Il a fait de moi une chienne, sa chienne.

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il y a 3 ans
Nous avions parlé sur Fessestivites de nos fantasmes respectifs, et cela sans réellement penser qu’un jour nous nous rencontrerions.

Un soir, lors de nos lubriques échanges, je lui ai indiqué que ma société m’envoyait une semaine en formation à Aix en Provence. Il m’a dit que cela serait l’occasion d’aller prendre un verre et de se rencontrer en vrai, au moins une fois. J’ai accepté sans aucune inquiétude, des mois de discussions permettent de sentir si l’on a à faire à un détraqué ou pas.

De fils en aiguille il m’a demandée où je serai hébergée, je lui ai répondu à l’hôtel. Jack m’a proposée de m’héberger en tout bien tout honneur, sauf si l’envie me venait de réaliser quelques fantasmes. A partir de là, des images fantasmagoriques ont commencé à mûrir en moi. Comme nous nous parlions à présent sans tabou, je lui en ai parlé. Le pauvre, je l’imaginais en transe, alors qu’en réalité, c’est lui qui mettait le feu aux poudres de ma libido débridée. Débridée en fantasmes, pauvre en concrétisation.

Il était là, au bout de quai avec un bouquet de roses rouges comme prévu. En le voyant, j’ai immédiatement su que ce ne serait pas en tout bien tout honneur comme on dit. A 40 ans, musclé, les yeux bleus avec un beau visage souriant, il avait le profil du tombeur de ces dames. Beau, pas con, cultivé, coquin, « cet homme est pour toi ma belle » me suis-je dit. Rien que la bise sage qu’il m’a faite sur la joue a fait des choses dans la culotte.

Son Audi ronronnait sur l’autoroute, le paysage défilait sous mes yeux dans une ambiance de musique classique avec du Mozart, mon compositeur préféré, comme par hasard. Le gougeât s’en était souvenu. Arrivé chez lui, le galant m’a aidée à décharger mes valises pour me conduire à ma chambre d’amis. Au passage sur la terrasse, sa piscine me faisait de l’oeil et pour cause, il faisait 35° à l’ombre. Après une petite collation, il m’a proposée de me baigner, c’était trop tentant après six heures de transport en commun. En parfait gentlemen’s, il a mis un maillot, alors que je le savais naturiste, pendant que j’enfilais un sage deux pièces pour ne pas précipiter les choses.....

Jack avait tout préparé d’avance, l’apéro, le repas et les pièges.

Pendant l’apéritif, évidement au champagne, quand il fait encore 31° les bulles montent vite au cerveau. Quand il m’a proposée de me faire un shibari, je n’ai pas pu (voulu) refuser. Avec lenteur, patience, douceur et sans geste brusques, Jack a passé de nombreuses cordes autour de mon corps et mes cuisses puis mes bras qui étaient pliés sur eux même. Il a fait tout cela sans jamais toucher mes seins alors qu’ils avaient des cordes dessus et dessous. Pour me rassurer, il me répétait sans cesse que je devais lui indiquer sans attendre si j’avais une douleur, puis que quand je serai suspendue, à la moindre demande de ma part, il lui faudrait dix secondes pour me poser sur le sol et annuler l’effet des cordes.

Et puis il m’a suspendue, étape par étape. Le buste lié à un anneau d’acier, quand il a soulevé ma dernière jambe, j’ai eu un peu peur parce que je me suis mise à tournoyer. Pour soulager ma tête, il m’a conseillé d’accepter d’être très légèrement bâillonnée avec un bâillon de support pour que je puisse savourer la suspension sans souffrir de la nuque. En toute confiance, j’ai accepté, en expert du shibari, il savait ce qui était bien pour moi. La surprise fut de taille, le dit bâillon de support était un os en plastique avec des lanières sur le côté. Quand je l’ai pris en bouche, je me suis dit que j’étais folle d’accepter tout ça.

Effectivement, il ne l’a pas attaché derrière ma tête, il s’est servi de ce sextoy en forme d’os pour y fixer une corde sur les côtés. En le mordant, je pouvais soutenir ma tête. Pour m’aider à planer, il m’a proposée un petit masque pour occulter ma vue. Au point où j’en étais, pourquoi refuser. Attachée, suspendue en maillot entre ciel et terre, la brise du soir avait sur moi l’effet de sensuelles caresses. Jack est allé mettre de la musique, en m’abandonnant sans me le dire, le coquin. Et là, il a commencé à me balancer doucement. De folles envies de me caresser animaient mes mains liées.

Soudain, sa main s’est posée sur mon dos, elle annonçait silencieusement l’arrivée d’une garce piquante. Ce gougeât a commencé à faire rouler sur mon dos une roulette à piquant. Les chemins quelle décrivait sur mon corps enflammaient mes sens en me faisant agréablement frissonner. J’étais toute chose dans les cordes..... J’aurai pu soulever la tête pour annuler l’effet du bâillon os et lui dire que j’avais envie de ses mains sur moi, mais je n’ai pas osée, j’étais trop subjuguée par les sensations pour parler, casser cette ambiance aussi diabolique que sublime.

Un moment plus tard, combien de temps je n’en ai aucune idée, il m’a dit qu’il devait modifier les cordes et que je ne devais pas m’affoler. Pendant qu’il jouait avec les cordes, sentir son corps chaud contre le mien me donnait des envies de le croquer, de me frotter à lui, à l’enfoiré qui ma piégée !

Lentement Jack me faisait descendre et c’est comme ça que je me suis retrouvée à quatre pattes avec les bras et les jambes toujours liées et repliées. Jack a alors touché le bâillon os ( PUB : de chez ABCplaisir) et la lié derrière ma tête.

  • Ton fantasme d’être une pets est en train de se réaliser ma belle. Profite des sensations sans honte, tout est de ma faute, c’est moi qui ai fait ce bondage. Tu n’es qu’une pauvre victime innocente.

Ce n’est effectivement qu’à ce moment là que j’ai pris conscience de l’image donnée par ma position.

  • Je peux te délivrer immédiatement si tu le désires, mais je peux aussi, puisque le principal est fait, te permettre de continuer de vibrer, de rentrer dans une bulle animale, dans tes découvertes de ce monde magique. Agite la tête pour dire « non » cela voudra dire non ne me délivre pas.

J’ai agité la tête comme proposé. J’étais trop contente d’être bâillonnée, parce que je n’aurai jamais osé dire avec des mots, que je voulais être sa chienne. Cela aurait fait trop pour une bourgeoise comme moi. ( Le mot bourgeoise est un clin d’oeil pour quelqu’un du site...)

Et là, il a osé. Il a osé me poser un collier de chien et une laisse. Juste ça à moi ! Gougeât mais attentionné, ce pervers m’a faite avancer et marcher comme une chienne. Au fur et à mesure que j’avançais, pour pas que je me blesse, il glissait devant moi des tapis de sport. Le bandeau de mes yeux me permettait de tricher et de voir. Le rustre m’a conduite jusqu’à la table où nous avions pris le champagne et m’a faite asseoir à ses pieds.

Et là, encore, il a osé ! Il a osé se servir une flute de champagne sans m’en proposer et ça, tout en caressant la tête de sa chienne ! Jack ne me traitait pas de chienne avec des mots, au contraire, il me disait simplement que j’étais une très belle femme en pets. Il évitait ainsi les mots qui auraient pu me blesser. Alors je me suis lovée contre ses jambes pour le câliner comme une chienne.

Ses mains se sont aventurées sur moi avec prudence, un peu comme si elles demandaient la permission. En guise de réponse, je me frottais à lui, j’étais dans un autre monde. La suspension m’avait emmenée dans une bulle de laquelle je n’était pas vraiment sortie, les cordes semblaient entretenir cette ambiance magique. Quand ses doigts sont arrivés sur mes seins, j’ai gémi de plaisir. Toujours avec la même douceur et lenteur, ils se sont insinués dans les balconnets de mon maillot pour venir jouer avec mes tétons.

Assise comme une chienne sur mes talons et avec mes bras toujours repliés, je les lui offrais bien volontiers. Ses petits pincement me rendaient folle de désir. Ce désir de plus, d’encore, il l’entretenait avec le savoir faire d’un Maître qui va vous manger et cherche vous mettre dans une position d’abandon total. Pas de douleur, juste le dosage qu’il faut pour pousser toujours plus loin mon excitation. N’en pouvant plus de désir, j’ai craqué. La bourgeoise a perdu toute retenue. Elle s’est remise à quatre patte pour faire demi-tour et agiter ses fesses.

La chienne bourgeoise avait ses chaleurs...

Il n’attendait que ça le bougre, mais encore une fois à sa manière. Il s’est levé pour entrer dans la maison et quelques secondes pus tard est revenu avec ce qu’il fallait pour nous protéger. Toujours sans se presser, sa proie étant prête pour la saillie, il a enfilé un préservatif et écarté le bas de mon maillot ne pouvant pas être retiré à cause des cordes. Il a placé son sexe à l’entrée du temple de la fécondité et ne m’a pas prise. Jack a fait pire ! Il a attrapé la laisse et l’a tirée pour que ce soit moi qui m’empale sur ce sexe que je désirais réellement en moi. Mon excitation était telle, que c’était un besoin primaire, quasi animal. Et là, hummmm ! Si j’avais déjà été prise en levrette, là les sensations étaient différentes, plus fortes, plus.... je ne sais pas les décrire autrement que par « magiques ».

J’ai découvert à ce moment là que Jack avait aussi une sacrée mémoire, surtout pour les choses du sexe.... Pendant que je me donnais des reins, il jouait avec mon « cul » avec ses doigts chargés de lubrifiant. Il s’était souvenu que je lui avais dit que par là, j’aimais aussi beaucoup. Et la chose n’a pas tardé. Il a abandonné mon devant, qui le regrettait avant même qu’il soit totalement sorti, pour chercher à s’engouffrer dans une autre voie, au départ moins accueillante.

Sa douceur a fait que je n’ai quasiment eu aucune douleur. La sensation d’être pleine m’a immédiatement comblée de bonheur lorsqu’il s’est glissé en moi. Après quelques mouvements lents pour tromper la méfiance du petit timide, il a oublié la douceur pour passer en mode viril musclé. Sous ses assauts, je me décomposais, je me liquéfiais, mon cerveau se focalisait uniquement sur mon derrière exalté, ravi, comblé, glouton. Mon corps tremblait, même mes mâchoires semblaient libres de leurs envies, je me souviens avoir couiné puis mordu le bâillon comme une folle pour ne pas trop crier mon plaisir, mes jouissances à répétition.

Quand il s’est arrêté et retiré après avoir joui, vidée de toute énergie je suis tombée sur le côté. Il a retiré le bâillon os, puis les cordes de mes membres pour que je puisse me « déplier » avant de me couvrir avec les draps de bain. Étendue à même le carrelage de la piscine, la chienne avait été domptée. Il m’a fallu un certain temps avant de pouvoir boire la flute de champagne posée près de moi. Et là, sans même qu’il le voit venir, je me suis jetée sur lui pour le manger de bisous.

J’avais tellement envie de l’étreindre, de le serrer dans mes bras, de me lover contre lui qu’on a cassé la chaise en plastique et fini par terre. Cela a un peu cassé l’ambiance ! Enfin, juste un moment car après le dîner, je voulais me « venger ».

J’ai beaucoup aimé cet hôtel restaurant. D’ailleurs, je vais même y passer presque tous mes week-end et mes vacances en attendant de trouver un emploi près de chez lui, pour que nous puissions vivre ensemble. Et vous savez quoi ? Non ? Et bien je vais vous le dire. Il a acheté une niche et une cage pour moi mais il ne faut pas le dire.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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