Récit de self-bondage

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 3 ans

Et oui, malgré les nombreuses discussions, mon partenaire n’est toujours pas prêt à avoir des relations SM et je ne pense pas qu’il y viendra un jour ; alors pour conserver mon équilibre, je pratique toute seule, et oui… ça peut sembler un peu triste de prime abord, mais j’y prends beaucoup de plaisir et puis de toute façon je fais ça depuis que je suis toute petite…

Alors voilà, une petite envie m’a prise ce soir, comme une irrésistible envie d’être assez fortement tirée par les seins. J’ai donc imaginé un petit stratagème : être toute seule développe l’imagination ! J’ai utilisé la base d’un siège que nous avons : la base d’une chauffeuse qui est constituée de deux cercles en bambou de tailles différentes reliés par des bambous transversaux. Je ne sais pas si ma description est assez claire… j’ai donc utilisé cette base en la mettant en position verticale afin d’obtenir une sorte de tunnel dans lequel je me suis allongée…

Au préalable, je me suis déshabillée, imaginant un maître derrière moi, me parlant de façon sèche et concise : « Déshabille-toi ! Regarde ! Tu n’as pas honte d’être aussi mouillée alors que nous n’avons même pas commencé ! Si Maître… J’ai décidé que nous allions nous amuser à un petit jeu très rigolo ce soir ! Très bien Maître, comme il vous plaira, j’aime tellement souffrir pour vous et mettre mon corps et ma volonté entre vos mains… Tais-toi, tu parles trop, tu me fatigues et baisse les yeux d’abord ! Oui Maître…Prends ces pinces à linge, prends en 10 ! Tu vas attacher chaque pince à linge avec un morceau de ficelle suffisamment long ! Et dépêche toi, c’est long, je n’aime pas attendre ! Oui Maître… »

J’ai donc attaché chaque pince à linge avec une ficelle d’environ 50 cm de long, effectivement c’était plutôt long, ce qui a augmenté mon excitation de seconde en seconde… d’autant plus que j’avais plutôt honte d’être debout, toute nue dans une chambre vide et en train d’imaginer des dialogues… et oui, des fois je me fais peur ! Heureusement, je ne parle pas toute seule encore ! J’imaginais qu’il était dans mon dos, confortablement allongé sur le dos, en train de fumer une cigarette et excité par l’observation de la honte et de la peur qu’il provoquait en moi, sa soumise !

Après avoir fini mon long travail de nouage, je me suis allongée sur le dos à l’intérieur du tunnel, formé par la base du siège. J’ai alors attaché avec des ceintures, aux bambous transversaux, mes jambes repliées en l’air. J’ai profité de ce moment où mon intimité était exposée, de façon indécente pour aller la fouiller avec mes petits doigts, tout en imaginant mon Maître : « Regarde moi ça ! Tu n’as pas honte d’être ainsi exposée ! Regarde comme je fouille ton intimité ! Mais tu es toute mouillée en plus ! C’est bien, car tu en auras besoin avec ce que j’ai décidé de te faire subir ! Baisse les yeux ! Tourne la tête ! Je ne veux pas voir ton visage ! »

Là a commencé le long supplice que je m’étais réservé. J’ai pris chaque pince à linge pour les poser sur mes seins une à une. La première fut pour mon téton gauche ! J’ai attrapé l’aréole et l’ai pincée fortement afin de poser la pince à linge bien à la base, je ne voulais pas qu’elles se détachent trop vite ! Je sens déjà la petite brûlure caractéristique qui irradie mon sein gauche. J’en pose une autre au nord de la première pince à linge, au sud, à l’est puis à l’ouest : mon sein supporte alors cinq pinces à linge. Puis, je m’empare des ficelles, que je m’amuse à tirer d’abord doucement puis de plus en plus violemment sans toutefois les arracher ! Je passe alors les ficelles au dessus du cercle de bambou dans lequel je suis allongée et je tire, je tire, je tire… je sens mon sein tiré vers le haut, quel bonheur. Je soulève même le torse lorsque je fais le nœud, afin que cela me tire encore plus lorsque je serai allongée complètement et puis je noue les ficelles de mon sein gauche sur un bambou situé plutôt sur la droite afin d’augmenter la tension ! Tension, c’est effectivement la sensation que j’ai à ce moment-là ! A chaque fois que je bouge d’un millimètre c’est comme si des milliers de petites aiguilles pénétraient mon sein ! C’est très inconfortable… qu’est-ce que j’aime ça… je jouirais presque… mais il ne faut pas encore, je ne suis qu’à la moitié de mon périple !

Je m’occupe alors du sein droit qui subit le même traitement… douloureux… Je suis là, allongée sur le dos, les jambes maintenues fortement en l’air ( et oui, on ne s’épargne jamais quand on se le fait soi-même, même parfois on se surestime, ce qui me vaut quelques anecdotes bien rigolotes…). Je suis donc là, les jambes en l’air, l’intimité offerte et surtout les seins fortement tirés vers le haut, presque suspendue par les seins… Je sens la douleur lentement prendre de l’ampleur, la chaleur qui irradie et mon cerveau qui s’embrume… C’est à ce moment précis qu’a germé une idée dans mon esprit, et si mon mari rentrait à ce moment inopportun ! Il ne fallait pas, déjà qu’il me considère comme à moitié folle, la vision de ma séance d’auto-érotisation le ferait s’enfuir à toute vitesse : c’est alors qu’un gros flot d’adrénaline est venu se rajouter à la chaleur des endorphines… des frissons parcouraient ma nuque…

C’est ce moment que j’ai choisi pour commencer à me caresser, tout en imaginant mon Maître virtuel me dire : « C’est bien, tu souffres bien pour moi ! Tu es à moi ! Tu es ma chose ! Je peux faire de toi ce que je veux ! Maintenant, pour te libérer Soumise, tu vas devoir te pencher, te tordre, tirer sur tes seins, afin d’arracher une à une les pinces à linge ! Non, pitié Maître, je n’y arriverai pas… Tais-toi chienne! Cesse ces jérémiades ou je te bâillonne ! J’en ai marre de t’entendre ! Allez vas-y tortille toi ! » Je me tords autant que je peux dans les liens qui me retiennent, j’ai mal… Ah ! La vache ! Une des pinces à linge vient de se décrocher de mon sein gauche! Je ressens une douleur fulgurante mais heureusement pour moi fugace ! Je réprime un cri en me mordant fortement les lèvres ! Note pour plus tard : je rajouterai un bâillon pour éviter que mes voisins soient alertés par mes cris ! Une pince à linge et il en reste encore 9 : j’entrevois alors mon calvaire qui ne fait que commencer ! « Allez ! Courage Soumise, je sais que tu peux le faire !

De plus, plus tu le fais rapidement et plus vite tu seras libérée ! N’oublie pas que ton cher mari vanille risque de rentrer d’un moment à l’autre ! » Je prends une grande inspiration et je me tortille de toute mes forces, c’est alors que je commence à sentir des contractions dans mon bas-ventre !!! Je ne sais plus où donner de la tête, mon cerveau est perdu : doit-il ressentir la forte douleur qui provient de mes seins ou le plaisir montant progressivement de mon intimité et qui est augmenté par l’effort fournit pour bouger dans les liens !!! Je commence à me crisper et c’est au moment où finalement j’arrache les deux pinces à linge qui étaient sur mes tétons que je commence à surfer sur les vagues de mon plaisir… dans un cri, mon corps n’est plus qu’une série de contractions ondulantes : un véritable tremblement de terre ! Oh oui que c’est bon ! J’ai joui !

Je me laisse le temps de souffler et de redescendre doucement… le temps de me laisser bercer par le flot de mes émotions… mais déjà la triste réalité me rappelle à elle ! Je suis toute nue, attachée les jambes en l’air, les seins tous rouges… dans une pièce vide, toute vide… une larme coule dans le coin de mon œil droit… Vite il faut me détacher et si mon mari rentrait ! Je me détache et me rhabille fiça ! Je défais toutes les ficelles et remets les objets en place. Ma séance n’est déjà plus qu’un souvenir, c’est pour cela que j’ai décidé de vous la faire partager pour la prolonger un peu… J’espère ne pas trop vous avoir ennuyés, les textes étant d’une si grande qualité sur ce forum ! Je m’incline avec déférence à vos pieds : merci de m’avoir permis de faire durer quelques instants de plus cette séance !

def61vi

QUELQUES LIENS

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C’est très inconfortable… qu’est-ce que j’aime ça… je jouirais presque ! Comme on se comprend !
Une très vilaine fille qui a bien raison en même temps, mais c'est de la provocation de Maître ça.
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