne croiser aucun voisin. Comment expliquer qu’elle soit tenue par l’oreille par une femme d’âge mûr qui la ramenait chez elle. Il ne pouvait s’agir que d’une punition, traitement qui, en principe, n’était plus de son âge.

Sa belle-mère ne libéra son oreille que pour lui donner une vigoureuse claque sur les fesses pour la faire entrer dans l’ascenseur. Clara était soulagée. La fessée était inévitable, mais encore quelques pas et elle se déroulerait sans qu’elle ait eu à croiser le regard stupéfait de quelques voisins.

« Donne-moi ta clé ! »

Ce n’était pas le moment de négocier. Clara fouilla dans son sac et remit la clé dans la main tendue. Madame Gorevski lui prit de nouveau l’oreille pour sortir de l’ascenseur et elle dut attendre dans cette position que la porte de son appartement soit ouverte.

Sans dire un mot, sa belle-mère lui ôta son manteau.

« Enlève tes chaussures ! »

Madame Gorevski la prit par la main et elle l’emmena jusqu’au canapé sur lequel elle s’assit. Elle glissa alors ses mains sous la jupe de sa belle-fille. Clara recula. Elle n’avait pas réfléchi, mais le contact des mains de sa belle-mère contre ses cuisses nues avait provoqué cette réaction instinctive.

« Viens-ici tout de suite ! Tu vas me laisser te déculotter. Dérobe-toi encore une fois et je te promets que tu vas le regretter.

– Mais, … mais … »

Clara cherchait un argument pour expliquer sa stupeur mais elle ne trouvait pas les mots.

« Mais quoi ? Quand je te donnerai la fessée, je te déculotterai. Cela t’aidera à te sentir punie comme une vilaine petite fille. Je ne te demanderai pas ton avis et tu ne feras rien pour l’éviter. Ne rajoute pas une désobéissance à tout ce que tu as fait aujourd’hui. »

Madame Gorevski attrapa la main de Clara et elle la remit à sa place, debout entre ses jambes. Clara ferma les yeux pendant que les mains de sa belle-mère fouillaient sous sa jupe pour trouver l’élastique de sa culotte. C’était la première fois qu’elle avait un contact aussi intime avec Madame Gorevski. Jusqu’à maintenant, elles avaient maintenu une distance physique entre elles, à peine si elles se touchaient la main. Il était impensable, jusqu’à maintenant, d’imaginer les mains de sa belle-mère sur sa lingerie et encore moins touchant ses cuisses et ses fesses. Clara le vivait comme une intrusion dans son intimité et c’en était bien une.

Madame Gorevski ne semblait pas s’en émouvoir, tout à son rôle. Il s’agissait de punir sa belle-fille d’une bonne fessée. Cela nécessitait de lui baisser la culotte. Il n’était pas nécessaire d’en faire une affaire. C’était nécessaire, peu importait la pudeur de sa belle-fille. Elle réagissait avec son pragmatisme habituel.

Elle trouva l’élastique de la culotte. Ses deux mains firent glisser le sous-vêtement le long des cuisses. La culotte, tendue entre les deux genoux, apparaissait juste sous l’ourlet de la jupe. Madame Gorevski guida Clara en la tenant par le bras, pour la placer à sa droite. Elle n’eut alors qu’à tirer un peu sur le bras de sa belle-fille pour que celle-ci s’allonge à plat-ventre sur ses genoux. Elle lui releva la jupe, bien haut au-dessus des reins, exposant les fesses nues.

« Enfin, se dit-elle, je vais pouvoir sévir. Cela fait tellement longtemps que Clara a besoin d’une main ferme pour lui mettre du plomb dans la tête. Que je suis bête d’avoir attendu tant de temps. Il y a du retard à rattr a p e r. »

Sa main claqua une première fois sur les fesses de Clara qui réagit par un cri.

« Bien, pensa Madame Gorevski, exactement ce qu’il faut ! »

Elle enchaîna une succession de fortes claques sur l’un des côtés des fesses de sa belle-fille, puis elle entreprit d’équilibrer sur l’autre côté. Elle recommença en appuyant encore un peu plus ses coups. Il était important que Clara comprenne, dès la première fois, que venir faire un tour à plat-ventre sur les genoux de sa belle-mère ne serait jamais une partie de plaisir et pas seulement parce que, préalablement, on y avait eu la culotte baissée.

« Aïe, … ah … pardon aïe, … aïe … je ne le ferai plus, aïe, … pardon aïe, … »

Pour Clara, l’humiliation d’avoir été déculottée par sa belle-mère passait maintenant au second plan. Elle aurait promis n’importe quoi pourvu que la fessée cessât. Mais Madame Gorevski ne tentait pas de lui arracher une quelconque promesse. Elle était punie pour avoir bâclé son travail. C’était le genre de désinvolture que sa belle-mère n’admettrait jamais. Clara devait l’apprendre avec des fesses brûlantes. La punition irait donc à son terme.

Quand sa belle-fille commença à s a n g loter, Madame Gorevski sut qu’elle avait fait le bon choix. La leçon serait salutaire pour Clara. De plus, la nature de leur relation serait maintenant définitivement changée. Son autorité sur sa belle-fille ne se discuterait plus. Elle se concrétisera par l’administration d’autres fessées, aussi souvent que nécessaire.

Elle prit la résolution se s’occuper de Clara comme si elle était sa propre fille, ce qui était presque le cas. En épousant son fils, Clara était entrée dans la famille. A cette pensée, une bouffée de tendresse submergea Madame Gorevski. Clara serait désormais sa petite fille, celle qu’elle n’avait jamais eue. Il fallait donc qu’elle soit aussi sévère avec elle qu’elle l’avait été avec son garçon. Il était maintenant de sa responsabilité de mère de veiller à la bonne éducation de ses deux e n f a n t s.

Cette prise de conscience rappela à Madame Gorevski ses devoirs maternels. Elle redoubla d’effort pour administrer à Clara la correction qu’elle avait méritée. Les pleurs et les cris de la jeune femme sur ses genoux redoublèrent. Ses fesses avaient maintenant une coloration rouge soutenu.

Madame Gorevski se rabroua intérieurement.

« En ce qui concerne mon fils, on ne peut pas dire que l’éducation que je lui ai donnée, soit une grande réussite. »

Ce moment de recomposition des relations familiales était propice à la lucidité.

« Je me targue de sévérité avec mon fils, mais est-ce vraiment le cas ? Si je regarde ce qu’il est en train de devenir, je n’ai pas à en être très fière. Je l’ai laissé se contenter d’une voie où il se complait dans la médiocrité. Je dois reprendre tout cela. »

L’introspection à laquelle elle se livrait, nuisait à l’attention qu’elle mettait dans la fessée de Clara. Cette dernière avait tenté de fuir la position dans laquelle sa belle-mère l’avait mise. Elle avait réussi à ramper et à se tortiller jusqu’à poser un genou à terre. Malgré ses cinquante-trois ans, Madame Gorevski l’avait rattrapée de justesse et replacée là où elle devait être, sans grande difficulté. Puis elle avait immobilisé le bras de Clara dans son dos quand elle avait essayé de couvrir ses fesses de sa main. La fessée avait alors reprit de plus belle.

« Je ne suis pas assez attentive à la petite fille qui est sur mes genoux. Je dois me concentrer avec plus d’application sur la fessée que je lui donne. »

Madame Gorevski jugea, compte tenu de la désobéissance de Clara, qu’il fallait prolonger encore un peu la fessée.

« Tu vas apprendre, ma petite chérie, que quand je te donne la fessée, tu dois me laisser faire. J’attends de toi une obéissance sans défaut. Si ce n’est pas le cas, tu en seras punie plus sévèrement. »

La couleur des fesses lui semblant optimale, elle reporta son attention sur le haut des cuisses. Les premières claques laissèrent la marque de la main sur la peau de Clara, encore blanche mais plus pour très longtemps.

Les mouvements incontrôlés des jambes de Clara étaient gênants. Ils empêchaient toutes les claques d’atteindre leur efficacité maximale. Madame Gorevski suspendit la fessée, le temps de positionner Clara entre ses deux jambes, puis elle referma ses deux genoux sur le bas des cuisses de sa belle-fille. Tout le haut du corps, depuis les épaules jusqu’aux genoux, était maintenant immobilisé.

Sa main avait maintenant tout le haut des cuisses à disposition.

« Le temps de leur donner une belle couleur rouge et j’en aurai fini ! »

Satisfaite du travail accompli, Madame Gorevski passa le dos de sa main sur les fesses et les cuisses de sa belle-fille afin d’éprouver la chaleur qui en rayonnait.

« Voilà qui est suffisant pour le moment, n’est-ce pas ma chérie ? As-tu bien compris que je ne tolérerai plus que tu sois aussi peu assidue à ton travail ? »

Tout à la fournaise qui occupait ses fesses, Clara ne prêtait pas attention au discours de sa belle-mère. Mal lui en prit. Une dizaine de claques la rappela à l’ordre.

« Je n’aime pas les petites filles impolies. Tu auras la fessée à chaque fois que tu feras semblant d’ignorer les questions qu’une grande personne te posera. »

Encore une bonne série de claques sur le haut des cuisses.

« Aïe, … pardon Madame, … aïe … oui j’ai compris, … aïe, je ne le ferai plus. … aïe !

– Ne promets pas des choses que tu ne tiendras pas. Contente-toi de savoir que je te fesserai à chaque fois que je ne serai pas satisfaite de ton travail.

– Oui Madame, j’ai compris.

– A la bonne heure ! Nous arrivons enfin à quelque chose d’utile. Je savais bien que la fessée te serait profitable. Cela va m’encourager à persévérer dans cette voie. »

Les gémissements de Clara firent sourire Madame Gorevski.

« Un bon moment au coin, maintenant. Tu vas y réfléchir aux avantages du travail bien fait et la conscience professionnelle. »

Madame Gorevski releva Florence qui, libérée de l’emprise de sa belle-mère, s’empressa de frotter ses fesses de ses deux mains.

« Non, non, non ! Pas question que tu te masses les fesses. C’est interdit ! »

Comme Clara n’obéissait pas tout de suite, Madame Gorevski la courba sous son coude.

« Enlève ta main Clara que je puisse te punir de cette nouvelle désobéissance. »

Comme l’injonction restait sans effet, le ton de la voix de Madame Gorevski devint plus ferme.

« Clara, si c’est nécessaire, je vais me munir d’une ceinture ! Je devrai bien trouver quelque chose qui convient dans vos affaires. »

Elle accompagna cette menace de deux fortes claques sur le haut des cuisses. Clara préféra alors obéir. Elle enleva sa main, laissant le champ libre à sa belle-mère.

« Si je revois ta main à protéger tes fesses quand je te punis, ce sera la ceinture. Tu verras comme cela apprend à obéir ! »

Clara n’avait aucune idée de ce que produirait une ceinture appliquée sur ses fesses. La main de Madame Gorevski suffisait amplement pour l’instant à la convaincre de se soumettre aux ordres de sa belle-mère.

Ce ne fut pas une fessée ni très longue, ni très rigoureuse, mais elle prit, symboliquement une place importante dans la tête de Clara. Courbée sous le coude de sa belle-mère, lui laissant toute liberté pour la punir sans rien faire pour s’y opposer, Clara se sentait comme une petite fille que sa Maman avait toute légitimité pour la punir.

Elle savait, encore confusément, que leurs rapports avaient irrémédiablement changé. Le contact physique que supposait l’administration d’une fessée et l’accès à son intimité qu’avait maintenant sa belle-mère pour la punir, les avaient grandement rapprochées. Cela obligeait un lien familial des plus proches. Clara pressentait qu’elle aurait dorénavant auprès d’elle, une personne qui prendrait soin d’elle sous tous les aspects. Plus rien de sa vie privée ne serait inaccessible à sa belle-mère.

Clara était de nouveau en pleurs quand Madame Gorevski la relâcha.

« Parfait, dit cette dernière. Je vais finir par te faire obéir du premier coup. Allez, au coin ! »

Elle accompagna sa belle-fille jusqu’à l’angle de la pièce.

« Mets bien ton nez au fond et je ne veux plus le voir bouger. Tes bras croisés dans ton dos ! »

Madame Gorevski remonta l’arrière de la jupe de Clara, la coinçant sous ses bras tenus dans le dos.

« La prochaine fois, tu te mettras dans cette position toute seule. Tu ne bouges plus avant que je ne t’y autorise. Et je ne veux pas t’entendre ! »

Madame Gorevski revint s’asseoir sur le canapé. Elle contempla sa belle-fille dont les épaules étaient encore secouées, de temps en temps, par un s a n g lot. Elle en sourit. Comme elle était adorable dans cette position ! Au fond, elle avait toujours su que c’était une gentille petite fille, plutôt écervelée, avec une tendance prononcée à refuser d’assumer ses responsabilités, mais elle était certaine, maintenant, qu’elle allait aimer Clara comme sa propre fille. Il faudrait certainement de nombreuses fessées, mais elle lui donnerait de grandes satisfactions et la fierté d’une mère vis-à-vis d’une fille bien élevée.

Elle avait envie de la prendre dans ses bras, de la serrer contre elle, de caresser ses fesses rougies pour soulager le feu qui devait les embraser, de consoler sa petite fille maintenant qu’elle avait été copieusement punie.

« Il ne faudrait pas qu’elle ne vienne sur mes genoux que pour la fessée. Elle doit aussi y recevoir des câlins ! Je pense qu’elle en aura besoin et je parie qu’elle les appréciera. »

Elle reprit un air sévère.

« Nous n’en sommes pas encore là. Je dois d’abord m’occuper du mensonge. Cela nécessite une autre bonne correction. Nous verrons après comment consoler cette e n f a n t . »

Clara avait encore un moment difficile à passer. Madame Gorevski regrettait de ne pas avoir fait preuve d’autorité plus tôt.

« Que d’années perdues, pensa-t-elle ! Six ans que Clara et Stanislav vivent ensemble et je les ai laissés s’éloigner de moi sans y prendre garde. Six ans pendant lesquels ils ont pris des habitudes sur lesquelles il va falloir revenir. Comme j’ai été négligente. Je vais rattr a p e r le temps perdu. »

Forte de cette résolution, elle se détendit sur le canapé. Ramener les deux e n f a n t s dans le droit chemin, voilà un défi qui la passionnait !

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