Ma nouvelle vie de lopette

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il y a 3 ans

La cage de chasteté peut sauver votre mariage mais .....

" je promets de faire attention "

Ce sont les mots que j’ai dit à ma Femme pendant qu’elle me claquait les fesses à plusieurs reprises pour une petite erreur. Pourquoi ? j’avais oublié de remettre le papier toilette correctement en place. Eh bien oui ! telle est ma vie aujourd’hui !

Il y a environ 2 ans mon épouse Diane a décidé qu'elle en avait assez et voulait divorcer. Je l’ai suppliée de ne pas le faire et j’ai même accepter de consulter. Il en est ressorti que Diane n’était pas heureuse sexuellement et que j’étais très insuffisant au lit. En sortant de là, j’ai pleuré et j’ai dit à ma Femme que j’étais prêt à faire tout ce qu’elle voulait pour qu’elle accepte de rester. L'après-midi suivant elle m'a appelé au bureau et m'a dit sa proposition. Simplement, elle resterait avec moi, mais notre rapport de couple changerait nettement. Je prendrai légalement son nom, je ferais tout les travaux domestiques, la blanchisserie, etc.. Pendant ce temps, elle disposerait de son temps comme elle le voudrait et elle rencontrerait qui elle voudrait. Si j’étais d’accord, nous signerions un nouveau contrat de « mariage » sinon, elle signerait simplement les papiers du divorce à mes tords. Inutile de

dire, j'ai accepté sa première proposition.

Le jour suivant nous sommes allés voir des avocats et nous avons fait changer légalement mon nom pour le nom de Diane. Toute notre propriété commune a été mise dans son nom, et elle a eu procuration pour toutes mes affaires. Une fois revenus à la maison, Diane s'est assise sur le divan et a fait signe pour que je se mette à genoux devant elle.

  • " frotte mes pieds, pendant que nous parlons "

J’ai commencé à lui masser les pieds qui étaient gainés de nylon soyeux et portant son parfum.

" écoute John, les choses vont changer dès à présent. Dorénavant, et pour commencer, tu dois t'adresser à moi en m’appelant Maîtresse ou Maîtresse Maman puisque je suis la seule qui travaillerait et qui rapportera de l’argent à la maison. Dès cet après-midi, tu vas donner ta démission En second lieu, je veux que tu ailles à la salle de bains prendre une douche et te raser complètement des pieds à la tête, puis nous trouverons un équipement approprié que tu porteras en permanence.

J’étais abasourdi par ce que me disait ma femme. Sans réaction, je me suis agenouillé devant elle en la regardant.

" Tu vois John tout le monde doit savoir que tu es docile et obéissant désormais. Sinon, il me sera toujours facile de te remplacer en trouvant quelqu’un qui fera le ménage à ta place ou qui me massera les pieds. Est-ce bien clair ?

" Oui Maîtresse Maman ". Je ne pourrais pas croire les mots qui venaient de sortir de ma bouche.

Les semaines suivantes se sont écoulées et je n'ai pas su si j'avais pris la bonne décision. Je n'ai plus dormi avec mon épouse, elle m’a demandé d’installer un lit dans une pièce minuscule qui nous servait avant de débarras. Diane a décidé ce que je ferai et quand je le ferai. Elle m’a confisqué ma carte bancaire et mon chéquier. Je ne disposais plus d’aucun argent Pour faire les courses, je devais désormais me mettre à genoux devant elle et lui demander de quoi acheter ce qui lui plaisait uniquement. A la maison elle m’a imposé de mettre une robe rose avec un tablier en dentelle blanche et un collant rose également avec des ballerines aux pieds. Diane a décidé que je m’appellerais « petite lopette » et dès qu’elle avait besoin de moi, elle sonnait une petite cloche. Je passais, ainsi, mes journées à la maison à nettoyer, faire la lessive, faire les courses, masser les pieds de Diane quand elle rentrait de son travail, lui faire couler des bains pour la relaxer, préparer et repasser ses vêtements quand elle voulait sortir et faire ses repas. Une nuit, elle est rentrée à 2 heures du matin et s'est effondrée sur le divan. Immédiatement, je me suis levé et je suis venu lui masser les pieds pour la détendre.

" Tu penses quelque fois au sexe petite lopette ?

" Oui Maîtresse, tout à l'heure, j’avais très mal aux testicules et j’avais envie de me masturber mais je n’ai pas le droit de le faire sans votre autorisation.

" Tu es bien sûr que tu ne te masturbes pas quand je suis absente ? "

Son regard était inquisiteur. Elle savait, je ne sais comment, que je me masturbais en secret. Comment avait-elle fait pour le savoir ?

" Oui, je te connais John ! "

Elle s’est levée sans un mot. Puis elle m’a ordonné de me lever aussi et de soulever ma robe au-dessus de ma tête. Elle a baissé mon collant. Je me demandais si elle ne voulait pas me masturber. J’en avais tellement envie !. Au lieu de cela, j’ai senti qu’elle manipulait mes testicules et mon pénis et qu’elle posait quelque chose de rigide. Puis j’ai entendu un clic. Elle m’a dit de rabaisser ma robe. Elle me regardait en souriant.

" Hmm ! Maintenant tu es enfermé à clef dans une cage de chasteté. Tu ne pourras plus jamais te toucher et éjaculer à moins que je ne t’y autorise. "

Elle a glissé la clef autour de son cou et a dit, " je vais au lit,

Tu me réveilles à neuf heures seulement. "

Cette nuit-là, ma vie prit une tournure nouvelle. De cette nuit, j’ai porté ma cage de chasteté 24 h sur 24, 7 jours sur 7 et 365 jours par an. Bref, j’ai portais ma cage en permanence. Chaque mois, Diane m’ouvrait une seule fois la cage. Elle me masturbait debout, les jambes écartées. Quand j’avais éjaculer – ce qui allait très vite car j’étais plein – je devais m’agenouiller et lécher complètement tout le sperme qui avait giclé par terre. C’était la seule manière de me soulager. Certaines fois, Diane jouait à des jeux plus cruels :elle me donnait un temps maximum pour éjaculer ( de préférence de très courte durée). Si je n’avais pas réussi à éjaculer à temps, elle m’arrêtait refermerait la cage jusqu’au mois suivant. Ou bien, elle me retirait la cage et s’amusait avec mon pénis et mes testicules gentiment puis s’arrêtait et disait alors, " Non, attendons le mois prochain ! "

Les choses ont soudain changé du tout au tout. Un soir, Diane est rentrée à la maison en m’annonçant que sa société avait été rachetée par une firme puissante. Elle m’a dit que le nouveau patron était un homme noir magnifique et qu’il l’avait invité à dîner pour le lendemain soir. Elle avait dans les yeux une lueur que je ne lui avais pas vu depuis très longtemps. Bien sûr, depuis ma soumission, elle avait eu des amants. Je le savais en lavant ses vêtement tachés de sperme, ses culottes où le sperme frais ruisselait encore et en léchant son sexe qui avait le goût du sperme. Elle ne m’en avait jamais parlé. Le fait qu’elle m’en parle ce soir-là signifiait que beaucoup de choses allaient encore changer pour moi et pour nous.

Le jour suivant et la nuit sont venus rapidement car Diane n'est même pas rentrée à la maison après le travail. Elle est allée directement au dîner avec son nouveau patron. Vers 23h30 le téléphone a sonné : c'étaient Diane m'indiquant qu'elle rentrait accompagnée de son nouveau patron et m’ordonnait de mettre du champagne au frais.

" Maîtresse Maman, puis-je s’il vous plait me changer et mettre d’autres vêtements que ceux de petite lopette ? "

"Non petite lopette, Tu ne dois pas le faire! Cela n’a aucune importance. De toute manière, Carl sait tout à ton sujet et sur notre arrangement! "

Elle a raccroché et j’ai été mettre le champagne au frais m o r t ifié.

Diane a ouvert la porte quelques minutes plus tard. Elle était accompagnée d’un homme noir chauve et assez massif. Il devait mesurer 1,90 m et peser 140 kg. Mais il n’était pas obèse. Il était tout en muscles. Il portait un costume sobre et très élégant, taillé sur mesures.

Je suis resté dans la cuisine pendant qu’il fermait la porte. Diane m’a appelé. Je n’osais me montrer tellement j’avais honte. Ils se sont approchés de la cuisine.

" Eh bien ! Je n’aurais jamais cru cela possible. Ainsi voilà petite lopette!

" Oui le voilà. " dit Diane.

" Petite lopette, est-ce une manière appropriée de saluer un invité? "

Je me suis mis immédiatement à genoux et j’ai embrassé le dessus de ses chaussures.

" Je suis ravi de vous rencontrer monsieur. " J'ai dit d’une voix étouffée. Il a ri ! " c'est incroyable "

" Oui ! Il a été mon mari mais il était tellement nul au lit que j’ai préféré le garder comme domestique. Il me sert de bonne et comme, il n’a presque rien entre les jambes il est devenu une petite lopette chaste ! "

Carl avait pris Diane par la taille et l’emmenait au salon. Diane lui parlait de notre couple et de moi sans aucune retenue. Elle lui avait sûrement tout dit ! J’ai soudain entendu la clochette tintée.

" Oui Maîtresse Maman " j'ai murmuré en me précipitant depuis la cuisine.

" Apporte-nous le champagne"

Je revins peu de temps après portant deux coupes sur un plateau en argent. Ils ont pris les coupes et ont bu en riant.

" Ainsi il t’appelle Maîtresse Maman ! Pourquoi ? " a dit Carl.

" OH ! Je suis tout à la fois sa Maîtresse et sa Maman . Donc il doit m’appeler ainsi tout le temps. Une chose est sûre : je ne suis plus sa femme ! "

Carl a souri et a détaché sa cravate. Puis en me regardant, il a dit :

" Bon ! Je vais te dire quelque chose que tu vas devoir bien écouter et comprendre rapidement. Je connais Diane depuis plus d’un an. Nous avons été amants. Maintenant que ma société a absorbé la sienne, je vais vivre ici, sous ce toit. Puisque ta Maîtresse est aussi ta Maman, je vais devenir ton Papa ! "

Il a souri et s'est penché en arrière sur le divan en saisissant le cul de Diane. Elle couinait de plaisir et a dit : " Que voilà une formidable nouvelle ! Je suis entièrement d’accord mon chéri ! " Elle l'a étreint et embrassé et ils m'ont renvoyé en me disant d’aller dans ma chambre comme un petit garçon puni. J'ai obéi.

J'ai pleuré toute la nuit sans trouver le sommeil en pensant à ce qu’allait devenir ma vie maintenant qu’un homme vivait sous mon toit – sous le toit de ma Maîtresse ! Le matin suivant je me suis levé à 5h30 – comme tous les jours. J’ai préparé le petit déjeuner pour Diane et je l’ai porté dans ce qui fut jadis notre chambre. Je marchais sur la pointe des pieds. J'ai tapé doucement sur la porte et l'ai ouverte. Là, sur le lit, Carl était totalement nu. Son énorme sexe flasque était éclairé par un rayon de lumière. C'était incroyable. Il mesurait au moins 20 cm ainsi au repos. J’étais pétrifié de voir Diane, nue dormant à côté de lui comme elle avait jadis dormi à côté de moi. Elle s’est retourné et a ouvert un oeil.

" Qu’est-ce que tu fais là petite lopette à regarder Carl? "

Je suis allé devant le lit et je me suis mis à genoux avec le plateau.

" OH rien maîtresse Maman, j’étais juste étonné. Carl a bougé, s’est réveillé et a dit :

" Qu’est-ce qui se passe? "

" OH rien petite lopette était en train de te regarder dormir et admirer ta nudité !"

" Ah oui !!!?

Carl s’est levé d’un bond. " Il est plus que temps que ce sissy sans couilles apprenne quelques règles de comportement. Carl a attrapé mon poignet et m’a traîné au pied du lit sur la carpette. Il serrait si fort que j’ai cru qu’il m’avait cassé le poignet. Il m’a fait mettre à genoux et m’a recommandé de bien lever mes fesses pour qu’elles soient bien visibles. J’étais tellement effrayé par le ton de sa voix que j’ai obéi sans hésiter. Carl est allé à son sac et a sorti une cravache d’équitation. Il a commencé à me frapper sur les fesses. Le premier coup était tellement fort que j’ai crié de douleur. Carl m’a saisi par les cheveux.

" Écoute-moi bien petite lopette. Je ne veux pas t’entendre quand je te frappe. Si tu pleures, si tu cries ou si tu essaies d’esquiver les coups, je double la punition. "

Il m’a battu, battu, battu. Les coups pleuvaient sans arrêt. Les larmes coulaient mais je me gardais bien de faire du bruit. J’espérais après chaque coup que mon obéissance arrêterait la punition. Mais Carl a continué à me battre à grands coups de cravache. J'ai serré les dents et mes poings pour tenter de me contrôler. Mais la douleur étant trop forte, j’ai fini par craquer et dire" NON! " Carl a simplement ri et a dit qu’il doublait donc la punition. Les coups ont continué à tomber sur mes fesses au point que bientôt je ne sentais presque plus rien.

Quand il a eu fini, il m’a ordonné de me mettre au coin de la chambre, les mains sur la tête et de montrer mes fesses à Diane. Tout en me regardant, ils ont pris leur petit déjeuner.

" On chéri ! Comme vous avez bien fait de corriger cet impuissant. Il va se souvenir maintenant de ne jamais nous espionner. De vous voir ainsi le punir, cela m’a terriblement excité. Je suis toute humide maintenant. "

Je les ai entendu s’embrasser puis le bruit des draps froissés m’a permis de comprendre qu’elle se donnait à lui. J’entendais Carl lui faire l’amour et Diane gémir. Ils faisaient l’amour en ma présence mais en m’ignorant comme si j’étais devenu un simple meuble de décoration.

Quand ils ont joui, Carl a dit :

" Hé ! petite lopette, viens ici. "

Je me suis venu à quatre pattes en tremblant à côté du lit de son côté et j’ai bégayé :

" Oui Maître Papa ?."

Carl a apprécié mes paroles.

" Dorénavant, je veux être servi et obéi en tout ce que je commanderai. Si ce n’est pas fait, tu seras puni comme tout à l’heure. Maintenant, tu vas préparer mon bain et mon costume. Ensuite, tu iras à mon appartement et tu déménageras toutes mes affaires que tu ramèneras ici. L’adresse est là sur la table. Tout doit être là ce soir sinon tu prendras une fessée à la cravache.

" Tu as bien compris? "

" Oui Maître Papa. " J'ai bégayé en me levant et en me dirigeant vers la salle de bain.

Dans le miroir de la salle de bain, j’ai regardé mon cul : il ressemblait plus à un hamburger qu’à des fesses. J’avais le cul en feu et le moindre contact avec un tissu ou un objet était extrêmement douloureux. Je ne pourrais pas m’asseoir avant longtemps !

Diane m'avait loué un grand camion pour déplacer toutes les affaires

de Carl. Pour sortir, j’ai mis les vêtements que Diane a autorisé pour l’extérieur :un short court en jeans et un Tee shirt d’été et une paire d’espadrilles. Les types du camion ont ri en me voyant habillé si légèrement pour la saison. M’asseoir dans le camion a été un enfer. Chaque trou dans la chaussée, chaque bosse me rappelait la punition et réveillait les douleurs et le feu.

J'ai passé la journée entière à aller et venir entre l’appartement de Carl et le notre pour tout débarrassé. Vers 16h30, j’avais enfin fini de tout ramener. que j'ai fait mon dernier voyage.

J'étais épuisé et en transpiration. J’ai renvoyé le camion et j’ai commencé à ranger tous les vêtements de Carl dans les placards. Diane ayant jeter tous les miens, il y avait de la place. J’étais en train de ranger un boîte assez lourde dans le garage quand j’ai entendu la grosse Mercedes de Carl arriver. Il est entré dans le garage et m’a plaqué avec son ailes contre le mur. Je pouvais voir lui et Diane en train de se moquer de moi.

" Coincé, petite lopette?? " Il a ri et est entré dans la maison. J'ai lutté et je suis arrivé à me libérer. C’est là que j’ai entendu Diane qui me sonnait.. Je me suis précipité à l’intérieur.

" Oui Maîtresse Maman? "

" Je sais que tu as été un garçon très occupé aujourd'hui. Cependant,

je vois que tu ne t’es pas changé ! Où sont tes vêtements de petite lopette ?.

" Je suis désolé maîtresse Maman, je n’ai pas eu le temps de me changer."

CLAQUE!

Carl m’a envoyé une gifle magistrale.

  • Tu vas nous faire le plaisir d’aller t’habiller correctement tout de suite avant que Papa ne se mette en colère comme ce matin.

Je suis allé me changer pendant qu’ils s’installaient devant la télévision avec un verre. Puis j’ai préparé leur dîner. Une fois que le dîner a été prêt et servi je les ai informés et les ai servis. Pendant qu'ils mangeaient, Maître Papa m'a fait m’agenouiller avec la face contre terre et le cul en l’air à ses pieds. Mes fesses me brûlaient encore de la punition du matin. Pendant qu'ils parlaient et mangeaient, j’ai soudain senti quelque chose que l’on poussait dans mon cul : c’était un os de poulet que Maître Papa m’enfonçait. Lui et Maîtresse Maman ont hurlé de rire pendant que je tortillais.

" Garde ça bien au fond de ton cul : c’est l’os que Maîtresse a sucé! "

Carl riait beaucoup en disant cela. Je pouvais sentir la sauce chaude couler dans mon anus puis sur mes boules et sur mon zizi dans ma cage de chasteté. Cela me brûlait mais je suis resté immobile les fesses bien en l’air. Après dîner tandis qu'ils se reposaient sur le divan, je faisais la vaisselle avec toujours l'os de poulet dans mon cul. Juste comme je finissais de nettoyer la cuisine, j'ai entendu la cloche. J'ai couru au salon et je me suis mis à genoux.

" Oui Maîtresse Maman ! Oui Maître Papa !

" Petite lopette, tu vas retire l’os de poulet qui est dans ton cul "

J'ai doucement sorti l’os de mon anus.

" Regarde, il reste un peu de viande sur l’os ! Pas question de jeter cet os comme cela. Tu vas manger la viande, puis le sucer et le nettoyer pour qu’il soit bien propre."

Je n’aurais jamais cru que je ferais cela un jour. Mais j’ai obéi car j’avais plus peur que Maître Papa me punisse que de sucer un os qui venait de rester plusieurs heures dans mon cul.

" Cet os de poulet n'était pas bien gros petite lopette. Tu as besoin de quelque chose de mieux pour te récompenser de ton travail. Regarde ce que je t’ai rapporté !"

Maître Papa a sorti d’un sac que j’avais ramené l’après-midi même un grand dildo noir. Il avait la forme d’un sexe en érection et devait mesurer entre 20 et 22 cm de long !!! Maîtresse Maman a couiné de plaisir et l'a étreint tendrement. Le dildo avait une taille comparable au sexe de Maître Papa.. Carl m’a ordonné de me mettre à quatre pattes devant lui et de lui présenter mes fesses grandes ouvertes et en l’air avant de me le mettre.

Chapitre 2.

Au cours des semaines suivantes, Maître Papa a utilisé toutes sortes de dildo dans mon anus : des saucisses, du salami énorme, des hot dogs. Je devais les garder et me promener dans la maison en faisant mon travail avec. Quand il le disait, je devais les sortir et les manger. Une fois, une saucisse a glissé. J’ai reçu 40 coups de cravache pendant que Maîtresse Diane était allongée sur son lit et regardait. Quand la punition a été terminée, j’avais de nouveau les fesses en feu. J’ai été obligé de monter sur un vélo d’appartement et de faire 16 km. Je n’arrivais pas à m’asseoir. J’avais mal juste en posant mes fesses sur la selle et appuyer sur les pédales était une t o r t u r e . J’étais tout nu et je pleurais en silence tout en pédalant. Pendant ce temps, ils regardaient tranquillement la télévision, allongés sur le lit

Une des choses que j'ai réalisées à propos de ma nouvelle vie est que Diane m'aime alors que m'humilie et me punit. L’autre nuit par exemple. Alors qu’ils étaient partis depuis le matin, j’avais été chargé de laver, cirer la Jaguar de Maître Papa que Maîtresse Maman lui a acheté avec l’argent de ma retraite! Donc j'étais dans le garage et je terminais de nettoyer puis je cirais les sièges et les pneus. J'avais travaillé toute la journée sur voiture et je trouvais que le résultat était joli !

De retour à la maison j’ai remis ma robe rose de petite lopette et j’ai commencé la préparation du dîner. J'ai entendu la Mercedes entrer dans le garage et les portes se refermer. Et puis, j'ai entendu " C’est quoi ce bordel! " et j'ai su que j'avais des ennuis. Maître Papa est entré en trombes dans la cuisine et m’a attrapé par l’oreille. Il m’a traîné dans le garage et m’a jeté contre la portière de la Jaguar. J’ai atterri sur le ciment du garage.

" A ton avis qu’est-ce qui ne va pas petite lopette? "

Je me suis mis à genoux et j’ai regardé Maître papa sans rien répondre parce que honnêtement je ne savais pas ce que j’avais pu faire de mal.

" Je ne sais pas Maître Papa. " J'ai dit timidement.

CLAQUE! sa main m'a giflé le visage.

" Alors je vais te dire ce qui ne va pas. Tu as ciré les sièges de la voiture ! Depuis quand cire-t-on des sièges ? Tu veux que j’ai un accident peut être ?

CLAQUE! il m'a encore giflé.

" Non Maître Papa !. "

J’ai voulu lui expliquer mais j’ai tout de suite su que cela ne servirait à rien. Il m’avait dit ce matin de bien faire attention aux sièges.

" Lève-toi! " il m'a tiré par l'oreille. J'ai trébuché. J’ai réussi à me relever toujours tenu par l’oreille. Il a arraché ma robe et mon collant rose. Puis il a pris le flacon de cire sur l’étagère et m’a asperger avec. J’en prenais de partout y compris dans les yeux et dans la bouche.

" là petite lopette maintenant peut-être que tu te rappelleras qu’il ne faut pas en mettre sur les sièges "

Il a posé la bouteille et a pris un vieil oreiller de plumes qui était dans le garage. Il l'a déchiré et à répandu les plumes sur moi. Ils ont hurler de rire en voyant le résultat.

" Eh regarde ! Il ressemble à un gros poulet! " a dit Maîtresse Maman.

" Petite lopette maintenant, tu vas nous servir à dîner. Chaque fois que je trouve une plume sur le sol, tu reçois 10 coups de cravache."

Je suis retourné dans la cuisine et j’ai servi le dîner. Chaque fois que je me déplaçais, je perdais une plume. Je ne pouvais pas les ramasser car Maître Papa m’observait attentivement et ramassait avec application chaque plume qui se détachait de ma peau

Avant qu’ils aillent se coucher, Maître Papa avait compté 15 plumes. Il m’a appelé. Comme à chaque fois que je suis puni, je me suis mis à genoux devant lui avec la cravache dans la bouche. J’ai attendu 45 minutes à genoux sans que rien ne se passe. J’avais mal aux genoux mais je ne bougeais pas de peur d’aggraver ma punition. Ils regardaient tranquillement la télévision sans s’occuper de moi.

Maître papa était tout nu quand il s’est enfin levé. Il a pris la cravache de ma bouche et a dit :

" Petite lopette, si le compte est exact tu nous dois 150 coups de cravache. Afin que je ne perde pas le compte, tu vas compter chaque coup et tu nous diras en même temps que tu nous aimes. "

VLAN! Le premier coup est tombé. Je me suis mis à pleurer immédiatement car entre deux punitions mes fesses ne guérissent plus. Je porte d’énormes hématomes bleus sur chaque fesse.

" Un, je vous aime Maître Papa et Maîtresse Maman "

VLAN!

" Deux, je vous aime Maître Papa et Maîtresse Maman "

Et ainsi de suite jusqu'à 150 coups. Quand il a eu terminé, Maître Papa a jeté la cravache dans un coin de la pièce et m’a donné un coup de pied dans les testicules.

" Hé regarde un peu, la lope ! De la punir et de lui donner des coups de pieds ça le fait bander! "

J’avais été puni, frappé, humilié en devant compter et dire que j’aimais mes b o u r r e a u x et je bandais. Maîtresse Maman a rampé au pied du lit, a regardé et a ri.

" Regarde comme c’est mignon. Il est tout petit. Je n’avais jamais remarqué qu’il était si petit son zizi. Pas étonnant que je le sentais jamais en moi !!! J'ai une idée, on va s’amuser un peu!! Tu vas nous montrer comment tu éjacules "

Elle s'est levée et a ouvert la cage de chasteté et s’est remise au lit. Mon petit zizi jailli à la vie. Il n’était pas sorti de sa cage depuis des semaines. Je n’étais pas sûr qu’il soit encore capable de bander et d’éjaculer. Lentement j'ai commencé à le frotter.

" Allez petite lopette, vas-y! Montre -nous! "

Maître Papa battait des mains comme si il se trouvait sur u stade en train d’encourager les athlètes. J'ai continué à me masturber et ils ont ri. Mon cul était toujours en feu par les coups de cravache et j'étais encore couvert de cire et de plumes. Tous les deux battaient des mains. J’étais de plus en plus humilié. Mon zizi était vraiment ridicule comparé à celui de Maître Papa.

" Allez plus vite lope ! Crache ton venin impuissant ! "

Maître Maman criait maintenant. J'ai accéléré le mouvement de ma main. Je devais être grotesque car ils me montraient du doigt et se moquaient de moi. Je voulais aller jusqu’au bout avant qu’ils changent d’avis et qu’ils m’arrêtent au milieu. J’avais tellement eu envie de le faire que maintenant j’avais peur de ne pas y arriver. J’avais perdu l’habitude de me toucher. Quand l’éjaculation a commencé, Maître Papa m’a ordonné de ne plus me toucher. Le sperme volait de partout et comme je ne me touchais plus, je n’éprouvais presque pas de plaisir.

Très vite mon zizi est redevenu flaque et petit. Maître Papa m’a ordonné de me mettre à quatre pattes et de lécher mon jus. Avec obéissance, je me suis mis à genoux et ai léché mon sperme. Il y en avait aussi sur la couverture. Pendant que je léchais, ils ont éteint la lumière et se sont couchés.

J'ai fini de lécher dans l'obscurité et suis allé au lit. Comme je ne peux prendre une douche qu’avec la permission, je me suis couché avec la cire et les plumes. La plupart de mes douches se font dans l’arrière-cour, dehors, tout nu. Maître Papa tient le tuyau d’eau froide et pendant que je me savonne il me frappe avec le tuyau. J’ai droit à une minute de savon seulement. Parfois il limite aussi mon temps de rinçage et c’est arrivé que je reste avec le savon sans pouvoir me rincer que Maître Papa avait arrêté l’eau avant! Ainsi je suis allé au lit couvert de sperme, de cire et de plumes, mon cul brûlant et j’ai pleuré pour dormir. La seule consolation était qu'ils n'avaient pas remis cage de chasteté et ainsi mon petit zizi a été libre toute la nuit.

Le lendemain c’était dimanche et ils ont l’habitude de rester au lit une bonne partie de la journée. Je me suis réveillé, j’ai fait le petit déjeuner et je les ai servies au lit. Je pouvais voir le sexe magnifique de Maître Papa en entrant dans la chambre avec le plateau pendant que

Maîtresse Maman m’a regardé en ricanant et a dit :

" Va prendre une douche et sois là dans 5 minutes !. "

J’avais droit à une vraie douche chaude pendant 5 longues minutes : c’était le paradis pour moi et un vrai bonheur. 5 minutes plus tard, j’étais devant le lit à genoux.

" Petite lopette, j'avais parlé à Carl et je veux te voir prendre un énorme gode dans ta chatte. "

Je me suis mis à trembler en me levant pour me diriger vers la commode où Maître Papa rangeait le gros dildo noir représentait un sexe. Je n’ai jamais réussi à le prendre dans mon cul jusque là car je suis trop étroit et en plus mon cul me fait toujours mal à cause des fessées répétées. J’ai ouvert le tiroir et j’ai pris le gode et en silence, je l’ai présenté à Maître Papa.

" OH nous avons oublié de te dire que ce n'est pas celui-là que tu vas prendre dans ton cul de lope! " adit Maître Papa. Il a désigné son propre sexe.

J’étais abasourdi! La pensée de prendre le dildo était une chose, mais son sexe qui était encore plus grand !!! C’était à la fois cruel et impitoyable !!!

" D’abord viens ici pour me faire bander. "

J’ai rampé lentement jusqu’au lit. Je me suis glissé entre ses cuisses et pour la première fois, j’ai pris son sexe énorme dans mes mains. Il était lourd et chaud. J’ai commencé à le masturber.

CLAQUE !

" Je ne veux que tu me touches avec tes mains petite lopette mais je veux que tu me suces ! Cela aidera ton petit cul de fiotte à recevoir mon gros sexe de mâle.

Je ne pouvais pas croire ce que j'étais sur le point de faire. J'étais sur le point de sucer l’amant de mon épouse. J’allais devoir le sucer pour le faire durcir pour qu’il puisse m’enculer, me sodomiser. J’étais donc descendu si bas dans l’échelle humaine ! J'ai regardé son outil magnifique, j’ai ouvert ma bouche et j’ai sucé pour la première fois un sexe d’homme Il s'est penché en arrière et a lu le journal pendant que je suçais. Je dois l'avoir sucé pendant une heure avant qu'il dise finalement :

" A genoux petite lopette. "

Je me suis levé et j’ai pris position sur mes genoux mon visage enterré dans un oreiller. Il n'a employé aucun lubrifiant et d'un seul trait il m’a défoncé l’anus. J’ai ressenti une douleur incroyablement forte. J'ai crié dans l'oreiller et les larmes ont jailli de mes yeux pendant qu'il entrait et sortait de moi Maîtresse Maman sautait sur le lit et applaudissait.

" Ca vas ? Tu l’a sens bien? " elle a ri.

" Ce gros porc a un trou très serré! "

Il a continué à m’enculer pendant environ dix minutes puis il a commencé à gifler mon cul déjà rouge avec chaque poussée. Mon derrière entier était en feu car il me baisait et me giflait en même temps. J'ai pleuré et ai saisi l'oreiller mais c’était inutile : j'étais devenu leur petite lopette sodomite. Puis j’ai senti qu’il s’arrêtait d’aller et venir en moi et immédiatement j’ai senti un jet chaud continu se déverser en moi. Il a recommencé à aller et venir en moi. Mais cette fois, c’était presque agréable de le sentir en moi. Quand il s’est retiré, il m’a encore donner une claque puis il a dit que je devais le nettoyer. Avec obéissance j'ai rampé entre ses cuisses massives et j’ai commencé ce qui allait devenir une habitude.

Chapitre 3

" Petite lopette!! "

Maîtresse m’appelait depuis la cuisine. J’étais toujours allongé sur le lit de mes Maîtres. Maître Papa était sur moi. Il m’avait à nouveau sodomisé deux fois dans la matinée et maintenant il dormait avec son sexe toujours planté dans mon cul. Je sentais mon cul plein de sperme et son poids m’écrasait. J’avais du mal à respirer mais je n’osais pas bouger de peur de le réveiller et d’être battu à nouveau. Mes fesses étaient encore douloureuses.

" Petite lopette!! Où es-tu ?!! "

Maîtresse Maman était de plus en plus impatiente. Je ne pouvais bouger. En ne répondant pas tout de suite, je commettais une faute mais je ne pouvais faire autrement. Soudain, je la vis entrer dans la chambre.

" Comme c’est mignon! " Elle s’est penchée vers moi.

" Bon je vois que tu es occupé et tu sais ce qui arrivera si tu le réveilles. Quand tu pourras , je te veux dans la cuisine immédiatement. "

" Oui Maîtresse Maman, " j'ai marmonné. Carl ne s’est pas réveillé avant une heure. Quand enfin, il est sorti de son sommeil, Diane était sortie. Carl avait de nouveau son sexe qui bandait. Sans sortir de mon cul il recommence à me limer. Il déchargea une nouvelle fois son sperme dans ma chatte anale. J’étais devenu son vide-couilles, chaque fois que Diane était absente ou occupée.

Sa domination et mon utilisation sexuelle était permanente. Un jour, alors que je nettoyais la piscine dans ma tenue d’extérieur : souliers à talons hauts et string ficelle. Mes Maîtres aiment que j’ai les marques du string. Carl m’ordonne soudain de me présenter devant lui. Il prenait le soleil sur un fauteuil. Je pose l’épuisette et je me mets à genoux devant lui sur l’herbe. Il m’oblige à me déplacer sur le sol en béton. J’ai senti son sexe énorme s’enfoncer dans ma chatte anale. Il n’a plus besoin de me lubrifier car il me baise plusieurs fois par jour, tous les jours. Mon cul est dégoulinant de sperme sans arrêt et il est maintenant bien ouvert. Il a poussé tellement fort que mon vissage a râpé contre le ciment. Quand il a eu fini, il est retourné s’allonger. J’avais le nez en s a n g et un filet de sperme sortant de mon cul

" Hé regarde ce que tu fais chienne, le sperme coule dans la piscine ! " Je n’avais pas réalisé que le jus coulant de mon cul se répandait dans l’eau de la piscine. J'ai couru à la maison et je pris la cravache. Je suis revenu devant Carl avec la cravache dans la bouche. Je me suis agenouillé en lui présentant mes fesses. Maître Papa m’a frappé durement. A chaque coup je lui disais :

"un ! Je vous aime Maître Papa "

Après que le vingtième coup il s’est arrêté.

" finis maintenant de nettoyer cette piscine car nous avons des invités ce soir. "

Doucement je suis levé et j’ai poursuivi mon travail mon cul en feu.

J’ai préparé le repas et ranger toute la maison. Les invités étaient Malcolm et Denise deux associés de leur société. Malcolm est un homme noir assez costaud et Denise est son épouse blanche qui avait abandonné son mari Chris. Mes Maîtres étaient ravis de les inviter pour m’humilier devant eux.. Vers 21 h00, j’ai entendu la voiture arriver..

Je rampé jusqu’à la porte et je me suis mis à genoux, cuisses écartées dans ma robe rose pour les accueillir. Malcolm et Denise ont ri en me voyant. Ils ne semblaient pas surpris de me voir ainsi et je n’avais même plus honte de me présenter en robe devant des étrangers. Maître Papa a soulevé ma robe et a attrapé mes testicules qu’il a tordu. J’ai eu le souffle coupé mais je n’ai pas crié.

" Petite lopette!! viens ici! "

Je me suis précipité dans le salon et je me suis mis à genoux sur le plancher.

" Oui Maîtresse. J'ai dit doucement.

" Sers-nous à boire et ensuite tu nous amusera un peu!!! J'ai dit à Malcolm et Denise que tu avais des talents de danseuse!!! Tu vas nous montrer cela" " Oui Maîtresse Maman. "

Un soir, ils m’avaient avec une robe moulante et une perruque, des souliers à talons, puis ils avaient mis de la musique. Je devais danser et chanter en suivant la musique sans me tromper dans les paroles sinon j’étais puni.

J'ai couru à la cuisine et j’ai préparé des boissons. J’ai pris les amuse-gueule que j’avais préparé au réfrigérateur. Je suis revenu en rampant et je les ai servi puis je suis monté dans ma petite chambre pour me changer. J’ai mis une robe courte scintillante bleue, des bas en nylon et des chaussures noires à hauts talons. Je suis revenu dans le salon. Ils étaient confortablement installés sur les canapés et bavardaient.

Maître Papa a mis la musique. C’était une chanson de Gloria Gaynor. J’ai pris l’énorme gode noir e guise de micro et j’ai commencé à bouger en chantant. Ils ont tous hurlé de rire Tout se passait bien mais soudain, j'ai glissé et j’ai sauté quelques mots des paroles de la chanson. Maître Papa a pris la cravache et m’a fouetté. Il n’a pas arrêté de me battre avant l’arrêt de la chanson. J’avais les larmes aux yeux de honte et de douleur

Malcolm a dit qu’il voulait aller aux toilettes.

" Petite lopette, tu viens avec moi pour me montrer où c’est et tu me tiendras ma queue pendant que je pisse."

En silence, je l’ai suivi dans la salle de bains. Il a ouvert sa braguette et a sorti son pénis.

" Allez prends là dans tes mains et fais bien attention de bien viser la cuvette. " Sa pisse a coulé dans la cuvette. Le jet était puissant et abondant. Je me concentrais pour suivre le jet afin qu’aucune goutte ne tomba à côté.

" Tu aimes ce qu’ils te font ? "

Je ne savais pas quoi répondre. J’ai dit " Oui Monsieur"

" Tu sais que tu es un minable ! "

" Oui Monsieur" ai-je encore répondu.

Il a fini de pisser et dit :

" Allez petite lopette, tu sais ce que tu dois faire maintenant ?

Sans réponse, je me suis mis à genoux devant lui et j’ai ouvert ma bouche.,

Chapitre 4

J’ai conscience d’avoir atteint le point de non-retour après cela. Non content d’être cocu puis esclave de l’amant de mon ex-épouse, voilà que maintenant, je suis l’esclave des amis de mes Maîtres. Mais curieusement, je ne suis pas sûr du tout je vouloir retourner en arrière. Mes Maîtres sont cruels et exigeants. Je suis leur prisonnier. Mais je me rends compte que c’était mon destin. C’est le but de ma vie de les servir et de les rendre heureux.

Ma vie est simple. Je porte une robe rose avec des ballerines et des collants. En dessous rien à part ma cage de chasteté et une petite clochette attaché à la cage comme les animaux. Mon corps est totalement rasé et chaque orifice que j'ai leur appartient. Mes fonctions sont simples, je doivent faire tous les travaux domestiques, la cuisine, le nettoyage, la lessive, les achats, et le tout ce qu’ils veulent

Mes plaisirs sont simples aussi. Je ne peux me masturber que lorsqu’ils l’autorisent et s’ils jugent que je l’ai mérité. Ce n’est pas souvent que je suis récompensé. Quand ce moment arrive, je me présente devant eux, je me masturbe rapidement et je lèche. Ils rient et cela les rend heureux. Alors je suis heureux aussi.

Au début, les punitions m’étaient insupportable. Aujourd’hui, j’ai compris que je suis mauvais et que je commets beaucoup de fautes. Il est donc normal que je sois puni. Je prends aussi plaisir à être battu et cela me manque quand de la journée je n’ai pas reçu au moins deux fessées à coups de cravache.

Maître Papa m’a aussi appris à faire jouir un homme. Puisque je n’en suis pas un, il est normal que je le satisfasse et que je lui serve de vide-couilles chaque fois que c’est nécessaire. Il ne se passe pas un jour ou une nuit, où mon Maître m’ordonne de me placer devant lui pour se satisfaire. Je me mets sur le ventre ou à quatre pattes et je lui offre mon sexe.

Je l'aime et j’attends avec plaisir et impatience chaque fois que Maîtresse s’absente. Il ne me v i o l e que lorsque nous sommes seuls tous les deux. J’aime sentir son corps m’écraser. J’aime sentir son sexe ouvrir mon cul et s’enfoncer profondément. J’ai l’impression que chaque fois, il s’enfonce plus loin. Je m’ouvre en grand pour l’accueillir toujours plus loin. Pendant qu’il me prend, il malaxe mes seins et pince fortement les tétons. Et quand il va jouir, je le sens et j’attends le moment où le sperme jaillit de son sexe et se répand dans mon ventre à grands flots. J’aime être fécondé par lui.

Ensuite, je prends son sexe dans ma bouche et je le nettoie. Je suce la moindre trace de son sperme que j’avale comme une sucrerie.

Parfois, après l’amour. Oui j’appelle cela de l’amour, Il vient s’asseoir sur mon petit lit et nous parlons un peu. Je lui dis que je l’aime et qu’il est mon amour. Je sais qu’ils n’ont pas besoin de moi et que c’est peut être ridicule pour vous d’appeler l’amant de son ex-femme, son amour mais c’est ainsi. J’ai besoin d’eux. Ma vie sans eux n’est rien. Des fois, il retire ma cage et s’amuse avec mon zizi. Il aime bien le toucher. Quand il est vraiment content de moi, il me masturbe lui-même et part dans de grands rires quand j’éjacule de partout sur les draps. Bien sûr, je dois tout nettoyer avec ma langue après.

Je n’utilise plus désormais la salle de bains. Je me lave dans le jardin avec le tuyau d’arrosage et à l’eau froide. Je ne mange que leurs restes quand il y en a. Je suis leur chien et je suis fier de cela.

Dernièrement, après le dîner, j’avais tout rangé et je finissais els restes dans la cuisine. Maîtresse Maman m’a fait venir dans le salon et m’a dit que nous devions sortir tous les trois. Il était inutile que je me change car, je devais sortir avec ma jolie robe rose et mes ballerines. J’ai été horrifié car cela n’est jamais arrivé que je sorte habillé ainsi. Nous nous sommes rendu dans un salon de tatouage.

Maîtresse Maman a dit pendant que Maître Papa se garait :

" Petite lopette j’ai eu une idée formidable. Nous allons te faire tatouer. Qu’en penses-tu? "

" Oui Maîtresse Maman, c’est une bonne idée !. " Je ne savais pas trop quoi en penser.

Dans le salon de tatouage, je suis entré la tête basse, très embarrassé d’être habillé en fille devant des étrangers en pleine ville. Un grand homme noir est venu accueillir Carl et Diane qu’il a embrassé. Ils semblaient se connaître bien. Puis il a jeté un œil sur moi.

" Ainsi voilà la chose que je dois tatouer? Pas mal! "

Puis il est parti, me laissant planté au milieu du magasin.

Il a pris une feuille de papier et tous les trois ont lu ce qui était écrit. Maîtresse Maman a hurlé :

" C’est parfaite!! "

J’ai été obligé de m’allonger sur une table métallique. L’homme se prénommant Henry a soulevé ma robe et a abaissé le collant. Puis il a commencé à dessiner sur mes fesses. Enfin il à appliquer le tatouage et ma fesse droite a brûlé. Il a travaillé pendant environ une demi-heure et finalement a dit :

" Qu’en pensez-vous? "

" C’est incroyable! Petite Lopette tu dois voir ça!! "

Henry a apporter un grand miroir. Je me suis levé en tenant ma robe devant moi et j’ai regardé. C'était le dessin grandeur nature du sexe de Maître Papa! Tout autour du sexe on pouvait lire l'inscription : " Petite lopette propriété de Maître Papa et de Maîtresse Maman. "

J'ai souri et ai dit que j’étais très honoré et que c’était très beau. Je suis sorti de magasin fier de mon tatouage et fier de porter ma robe rose dans la rue. Je n’avais plus aucune honte et gène à me trouver habillée comme cela devant des inconnus dans la rue. J’ai su alors que ma vie avait changée.

Petite lopette

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Très belle histoire, le rêve de beaucoup de lopette comme moi
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