Vengeance d’une soumise qui switche parfois

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il y a 3 ans

Avec ma femme, pourtant de nature soumise sexuelle, nous switchons parfois. Elle aime s’abandonner et n’être plus qu’un jouet sexuel. Dans ces moments là, pour la satisfaire, je dois jouer les égoïstes, ne penser qu’à mon plaisir. C’est son truc et je le respecte même si j’aime partager et lui donner du plaisir. Donc, quand nous jouons, je joue le rustre. Que l’on se rassure, nous faisons aussi des câlins conventionnels, sensuels et avec beaucoup de tendresse.

Elle m’a demandé de ne jamais me masturber en me disant que, quand j’ai des envies, je n’ai qu’à me servir d’elle. J’ai pris cette habitude assez facilement je l’avoue.... surtout que je peux très bien lui imposer de passer sous le bureau, pendant que je regarde une vidéo sur Fessestivites ou, quand je lis une histoire érotique qui m’émoustille.

Pour son anniversaire, nous avions fait des folies sur ABCplaisir. Je lui avais donné carte blanche sur la boutique. Autant dire que la carte bleue a chauffée.....

Le jour où le colis de sextoys et d’accessoires BDSM est arrivé, la soirée fut chaude. Nous avons tout essayé. Elle avait pris, la barre d’écartement pour les jambes, les menottes qu’elle avait pris en double, le gode vibrant, un gode plus petit, le magic wand puissance 10 alors que nous en avions déjà un plus petit mais très efficace, des pinces à sein, un bâillon bouche ouverte puisqu’elle aime que je profite d’elle sans pouvoir y échapper. Ce bâillon d’ABCplaisir, on l’avait vu sur une vidéo de Fessestivites, il lui faisait trop envie. Pour les gorges profondes, c’est très pratique.

Donc cette nuit là, nous avons très peu dormi. Je l’ai attachée et prise dans tous les sens, elle a goûté évidement au bâillon bouche ouverte après que je l’ai baisée et sodomisée quand elle était attachée au lit avec les jambes en l’air. Encore une fois que l’on se rassure, ma queue était propre. Le lendemain, après ma petite pipe du matin, une de ses obligations, Melissa était radieuse, voir son visage d’une femme amoureuse comblée, a gommé toute ma prudence. Si bien que, quand elle m’a demandé si on pouvait switcher pour qu’elle s’occupe de moi, j’ai validé sa demande avec plaisir. Jusqu’à présent, à part me faire v i o l e r d’amour, je n’avais pas souffert. Hormis quelques petites excentricités comme me promener avec sa queue de chienne, avec un tablier de cuisine comme unique vêtement, elle n’avait jamais été une Maîtresse tyrannique.

Le soir même, après la douche que nous avons prise ensemble, « Maîtresse voulait être sûre que je serai bien propre » elle m’a emmené dans notre chambre où elle avait tout préparé. (La garce) Melissa avait déjà installé la barre d’écartement des jambes et les deux paires de menottes à la tête du lit. Sans aucune crainte, je me suis laissé entraver, en me doutant de ce qu’elle allait faire. Enfin, je croyais ! ! !

Après m’avoir entravé, elle a joué les allumeuse pendant plus d’une heure. De câlins en bisous, de jeu avec le magic wand massager sur mon sexe ou mes testicules, elle me rendait fou. Elle m’a posé les pinces à sein avant de commencer à me faire une fellation au ralenti, pour être sûre que je ne jouirai pas de suite. Ses yeux brillaient du feu du désir, elle rayonnait, elle était mon soleil au milieu de la nuit, malgré ma monstrueuse envie de conclure. Les deux poignets bloqués par deux paires de menottes au dessus de ma tête, autant dire, que je ne pouvais que subir ses foudres.

Quand elle est venue s’asseoir sur mon visage, j’ai avec grand plaisir lutiné sa fleur émotive au coeur des pétales épanouies ruisselantes de désir. J’aime bien son goût, il est sucré avec un léger parfum d’elle. Pour accélérer mon travail linguistique, elle s’amusait à tirer sur la chaînette des pinces à sein. Rien de bien méchant, mais quand on a une trique devenue dure à en avoir mal, on aspire à autre chose qu’un travail des tétons. Après avoir joui en délectant mes papilles gustatives de ses généreuses sécrétions, j’ai eu peur qu’elle m’abandonne comme ça. Que ne ni !

Par chance, Melissa avait envie de quelque chose de plus conséquent qu’une langue, même très volontaire. Elle s’est empalée sur ma verge reconnaissante et enfin soulagée de ne pas être délaissée. Tout en me chevauchant, ma « Maîtresse » continuait de s’amuser avec la chaînette de mes tétons. Le plaisir sexuel étant très fort, les petites douleurs au niveau de mes seins était très agréables. Je n’ai pas tardé à m’abandonner, à arrêter de vouloir contrôler le plaisir montant de mes reins, j’ai cru perdre la tête quand, à mon tour j’ai joui.

Mais Melissa avait encore des envies ! ! ! Mon glaive de mâle étant rapidement devenu zigounette malade après une telle implosion des sens, ma « Maîtresse » a utilisé une corde pour me ligaturer les testicules puis la verge pour la faire rebander tout en la suçant. Je voyais bien dans ses yeux qu’elle me préparait quelque chose de pervers. Melissa est parvenue à ranimer le gisant qui, entouré de cordelette, ne pouvait plus débander.

Avec son regard de sadique joueuse, elle a brandi le petit gode en me disant « c’est pour qui ça » ? Avant même que je réfute, elle m’a annoncé que j’aurai son cul que quand le mien serait comblé et que, si je voulais qu’elle libère mon sexe, j’avais intérêt à coopérer. Heureusement qu’elle avait pris le petit, car, même en acceptant son petit jeu de garce, j’ai eu du mal à le recevoir dans mon anus, peu habitué à être utilisé dans ce sens.

Melissa m’a ensuite retiré la barre d’écartement pour lier mes chevilles ensemble afin que je garde les jambes serrées. Son but était que le gode reste en place et j’ai rapidement compris pourquoi. Elle a mis un peu de lubrifiant sur son anus puis, en me faisant face, s’est auto sodomisée en me disant « ce soir tu vas vivre une double pénétration mon amour ». Elle s’est mise à me chevaucher lentement au départ.

Quand elle a estimé que mon anus et le sien s’étaient habitués à une présence, Melissa s’est lancé dans une course hippique marathonienne. Chacun de ses coups de reins se reportaient sur son anus et ma verge. Sur ma verge ça allait, derrière ça me faisait tout drôle. Mes neurones ne parvenaient pas à se focaliser sur mon devant ou mon anus. Et puis au bout d’un moment, ils se sont mis en grève, je n’étais plus en état de réfléchir, je ne pouvais que subir. La jouissance est quasiment arrivée sans crier « garde », sans que je puisse contrôler quoi que ce soit. Ce fut comme l’explosion du port de Beyrouth. Ma bouche c’est grande ouverte pour chercher l’air, mes yeux se sont fermés et j’ai eu l’impression que mon corps était projeté en l’air.

Je n’ai rouvert les yeux que quand Melissa me mettait des gifles. Elle était affolée et me demandait si j’allais bien. Il parait que j’ai perdu connaissance. C’est avec beaucoup de douceur, qu’elle a retiré l’intrus de mes fesses, avant d’y passer une lingette et de me faire des bisous. Mes précieuses ont enfin perdu les ligatures, ce qui fut un peu douloureux mais OUF ! Pour le retrait des pinces à sein, là j’ai douillé.

Et là, quand je lui ai demandé de me délivrer, elle a refusé en m’expliquant que j’avais dit « oui pour sa domination pour 24 heures ». Et, tout en me faisant des bisous, elle a rajouté qu’elle me voulait disponible pour le lendemain au réveil. Et moi, je me suis imaginé, à tord, qu’elle me ferait ma fellation habituelle. Quel con !

Melissa avait décidé de me donner une leçon de savoir vivre, et ça je ne l’ai découvert qu’après une horrible nuit. On dort très, très mal avec les deux poignets menottés à la tête du lit.

C’est donc au petit matin, après que j’ai bougé (comme par accident) qu’elle s’est réveillée. Au lieu de me libérer, elle s’est lovée contre moi pour un gros câlin tout en s’amusant avec ma verge qui, comme tous les matins, n’a pas tardé à pointer vers son et mon visage. Je me suis plu à espérer que, de sa bouche câline, elle accéderait à mon plaisir. Grossière erreur.

  • C’est à toi mon amour de me faire ma petite gâterie du matin ! M’a indiqué Melissa en enjambant mon visage.

Si j’aime beaucoup dévorer son chaton, lutiner sa perle, c’est après la douche. Quand son puits des plaisirs que j’adore c’est approché de mon visage, je me suis cru au port de Concarneau à marée basse. Cela sentait la marée ! Je m’en suis ouvert à elle avec délicatesse, en guise de réponse, elle m’a dit « comme toi le matin quand on a fait l’amour la veille » ! Puis sans aucune pitié pour mes pauvres narines, elle a plaqué son beau séant parfumé sur mon visage. Comme ma langue n’était pas motivée par ses senteurs d’amour de la veille, elle a planté ses ongles dans mes tétons encore douloureux de la veille.

Ma bouche s’est grande ouverte pour lâcher un cri, Melissa a serré les jambes très fort et s’est appuyé encore plus fortement sur mon visage. Pour qu’elle lâche mes tétons, j’ai aussitôt abdiqué et, comme elle quand c’est moi qui lui ordonne de me faire une fellation, j’ai goûté les saveurs acres de nos amours de la veille. Un moment difficile plus tard, j’ai commencé à retrouver son goût sucré habituel, un signe me laissant espérer qu’elle me chevaucherait et me ferait jouir. Il n’en fut rien, elle s’est masturbée en se faisant bouffer « la moule ». J’ai choisi ce mot pour les odeurs ambiantes.

Après avoir joui, Melissa est redevenue câline, elle m’a embrassé malgré l’odeur de mon visage non sans me dire « tu sens fort ». La garce ! La garce aussi parce qu’elle m’a libéré et interdit de me masturber et de la sauter jusqu’au soir. Autant dire que je l’avais dure et remontée......

Et le soir, alors que je regardais les informations sur le Covid, je l’ai entendue m’appeler. Elle s’était mise nue et s’était entravée comme je l’avais été la veille.

  • Les clés des menottes sont sur la table de nuit, je suis une pauvre femme sans défense offerte à tes envies.

Alors pour me « venger » je lui ai mis le gros gode d’ABCplaisir dans le chaton et je l’ai laissée en plan pendant une heure. Je ne vous dis pas le nombre de suppliques et de mots crus que j’ai entendu de loin. Non mais ! (MDR)

Lorsque je suis allé la voir, le gode avait glissé, elle était furieuse. Alors je lui ai imposé de me dire : « J’aimerai beaucoup que le dieu du dodo baise la vilaine salope que je suis ». Elle l’a dit tout de suite, alors..... même si j’aurai bien aimé qu’elle me supplie un peu.

Bon, maintenant, quand on a fait l’amour la veille, je vais prendre une douche après ou le matin, me laver le sexe avant de lui rappeler son devoir conjugal de soumise.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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