L'histoire érotique d'un mariage infernal avec une femme gynarchique

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il y a 3 ans
Tu vas garder cette ceinture de chasteté jusqu'à notre lune de miel.

Michel se sentait très mal. Il se sentait très mal comme chaque nuit depuis son mariage avec Diane quinze ans auparavant. Et comme chaque nuit, Michel se trouvait sous les couvertures, sa tête entre les cuisses puissantes de sa femme, sa bouche sur son sexe et son nez sur son anus. C'est ainsi qu'il devait rester toutes les nuits, telle était sa loi monstrueuse qu'il avait appris à suivre depuis déjà si longtemps. Comme toutes ses autres lois.

Sa femme dormait mais lui restait éveillé. Il n'y avait pas d'air frais là-dessous mais, pire, chaque inspiration apportait à Michel l'odeur infecte des fesses pas très propres de sa femme. Comme il haïssait cette odeur ! C'était dingue.

Quel homme était fait pour passer ainsi toutes les nuits de sa vie avec son nez entre les fesses de sa femme ? Mais dingue ou non, depuis leur lune de miel quinze ans plus tôt, Diane avait toujours été inflexible. Elle avait établi clairement que c'était là la place de Michel chaque nuit. Point barre.

Elle avait insisté sur ce point lors de leur lune de miel, et durant les quinze années suivantes c'est ainsi que Michel avait passé chacune de ses nuits, et il avait appris pendant la première année de son mariage que cela ne servait à rien de discuter, de se plaindre ou de supplier, rien ne pouvait la faire plier. Et après quinze ans de mariage il en était arrivé à admettre que c'était ainsi qu'il devrait passer toutes ses nuits durant tout le reste de sa vie.

Michel restait réveillé durant la majeure partie de chaque nuit. Comment quelqu'un aurait-il pu dormir ainsi ? La plupart des gens dorment avec la fenêtre ouverte afin d'avoir de l'air frais, mais Michel n'avait pas ce droit. Oh que non. Michel devait respirer la puanteur du derrière odorant de sa femme. Et, encore pire, Diane avait souvent des gaz et pétait donc régulièrement durant la nuit. Chaque nuit. Et comme il avait son nez directement dans son anus...

Durant la première année de leur mariage, elle lui avait martelé que c'était là sa place et qu'il devait y rester chaque nuit. Elle avait toujours répondu à ses supplications cette première année avec sa logique, parfaite, et toutes ses réponses entraînaient une seule conséquence : qu'il devait rester là-dessous.

"Michel, mon coeur, je sais que tu aimes l'air frais, mais j'ai bien besoin d'une couverture, il fait froid la nuit !", ou bien : "je sais que je pètes beaucoup, Michel, j'ai toujours des gaz mais que puis-je y faire ?" ou encore : "oh Michel, chéri, tu es donc si bête ? Bien sûr mes fesses sentent. C'est mon cul ! Je chie par là ! Comment espèrerais-tu qu'il ne sente pas ?"

Elle ne débattait jamais du fait de passer ses nuits en-dessous ou non, mais elle déplaçait la question sur un autre point. Ce qui terminait toute discussion. Point barre.

Et il devait non seulement rester avec sa tête entre les cuisses de sa femme durant toute la nuit, mais il devait s'assurer de ne pas la bouger. Même s'il s'endormait il devait s'assurer que son nez restait bien calé dans son anus. Sa femme lui avait inculqué ça durant la première année de leur mariage.

"Michel chéri, si on peut apprendre à un petit garçon qu'il ne doit pas pisser durant son sommeil, je pense donc que toi, un homme adulte tu peux apprendre que tu ne dois pas bouger ton nez de mon cul quand tu dors."

Elle lui avait expliqué combien agréable c'était pour elle de sentir son nez là, et Michel avait fini par apprendre que seuls comptaient ses désirs. Le fait que c'était un vrai enfer pour Michel n'avait aucune importance : cela était agréable pour Diane. Par-dessus ça elle ajoutait qu'elle ne voulait pas le voir se promener dans la maison durant la nuit, et avec son nez dans son derrière elle pouvait s'assurer de sa présence.

Et, bien sûr, elle lui avait expliqué que lui laisser son nez dans son anus l'affectait psychologiquement de la façon qu'elle souhaitait. Cela maintenait Michel dans l'état soumis et serviable qu'elle désirait. Docile, soumis et faible. Cela permettait de détruire toute confiance en lui et de retirer toute fierté de sa tête de pioche : elle trouvait ces traits de caractère absolument intolérables chez lui.

Michel savait bien qu'elle le punirait sévèrement s'il laissait glisser son nez hors de l'anus de sa femme ne serait-ce qu'une seconde. Et ainsi chaque nuit, à chaque inspiration, il devait supporter l'odeur écoeurante de l'anus de sa femme. Durant toute la nuit, toutes les nuits... Et après quinze années il s'y était habitué, même s'il détestait ça tout autant que la première fois.

Michel passait le plus long des ses nuits sans fin en essayant de sommeiller, utilisant les techniques utilisées par les insomniaques, tentant de se relaxer, de compter les moutons, de respirer profondément... Berk ! Diane avait dit à Michel plusieurs années auparavant que quand son corps serait suffisamment épuisé il tomberait de sommeil, mais elle lui avait clairement fait comprendre que cela lui importait peu qu'il y réussisse ou non. Cela ne la concernait pas. Tout ce qu'elle voulait était que le nez de son mari reste sur son anus. C'était tout ce dont il devait s'assurer et qu'il le fasse en réussissant à dormir ou non n'était pas son problème.

Et ainsi Michel avait appris à sommeiller en laissant son nez en position, ne le bougeant même pas en dormant. Mais il ne pouvait dormir réellement que durant de courtes périodes, sommeillant au maximum quelques minutes. Et avec les années Michel avait appris à vivre avec cette contrainte et accepté ces longues et terribles heures sans sommeil durant les nuits : il n'avait pas le choix. Il avait appris à accepter de rester allongé là, avec son nez dans l'anus de sa femme, heures après heures. Il s'eff o r ç a i t toujours de penser à autre chose durant ces interminables moments, n'importe quoi d'autre, pour oublier où il était, mais à chaque inspiration l'odeur le ramenait à la réalité.

Chapitre 2

Cette nuit-là, comme il le faisait si souvent alors qu'il se trouvait sous les couvertures entre les larges cuisses de sa femme, avec son nez sur son anus, il repensa à son mariage. Il était marié depuis quinze ans, mais il était encore puceau. Pire, depuis son mariage avec Diane quinze ans auparavant, il n'avait plus été autorisé à avoir le moindre orgasme.

Il se rappelait ce jour fatidique, une semaine avant le mariage, quand Diane lui avait dit qu'elle ne voulait pas dépendre de lui, et il avait accepté. Elle lui avait dit qu'elle ne voulait pas de discussion sur ses dépenses, et il avait accepté. Puis elle était allée plus loin. S'ils se mariaient, elle devait avoir le contrôle des finances, et là encore il avait accepté.

"Michel chéri, si tu me dis que tu es d'accord, prouve-le moi en mettant tout ce que tu possèdes à mon nom."

Il avait accepté. Le soir suivant, quand il revint chez Diane avec tous ses livrets de banque à son nom, elle était toute excitée. Cela avait été si facile. Elle était en train de le contrôler financièrement. Maintenant elle allait le contrôler sexuellement. Elle lui dit que malgré leur mariage, leur vie sexuelle devait rester comme avant. Elle adorait lorsqu'il l'embrassait et lui léchait le bas de son corps. Michel accepta. Il était si amoureux d'elle. Elle sourit. Elle l'avait presque pris au piège. Presque. Elle le serra dans ses bras, lui dit qu'elle l'aimait, et Michel devint très excité.

"Michel chéri, je veux être sure que tu comprendras que je suis libre de sortir avec d'autres hommes quand nous serons mariés."

Elle possédait son argent, donc elle devait maintenant passer au point suivant.

'Diane..." commença-t-il à objecter. Mais elle reprit : "tu sais bien que je ne te laisserai pas me baiser, Michel, même après notre mariage."

Michel ne le savait pas, en fait. "Diane, j-je pensais qu'une fois mariés..."

"Michel, mon chou, je n'ai pas l'intention de changer ma vie après notre mariage, et tu ne devrais pas espérer que cela change nos relations entre nous non plus. Je n'ai pas besoin de toi en tant qu'homme sur le plan sexuel. D'ailleurs cette simple idée me fait rigoler."

Michel rougit.

"J'ai besoin de toi pour me lécher la chatte Michel. Ta place est en bas, là, entre mes jambes. Mais ne le prends pas mal, chéri, je veux me marier avec toi. Je veux que tu deviennes mon mari, mais les seules relations sexuelles que nous aurons entre nous seront quand tu me lécheras de la façon que je te dirai. Tu es un puceau Michel, et je souhaite te garder ainsi. Mon petit puceau. Peux-tu comprendre ça ?"

Michel était fou amoureux d'elle. Qu'aurait-il pu dire ? Il déglutit.

"Et si je veux sortir avec quelqu'un d'autre un moment pour avoir un peu de sexe, tu dois le comprendre, n'est-ce pas ?"

Il la regarda avec un air peiné, et Diane le prit dans ses bras.

"Michel, si nous nous marions tu dois comprendre ton rôle dans ma vie."

Et il acquiesça. Il était comme un pantin entre ses mains.

Elle se coucha ce soir-là, quinze ans auparavant, avec un sourire radieux. Elle ne pouvait croire ce qu'elle lui avait fait accepter. Il lui avait donné tout son argent. Il avait accepté de rester vierge, et de la satisfaire avec sa langue quand elle le désirerait. Et il avait accepté qu'elle puisse sortir avec d'autres hommes. Quel merveilleux mariage cela allait être ! Un mari à ses pieds, dévoué à son plaisir ! Elle ne pouvait attendre jusqu'au mariage et voulait le dominer encore plus.

Michel s'était couché ce soir-là en pensant également à tout cela. D'accord, elle avait maintenant tout son argent, mais quelle différence cela faisait-il, ils allaient se marier après tout. Quel était le problème si c'était elle qui gérait les finances ? Mais pas de sexe ! Il serait marié avec elle mais sans droit au sexe, uniquement avec sa bouche et sa langue, ce qu'il détestait le plus mais savait qu'elle adorait, et en plus elle sortirait avec d'autres hommes pour la baise ! Tout cela était ridicule.

Mais il était tellement amoureux d'elle qu'il souhaitait la rendre heureuse. Il avait, après tout, vécu auparavant sans aucune relation sexuelle, et cela ne l'avait pas tué. Il continuerait juste à faire ce qu'il faisait après l'avoir satisfait : il se masturberait. Il pouvait vivre ainsi.

Si seulement il avait su...

Car elle n'avait pas fini. Elle savait qu'il était pris au piège. Elle avait tout son argent, il était à lui dorénavant et elle souhaitait aller plus loin maintenant. Le soir suivant, elle se montra très tendre avec lui, l'embrassant et le caressant, puis elle poussa sa tête entre ses jambes.

Après qu'il lui eût prodigué un merveilleux cunnilingus et amené à la jouissance, elle le tira vers lui.

"Michel, mon coeur, il y a juste encore une chose dont nous devons parler. Quand tu rentres chez toi, que fais-tu ?"

"Q-qu'est-ce que tu veux dire ?"

"Je veux dire, est-ce que tu te branles ?"

Michel rougit. "Hé bien... Oui."

Diane opina de la tête. "Ecoute chéri, j'ai pensé à tout ça et ça me gène. Je sais que cela peut sembler irrationnel, mais pour moi cela revient à prendre du plaisir sans moi, et c'est comme me tromper".

Michel ne savait pas quoi répondre. Elle venait de lui demander le droit de sortir avec d'autres hommes, et ce serait lui qui la tromperait seulement en se masturbant ? Il le lui dit et Diane sourit.

"Non Michel, je ne te tromperai pas. Je le ferai si je sortais avec d'autres hommes sans te le dire. Mais j'ai l'intention de te prévenir à chaque fois que j'aurai un rendes-vous. Cela se fera au grand jour. Maintenant toi, est-ce que tu as prévu de venir me voir à chaque fois que tu veux te branler pour me le dire ? Et est-ce que tu espères que je te répondrai oui ? Comme un petit garçon ? Tu vas devenir un homme marié, Michel. Comment jugerais-tu une telle situation ?"

"M-mais est-ce q-que tu..."

"Est-ce que je te masturberai ? Non Michel. Ne sois idiot. Je trouve ça dégoûtant."

Toucher son pénis serait dégoûtant, mais c'était sensé être naturel pour lui de mettre sa bouche sur son sexe non lavé !

"Michel, je sais que c'est injuste, mais tu veux te marier avec moi, n'est-ce pas ?"

"B-bien sûr."

"Alors tu vas me laisser le contrôle de ton pénis."

Elle savait qu'elle l'avait presque en son pouvoir, et elle devait procéder prudemment maintenant, ne pas le laisser s'échapper de ses griffes.

"L-le contrôle de mon pénis ?"

Diane sourit, se leva et alla chercher une sorte d'étui. Il n'avait jamais rien vu de tel auparavant, un tube en chrome avec de petites chaînes, une s a n g le et un cadenas. Elle lui ordonna d'enlever son pantalon et son slip. Il obéit et fut surpris quand elle adapta le tube sur son pénis, le tira vers son ventre avec la s a n g le, disposa les chaînes autour de ses testicules et les bloqua avec un cadenas dans son dos.

"Voilà ! Tu vois ? Maintenant je peux être tranquille en sachant que tu ne me trompes pas en te masturbant. Bon, voilà ce qu'on va faire. Tu vas garder cette ceinture de chasteté jusqu'à notre lune de miel."

Diane l'attira vers lui : "Oh chéri, tu me rends si heureuse. J'ai si hâte d'être la semaine prochaine et que nous soyons mariés !"

Chapitre 3

Elle avait réussi. Elle n'avait jamais ressenti ça auparavant. La sensation de pouvoir absolu. Il avait accepté d'avoir son pénis emprisonné jusqu'à leur lune de miel. Leur lune de miel... Tu parles ! Une fois qu'ils seraient mariés, elle prendrait alors réellement le pouvoir. Elle voulait être sûre qu'il n'ait jamais aucun plaisir sexuel, jamais !

Voilà Michel, un jeune homme de 25 ans, normal, en bonne santé, dans la fleur de l'âge, et elle, sa femme, allait s'assurer de lui dénier toute jouissance sexuelle, quelle qu'elle soit. Quel puissance ! Et il avait accepté qu'elle puisse sortir avec d'autres hommes. Qu'est-ce qui pouvait rester à lui faire accepter ?

Il regardait l'objet. Le tube de métal enserrant son pénis. La chaîne courant autour de ses testicules, et le cadenas dans son dos. Cela n'avait pas de sens. Il ne pouvait l'enlever, il ne pouvait même pas toucher son pénis. Il avait envie de pisser. L'extrémité du tube était ouverte, donc il n'y avait pas de problème de ce côté-là, mais il était s a n g lé le long de son ventre.

Il alla aux toilettes et réfléchit au moment, puis se pencha au-dessus du siège. Il passa sa main entre le tube et son ventre, et le repoussa aussi loin que la s a n g le lui permettait, et cela lui permit d'uriner dans les toilettes. Il réalisa alors qu'il devrait toujours faire ainsi à chaque fois qu'il aurait un besoin. Mon dieu, vivement son mariage qu'il puisse enlever ce truc... S'il avait

su !

"Ca y est, c'est bouclé."

Diane était en train de prendre un café avec Carole, sa meilleure amie. Cette dernière ne pouvait y croire : comment un homme, un garçon plutôt, à l'aube de sa vie sexuelle, pouvait laisser une femme emprisonner son sexe ?

Carole secoua la tête. "Est-il idiot ? Je veux dire, il semble qu'il agisse comme une vraie lavette."

Diane sourit : "oui, on peut dire que c'est une vraie carpette devant moi. Il m'adore. Oh Carole, je suis excitée ! Il croit que c'est jusqu'à notre mariage, mais dès qu'il sera mon mari, et je sais que je l'aurai, je lui annoncerai que sa bite restera enfermée. Carole, c'est exactement ce dont nous avons toujours rêvé : me marier avec un homme et ensuite lui refuser toute forme de contentement sexuel, et me lécher par lui à chaque fois qu'il m'en prend l'envie. Carole, cela sera la seule forme de relation sexuelle dans notre mariage, Michel me bouffant la chatte à chaque fois que j'en ai envie !". Les deux femmes rirent.

Michel savait longtemps avant leur mariage qu'il devait la satisfaire avec sa bouche et sa langue. Il avait toujours détesté et trouvé ça repoussant et répugnant, en particulier parce que Diane ne cherchait pas spécialement à se rendre propre à cet endroit, et donc qu'il y régnait toujours une forte odeur. Il avait toujours essayé de cacher son dégoût afin de ne pas la froisser. A chaque rendez-vous, il devait toujours aller entre ses jambes.

Durant l'année précédant leur mariage, Michel avait amélioré sa technique, et cela excitait Diane de voir la facilité avec laquelle elle le dominait, et elle devint de plus en plus exigeante et égoïste.

Elle demandait à Michel de l'emmener au cinéma drive-in, et elle le faisait passer tout le film avec sa tête sous sa jupe, son visage contre son entrejambes, à lui procurer orgasmes sur orgasmes, pendant qu'elle savourait à la fois le sexe et le film... Au contraire de Michel qui ne profitait ni de l'un ni de l'autre.

La première fois que cela arriva au drive-in, Michel tenta de se relever après le premier orgasme de Diane, mais elle ne pouvait le laisser faire. Elle appuya la tête de Michel sur son entrejambes et ordonna : "Reste là !"

Il obéit, et un frisson parcouru Diane comme elle constatait sa capacité à le contrôler. C'était à cet instant qu'elle avait décidé qu'elle pourrait se marier avec lui. Elle descendit sa main pour lui caresser le bas de sa nuque, tout en regardant le film et mangeant son pop-corn, pendant que Michel recommençait à embrasser son sexe humide, de la façon dont il savait qu'elle appréciait. Les caresses sur sa nuque et sur sa tête indiquèrent à Michel qu'il se comportait bien.

Cela ne prit pas longtemps, après cinq minutes Michel entendit sa respiration s'accélérer et alors elle ruissela sur son visage. Elle dût avoir dix orgasmes cette soirée-là au drive-in.

Après le film, alors que Michel la reconduisait chez elle, elle découvrit son visage et faillit éclater de rire. Son liquide vaginal avait séché partout sur sa tête. Elle nota son air triste, et sentit qu'elle devait se montrer gentille avec lui maintenant. Elle ne voulait pas qu'il lui échappe.

"Oh, Michel, je n'ai jamais apprécié autant une séance de cinéma ! Merci."

Michel déglutit : "je n'ai rien vu du film, Diane."

Elle ne put s'empêcher de laisser échapper un petit rire : "je sais chéri, et c'était d'ailleurs un bon film, mais tu m'as vraiment comblée. Oh Michel, j'adore quand tu t'occupes de moi comme ça en bas. J'adore jouir sur ton visage. C'est si romantique. Quelle merveilleuse façon de regarder un film, avec toi en dessous et moi mangeant mon pop-corn."

Que pouvait-il répondre ? Il était accroché, fou amoureux de cette femme plantureuse. Ils allèrent au cinéma drive-in toutes les semaines après ça... Et Michel ne vit jamais un seul film.

Et elle ne permit jamais non plus à Michel d'avoir la moindre satisfaction sexuelle. Quand un soir Michel, après avoir amené Diane à cinq orgasmes consécutifs avec sa bouche, lui demanda timidement si elle pouvait le masturber, elle prit un air choqué, assurant que cela la dégoûtait. Et Michel dut attendre de rentrer chez lui pour se soulager lui-même.

Michel supposait que cela s'améliorerait après leur mariage : comme il se trompait ! S'il avait su ce qu'elle lui réservait, il se serait aussitôt enfui. Mais tout ceci se passait quinze ans plus tôt, et il était bien trop tard maintenant.

Soudain Michel entendit un bruit qu'il ne connaissait que trop et sentit un souffle d'air chaud envahir son visage. Diane venait encore de péter durant son sommeil. Bien qu'elle le fasse souvent, après quinze années Michel ne s'y était toujours pas habitué. Plus le temps passait, et plus il se sentait dégoûté par cette odeur écoeurante. Il savait que sa prochaine inspiration serait terrible, et ce fut le cas. L'odeur était abominable et Michel savait qu'elle mettrait au moins une demi-heure pour disparaître, à cause du manque de courant d'air sous les draps.

Mais Michel connaissait hélas la loi de Diane : il devait rester parfaitement immobile et passif avec son nez rivé sur son anus. Passif : c'était son mot favori. Elle lui avait expliqué qu'elle trouvait ça très romantique d'avoir le visage de son mari coincé entre ses fesses lorsqu'elle pétait.

Comment pouvait-il supporter ça, après quinze années de ce traitement toutes les nuits. Plusieurs années auparavant, Diane lui avait expliqué qu'en plus de la rendre heureuse, c'était bon pour lui pour apprendre à être doux et docile, comme elle voulait qu'il soit.

Chapitre 4

Michel s'assura qu'il avait bien positionné son visage entre les fesses de sa femme, et alors qu'il sentait arriver l'odeur d'un nouveau pet, il sut qu'il ne pourrait pas dormir de sitôt. Il se remit à penser au début de leur relation. Il réalisa qu'il aurait dû voir tout ça arriver bien avant de se marier. Cette première fois, dans le cinéma drive-in, quand elle avait été en extase grâce à la langue et aux baisers de Michel, après avoir joui sur son visage elle s'était tellement détendue qu'elle lui avait alors pété au visage sans prévenir. Michel avait relevé d'un coup sa tête, s'attendant probablement à des excuses... Mauvaise idée ! Au lieu de paraître embarrassée, Diane s'était mise en colère et avait giflé Michel.

"Qui t'a dit de t'arrêter ? Est-ce que tu essayes de me mettre mal à l'aise parce que je viens de péter, Michel ? Est-ce que je devrais me retenir, et du coup avoir des crampes d'estomac ? Maintenant redescends ta tête et laisse-là en bas ! Tu m'as cassé l'ambiance, nom de dieu !"

Et le pauvre Michel obéit, Diane souriant de cette victoire. Il avait été dressé à satisfaire Diane bien avant leur mariage. Elle lui avait appris à l'amener à plusieurs orgasmes à la suite, et également à ne pas se dégager quand elle jouissait sur son visage. Il avait appris à continuer à la lécher et la sucer à une allure plus lente, quand elle "revenait sur terre", comme elle disait.

Michel apprit également à supporter l'odeur de son intimité : elle ne se lavait jamais avant, prétendant que cela lui gâchait le plaisir. Et pire, après leur mariage il avait même dû s'habituer à la satisfaire durant ses règles, et cela lui prit du temps pour pouvoir avaler le s a n g de sa femme, c'était tellement dégoûtant !

"Je sais chéri," lui avait-elle dit il y a maintenant tant d'années, "je sais que c'est sale et dégoûtant, mais Michel, si tu m'aimes cela ne devrait pas faire de différence. Je veux dire, penses-tu que cela soit normal qu'une femme doive se priver de sexe tous les mois à cette période ?"

Comment pouvait-il argumenter face à une logique aussi égoïste ? Michel avait aussi appris que quand Diane était finalement satisfaite, ce qui pouvait prendre une heure ou deux, elle aimait s'endormir ainsi, et se mettait dans une colère noire si Michel cherchait à ce moment-là à retirer son visage. Ainsi il savait qu'il devait attendre qu'elle respire profondément, signe de son sommeil, afin de pouvoir glisser d'entre ses jambes, d'aller laver son visage et de se soulager de sa frustration sexuelle.

Quand Michel se déshabilla pour leur nuit de noces, il se sentit tellement idiot avec son pénis emprisonné dans cette ridicule ceinture de chasteté. Quand Diane le vit ainsi, elle émit des gloussements. Il paraissait si désarmé face à elle !

"Oh Michel, c'est parfait !" cria-t-elle en tapant ses mains avec délice, comme une petite fille. "Je l'adore !"

"Est-ce que t-tu v-vas me l'enle-lever, dis ?" demanda-t-il timidement, et Diane eut du mal à ne pas lui éclater de rire au nez.

"Laissons-le cette nuit, chéri. J'adore la voir ainsi sur toi."

Diane savait qu'il était à sa merci. Elle avait pris possession de tout son argent, et ils étaient mariés légalement maintenant. Elle pouvait se détendre, il ne pourrait plus aller nulle part.

Il la regarda, peu sûr de lui et l'esprit troublé. Diane s'assit sur le lit, croisa ses jambes et expliqua la nouvelle situation à son mari.

"Chéri, c'est ma nuit de noces et je veux que tu me fasses l'amour mieux que tu ne l'as jamais fait. La nuit de noces pour une femme est un moment vraiment unique et je ne voudrais pas que tu sois distrait par tes besoins égoïstes de mâle, et avec ton pénis emprisonné je suis sure que ce ne sera pas le cas. Maintenant mon chou, j'adore quand tu t'occupes de moi en bas, mais avant que tu ne mettes ton visage dans ma chatte, j'aimerais que tu embrasses un peu mes cuisses. Et mon cul. Cela sera une sorte de préliminaire pour nous. Michel chéri, maintenant que nous sommes mariés, les choses vont enfin pouvoir être différentes. On va pouvoir faire des choses que l'on ne pouvait pas avant. Je sens que tu m'appartiens maintenant. Totalement."

Michel était toujours troublé.

Elle continua : "tu sais combien j'aime m'endormir avec ton visage entre mes jambes après que j'aie joui, n'est-ce pas ?"

Michel acquiesça de la tête, toujours interloqué.

"Hé bien, cela m'a toujours ennuyé que tu te relèves et rentres chez toi. Et maintenant que nous sommes mariés, cela n'arrivera plus, n'est-ce pas ?"

Michel répondit que non, cela n'arriverait plus, ne comprenant toujours pas où elle voulait en venir.

"Bien. Viens. Faisons l'amour maintenant". Diane enleva sa robe et s'allongea sur le ventre, sur le lit. Michel observa le corps imposant de sa femme, et nota aussi la bière et le paquet de pop-corn sur la table de nuit.

Michel s'approcha d'elle et commença à lui embrasser les fesses. Elle lui caressa le bas de sa tête.

  • Comme ça. C'est bien. Attends, laisse-moi me mettre sous les couvertures."

Diane se retourna et commença et tirer les draps sur eux. Michel prit conscience de l'odeur de sa femme, une odeur qu'il ne connaissait que trop bien. Elle ne s'était pas soucié de se laver, mais il savait qu'il n'aurait pas dû l'espérer de toute manière.

"Maintenant tu sais ce que tu as à faire, comme nous sommes mariés tu vas pouvoir rester là-dessous toute la nuit pendant que je dormirai. Oh, Michel chéri, c'est si romantique !"

Michel était toujours interloqué alors qu'elle lui tapotait la tête et le recouvrait de ses couvertures.

"Oh chéri, embrasse-moi maintenant en bas, montre-moi comme tu m'aimes."

Il commença à lui embrasser ses cuisses, puis autour de son sexe, et enfin lui lécha doucement ses poils pubiens. Michel haïssait cette odeur. Elle sentait toujours mauvais à cet endroit, et Michel savait qu'elle ne se souciait jamais de sa propreté, mais il savait également que ce n'était pas le bon moment pour en discuter. Il continua en embrassant ses jambes, puis finalement son sexe. En quelques minutes elle se mit à jouir comme une fontaine sur le visage de Michel, poussant ses mains sur l'arrière de sa tête, le pressant encore plus fort contre elle.

Michel savait qu'elle venait d'avoir un orgasme, mais il continua à l'embrasser et la lécher doucement, comme elle le lui avait appris. Soudain Michel entendit un sifflement familier, et ensuite sentit l'odeur : elle avait pété. Il haïssait ses pets.

Diane sourit. Elle venait de péter au visage de son mari, et il restait sans réaction. Oh, il allait être un mari idéal pour elle. Elle étendit son bras et lui caressa son cou, le seul signe d'affection qu'elle lui donnerait jamais.

Ensuite Michel l'entendit appuyer sur la télécommande. Maintenant on se retrouvait comme au drive-in. Elle allait regarder la télé pendant qu'il devrait rester là-dessous à la satisfaire, encore et encore. Cela lui prit un peu plus de temps cette fois, mais bientôt elle jouit à nouveau sur son visage, et Michel de nouveau s'appliqua à la lécher doucement pour la "ramener sur terre".

Cela prit des heures avant que Diane en eût assez, et Michel réalisa alors ce qu'elle voulait dire en disant qu'il devait rester en dessous toute la nuit. Quand il essaya de se dégager, il constata que les larges cuisses de sa femme coinçaient sa tête et qu'il ne pouvait bouger. Il s'aperçut qu'elle s'était endormie, et il se rappela ce que sa femme lui avait dit sur le sujet de ne plus se relever. Cela signifiait-il qu'elle voulait qu'il reste là-dessous la nuit entière ? Oh non, non, elle ne pouvait pas vouloir dire ça ! C'était atroce sous les draps, l'odeur de ses pets était encore là.

Que pouvait-il faire ? Et cette damnée ceinture de chasteté qu'il portait encore, et qui l'empêchait d'avoir un soulagement sexuel ! Et c'était sa nuit de noces... D'accord, il se doutait qu'il n'allait pas être autorisé à avoir des relations sexuelles avec elle, mais il espérait qu'au moins elle lui aurait enlevé ce truc et permis de se masturber. C'était sa nuit de noces à lui aussi après tout... Mais elle lui avait dit pas ce soir. Qu'aurait-il pu faire ?

Une heure passa, et Michel resta en position, puis une autre heure. Que pouvait-il faire ? Puis cela arriva à nouveau. Michel sentit le souffle chaud du gaz expulsé du corps de sa femme, droit sur son visage, entendit le bruit et ensuite, ensuite... L'odeur. Berrkkk !

Michel ne pouvait en supporter davantage. Il commença à rationaliser. Elle ne pouvait pas vouloir dire qu'il devait rester ainsi toute la nuit, elle pensait certainement jusqu'à ce qu'elle s'endorme. C'était sûrement ça. Comme il était certain qu'elle était assoupie maintenant, Michel décida qu'il ne pouvait rester là-dessous plus longtemps et commença à remonter doucement. Mais, évidemment Diane se réveilla : "où vas-tu, Michel ? Pourquoi sors-tu du lit ?"

Michel se sentit prit en faute, comme s'il s'était fait attr a p e r la main dans une boîte de bonbons. Il ne savait pas quoi répondre.

"je-je..."

"Michel, est-ce que je ne te l'ai pas expliqué ? Je veux que tu restes là-dessous toute la nuit. Pourquoi cherches-tu à sortir du lit ?"

Il essaya de lui expliquer : "s'il te plait Diane, je ne peux pas le supporter. Il fait chaud. Je n'ai pas d'air, et, et... Ca sent. Je ne peux pas respirer, je-je ne peux pas dormir. Ca ne va pas."

Diane prit une inspiration : "écoute Michel, tu m'as réveillée et je suis fatiguée, c'est ça qui ne va pas. Maintenant je ne suis pas d'humeur à discuter de ça. Je t'ai déjà dit que je voulais que tu restes là-dessous toute la nuit, oui ou non ?"

Michel serra les dents : "oui, mais..."

"Il n'y a pas de mais ! Je t'ai dit que je suis fatiguée et je ne veux plus discuter maintenant Michel."

Alors, s'appuyant sur un côté elle leva une de ses larges jambes et dit : "maintenant remets ta tête là. J'ai envie de me rendormir."

Michel déglutit. Il savait qu'il valait mieux ne pas lui tenir tête avec l'humeur qu'elle commençait à avoir. Il retourna dans le lit et remit son visage entre les cuisses écartées de sa femme.

"Non Michel, avance. Mets ton nez dans mon cul et ta bouche sur ma chatte."

Michel obéit. Ca puait.

"Comme ça. Bien. Maintenant reste là ! Juste comme ça."

Diane redescendit sa jambe, coinçant ainsi son mari et remit les couvertures. De nouveau Michel se retrouvait confronté aux odeurs de sa femme. C'était complètement dingue ! Elle voulait vraiment qu'il reste ainsi là-dessous toute la nuit ? Oh non ! Il ne pouvait pas respirer. Il n'y avait pas d'air frais, et les fesses de Diane sentaient vraiment mauvais !

Seulement il ne voulait pas se disputer avec elle, en particulier pas durant leur nuit de noces. Finalement il décida de rester ainsi sous elle cette nuit, et qu'il lui parlerai le lendemain. Ce fut une nuit terrible, longue et inconfortable pour Michel, et il resta éveillé tout le temps.

Chapitre 5

Enfin le matin arriva. Diane s'éveilla pour le premier jour de sa vie de femme mariée, et elle prit conscience de la tête de son mari coincée entre ses cuisses, sentant son souffle sur son sexe et son nez dans son anus. Elle sourit. Cela semblait si parfait, et tellement facile. Oh, il allait vraiment faire un mari parfait pour elle.

Elle regarda le réveil et vit qu'il était 8 heures du matin. Le matin... Son mari était resté là-dessous toute la nuit. Elle réalisa combien cela avait dû être difficile pour lui de rester tout ce temps sans air frais, et cela lui rappela le jour où justement il lui avait dit qu'il appréciait de garder une fenêtre ouverte afin d'avoir de l'aération pour passer une bonne nuit. Oh, c'était fabuleux, cette sensation d'avoir son visage sous elle.

Et alors elle prit sa décision. C'était ainsi qu'elle allait lui faire passer toutes les nuits dorénavant, sous les couvertures avec sa tête entre ses cuisses. Plus elle y pensait, plus elle trouvait cela parfait. S'il avait dormi à côté d'elle, elle aurait eu à supporter l'odeur de ses propres sécrétions qu'elle laissait sur le visage de son mari. Non, comme cela c'était parfait. C'était ainsi qu'ils allaient passer toutes leurs nuits à partir de maintenant.

Tout à coup elle sentit des gaz arriver dans son ventre, et elle sourit alors qu'elle émettait une flatulence au visage de son mari. Elle le sentit essayer de bouger sa tête, mais elle le coinça avec ses cuisses. Elle adorait péter sur son visage. Cela montrait bien l'état de leurs relations réciproques. Elle mis sa tête sous les drap et sentit un instant... Berk ! Elle sourit à nouveau et resta ainsi un instant, savourant sa domination sur son jeune mari. Puis elle retira les couvertures, souleva une jambe et vit à la mine de Michel qu'il n'avait probablement pas fermé l'oeil de la nuit. Elle frotta son visage.

"Bonjour chéri. Ce fut la meilleure nuit que j'ai jamais passée. C'était une parfaite nuit de noces pour moi. Comment te sens-tu ce matin ?"

"Oh Diane, c'était affreux. Je n'avais pas d'air frais et je n'ai pas pu dormir."

Michel sortit du lit, l'air épuisé et mécontent.

Diane sourit. "Oh, mon pauvre bébé. Mais ne pense pas à combien cela a été désagréable pour toi, pense plutôt combien merveilleux ce fut pour moi. Merci chéri."

Michel secoua sa tête. "Diane, tout ceci est ridicule. C'est comme ce... Cette chose". Il désigna sa ceinture de chasteté. "Diane, c'est notre lune de miel. Une lune de miel, c'est l'occasion de profiter du sexe, n'importe quel genre de sexe. S'il te plaît, retire-moi ce truc."

Diane sourit à son jeune mari. "J'aime que tu portes ça, Michel", dit-elle en riant. "J'aime savoir ta bite emprisonnée. Cela te donne l'air si... Si impuissant. Et tu as raison, une lune de miel, c'est pour profiter du sexe. Et c'est ce que je veux tout de suite. Viens".

Elle s'allongea sur le lit, écarta ses jambes et désigna son entrejambe. Michel déglutit, approcha docilement sa bouche et se mit à la satisfaire.

"Mmmmmhh. Oh, c'était si agréable, Michel. J'adore avoir ton visage entre mes cuisses."

Michel essaya de nouveau. "Diane, s'il-te-plaît enlève-moi ce truc..."

Elle sourit. "Je ne peux pas. Je n'ai pas la clé. Je l'ai donnée à Carole pour qu'elle me la garde, et j'ai oublié de le lui redemander. Je suis désolée chéri."

Michel était stupéfait : "C-Carole ? Elle sait ?" Diane sourit d'un air narquois.

"Bien sûr qu'elle sait. C'est ma meilleure amie. Je lui dis tout. Je n'ai pas de secret pour elle. Ecoute Michel, c'est notre lune de miel et nous avons seulement aujourd'hui et demain pour en profiter, et je ne veux pas me disputer avec toi. Oublions cette clé et profitons de ces moments. Cela ne va pas te tuer de ne pas jouir pendant quelques jours. Et tu n'as certainement pas besoin de ta bite pour t'occuper de moi, n'est-ce pas ?"

Michel déglutit. C'était si injuste ! C'était sa lune de miel à lui aussi, et sa femme lui annonçait qu'il n'aurait aucune satisfaction sexuelle. Si seulement il avait su cela avant ! Mais ensuite il se mit à réfléchir. Il ne pouvait rien y faire, donc autant essayer de le prendre du bon côté.

"Regarde Michel, c'est notre lune de miel et il fait un temps magnifique. Je veux aller à la plage. Mets-toi en tenue de bain..."

Michel ne savait pas quoi dire de plus, aussi il se mit à la recherche de sa tenue, l'air renfrogné. Il était tellement fatigué de sa nuit blanche...

Et durant les quinze années de son mariage, ce qui attendait Michel était encore bien pire ! Diane allait accroître sa domination sur son mari d'années en années, jour après jour. Elle allait le contrôler totalement. Et juste après le mariage, Diane allait détruire toute fierté chez son mari, en commençant à le traiter comme un e n f a n t . Et au fur et à mesure qu'elle le traitait ainsi, il prit ce rôle qu'elle lui imposait, et se mit à pleurer souvent, ce que Diane encourageait : cela prouvait toute sa détresse et elle adorait ça.

Elle allait le transformer en une mauviette docile, soumise, juste ce qu'elle voulait qu'il devienne. Elle n'allait plus lui accorder aucun temps libre, ne lui permettant ni de lire ni de regarder la télé, ni d'avoir des amis : il était là pour la servir. Michel pensait à tout cela, alors que quinze ans plus tard il était allongé là, sous les couvertures, son visage contre le derrière odorant de sa femme, attendant que les heures passent comme il le faisait chaque nuit.

Durant les quinze années de leur mariage, non seulement Michel resterait puceau, mais en plus Diane ne lui permettrait jamais d'avoir un seul orgasme. Il était si malheureux... Et encore, les gens malheureux peuvent oublier leur situation le soir quans ils dorment, mais même cela était refusé à Michel.

Michel avait passé toutes les nuits de ces quinze dernières années comme il était en train de la passer en ce moment, avec son visage contre le derrière énorme et sale de sa femme. Il ne pouvait même pas se souvenir d'une autre manière de passer la nuit. Il ne pouvait se rappeler comment il faisait avant qu'il se marie, quand il pouvait dormir comme les personnes normales le font, le tête sur un oreiller, respirant de l'air frais.

Après quinze années de cette vie, Michel avait appris que la meilleure chose qu'il avait à faire consistait à obéir à sa femme, dans toutes les situations. Et il se souvenait toujours de sa carrière prometteuse qu'il avait eu, et comment sa femme avait détruit tout cela, de même que sa vie entière. Elle l'avait conduit dans une impasse, le transformant en esclave soumis, et il n'y avait plus rien qu'il pouvait faire contre cela. Tout ce qu'il pouvait faire chaque nuit était de rester allongé là et de s'assurer que son nez restait bien positionné sur l'anus de sa femme, et... Pleurer.

Quand Michel revint dans la chambre avec son maillot de bain, ce second matin de leur mariage, il avait l'air abattu, et sa ceinture lui faisait une grosse bosse sous le slip.

Diane vit tout cela, et rit : "Oh chéri, cette ceinture est merveilleuse. Elle te donne l'air si viril. Toutes les autres femmes vont être vertes de jalousie."

Diane savait pourquoi Michel avait un air si défait : il n'avait pas dormi de la nuit, et elle venait juste de lui dire qu'il n'aurait aucune satisfaction sexuelle durant sa lune de miel. Oh, attends de découvrir que cela ne serait pas seulement durant ces quelques jours, mais que cela durerait toujours ! Elle allait le transformer en un soumis parfait.

"Bien chéri, c'est une journée magnifique. Allons à la plage."

Michel suivit sa femme sans un mot, déterminé à lui parler plus tard, il devait juste trouver le courage. Il observa la silhouette imposante de Diane de dos, alors qu'elle marchait devant lui en maillot de bain, et il réalisa qu'il avait peur d'elle. Avait-il fait une erreur en se mariant avec elle ?

"Bien chéri, ici ce sera parfait. Etends la serviette ici."

La serviette ? "J-j-je n-n'ai pas apporté de serviette".

Diane regarda son mari. "Tu es idiot ou quoi ? Quel imbécile va à la plage sans serviette, Michel ?"

Michel était vexé. Pourquoi cela était-il de sa faute ?

"Diane, ne crie pas. Je n'y ai pas pensé, tout simplement. Je vais juste rentrer et en ramener une."

Peut-être s'il n'avait pas eu l'air si faible, si épuisé par son manque de sommeil, si... Si impuissant, Diane aurait réagi différemment. Mais devant son air si soumis, elle sentit monter son agressivité. Elle ne pouvait tolérer cette attitude. Elle le gifla v i o l emment, ignorant les gens sur la plage qui les regardaient.

"A qui crois-tu parler ainsi, Michel ?"

Il passa sa main sur sa joue endolorie, et elle vit apparaître des larmes dans ses yeux, mais il ne réagit pas. Peut-être s'il l'avait fait...

Elle le gifla à nouveau. "Tu as oublié la serviette. Rien que ça !"

Tout à coup elle eût une idée, et un sourire apparut sur ses lèvres. "Attends un peu, Michel, j'ai une solution. Allonge-toi sur le dos sans le sable."

Michel ne savait pas ce qu'elle avait en tête, mais il n'avait pas envie de discuter, et il obéit. Dès qu'il fut sur le dos, Diane se mit à califourchon sur lui et s'assit pesamment sur le ventre de Michel, qui se mit à gémir. Elle était si lourde ! Il ne pouvait plus respirer.

"S-s'il te plait, lève-toi ! S'il te plait..."

Diane sourit en voyant la grimace de douleur sur le visage de son mari. "Tais-toi Michel. Je ne vais pas bouger. Ca va être l'occasion de te donner une leçon, et de me faire plaisir. Maintenant plie tes genoux." Michel obéit, et Diane détendit son dos en utilisant les jambes de son mari comme dossier...

"Voilà. Tu sais Michel, tu es bien plus confortable qu'une serviette ou un matelas. J'aime ça. C'est finalement peut-être une bonne chose que tu ais oublié la serviette. Maintenant reste tranquille et sois sage !"

Michel ne pouvait supporter ça. Elle était très lourde, et elle était en train de l'écraser.

"S'il te plait, Diane... T-tu m'écrases... Tu es lourde... S'il te plait, l-lève-toi..."

"Ecoute Michel, tu as la mauvaise attitude. Tu devrais plutôt penser au plaisir que tu es en train de me faire, et non à la douleur que tu subis. Je vois que j'ai encore beaucoup de travail pour te dresser. Bien, je vais rester assise sur toi comme ça toute la journée, Michel, et je ne veux plus entendre une seule plainte."

Michel ne savait pas quoi faire. Le poids de sa femme sur son estomac était insupportable, et il apprenait qu'elle avait décidé de rester dans cette position ! Diane n'avait pas préparé ça, elle avait juste improvisé mais c'était finalement une idée parfaite. Encore une autre méthode pour apprendre à son mari la soumission. Elle venait d'exiger qu'il reste allongé là, la laissant s'asseoir sur lui aussi longtemps qu'elle le désirait, sans qu'il se plaigne.

Elle regarda le visage de son mari, grimaçant de douleur, et vit qu'il avait des difficultés à respirer, mais elle décida qu'il saurait le supporter. Après quelques minutes, Michel essaya d'accepter sa situation. Il ouvrit grand sa bouche pour haleter. Diane appuya son dos sur les jambes de son mari et commença à profiter du soleil. C'était si relaxant pour elle ! Cela continua ainsi pendant encore deux heures, avec Michel suffoquant sous elle, lui n'ayant pour seul horizon devant ses yeux que les grosses jambes de sa femme.

Chapitre 6

Finalement vers une heure Diane annonça qu'elle avait faim et qu'elle "devait aller pisser", et se leva du ventre de Michel. Michel, éreinté et dépité suivi sa femme sur le bord de mer. Ils entrèrent tous deux dans les toilettes publiques, et Michel dut se contorsionner au-dessus de la cuvette en maintenant l'extrémité de son pénis cadenassé le plus loin possible de son corps, comme il commençait à apprendre à le faire. Ensuite, ils se retrouvèrent et s'assirent tous deux pour déjeuner.

"Allez chéri, mange," dit Diane, et Michel était heureux de la voir de bonne humeur.

Il commença à manger en silence, puis se mit à parler : "Diane, j-je suis désolé d'avoir oublié la serviette."

"Je sais que tu l'es, chéri. Je pense qu'à partir de maintenant tu penseras plus à mon confort, n'est-ce pas ?"

"Oui", répondit-il.

"En fait Michel, c'est finalement une bonne chose que tu ais oublié la serviette. Je n'avais jamais réalisé à quel point ton ventre est confortable. J'adore m'assoir dessus. Retournons maintenant à la plage que je puisse encore en profiter un peu."

Michel était horrifié. "Oh, s'il te plaît, pas encore, retournons à la chambre."

Diane prit la main de Michel comme une mère le ferait avec son e n f a n t , et le reconduisit vers la plage. "Michel, il est seulement une heure et demie, c'est une journée magnifique et j'adore la plage."

Quand ils revinrent à l'endroit où ils avaient passé la matinée, Diane demanda à son mari de s'allonger. Le visage de Michel refléta sa peur à l'idée de ce qui allait arriver.

"Oh, s'il te plaît, ne t'assoies pas sur moi à nouveau," supplia-t-il.

"Ne me pousse pas à bout, Michel. Allonge-toi. Maintenant !"

Michel obéit, et Diane s'assit de nouveau lourdement sur son ventre, provoquant ses gémissements : il venait juste de manger.

Diane lui sourit : "Tu sais que tout ceci est très bon pour toi, Michel. Tu es du genre agité, et cela va te permettre d'apprendre à rester tranquille. Te rends-tu compte que tu es déjà resté immobile pendant presque quatre heures ce matin ?"

Michel, luttant pour trouver sa respiration, agitait sa tête sur les côtés. Diane commença à lire son livre, détendue sur le ventre de son mari, en jetant de temps à autre un regard pour savourer l'air désespéré de Michel alors qu'il cherchait de l'air. Elle savait que d'ordinaire une femme devait donner confiance à son mari, mais dans son cas au contraire elle allait détruire toute sa confiance en lui, et l'utiliser comme une serviette de plage était une excellente méthode pour cela.

Il était presque six heures lorsque finalement Diane se leva. Michel fut soulagé, mais tout son corps était endolori. Ses côtes le meurtrissaient comme si elles avaient été brisées, et il avait la nausée. Ils sortirent pour dîner ce soir-là, puis revinrent à leur chambre. Alors qu'ils rentraient dans la pièce, d'autres leçons attendaient Michel. Diane sentait qu'elle ne devait pas aller trop vite, mais d'un autre côté elle devait donner le ton de son mariage le plus tôt possible. Michel commençait à se diriger vers les toilettes quand Diane lui demanda où il avait l'intention d'aller. Il le lui dit.

"Michel, je pense qu'il est temps de mettre au point quelques règles pour les toilettes dans notre couple."

Michel la regarda. Quoi maintenant ? Des règles pour les toilettes ?

Elle reprit : "premièrement Michel, nous n'avons qu'un seul WC et j'y aurai toujours la priorité. Ainsi tu devras toujours me demander la permission pour y aller. Si je n'ai pas besoin des toilettes ou de toi pour quelque service, alors je te laisserai probablement y aller. Deuxièmement, quand tu y vas je veux que tu ne fermes jamais la porte. Tu ne dois plus avoir d'intimité vis-à-vis de moi. La porte doit toujours rester ouverte. Compris ?"

Michel, désorienté, acquiesça.

"Je ne veux pas, Michel, que tu considères les toilettes comme un endroit pour me fuir".

C'était important et Diane avait raison d'établir ce point dès maintenant. Combien de personnes vont aux toilettes juste afin de s'isoler en fermant la porte ? Mais Michel ne pourrait plus utiliser cet endroit dans ce but dorénavant. Pas dans leur couple.

"Bon maintenant j'ai envie de pisser, et j'ai pensé que tu pourrais m'aider. Suis-moi."

Diane se dirigea vers les toilettes et Michel la suivit, troublé.

"Je ne pense pas qu'il soit logique que nous utilisions tous les deux le même siège, tu ne trouves pas ?"

Michel ne comprenait pas, mais il dit qu'il pensait que non.

"Bien, on ne peut pas évidemment changer le siège à chaque fois, aussi j'utiliserai tes bras comme coussins et m'assiérai sur eux à chaque fois que j'utiliserai les toilettes. Viens, je vais te montrer. Mets-toi à genoux devant le siège, et mets tes bras sur la lunette."

Michel fit comme elle l'ordonnait et Diane releva sa jupe. "Non Michel. Les paumes vers le haut. Comme ça. Maintenant je vais m'asseoir sur tes bras."

Elle baissa ses bas et s'assit. "Voilà. Parfait". Diane baissa les yeux vers son mari, agenouillé bêtement en face d'elle alors qu'elle était installée sur ses bras. Il avait l'air ainsi si humble, à genoux devant elle.

"Regarde chéri, n'est-ce pas romantique ? Un peu comme un chevalier servant posant sa veste devant la reine pour avancer. Tu m'offres tes bras et tes mains pour m'asseoir quand je vais aux toilettes. Et c'est si relaxant, chéri."

Puis Diane poussa la tête de son mari vers ses genoux. "Embrasse mes jambes, Michel".

Et Michel commença à embrasser ses larges cuisses. "Mmmmhhh. C'est agréable, continue comme ça Michel. Continue à embrasser mes cuisses. Garde tes lèvres entrouvertes, et ne les lève pas de mes cuisses. Garde tes lèvres sur mes jambes et bouge ton visage afin d'en parcourir le dessus. Oui. Mmmhhh. Comme ça. Tu es un bon garçon."

Enfin Diane finit d'uriner, et se leva. Michel vit des gouttes sur ses poils pubiens et nota qu'elle ne s'était pas essuyée, elle avait juste remonté sa culotte. Mais il ne dit rien.

"Merci Michel. Maintenant c'est ce que je veux que tu fasses à chaque fois que je dois aller aux toilettes. Tu t'agenouilles en face des toilettes avec tes bras sur le siège, et quand je m'assoies dessus tu baisses ta tête et embrasses mes jambes pendant que je pisse ou chie. D'accord ?"

Michel acquiesça, troublé. Tout ceci était fou ! Mais elle finirait bien par changer...

Puis elle lui donna la permission d'y aller. Il devait uriner, mais il se sentait tellement embarrassé avec Diane debout juste à côté, le regardant en souriant. Et il savait maintenant qu'elle ne lui laisserait plus d'intimité, aussi il n'avait plus le choix... Et avec cette damnée ceinture ! Michel regarda Diane qui souriait d'un air moqueur.

Il s'allongea au-dessus des toilettes, passa sa main entre son ventre et le tube emprisonnant son sexe et le poussa le plus loin possible afin de ne pas s'uriner dessus.

Au moment où il commença, Diane rit : "oh, j'adore ! C'est merveilleux !"

Finalement Michel termina et avec un air triste il retourna dans la chambre.

"Je suis fatiguée, Michel, cela a été une longue journée. Oh, juste un dernier point à voir, Michel : ta douche. Michel, à partir de maintenant je veux que tu te laves le soir avant d'aller au lit, et pas le matin avant d'aller au travail. Je te veux propre pour moi, pas pour tes collègues. Et aussi, je t'interdis de laver ton visage durant la journée."

Michel parut étonné, aussi Diane expliqua : "Michel chéri, je parie que quand tu rentrais de nos rendez-vous, la première chose que tu faisais était de te nettoyer le visage, n'est ce pas ?"

Toujours surpris, il répondit que oui.

Elle opina : "je le savais. Hé bien, c'est un peu insultant Michel pour moi, que tu cherches à te débarrasser de mon odeur, tu ne trouves pas ? Bon, fini tout ça. Je veux que tu t'habitues à mon odeur. Je suis ta femme maintenant. Oh, j'oubliais Michel, après ta douche le soir je veux que tu te rases, et que tu le fasses parfaitement. Ton visage va se retrouver entre mes jambes très souvent, et je ne veux pas que ta barbe m'irrite à cet endroit. Compris ?"

Il acquiesça.

"Bien. Maintenant va prendre ta douche, rase-toi et viens au lit."

Il prit sa douche, gêné par sa ceinture de chasteté, et quand il sortit de la salle de bains il vit sa femme allongée sur le dos dans le lit, souriant, avec ses larges cuisses écartées et ses genoux pliés, exposant ainsi sa toison pubienne, son sexe, et son anus. Un sourire moqueur apparut sur le visage de Diane.

A côté du lit, sur la table de nuit il y avait des gâteaux salés, un bol de friandises et une cannette de bière. Il déglutit, réalisant qu'il allait affronter une nouvelle nuit à satisfaire sa femme avec sa bouche, sans obtenir de jouissance lui-même. Ce n'était pas juste ! C'était la dernière nuit de leur lune de miel, et son sexe était emprisonné dans cette maudite ceinture. Mais il savait que ce n'était pas le moment de discuter ou commencer une dispute.

"Michel chéri, tu es vraiment mignon avec cette ceinture. Maintenant viens ici et lèche-moi. Je veux jouir sur ton visage."

Il déglutit et se mit en position, sa tête entre les cuisses de sa femme. Son entrejambe sentait très fort. Elle avait été au soleil toute la journée, et cela ne l'avait pourtant pas dérangé de ne pas se laver. Il sentit cette odeur de transpiration, l'odeur naturelle de poisson de son vagin et de l'urine séchée, se rappelant qu'elle ne s'était pas essuyée après avoir uriné. Et enfin, bien sûr, l'odeur de son anus.

Michel passa les quelques heures qui suivirent à satisfaire sa femme avec sa bouche et sa langue, pendant qu'il entendait la télé allumée. Puis Diane fit ce qu'elle ferait désormais toutes les nuits : quand elle fut satisfaite sexuellement, elle agrippa les cheveux de Michel et positionna son visage pendant qu'elle se tournait, de façon à ce que son nez soit sur son anus et sa bouche sur son sexe. Puis elle le bloqua avec ses cuisses pour la nuit, éteignit la télé et s'endormit.

Soudain, cela frappa Michel comme une tonne de briques : elle allait le faire rester là-dessous de nouveau toute la nuit. Oh, non ! Et avec sa bouche pressée contre son sexe, il devait respirer par le nez, son nez qui était sur l'anus de sa femme... Berk ! Et comme il était étendu là, dans cette prison bouillante et puante, il se demanda comment il allait pouvoir endurer ça chaque nuit. C'était insensé ! Quel homme était fait pour passer ses nuits entières avec son nez dans l'anus de sa femme ? Il se raisonna en espérant que Diane sortirait plus tard de ce système... Si seulement il avait su !

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