Fessée over limits

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il y a 3 ans

Depuis longtemps déjà elle m'avait demandé de lui donner un jour une fessée vraiment sévère, une fessée sans grâce ni merci, une fessée sans câlins ni mot magique, bref comme disent les e n f a n t s une fessée "pour de vrai", une fessée punition.

Je n'avais jamais fait cela. Il m'est arrivé parfois de donner des fessées plus appuyées et dans un autre contexte de menacer d'une telle fessée, mais je ne l'avais jamais fait ni eu l'envie ou réellement l'intention de le faire. J'avais toujours défendu dans mon site que la fessée entre adultes consentants doit demeurer un plaisir pour les deux partenaires et qu'à mon sens au-delà d'un certain seuil la douleur devient par trop insupportable et anile le plaisir. Et puis j'avais peur d'abîmer physiquement ma partenaire même s'il est vrai que les fesses ne sont pas une partie du corps spécialement fragile. Enfin je redoutais la surenchère, l'escalade : après cela ce serait quoi ? Les tenailles, le fer rouge ??

Mais fascinée sans doute par quelques récits trop bien écrits elle est revenue à la charge et a fini par me convaincre de lui offrir ce plaisir. Après tout je peux comprendre cette envie d'aller parfois beaucoup plus loin. J'ai éprouvé cela moi aussi, j'ai aussi franchi ce pas (avec un monsieur Anglais trouvé sur minitel), et même si j'ai eu vraiment très mal je n'en suis ni m o r t ni devenu SM.

J'y suis même retourné. Et je garde encore un souvenir fasciné de cette sorte d'H y p n o s e que l'on subit sous une énorme fessée... Alors après tout pourquoi pas ? Et puis soyons honnête, il y avait aussi dans mes motivations le fait que je ne tienne pas spécialement à ce que, faute de le trouver avec moi, elle aille chercher ce plaisir auprès d'authentiques cinglés. Elle en est capable, elle l'a déjà fait...

Je fis une première tentative un jour ou je ne l'avais pas prémédité, simplement parce qu'elle m'avait mis de mauvaise humeur. Mais je commis l'erreur de m'arrêter lorsqu'elle m'échappa d'une ruade. Ce fut une vraiment grosse fessée, mais sans qu'elle ne me reproche rien, j'ai compris sa déception d'avoir pu elle même l'arrêter.

Dans ce jeu étrange, ma "victime" non seulement accepte mais souhaite que sa volonté s'efface devant ma détermination. Le temps de la fessée, elle veut se voir soumise, elle ne veut plus avoir le choix, elle veut subir ce que j'ai décidé sans qu'elle n'y puisse plus rien. Que cela continue jusqu'au bout même si c'est trop, même si elle ne veut plus... Jeu fou, jeu dangereux mais jeu tellement fascinant... Je la connais suffisamment, nous avons assez de confiance l'un en l'autre et je me souviens assez nettement de ce plaisir la pour décider de le lui bien offrir.

Alors quelques temps après, je lui annonçais calmement mais d'une manière déterminée qu'elle allait recevoir maintenant la vraie grosse fessée qu'elle m'avait tant demandée. Je n'ai pas eu besoin de me mettre en colère ou de chercher un prétexte, mais simplement par une attitude calme et résolue de lui montrer que c'était inéluctable et qu'elle n'avait plus le choix. L'espace d'une seconde j'ai lu dans ses yeux à la fois la panique et l'acceptation. Je lui dis que j'allais la fesser plus fort que je ne l'avais jamais fait, à la main et avec trois instruments dont elle recevrait de chacun 40 coups.

Elle connaissait bien les deux premiers qui étaient le martinet et la strappe (large pièce de gros cuir brun et rigide assujettie à un petit manche de bois) mais elle pâlit en découvrant le troisième. Elle le connaissait aussi, pourtant. C'était une grosse ceinture de cuir brut très épais. Un souvenir d'e n f a n c e assez lourd. Elle me l'avait confié un jour n'osant ni la garder, ni la jeter.

Après quelques instants d'un lourd silence, je l'ai basculée sur mes genoux, troussé la jupe, baissé la culotte, et commencé immédiatement à la fesser. J'y suis allé directement très fort, sans pauses ni transitions. Je n'ai tenu aucun compte de ses protestations ni de ses trémoussements désespérés. Alors que d'habitude ma main ne s'élève guère plus haut que l'épaule avant de frapper (et c'est déjà parait-il fort efficace) je la levais jusqu'à la verticale et l'abattais avec la même énergie que celle que j'emploie pour fendre du bois à la hache. Je ne me suis arrêté que lorsque j'ai eu trop mal aux mains pour continuer.

Puis j'ai pris la strappe et l'ai abattue avec la même énergie et en comptant les coups. Au bout de trois ou quatre elle s'est mise à supplier que c'était trop et qu'elle n'y arriverait pas. Je savais très bien ce qu'elle voulait dire. Je me rappelais ce que j'avais éprouvé avec mon monsieur Anglais : encore trente-sept comme ça ?? Et tout le reste en plus après ???

  • Impossible, je ne pourrai pas !

Calmement mais fermement j'ai écarté la main qu'elle avait glissée pour protéger ses fesses et je lui ai dit qu'il n'y avait rien à faire et qu'elle allait devoir subir sa punition jusqu'au bout. Puis j'ai continué avec f o r c e et régularité.

Elle a tout subi jusqu'au bout, y compris la terrible ceinture. Plusieurs fois elle a tenté de se soustraire aux coups et j'ai du la maintenir en place. Elle a même pleuré et je crois bien que c'est la première fois de sa vie qu'elle pleure sous la fessée. Quand il le fallait je lui laissais le temps de se re concentrer, mais en lui rappelant qu'elle devait accepter cette fessée jusqu'à son terme. Elle l'a fait.

Il faut une certaine volonté pour continuer malgré les supplications, et il faut de la sensibilité (mais si !) pour sentir jusqu'où ne pas aller trop loin. En même temps que j'éprouvais une certaine griserie de sentir ma victime "m'appartenir" complètement je pensais à tous les conseils de modération que je prodigue dans mon propre site, aux prises de positions quasi dogmatiques que j'avais (et que j'ai toujours !) contre le SM. "Entre adultes consentants"... Consentante ? A l'instant T elle ne l'est plus, alors ?...

Alors au nom du plaisir, parce qu'elle a voulu que cela continue même quand elle ne serait plus consentante, parce que je la connais assez pour être certain que c'était la réellement son plaisir, et enfin parce que je comprends ce plaisir pour l'avoir connu aussi, j'ai fait ce que j'ai fait. Et j'y ai éprouvé moi aussi du plaisir en devinant le sien. Et je le referai quand elle le revoudra. Mais je crois qu'elle est "vaccinée" pour un moment et qu'elle préférera d'abord en revenir à des fessées plus classiques...

En guise de conclusion, et sans verser dans le fait ce que je dis et ne faites pas ce que je fais..., je ne recommanderai pas vraiment ces "fessées de l'extrême". Ou plutôt je ne les recommanderai qu'avec une grande parcimonie et entre partenaires très avertis et se faisant une totale confiance.

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