Nouvelles règles

Catégories : Bondage Shibari Kinbaku
il y a 3 ans
Dans cette histoire érotique de bondage, un groupe de jeunes s’amusent à s’attacher et se lancer des défis. Cela pourrait être amusant s’ils n’avaient pas une visite surprise. Un petit roman savoureux à déguster sans modération.

Quelle journée ! Fatigante, harassante, aberrante et accablante ! Notre cher Will n’a pas arrêté de courir de tous les côtés. Il faut dire qu’il a eu fort à faire ce jour-ci : réussir à préparer une soirée jeux en ayant un match de foot le matin, un stage d’équitation avec plusieurs de ses amis une bonne partie de l’après-midi et enfin il a terminé par une petite course à pieds de 8 km en entraînement pour la course de 12 km qui aura lieu dans une semaine.

Après toutes ces activités, Will rentre enfin chez lui. Notre grand gaillard d’un mètre 90 est encore en tenue de course : collant de sport noir, baskets et maillot de course. Il doit encore préparer la soirée qui se passera chez lui dans quelques heures à savoir une soirée jeux de société et jeux de rôles.

Comme à chaque fois, les habitués seraient là : Jessica, une de ses amies d’e n f a n c e , Nathalie, Pauline, Manon Jérémy et Thibaut. Will a connu Jessica et Nathalie à l’équitation, effectivement il en fait depuis qu’il a l’âge de 6 ans, il les connaît depuis ses débuts dans ce sport. Jessica est une belle fille d’environ un mètre 65, assez petite mais avec un sale caractère ! Elle veut toujours avoir le dernier mot, réagit au quart de tour et est très émotive. C’est assez drôle car avec ses yeux verts émeraudes et sa chevelure blonde elle est adorable en toutes circonstances ! (ce qui l’énerve encore plus lorsqu’on lui en fait la remarque). Nathalie est légèrement plus grande qu’elle avec des yeux marrons et une tignasse rousse. Celle-ci est l’opposée de Jessica : calme, toujours en discussion avec les autres et surtout réfléchie avant d’agir …

Pauline et Manon quant à elles sont des amies de classe, Will et elles se connaissent depuis la primaire, ce sont deux soeurs jumelles : toutes les deux ont des cheveux cuivrés mais l’une (Pauline) a les yeux bleus et l’autre (Manon) a les yeux de couleur noisette. Mise part cette différence, ce sont les mêmes en tout point de vues : charmantes, élégantes et toujours prêtes à découvrir de nouvelles choses ou de nouveaux domaines … Elles font donc de la gymnastique depuis toutes petites ainsi que du karaté, attention ! elle sont bien plus dangereuses et coriaces qu’il n’y parait.

Reste enfin Jérémy et Thibaut, ce sont deux amis un peu geek comme lui; ils pratiquent quant à eux la course à pied à temps plein, déjà 3 semi marathons et 1 marathon à leur actif ! Ce sont eux qui ont initié Will à la course. Mesurant environ 1m80 chacun, l’un blond et l’autre châtain ; ils se complètent parfaitement. Dès que l’un est dans un coup tordu, l’autre y est obligatoirement !

Ce soir, tout ce beau petit monde se réunit pour la fête de Manon. Tous ont une passion en commun : les jeux de société, les jeux de cartes et les jeux de rôles. Spécialement pour cette soirée, les jumelles ont promis aux autres quelques petites surprises pour « pimenter » leurs jeux et mettre un peu plus d’ambiance …

II) Commencement des festivités

Après avoir fini les préparatifs, will reçoit un appel :

  • Oui Jess ?
  • Salut ! Une question, tu peux te changer ? On aura peut-être besoin de ton aide au club, il y a du retard dans les répétitions et c’est possible qu’on doive y aller 1 heure ou 2 max pendant qu’on joue, ce sera une petite pause au pire. Sinon je suis avec les autres, on sort tous du sport et on arrive dans 15-20 min chez toi.
  • Ça m’arrange pas, mais ok je vais me préparer s’il faut. Ici tout est prêt, manque plus que vous ! Et cous saurez où aller pour vous changer.
  • Ne t’inquiète pas on en aura pas besoin on reste comme on est ! On a pas de rechange et ça nous ferait prendre un gros détour et un retard si on allait chez nous. Et puis c’est pas comme si on se connaissait depuis un peu plus de 10 ans hein . Prépare toi on arrive !
  • Ok ok, au pire mes parents sont pas là pour 1 semaine encore, merci les vacances! Ils ne risquent pas de faire une crise cardiaque en vous voyant ! à tout de suite.

Après cette conversation, c’est un Will bien fatigué et résigné qui alla se changer. En montant les escaliers il se dit qu’au final c’était bien parfois les jours sans sport. Enfin arrivé au troisième étage (celui des chambres), il rentra dans sa chambre. Il défit sa tenue de course et l’échangea pour un pantalon d’équitation d’hiver brun, pris un sous pull et enfin pris un de ses nombreux gilets. Au passage, il récupéra le reste de son matériel : une cravache, ses gants et sa bombe. Il redescendit au rez de chaussé et décida d’attendre encore un peu en cirant ses boots et ses mini chaps et les mettre à porté au cas s’il devrait partir avec Jessica et Nathalie pour une énième répétition de mouvements de dressage et de voltige. Après avoir finis son nettoyage, will entendit la sonnette et bien sûr alla ouvrir.

  • Salut les gens ! Content de vous voir ! J’espère que vous êtes en forme, ça risque d’être plus long que d’habitude … Pauline (l’une des jumelles) répondit la première.
  • Dis donc ! C’est pas parce que tes parents sont en voyage que tu dois te croire tout permis petit gars ! En plus tu n’as pas honte de te pavaner dans cette tenue ? Ça m’étonne pas Jess que tu aies voulu qu’il se change, il est pas mal comme ça nôtre Will … (avec un clin d’oeil à Jessica) C’est vrai qu’en réfléchissant, Will mis un pantalon ayant un aspect cuir, combiné avec l’aspect moulant bien connu des pantalons d’équitations, tout ça donne un certain effet …
  • C’est une fille en lycra de gym qui me dit ça ! Je te ferai remarquer que jess et Natahlie ont quasiment la même tenue que moi et que Thibaut et Jérémy ne sont pas beaucoup mieux avec leur collant de course ! Aller entrez tous, vous devez avoir un peu froid par ce temps.
  • Enfin tu penses à nous ! cria Jérémy. Sinon content de te voir, c’est pas facile de se balader avec Jess, elle râle toujours autant tu sais …
  • Vas te faire foutre Jérémy ! Bon on rentre ? On a toutes nos affaires à déposer nous !

Après les installations des nouveaux arrivants (rangement de matériel, choix des jeux à jouer …) s’ensuivit un début de soirée comme les autres : boissons, un peu de jeux de cartes et enfin commença la partie la plus intéressante : le jeu de rôle. Manon (la deuxième jumelle) commença le sujet :

  • Alors ce soir, je vous propose autre chose que les gages de d’habitude. Les 2 premiers qui font moins de 15 aux jets de dés 20 devront s’attacher une cheville entre elles jusqu’à une personne fasse son échec critique et termine son gage. Si l’un des 2 arrive à faire une deuxième fois ce lancé ils auront les 2 chevilles attachées entre eux et ça sera un peu plus difficile pour la suite … Les 2 premiers à moins de 10 sur le dé 20 auront les yeux bandés, si le prochain lancé est dans la même situation ils s’attacheront une de leur main avec l’autre . Les 2 suivants à moins de 5 auront les mains attachées dans le dos, puis les chevilles et genoux attachées si elles recommencent le même jet. Par contre celui ou celle qui arrive à lancer le premier échec critique de la soirée (donc 1) devra être voté. Si la même personne fait 2 échecs critique on décidera pour elle d’un sort un peu plus sévère. Ça change un peu, alors vous êtes partants ?

Comme à son habitude, Jérémy ne pu s’empêcher de faire une remarque :

  • Et ben, heureusement que tes parents sont pas là pour entendre ça Will ! Tu imagines leur tête ?

III) Début de partie

Will fut le premier à répondre

  • C’est sûr ! (en se tournant vers Manon) Mais avec quoi veux-tu qu’on fasse tout ça ? Je suis pas tout à fait contre, ça sera plus dur pour nous de nous déplacer pour récupérer des objets mais j’ai pas grand chose qui puisse faire l’affaire.
  • Ne t’inquiète pas pour ça Will ! Ça fait depuis quelques temps qu’on prépare ça entre nous, on voulait juste attendre que tes « vieux » partent pour qu’on puisse en discuter tranquillement et qu’on prenne tout notre temps. Ma soeur, moi et Nathalie on a ramener de quoi pouvoir réaliser les gages. Jess et les autres étaient partants même s’ils ne connaissaient pas tous les détails … répondit Pauline.
  • Bon on fait comme d’habitude et une fois qu’on lance on verra bien. De toute façon on pourra toujours modifier les règles sur le tas … C’est bon pour vous ? Demanda Thibaut.

Tout le monde acquiesça même si quelques têtes étaient encore assez réticentes. Dès ce moment, Manon Pauline et Jess sortirent un peu de matériel. Manon fut la première à le présenter:

  • Alors nous on a ramené plusieurs cordes blanches, des foulards et des bandes de cuir au cas ou. Et toi Jess ? Tu leur montres ?

  • Perso, j’ai ramené du gros tape gris et bien-sûr … des menottes ! Et oui vous me connaissez tous, j’aime bien faire la folle parfois. J’ai profité de l’occasion pour en ramener, je les ai prises sur internet et ne vous en faites pas : les clés sont véridiques et marchent à merveille ! On a essayé avant de venir entre nous trois. On sait jamais …

  • Les coquines que voilà ! lâcha Nathalie. Après Will a aussi du scotch dans sa cave et des rubans de tissus si mes souvenirs sont bons, tu remercieras ton père ! J’oubliais les ceintures de karaté des jumelles, Bon Will c’est toi le maître du jeu, on en étais où ?

  • Vous deviez choisir entre entrer par effraction dans le manoir des Croft pour voler la relique en toute discrétion, soit vous faire passer pour des gens de la famille et venir directement au château pour subtiliser des informations importantes sur le roi ou enfin attaquer de front le camp de soldats qui se trouve non loin de votre position. Que choisissez-vous ? N’oubliez pas que dans le jeu je suis un perso qui observe vos actions de loin, je peux donc décider de vous aider, d’agir de façon totalement indépendante ou juste de vous observer.

Vint le moment de réflexion, une discussion animée s’engagea pour savoir quelle était la meilleure action à réaliser et pourquoi. Au final Manon et Thibaut formèrent un groupe pour attaquer de front le camp de soldats, Nathalie et Jérémy décidèrent d’aller voler discrètement la relique et enfin Pauline choisit avec Jessica de se faire passer pour des servantes pour aller espionner la famille royale...

IV) Le jeu

Will décida de les observer dans le jeu et songea sur la suite avec incertitude et excitation.

  • Bon, Nathalie et Jérémy c’est qui ouvrez le bal. Alors vous arrivez devant le manoir, à l’entrée principale, vous voyez 3 gardes surveillants la porte, ainsi qu’une garnison tout autour des jardins. Vous contournez tout ce monde et vous arrivez derrière le manoir, cet endroit n’est pas surveillé, notez que le mur peut être franchi mais il est dangereux de s’y essayer. Que décidez-vous ?

  • On va escalader le mur à l’arrière du bâtiment pour essayer de passer par une fenêtre répondit Jérémy, Nathalie acquiesça pour montrer son approbation.

  • Très bien, Nathalie fais un test de passage de chemin dangereux, lance un dé 20. Tu réalises le test pour vous 2, comme ça, ça ira plus vite. Et n’oublie pas les gages fit-il avec un petit sourire en coin.

Elle lance et obtint un 13, Will lança son dé et tomba sur un 12, le test est réussis.

  • Ok vous réussissez le test tous les 2 mais par rapport aux nouvelles règles, on va vous attacher une cheville entre vous 2 ! Pauline, notre chère gymnaste tu peux y aller ! Tu prends ce que tu veux. Mettez-vous dos à dos les 2 premiers ! Et Nathalie, tu ne dis rien jusqu’à ce que Jérémy finisse son test, sinon on emploiera une autre manière, on est d’accord ?

Résignée mais intéressée, Nathalie hocha la tête en signe d’approbation.

  • Nathalie tu as intérêt à mieux lancer au prochain coup !
  • Ça me gêne pas plus que ça Jérémy, tu aurais pas peur de moi par hasard ? rigola Nathalie.
  • Tu es une fille et donc il faut toujours faire attention, on sait jamais … et en plus tu dois te taire je te rappelle, c’est moi qui gère !

C’est avec un plaisir non feint que Pauline se dirigea vers les accessoires. Elle se décida pour le moment d’une simple paire de menottes en se promettant d’en faire un peu plus par la suite. Elle relia les 2 « victimes » et en profita pour serrer un maximum la cheville droite de Jérémy et la gauche de Nathalie. Ceci donna un tableau des plus charmant, une cavalière en tenue dans un pantalon noir munie une chemise blanche mettant en valeur ses formes reliée à un jeune coureur en collants de running est un spectacle plutôt rare ! Satisfaite de son résultat, Pauline regagna sa place.

  • C’est un peu serré j’ai l’impression ! dit Jérémy sur un ton ironique -Quand vous serez collés l’un à l’autre là tu pourras râler mon mignon ! se moqua Pauline

  • La discussion est finie ! Nathalie et Jérémy, remettez-vous assis comme vous le pouvez. Pour le moment c’est pas encore trop inconfortable, il faut juste que vous changiez de place. Alors résultat, vous escaladez le mur sans embûche, vous arrivez à vous faufiler par une fenêtre en la f o r ç a nt et vous vous trouvez dans une chambre. Sauf qu’à ce moment là vous entendez plusieurs personnes venant vers vous. Vous devez , enfin Jérémy doit réaliser un test de furtivité. Jérémy, maintenant tout dépend de toi, si tu obtiens un 15 c’est bon vous restez comme ça mais dans le cas contraire ce sera plus amusant ! Pour nous en tout cas … et au final Nathalie il vaut mieux que tu ne dises rien jusqu’à la prochaine action.

Les deux prisonniers étaient installés sur leur chaises l’un à côté de l’autre pour le moment. Ils savaient que si le destin leur était défavorable ils risquaient d’être bien plus gênés qu’actuellement, malgré cet inconfort Nathalie sentit une forme d’excitation monter en elle. Jérémy prit une inspiration et lança le dé, il obtint un 16, le maître de jeu (Will) lança le sien et reçu un 11.

  • J’ai lancé un 16 comme toi mentit-il (les autres ne peuvent voir s’il ment ou non, ils ont l’interdiction de regarder de son côté y compris ses lancés). Alors tu réussis mais ne vous réjouissez pas trop vite ! (il calma les 2 jeunes gens voyant qu’ils étaient soulagés). Je vais vous lancer un défi. Vous devez récupérer dans un temps imparti un ou des objets de leur choix -il montra de la main les autres joueurs- qui se trouverai(en)t au grenier. Je pense vous laissez 1 minute 30 alors les autres des idées ?

Thibaut proposa le premier une idée :

  • On peut leur faire aller chercher leurs affaires qu’on mettraient un peu partout là haut ? Genre les accessoires de Nathalie pour l’équitation (boots, mini chaps, bombe, cravache etc) et ceux de running pour Jérémy (montre, chaussure, brassard …) ? On les met partout dans la pièce comme ça ce sera moins facile pour eux et en sachant qu'ils ont l’interdiction de tout mettre dans un sac.

  • Mouais, je pense qu’il y aurait mieux à aller chercher mais comme j’ai pas d’inspiration je suis ok ! répondit Jessica

  • Mais ça va être impossible en moins de 2 minutes ! protesta Nathalie

  • On avait dit de te taire ! Comme tu n’as pas tout à fait compris, Pauline va s’occuper un peu mieux de vous … Et ne rétorque pas ! Voyant son erreur, Nathalie blanchit légèrement et Jérémy soupira d’exaspération. Pauline quant à elle eu l’idée d’améliorer légèrement la situation des 2 prisonniers, elle enleva la menotte qu’ils avaient à la cheville et la mit sur leur poignet (droit pour Nathalie et gauche pour Jérémy). Elle les mit dos à dos en prenant une corde ainsi que du tape, elle lia ensuite les jambes droites et gauche des 2 « tourtereaux » quasiment jusqu’à hauteur des genoux en serrant bien fort et en faisant en sorte de faire plusieurs tours entre leurs jambes.

  • Et ! C’était pas dans les règles ! protesta Jérémy. Comment on va faire maintenant ?

  • Si tu y tiens, voilà un petit plus ! dit Pauline en riant. Elle en profita pour enrouler de tape les deux mains non menottées des 2 compères. Comme ça aucun des 2 ne pouvaient remuer le moindre de leur doigts de ces mains.

  • Et voilà ! je t’avais dit que je finirais par vous rapprocher tous les 2, pour la coordination ça risque d’être marrant maintenant ! L’un doit marcher en arrière alors que l’autre en avant, bonne chance ! fit-elle avec un sourire. Pendant leur ligotage, Jessica en avait profiter pour monter et éparpiller toutes leurs affaires dans le grenier (donc le 4ème étage), elle mis pour la forme un petit obstacle qu’ils n’oublieraient pas de sitôt … En bas, le Mj reprit la parole :

  • Dans ma grande générosité, je vous laisse 15 minutes pour accomplir votre objectif ! Si vous n’y arrivez pas, vous vous ferez capturé par les gardes et ils vous jetteront en prison. Les autres sauront quoi faire de vous dans ce cas ne vous en faîtes pas . Vous qui vous vous plaigniez du manque de contact ces derniers temps vous allez pouvoir rattr a p e r le temps perdu ! Manon lance le chrono, à vous 2 dorénavant ! On vous attendra tout le temps qu’il faudra … fit-il avec en souriant.

Une fois les 2 partis, Will laissa Jessica se remettre à sa place discrètement. Il pu reprendre la partie.

  • Ça commence plutôt bien ce soir ! Jess tu n’es pas obligé de nous dire ce que tu as mis là haut je te rassure. Bien bien bien, alors passons aux plus téméraires : Manon et Thibaut ! Vous avez décidé d’attaquer les soldats ennemis. Alors c’est classique, vous arrivez en vu du campement, vous en voyez 8 au total dont 3 faisant la ronde. Que faîtes-vous ?

Manon rapporta :

  • On en a déjà un peu discuté, j’en profiterai pour me faufiler près du campement sans être vue, ensuite Thibaut avec sa sarbacane endormirait deux des sentinelles, dès que c’est fait ; j’assommerai la dernière et on profitera ensuite pour empoisonner tous les soldats et voler tout ce qui est précieux qu’on puisse porter.

  • Je n’ai rien à ajouter réagit Thibaut. Alors commençons !

  • Très bien, Manon commence ton test de furtivité ! n’oublie pas ce qu’il y a en jeu si tu fais en dessous de 10, tu feras ce test sur un dé 15 car ton perso a beaucoup de points en discrétion.

  • C’est pas très loyal, mais bon comme c’est toi le maaaîîître du jeu je ne peux que continuer rétorqua t’elle. Elle envoya le dé et reçu contre toute attente un 12, en ajoutant ses points de compétences cela donne un total de 19, malheureusement, le MJ a un total de 21 (il a lancé un dé 20 le petit tricheur…).

  • Tu ne passes pas, mais comme tu es proche de mon résultat je vous laisse une petite chance. En approchant Manon, tu as attiré l’attention des sentinelles, elles sont plus attentives et réveillent leur camarades. Tous sont sur le qui-vive mais tu n’es pas encore repérer. Soit vous continuez en lançant une bombe de sommeil soit vous partez bredouille et vous serez tout de même sanctionner. À partir du tour de Thib, plus un mot pour toi, rappelle toi pour Nathalie et Jérémy.

  • On continue dirent-ils en choeur.

  • Ok, Thibaut fais un test pour lancer la bombe sur un Dé15.

Malheureusement, la chance ne lui parvint pas et fit un 9, mais réussis tout de même le test à un point près.

  • J’ai deux bonnes nouvelles pour vous, la première vous arrivez à les endormir mais vous ne volez que 20 pièces d’or chacun, ces soldats n’avaient rien d’autre d’intéressant pour vous. Alors comme l’un d’entre vous a réussis le test en obtenant moins de 10 et toi Manon tu n’as pas réussis en faisant plus, on va quand même vous bander les yeux avec un petit supplément. Thib je vais te demander de te taire pendant l’opération. On va prendre des bandes en soies que Jessica a gentiment ramener tout à l’heure de la cave. Ça tombe bien, il y en a une en argent, ça ira bien avec ta tenue Manon !

Effectivement, l’intéressée faisant plus tôt dans la journée de la gymnastique et venant sans se changer était en tenue. À savoir un justaucorps blanc avec manches longues assorti d’un legging argenté. Cela mettait en valeur ses longues jambes fines et assez musclées, ses fesses et ses hanches voluptueuses, il regarda ses pieds et chevilles nues et se dit qu'une petite séance de tickling s'imposerait. Jessica lui donna le bandeau en argent et elle garda celui en bleu pour Thibaut.

Will se dirigea à l’arrière de Manon qui resta calme. Il lui mit le bandeau sur ses yeux, fis 2 fois le tour en terminant par créer un noeud bien serré à l‘arrière de la nuque. Il sera sûr comme ça qu’elle ne verra plus avant un bon moment. Jessica fit la même opération pour son cobaye.

  • Maintenant préparez-vous pour la suite.

Le MJ et Jess firent des signes à leur comparse qui leur donna une paire de menottes avec deux cordes. Pauline se retourna.

Will commença. Il prit les 2 poignets de sa captive et la menotta. Avant qu’elle ne râle ou gémisse il la bâillonna de ses mains et lui fit comprendre rapidement à l’oreille de ne rien faire et de ne pas s'inquiéter. Avec un peu d’appréhension, elle se détendit. Il lui enroula tout d’abord avec la première corde les bras par devant en lui liant les coudes jusqu’à ce qu’ils se joignent, il put le faire grâce à la souplesse de la gymnaste; avec le reste il fit un tour du buste de sa victime pour qu’elle ne puisse plus bouger les bras vers l’avant. Ensuite il pris la deuxième corde, entoura la chaîne des menottes, fit lever Manon et lui passa la corde entre ses jambes en nouant le reste de la corde sur celle qui immobilisait le buste de Manon . Celle-ci ressentit immédiatement une sensation inconnue mais non désagréable. Ainsi elle se retrouva debout, ses bas ficelés sur son torse avec ses mains tirant vers le bas. Pour finir, Will glissa la clé des menottes de Manon dans les mains de Jessica qui fit de même avec les clés de Thibaut.

Celui-ci n’était pas très rassuré par la tournure des évènements, il n’aurait jamais cru qu’un jour il se retrouverait dans une telle position face à Jessica mais il avait accepté le jeu donc il décida de le jouer jusqu’au bout. De plus, il ressentait une étrange excitation et voulait voir ce que ça pouvait donner. Avant de rendre les clés, Jess avait profité de la situation de son ami pour lui caresser les jambes en lui promettant de prendre soin de lui, la texture du pantalon bleu du jeune homme donnait quelques idées à la jeune cavalière …

  • Désolé Manon, mais te connaissant gymnaste et karatéka je ne pouvais pas laisser une personne de ta souplesse les mains "juste" liés en avant en plus. Vous aurez du mal à lancer les dés mais vous pourrez quand même le faire.

  • Et comment on saura quel lancé on fait ? demandèrent-ils presque simultanément.

  • Vous devrez me faire confiance répliqua Will en rigolant. Bien asseyez-vous tous les 2, on va chercher un peu à boire. Si besoin est, on vous en donnera directement dit-il à l’attention des 2 nouveaux prisonniers. Au fait quelqu’un sait pourquoi Aurélie n’est pas venue ? Je n’ai pas eu de nouvelles claires.

  • Elle m’a envoyée un message comme quoi elle était malade après sa danse de ce matin, j’en sais pas plus désolé dit Pauline.

  • Pareil pour moi, Thib , Manon et toi annonça Jessica.

  • C’est bizarre quand même, d’habitude elle n’aurait pas juste envoyer un SMS comme ça.

V) Des personnes bien inquiétantes

2 individus rôdant près de la maison …

  • Alors ça bouge dans là dedans ? Ils font encore leur jeux je pense, vers quelle heure ils vont terminer tu crois ?

  • Oui, on les a déjà observé une dizaine de fois je te rappelle. Normalement ils terminent vers 2 heures du matin mais comme monsieur le procureur et sa femme sont parties en voyage, ils devront terminer plus tard. Puis ça nous laisse le champ libre à nous 4 pour nous occuper des gosses et de prendre ce qu’on veut ! Le fils devrait connaître quelques codes je suppose.

  • Je pense qu’il ne connaît rien répondit l’autre. Apparemment lui et son père ne sont pas sur la même longueur d’onde des temps-ci.

  • En même temps avec un père si terre à terre que lui ça ne m’étonne pas ! Au fait que t’as dis la petite danseuse ?

  • Pas grand chose, des précisions sur les différentes pièces de la maison, où se trouve le bureau du père, les chambres d’amis, du fils tout ça quoi. Comme on s’y attendait elle ne sait rien de la petite fortune du père de son ami.

  • C’est bien dommage ! Mais prévisible. Au moins on aura un moyen de pression si les choses tournent mal. On leur présentera leur gentille petite copine et feront ce qu’on leur dira de faire. On a tout prévu pour les mettre au silence les jeunots…

  • Oui c’est sûr, pour le moment la petite est encore en train de dormir, il vaut mieux pour elle. Et rappelle toi, pas de scandale et pas d’a b u s , on est là pour ramasser de l’argent rien d’autre.

  • Évidemment tu me prends pour qui ? C’est pas moi qui était obligé d’endormir une gamine pour qu’elle vienne avec nous et de la rendormir par la suite pour qu’elle soit calme.

  • Bon il est 21 heures, on a encore un peu de temps devant nous. C’est bizarre, ils sont venus pour leur soirée avec plus de sacs que d’habitude, je me demande bien ce qu’ils projettent de faire.

  • Avec de la chance ils seront tellement saouls qu’on aura aucun soucis remarqua l’autre individu.

  • On verra le moment venu … viens, on va se détendre avec les autres en attendant.

IV.1) Le gage de Jérémy et Nathalie

Dans un chapitre précédent …

  • Dans ma grande générosité, je vous laisse 15 minutes pour accomplir votre objectif ! Si vous n’y arrivez pas, vous vous ferez capturé par les gardes et ils vous jetteront en prison. Les autres sauront quoi faire de vous dans ce cas ne vous en faîtes pas . Vous qui vous vous plaigniez du manque de contact ces derniers temps vous allez pouvoir rattr a p e r le temps perdu ! Manon lance le chrono, à vous 2 dorénavant ! On vous attendra tout le temps qu’il faudra …

Dès que le chrono commença, Nathalie et Jérémy essayèrent de partir tout de suite au grand galop mais cela ne dura pas longtemps, effectivement ils n’avaient pas effectué 5 mètres qu’ils faillirent chuter dès la première marche.

  • m e r d e c’est encore plus dur que je le pensais ! s’exclama Jérémy
  • En même temps être collés et menottés à un boulet comme toi ça aide pas des masses je te l’accorde ! C’est pas très compliqué, pendant que j’avance toi tu recules et tu essais d’avoir le même mouvement que moi.
  • Je sais pas si tu l’as remarqué jolie rousse mais je suis quand même bien plus grand que toi et avoir ton rythme de naine n’est pas chose facile. En plus, si tu n’avais rien dit, on n’en serait pas là à être collé comme ça à la jambe.

À ce moment là il sentit une vive douleur au niveau de sa fesse gauche. Nathalie, n’aimant pas la remarque de Jérémy sur sa taille et sa « protestation » se vengea en pinçant très fortement son acolyte là ou elle pouvait avec sa seule main valide et donc menottée.

  • Aie ! Mais tu es plus folle que Jess j’ai l’impression ! Bon c’est pas tout mais j’ai pas très envie qu’on se fasse encore avoir. Alors tu te calmes et on avance tranquillement. On peut toujours prendre appui avec nos mains sur la rambarde et avancer doucement. Pauline ne perd rien pour attendre !
  • Et encore c’est Jessica qui s’est occupée de mettre tout le bordel en haut, la connaissant il va falloir faire gaffe. 4 étages à monter et à descendre, génial ! Aller le boulet on y va !

Même si Nathalie râlait sur Jérémy, elle était toute attentive à son compagnon. Elle trouvait qu’au final le jeu se déroulait dans une bonne ambiance quoique légèrement inconfortable, même si la proximité avec Jérémy lui laissait penser le contraire. Elle aimait la sensation de toute sa jambe attachée à celle de Jérémy, de plus, avec le vêtement qu’il portait elle pouvait sentir tous ses muscles et pouvait poser sa main par « inadvertance » dans son dos ou ailleurs… Elle était sûr au fond d’elle que son partenaire pensait la même chose à peu de chose près et elle ne se trompait pas.

Ils firent comme ils purent, donc en prenant appui avec leur main sur la rambarde et en marchant lentement en avant et en arrière pour l’autre, ils réussirent à monter les premières marches. Quand ils prirent un peu plus l’habitude de leur démarche, ils purent se déplacer un peu plus vite. En quelques minutes ils réussirent à franchir le premier étage.

  • Il n’en reste plus que 3 tu te rends compte ? À ce rythme je suis sûr qu’on y arrive. Tu pourrais accélérer l’allure ? demanda le garçon
  • Déjà que c’est moi qui te tire et c’est toi qui oses demander ça ? C’est pas tout mais j’en ai un peu marre que mon cul soit en contact avec le tien ! Et en plus c’est glissant par ici et j’ai pas envie que tu tombes sur moi.
  • Et alors les chaussettes que tu portes sont pas antidérapantes ? se moqua le jeune homme. Avec tous les trucs inutiles que tu achètes pour ton soi disant sport équestre, ça m’étonnerait même pas ! Et il n’y en a pas qui vont avec la couleur de tes cheveux? Ça serait un peu original. Si on tombe, au pire on tombera en avant et moi je serais plutôt bien placé hein ?

Pour punir cet impertinent, Nathalie le pinça une seconde fois plus fortement que tout à l’heure. Le garçon qui ne s’y attendait pas fit un bond qui déstabilisa leur équilibre déjà précaire et ce qui devait arriver arriva, ils tombèrent tous les 2 sur le palier du premier étage. Jérémy écrasait sa comparse de tout son poids.

  • C’est pas vrai ! fit-il. Tu pouvais pas t’en empêcher ? maintenant on a pas l’air con ! On peut même pas utiliser nos 2 mains correctement. Le seul point positif c’est que tu sois enfin à ta place, c’est à dire en dessous de moi !
  • Je t’emm e r d e ! rétorqua la cavalière d’une voix étouffée. Tu sais que tu m’écrases là ? J’ai du mal à respirer, tu es plus lourd que je ne le pensais !
  • Au lieu de râler pour rien, tu pourrais me laisser le contrôle de ton bras ? Il faudrait qu’on se décoince les poignets, toi tu prends appuis avec tes deux mais et moi j’essai de nous tirer avec mon autre bras à partir de la rambarde. Ok ?
  • Ok répondit-elle d’une petite voix. Dépêche toi !

Jérémy réussit à décoincer leurs bras bloqués entre leurs dos. Ils se tortillèrent pendant quelques instants pour essayer d’avoir la bonne position. L’énergie de leurs frottements entre leur jambes et leur dos les mis rapidement en effort physique. Nathalie écrasée commença à avoir sérieusement du mal à se sortir de là, sa belle chevelure rousse devint hirsute et sa chemise de plus en plus collante suite à l’effet de la transpiration. Rien qu’en pensant au résultat possible elle rougit et frissonna d’une ardeur nouvelle en elle, sûrement l’effet de la proximité avec son jeune ami songea t’elle, heureusement que Jérémy ne pouvait la voir dans cet état.

Une fois que Jérémy réussit à enrouler son bras autour de la rambarde il commença à les tirer pour qu’ils se relèvent. Nathalie eu l’idée de se joindre à son mouvement et avec un effort intense ils réussirent à se mettre à genoux dans un premier temps et à se relever petit à petit. Les deux jeunes gens étaient essoufflés et commençaient à fatiguer fortement. La chaleur du corps de la sportive que Jérémy arrivait à percevoir à travers la chemise de la jeune femme et son tee-shirt n’arrangeait pas les choses pour la récupération. Il vit que sa partenaire était vraiment essoufflée et qu’elle avait sûrement besoin de repos. Il demanda :

  • Ça va Nath ? Si tu veux on fais une petite pause le temps de récupérer.
  • Oui ça va, il me faut juste 30 secondes pour récupérer. Vu comme tu m’as écrasée j’ai bien failli croire que je n’y arriverais jamais ! Je te dis quand on repart.
  • Ok répondit Jérémy.

Attendant une minute environ elle donna le signal de départ. Ils firent comme tout à l’heure, sans de disputer cette fois (ils avaient compris la leçon). Ils réussirent à passer les étages suivants et arrivèrent au couloir menant à la porte grande ouverte du grenier. Aucun objet ne trainait dans le petit couloir qui y menait tout allait bien.

  • C’est bizarre remarqua Nathalie, d’habitude c’est un foutoir pas possible et là rien du tout. Ça sent pas bon je te dis. On se retourne, tu passes devant si ça te dérange pas, les dames d’abord ça suffit !

Une fois ceci fait, ils s’engagèrent vers la porte et ne virent rien de spécial, ce qui les rassurèrent guère. Une fois passée la porte, ils virent ce qu’il fallait prendre : la bombe et la cravache de Nathalie, avec la montre et des gants de running du garçon. Chaque objet était éparpillés dans la pièce, certains étaient par terre, d’autre à mis-hauteur et les gants étaient en haut d’une armoire. Jérémy serait assez grand pour prendre les gants mais le bras de son amie était trop petit et il ne pouvait pas les atteindre avec son poing gauche scotché. C’est à ce moment qu’il vit à l’autre bout de la pièce un escabeau. Il maudit alors Jessica car elle savait qu’il leur faudrait beaucoup de temps pour pouvoir prendre l’escabeau menottés comme ils sont et sans parler de monter dessus. En plus, la faible luminosité du grenier allait les gêner sans aucun doute. Ils se tournèrent d’un demi tour pour que Nathalie puisse voir la même chose. Elle mis 1 minute ou 2 pour jauger la situation et ajouta :

  • On commence par le plus dur, on va aller chercher ce montoir là bas, on peut le prendre à deux mains sans que les menottes nous gênent trop. On retourne vers l’armoire on essaiera de monter dessus avec nos jambes qui ne sont pas attachés. Ensuite on prend ta montre qui est sur la commode à côté, et on finira par ma cravache et ma bombe. je la mettrai sur ma tête comme ça elle nous gênera moins. ça te va comme ça ? On a de la chance, Jess nous a laissé un bon chemin pour y aller, la connaissant j’étais sûr qu’on se retrouverait dans un champ de mines fit-elle soulagée.

  • Tu as tout dit, on va faire comme tu le penses.

Nathalie avait trop vite parler. Le piège qu’avait tendu Jessica était juste au milieu de la grande pièce mais au dessus d’eux. Quand ils arrivèrent à proximité, Nathalie sentit une fine cordelette rencontrer sa cheville. Surprise elle lâcha :

  • Mais c’était quoi ce tr…

Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’un grand filet venant du plafond tomba sur eux en se refermant sur nos 2 jeunes gens. Ils perdirent l’équilibre une seconde fois et tombèrent sur le flanc sur un tapis bien épais et moelleux (surement mis là précautionnement). Par pur réflexe ils se tortillèrent mais ils ne firent que s’emmêler davantage en faisant plus de noeuds encore.

  • Et m e r d e je l’avais pas vu ! On va mettre 15 ans à se sortir de là ! couina la jeune fille
  • Pareil pour moi ! mais avec un peu de technique et en y allant sans précipitation on peut enlever ce filet, il est pas très résistant mais je pense pas qu’on puisse finir en moins de 15 minutes.
  • Ça m’énerve !

Les voilà maintenant serrés l’un contre l’autre pour encore un long moment …

VI) Un jeu de rôles de plus en plus attachant

Après avoir bu tout leur saoul , Will et Pauline donnèrent à boire aux 2 équipiers aveuglés. Au même moment, Jessica ramena son ordinateur connecté par wifi à une webcam qu’elle avait installée dans la pièce du haut. Le but était d’observer la progression de Nathalie et Jérémy. Elle n’était pas déçu du résultat et les autres non plus.

  • Bien joué Jess ! commenta Thibaut, je vois peut-être rien sur l’écran (avec un bandeau ça risque peut-être d’être difficile) mais rien qu’en entendant comment ils râlent là haut ils doivent être bien emmerdé et si je ne me trompe pas, tu as pris le vieux filet !

  • Ce filet là, ça fait un bail qu’on l’a plus utilisé ! La dernière fois c’était lorsqu’on devait apprendre à créer des pièges avec les chasseurs, je suis étonné qu’il marche encore et que tu as réussis à le remettre en place raconta à son tour la gymnaste ligotée. La cavalière lui répondit directement :

-C’était pas bien compliqué, tout était déjà bien rangé. Il fallait juste remettre en place 2 ou 3 petit fils, retendre le filet avec la poulie et c’était bon. J’ai pas eu besoin de tout me ressouvenir. En tout cas je crois que c’est réussis vu comme ils sont ! On va enregistrer tout ça pour garder quelques souvenirs fit t’elle d’un ton goguenard.

  • Au fait Will, tu n’oublies pas que tu devras passer la main ? Normalement il reste une action avant que quelqu’un d’autre ne devienne MJ je te signale, on verra ce qui t’arriveras rappela Pauline.
  • C’est exact, après ça dépendra aussi de vos actions et de ce qu’on fait par la suite. D’ailleurs on va commencer votre tour maintenant, vous ne l’avez pas encore fait il me semble.
  • Je suis pressé de voir ce que ça va donné ! ironisa Thibaut.
  • Si tu as besoin d’aide pour la suite, on pourra t’aider si tu nous libère un peu commenta Manon.
  • Aller on se replace et on y retourne. Tu peux mettre en veille ton ordi Jess, on aura tout le temps de le regarder plus tard.

Une fois que tout le monde fut en place, le MJ reprit la parole.

  • Alors Pauline et Jess vous voulez vous faire passer pour des domestiques. Avec le réseau d’espions qu’on a tous connaissance ici, vous avez pu récupérer différents uniformes de services : celui de simple servante qui va donner à boire ou à manger aux nobles, celui de femme de chambre pour le ménage, celui d’une couturière et enfin la tenue d’une palefrenière. Pour chaque choix, il y aura des conséquences différentes. Dîtes-moi ce que vous en pensez et n’oubliez pas, votre objectif est d’en savoir plus sur la famille royale et surtout sur le roi pour comprendre ce qu’il essai de négocier avec le Grand-Duc. Vous avez le droit de prendre toutes les 2 le même jeu comme celui de jouer différemment. Mais dans ce cas s’il y a un problème, l’une ne pourra aider l’autre (puisqu’elles seraient séparés) et j’en viens sur ce fait : vous pourrez avoir 2 gages différents.

Après une longue hésitation et un petit entretien, elles réussirent à se mettre d’accord. Jessica choisit sans grandes surprises de se faire passer pour une palefrenière et par la même occasion d’espionner les messagers ou autres personnes importantes se « promenant » dans les écuries. Pauline choisit quant à elle être une femme de chambre pour cette fois. Will pris tout en note.

  • Jess tu commences, une fois ton uniforme mis, tu te présentes au palefrenier en chef. Comme il est surchargé, il te parle à peine et te dis de t’occuper de tous les chevaux qui viennent. Au bout d’un travail épuisant et après quelques heures, tu repères une personne rôdant au fond de l’écurie. Cet individu te parait louche et donc tu décides d’y jeter un oeil. Avec le brouhaha aux alentours, la personne ne t’entend pas arriver. Tu vois qu’il s’agit en fait d’un mage, sûr de lui il insère un message serti d’un sceau magique dans une des pochettes de la selle. Il s’en va. Soit tu le suis, soit tu récupère le message, que fais-tu ?

  • Je le suis !

  • Très bien, en le suivant tu percutes un noble passant par là. Énervé il te demande ce que tu fais. Le mage se retourne et te vois, il s’en va croyant que tu es sans importance. Tu lances un dé 20 pour un test de persuasion. Ils lancèrent tous 2 leur dés, Jessica arriva à effectuer le score le plus haut depuis le début, un 18. Will obtint un simple 8.

  • Tu passes le test avec un grand succès, tu arrives à calmer le noble et à l’amadouer. Il passe son chemin en s’excusant. Tu continues ta poursuite malgré le retard que tu as sur le mage. Le mage se dirige de plus en plus vers le centre du château. Il rencontre un autre personnage. Tu es trop loin pour entendre leur conversation mais trop près pour te rapprocher au risque de te faire prendre. Tu peux lancer un sort pour les entendre ou tu rebrousses chemin.

  • Aller je fais un test d’intelligence pour lancer le sort. Même si j’ai un malus de -5 face à un mage de haut niveau. Pas de chance pour elle, elle eu un 8 ( donc 3 avec le malus) et Will un 10.

  • Tu échoues lamentablement, le mage sent qu’on l’espionne et te repère immédiatement. Il te reconnaît et te happes dans des filaments magiques, et enfin tu perds connaissance !

  • Et m e r d e ! Moins de 5 c’était quoi déjà ?

  • Les mains dans le dos ! dit Manon.

  • Attend 2 secondes ! Toi Will, tu ne fais rien dans l’histoire depuis le début. Tu pourrais au moins avoir un gage pour cause d’inactivité non ? Alors pas trop embêtant car tu gères le jeu, vous en pensez quoi les autres ?

  • On est tous d’accord ! dit Manon. Il reste encore des menottes ?

  • Oui une paire répondit Jessica.

  • Met la lui autour des chevilles après qu’on en est finis avec Jess raconta Thibaut.

Vu que tout le monde était contre lui, Will ne pu qu’accepter. Par contre un sort différent que prévu attendait Jessica. Vu ce qu’elle a préparé pour Nathalie et Jérémy, ils décidèrent de discuter de son cas. Elle dut quitter la salle pendant quelques minutes. Une fois rappelée, Will lui dit :

  • Met tes bras le long du corps et ne râle pas.

Pour l’occasion, Thibaut et Manon eurent le droit d’avoir les yeux « libres ». C’est Pauline et Will qui s’occupèrent de la jeune Jessica. Tous deux avaient une longue corde fine. Ils firent chacun 2 tour des poignets de leur victime en faisant un noeud. Ensuite , ils se donnèrent chacun la corde l’autre pour tirer à l’opposer et les enrouler autour de la taille de la jeune cavalière en serrant très fort. Ainsi donc Jessica avait les poignets attachés au niveau de ses reins. Pauline n’en resta pas là, elle resta derrière sa prisonnière puis commença à lui lier les chevilles quand Jessica protesta :

  • Faudrait pas a b u s e r non plus ! Personne n’a eu la mê…

Elle ne finit pas sa phrase, prévoyant le coup, Pauline la bâillonna avec une de ses mains, et de l’autre mis en boule une chaussette d’équitation qu’elle avait trouvée dans le sac de Jess. Will lui piqua les narines, par cette action, Pauline enleva sa main et enfonça la chaussette plutôt épaisse dans la bouche de Jess bien profondément. Celle-ci se débattait comme une furie mais était bien tenue par Will. Pauline enfin pris le rouleau de tape puis l’enroula 4 fois autour de la nuque en prenant soin de relever la chevelure de sa captive pour plus de confort. Will -pour l’esthétisme- mis sur tout le bas du visage une large bande de soie blanche pour couvrir le tape. Après tout ça, Jessica en colère et excitée à la fois essayait de protester à travers son bâillon. Elle attirait tous les regards, sa tenue d’équitation de compétition sexy d’un premier abord la rendait encore plus « croquante » et fragile. Ses yeux émeraudes lançaient des regards menaçant envers Will. Sa chevelure blonde dansait devant ses yeux la gênait mais elle ne pouvait rien y faire pour y remédier, cela l’énervait encore plus. Elle souffla au maximum qu’elle pu au travers du bâillon.

  • Muummppfffff ! MMuum*****

  • Pas la peine , on t’avait prévenue ! Assieds toi maintenant, tu vas te blesser ma mignonne se moqua Will. Il se laissa faire lorsque Pauline vint lui mettre la dernière paire de menottes sur ses chevilles. Cela n’était pas très gênant s’il se déplaçait lentement. Il remit le bandeau de soie sur les yeux de Manon en resserrant bien fort et Pauline fit de même sur Thibaut.

  • Bien, Pauline tu es la dernière ! Tu es dorénavant femme de chambre si mes souvenirs sont bons. Donc tu arrives à t’incruster dans le château, tu récupères le matériel nécessaire et tu vas faire des chambres de quelques nobles sans importance pour le moment. Les domestiques des personnes hauts placées sont dans une autre aile du château et pour pouvoir les remplacer tu vas devoir trouver quelque chose à faire. Je te laisse l’initiative.

Il jeta un regard moqueur envers Jessica, celle-ci le voyant se tortilla dans ses liens et lâcha des mots inintelligibles. Ses cheveux se remirent devant ses yeux. Il leva les yeux au ciel.

  • Je pense que je vais rendre malade mes nouveaux collègues avec du poison, comme ça les hauts-nobles devront trouver quelqu’un d’autre pour faire le boulot et là j’aurais peut être une chance. J’ai déjà un poison dans mon inventaire qui donne un sacré ma de ventre. Je peux le mettre dans les plats en cuisine ?

  • Oui, fais juste un test d’alchimie pour qu’on vois si tu arrives à gérer la dose, tu la mettras dans la marmite du chef cuisinier ! Sur un dé 10 par contre. Le lancé : 7 pour Pauline et 5 pour Will.

  • Très bien tu réussis à insérer le poison discrètement. Après quelques heures la moitié des domestiques sont malades et tu es réquisitionnée d’urgence dans l’aile du château qui t’intéresse. Tu as accès à la chambre de la belle-sœur du Grand-Duc, tu n’es pas seule dans l’appartement, que fais-tu ?

  • Je vais fouiner un peu partout discrètement notamment sur le bureau.

  • Très bien, test de dextérité sur un Dé 20. Résultat : 14 ex-aequo avec les bonus en plus pour la gymnaste.

  • Égalité. Alors pendant que tu « nettoies » le bureau tu fais tomber un vase qui s’écrase au sol. Ça attire des nobles et des gardes. Ils te demandent ce que tu fais et pourquoi tu es allé dans cette pièce sans autorisation. Fais un test de persuasion pour te sortir de là. Encouragée par son précédent score elle lança avec conviction le dé. Celui-ci roula plusieurs fois sur la table, pour au final s’immobilisé sur le 1. Echec critique. Un silence eu lieu.

  • Et bah alors ? C’est quoi ce suspens ? fit Thibaut.

  • Échec critique ! répondit Will. Je vais avoir besoin de vous je pense. Pauline tu peux sortir 2 minutes ? On va voir ce que tu vas devenir.

Elle sortit en se demandant bien ce qu’ils pouvaient inventer. Will se leva lentement, prit la clé des menottes de Thibaut dans une des poches de Jessica, la remercia avec un clin d’oeil et se dirigea vers les 2 autre prisonniers. Il enleva leur bandeau et la discussion pu démarrer. Une idée germa dans leur esprit, faire subir à Pauline tous les gages de la soirée. À savoir lui attacher les chevilles avec en surplus les genoux, lui ligoter les bras et les mains derrière le dos en la rendant aveugle. Une négociation partait sur le fait s’il fallait ou non la bâillonner pour une séance de « t o r t u r e ». Ils étaient 4 autour de la table, Manon était partante, Thibaut n’en voyait pas l’interêt et Will décidait de rester neutre. Tous se tournèrent vers Jessica, tournant la tête vers eux elle essaya de s’exprimer :

  • …mmmmfffppphh …
  • Fais un signe de la tête ce sera plus simple dit Manon Hochement de tête positif.
  • Très bien , elle le sera pendant la petite séance, toi par contre ce sera à durée indéterminée. Ça t’apprendra à vouloir enfoncer tes amies ! railla t’il.

Elle se secoua très fortement en signe de désapprobation mais rien n’y fit. Will libéra Thibaut de ses menottes et de ses liens. Chez Manon, il enleva juste les cordes. Ils purent se dégourdir les bras, les menottes de Manon la gênait toujours mais c’était pour elle agréable de pouvoir enfin bouger un petit peu. Will et Thibaut prirent des cordes et un bandeau. Manon prit le rouleau de tape noir et écarta une deuxième chaussette de Jess qui traînait dans son sac, elle se dit que ça ne devait pas être agréable du fait qu’elles aient été utilisées. (elle eut un peu d’empathie pour son amie). Elle fouilla dans le sac de sa soeur et trouva ce qui pouvait faire l’affaire : un collant de gym bleue. Thibaut fit une remarque :

  • Tu crois pas que ce serait un peu trop gros ?
  • Tu sais, si Jess a réussit à avoir une de ses chaussettes qui est plus épaisse que ces collants ; je pense que Pauline y arrivera. En plus, je ferai attention ne t’inquiète pas pour elle. Ce collant m’a l’air propre, tu en penses quoi Jess ?

Voyant que son amie connaissait dorénavant sa gêne et qu’elle ne l’aidait pas, elle râla encore plus pour aucun résultat probant. Manon regarda droit dans les yeux la cavalière ligotée, et la scruta de la tête aux pieds. Sa chevelure blonde en bataille offrait un beau contraste avec son polo sans manches blanc de concours qui laissait ressortir ses formes, son pantalon blanc et ses chaussettes d’équitation noirs aidaient quant à l’appréciation physique de la jeune fille. Elle remarqua que le ligotage cambrait le dos de Jess légèrement vers l’arrière. Elle se dit qu’il manquait à la cavalière ses gants en cuir et que ce serait parfait avec cette touche. Elle retint cette idée pour plus tard. Décidément, Will et Pauline avaient plutôt l’air doué pour les cordes pensa t’elle.

  • Si tu le dis, répondit-il. Au pire ce n’est que ta soeur jumelle ! Alors on l’appelle ? Tous hochèrent la tête sauf Jessica qui commençait à gigoter de plus en plus. Pauline entra, et ils se mirent en action. Elle se laissa faire en attendant la suite …

Thibaut s’occupait à ligoter les jambes de la gymnaste. Il lui lia les chevilles croisées, et passa une corde plusieurs fois au dessus des genoux en serrant bien fort. Will s’occupait des bras, il fit le même ligotage que pour Jess, elle se retrouva donc les mains croisées elles aussi sur ses reins. Une deuxième corde passa sur ses poignets, passa entre les jambes de la gymnaste et la corde finit par s’enrouler sur le buste de Pauline en passant entre ses seins qui furent mirent en avant par la même occasion. Et enfin le final, sa soeur jumelle en profita pour faire un gros noeud dans le collant qu’elle pris, elle l’enfonça le tout dans la bouche bien profondément et fit 5 tours de tape noir en prenant garde à ne pas attacher les cheveux de sa soeur. Celle-ci s’était débattu pour empêcher Manon de continuer mais une petite tape de sa part l’a dissuadé de continuer. Une fois ceci de fait, Will prit un bandeau en soie vert et banda les yeux de Pauline. Celle-ci, aveuglée, immobilisée et bâillonnée commençait à s’inquiéter de la suite des évènements. Will mit tout au clair :

  • Comme ces 2 équipières ont été capturées, elles vont être interrogées. Elle vont donc devoir subir une séance de t o r t u r e pour interrogatoire (un couinement se fit entendre de la part de Pauline). Je propose qu’on aille libérer sous caution les 2 tourtereaux qui se trouvent toujours en haut, je pense qu’ils en ont eu assez avec le filet. Quelque chose me dit qu’ils seront ravie de se venger de ses 2 petites que voilà -il montra de la main Jessica et Pauline-. Qui va les chercher ?

Manon et Thibault (comme par hasard) se sont portés volontaire. Ils prirent les clés que leur tendait Will et partirent sur le champ. Will qui avait encore les menottes aux pieds s’avança doucement vers Pauline qui était dorénavant assise. Il la porta sur son épaule et la déposa sur le canapé à plat ventre dans la pièce d’à côté. Il put observer le corps de la jeune femme, elle était habillée en tenue de voltige, elle l’avait empruntée à Nathalie pour la gym et Will trouva que ça lui allait bien. C’était une tenue en lycra verte et bleue qui recouvrait tout son corps des chevilles jusqu’au sternum. Il la pinça légèrement dans le dos et le ventre pour voir si les liens tenaient. Au vu du retour de Pauline (cri au travers le bâillon et gigotement), il vit que les liens teindraient le coup.

Il revint dans la salle où le jdr avait débuté et parla à Jessica :

  • Je me demande bien ce que vont imaginés Jérémy et Nathalie pour toi ! À ta place je ne ferai pas la fière !
  • Mfffph ! ***
  • Et dire que tu essais toujours de répondre, ça me fait rire. Il se mit derrière elle et commença à la chatouiller sur les flancs et le ventre. La réaction ne se fit pas attendre, elle fit de grands mouvements brusques
  • ***** !!
  • Toujours aussi chatouilleuse?! on verra ce qu’on va faire de toi. Pendant ce temps je vais prendre ton ordi et on va observer les 4 autres au grenier d’accord ?
  • … Il prit l’ordinateur et le ralluma. Ensuite ils observèrent tous les 2 ce qu’il y avait à l’écran …

V.2) Des personnes bien inquiétantes …

  • Alors ça avance ? demanda l’un
  • Oui oui ça vient, encore quelques configurations rapides et j’arriverais à couper le courant de cette baraque.
  • Ce serait possible vers 3h du matin ?
  • Bien-sûr ! Et sûrement avant mais faut attendre le bon moment, ça c’est plus embêtant. La petite t’as dit que ça durait combien de temps ?
  • Pas de réponses claires là dessus, entre 3 et 6 heures. Pour le moment il est presque 1heure du matin. On pourra toujours aviser. Mais il faut attendre un peu pour qu’ils aillent dormir, on voit encore de la lumière un peu partout, je me demande ce qu’ils font ! D’habitude ils restent dans la même salle quasi tout le temps, j’ai peur que ça soit plus dur que prévu.
  • Surtout avec ces 2 karatékas ! Ces jumelles sont de vrais diablesses, je les ai vus en compétition elles envoient du lourd ! Le fils sait aussi bien se défendre, ancien judoka ceinture noire et de jiujitsu. Ses deux amis geeks ont l’air aussi balèzes, il va falloir la jouer fine pour une fois. Tu as rendormis la jeune ?
  • Non, ce serait trop de produits d’un coup dans une journée. Pour le moment elle est attachée confortablement, si elle fait pas de bruit ça continuera comme ça. Mais avant qu’on rentre on devra bien sûr un peu plus serrer la vis …
  • Et j’imagine qu’elle le sait pas ?
  • Bien sûr que non. Elle serait m o r t e terrifiée sinon.
  • Ok très bien on s’occupera d’elle avant. Bon il nous reste encore un peu de temps, je vais préparer les sacs et tous les autres accessoires. Ils vont avoir une sacrée surprise !
  • C’est sûr !

VII) Le début de la fin.

Manon et Thibault arrivèrent dans la pièce et virent directement ceux qu'ils étaient venus chercher. Il montra à Manon la webcam posée non loin. Les deux tourtereaux étaient dans un état bien plus inextricable qu’auparavant. Ils avaient réussis on ne sait comment à se relever mais manque de chance pour eux, ils n’ont eu comme résultat qu’un serrage supplémentaire du filet et en retombant, des noeuds apparurent au niveau au niveau de leur mains menottées et de leurs chevilles libres. Plus ils essayaient de se sortir de là, plus ils s’emmêlaient. Après beaucoup d’effort ils décidèrent d’agir calmement et d’attendre de l’aide. Quand Manon et Thibaut vinrent les aider, les 2 n’ont pu cacher leur soulagement.

  • Bonne nouvelle pour vous, vous êtes libres sous caution ! s’exclama Thibaut

  • Il était temps ! On commence vraiment à avoir du mal ici répondit Nathalie Après quelques démêlages précis et difficiles, ils arrivèrent à leur enlever ce filet et le rejetèrent à l’autre bout de la pièce. Thibaut aida Nathalie à lui enlever le scotch sur sa main et enleva les liens qui entravaient les jambes des 2 anciens prisonniers. Une fois que Manon réussit à enlever le scotch à son tour sur Jérémy, elle les délivra de leurs menottes.

  • Ça fait du bien ! Je sais pas combien de temps on est resté comme ça mais j’ai mal partout ! se plaignit le garçon.

  • Je crois que vous avez été attachés pendant 3 quarts d’heure ou un peu plus. C’est pas mal effectivement ! répondit Manon. Vous voulez vous étirer et boire un coup ? Les 2 acquiescèrent. Après cette aventure, ils étaient tous les 2 rouge et transpirant. Ils commencèrent les étirements (mollets, cuisse principalement) et se désaltérèrent.

  • Il se passe quoi au final ? demanda Nathalie

  • Pauline a fait un échec critique et Jess a raté un test, on vous attendait pour savoir ce qu’on aller faire d’elles, il faut procéder à un vote ! dit Thibaut d’un ton théâtrale. On descend ?

Une fois descendu, Nathalie et Jérémy purent voir la situation des 2 jeunes sportives.

  • Bien joué ! Au moins on ne sera pas les seul à s’être fait avoir ! Mais dis donc, tu ne peux même pas râler Jess ! C’est une première haha !
  • Jérémy, tu penses qu’on devrait se venger ?
  • Je ne sais pas pourquoi mais je dirais oui ! Qu’est ce qu’elle déteste par dessus tout ? Ou à quoi est-elle très sensible ? pensa Jérémy de vive voix en regardant la cavalière.
  • Will, une idée ? fit Nathalie
  • Tickling ? proposa t’il avec un sourire malicieux en direction de Jess
  • *** !
  • Apparemment ça lui fait déjà de l’effet ! Pauline aussi y aura droit ne t’en fait pas. Vous 2 vous allez vous souvenir de cette soirée rapporta Nathalie
  • Vous aussi ! Et d’ailleurs elle ne te l’a pas dit mais elle a tout filmer , on pourra regarder tous ensemble la prochaine fois ! dit Thibaut
  • La peste ! s’exclama Nathalie. Ça va être encre pire pour toi Jess !
  • Bon on fait comment ? demanda Will avec intérêt
  • Dans une de tes chambres d’amis y’a pas un grand lit ? Ce serait plus simple pour nous et confortable pour elles ricana Jérémy. Troisième étage si mes souvenirs sont bons ?
  • Exact Jérémy ! On les monte, on prendra la deuxième chambre d’amis, il y a 2 matelas. Ce sera un chacun ! Thib et Jérémy vous les portez ? Je pourrais pas trop avec ces trucs au pied -il montra sa paire de menottes-.
  • Tiens ! Vas les aider moi et Manon on est un peu crevée. Nathalie lui passa les clés, il pu les enlever et les remettre dans un sac.

Alors Thibaut put prendre seul Pauline, elle n’opposa pas beaucoup de résistance vu sa situation. Quelques protestations étouffées sortirent du bâillon. Une fois que le jeune homme lui expliqua la suite des évènements, elle se débattit du mieux qu’elle le pouvait mais cela ne ramena à rien, elle était toujours prisonnière. Will et Jérémy eurent beaucoup plus de mal pour porter Jess, effectivement, elle se débattait comme une furie (ses jambes n’étant pas liées). Will du faire un effort physique pour les enserrer de ses bras et réussir à immobiliser un petit peu la cavalière. Une fois arrivés dans la chambre, ils resserrèrent les liens des 2 captives et lièrent les jambes de Jessica aux niveaux des chevilles et des cuisses avec plusieurs tour de tape noir. Les 2 prisonnières s’attendant à ce qui allait suivre, essayaient de se dégager. Nathalie commença :

  • Moi , Jérémy et Manon, on prend Jess, Will et Thibaut vous prenez Pauline, ça va à tout le monde ? Pas de réponse. La partie commença.

Will et Thibaut commencèrent doucement, ils remontaient lentement des pieds de la gymnaste jusqu’a son bas du dos et firent le chemin inverse. Cela avait déjà un effet sur Pauline, elle commençait à gesticuler. Ensuite un s’occupa du haut du corps et l’autre du bas. Will insista sur les pieds de la captive et Thibaut sur les flancs. Dès que Will chatouillait un peu plus les pieds, son amie devenait comme folle et n’arrêtait pas d’essayer de crier. Il fit la même chose sur les jambes avec son autre main. Dès qu’ils virent qu’elle commençait à devenir un peu rouge et transpirante ils firent une minute de pause.

  • MMpphhm ?
  • On est d’accord , on repart ! Ils continuèrent comme ça pendant environ 20 bonnes minutes, voyant que Pauline se fatiguait de plus en plus, ils se mirent d’accord pour lui en lever son baillon mais pas son bandeau. Une fois fait, elle pu dire :
  • Ouf ! je pensais mourir avec ça ! Vous avez finit ? Je commence à avoir mal un peu partout .
  • Dis donc Pauline commença Will -il la relooka de la tête aux pieds-, cette tenue de voltige elle n’est pas à Nathalie par hasard ?
  • Euh si pourquoi ?
  • Je l’ai bien reconnu, et pourquoi tu l’as sur toi actuellement ? C’est Nathalie qui répondit
  • Elle avait oublié une de ses tenues chez elle pour son dernier cours et donc j’ai pu lui en prêter une vu que j’habite à côté de son club, c’est pas protocolaire mais les tenues de voltiges peuvent être utilisés pour la gym, pas de soucis à ce niveau.
  • Thibaut on fait quoi des gens qui sont tête en l’air ?
  • Non c’est b….

S’ensuivit une partie plus difficile que la précédente, les mains des 2 garçons furent partout à la fois sur Pauline, sur le dos, les flancs, les jambes, pieds etc … en prenant soin d’utiliser une petite plume pour le final. Elle put crier de tout son saoul et une fois qu’elle n’en pouvait plus, les garçons arrêtèrent et la délièrent en lui laissant son bandeau. Le MJ lui interdisait de l’enlever. Elle put sous la supervision et avec l’aide des 2 jeunes hommes s’étirer, masser ses muscles et boire un coup.

Tout ne s’est pas si bien dérouler pour la jeune cavalière. Dès le départ elle fut attaquée par Nathalie, elle lui chatouilla massivement son bas de ventre en prenant soin d’immobiliser la tête de son amie en la serrant entre ses 2 genoux.

  • ***! Trop tard, la voilà maintenant bien plus immobilisé. Manon en profita pour s’occuper des jambes en n’hésitant pas à remonter plus haut que nécessaire et Jérémy prit un malin plaisir à s’occuper de ses pieds en prenant tout autre instrument qu’il avait récupérer dans la maison. Dès qu’ils commencèrent, des sons puissants se firent entendre sous le bâillon, dommage pour elle, celui-ci tenait toujours aussi bien. Elle essayait de se débattre mais rien n’y faisait, ses amis l’avaient dans leur collimateur et tenaient bien serré la cavalière. Celle-ci demandait par le regard des petites pauses mais il étaient impitoyables. Ils la retournèrent sur le ventre pour changer un peu de position en continuèrent sur le même rythme. Ils arrêtèrent en même temps que Will et Thibaut et délièrent la cavalière en lui enlevant le bâillon.

  • J’en peux plus ! Passe moi l’eau s’il te paît ! J’ai un goût un peu dégueulasse dans la bouche à cause de ça -elle montra sa chaussette qui avait servie comme bâillon).

  • On verra plus tard ce qu’on fera de vous dit Will. Si on allait se reposer un peu et manger un morceau ? ça donne faim les jdr, surtout ce soir !

Après avoir finit cette séance de tickling fatigante mais excitante pour tous, ils mangèrent quelques parts de biscuits et de gâteaux en se désaltérant. Ils reprirent la partie rapidement pour conclure cette nuit et la continuer le lendemain.

  • Bon, je résume la situation. En clair, Jess et Pauline, vous êtes toutes les 2 faites prisonnières par des groupes différents, vous êtes vraiment mal barrées pour la suite. Jérémy et Nathalie, vous n’êtes toujours pas découvert dans le manoir, bon point pour vous. Enfin, Manon et Thibaut, après avoir volé les gardes, vous arrivez en direction d’une ville, vous ne savez pas laquelle mais vu comme vous êtes fatigués, la première chose que vous voulez est de trouver une auberge et dormir.

Maintenant, bouchez-vous tous les oreilles et fermez vos yeux, je vais taper légèrement sur la tête de certains d’entre vous pour vous raconter la suite dans la cuisine juste à coté, c’est top secret, ça ne concernera que vous ! Il tapa sur la tête de Manon, Thibaut et Jérémy. Ensuite ils se dirigèrent tous dans la cuisine.

  • Alors il se passe quoi pour n*** ? Manon n’a pas eu le temps de finir sa phrase, Jérémy la baillona de ses mains. Par surprise, Will put lui entraver les chevilles, Thibaut s’occupa de lui menotter les mains derrière le dos et Will termina par les genoux. Une fois calmée, ils expliquèrent à la gymnaste que son sort a été décidé précédemment avec celui de 2 autres du groupe des 7 et qu’elle devra rester comme ça pour un petit temps encore, juste pour bien finir la soirée. Elle le prit plutôt bien et se laissa transporter discrètement dans la chambre qui lui est allouée pour cette nuit avec Nathalie.

Une fois revenus dans la pièce, ils se remirent tous comme avant. Will tapota la tête de l’autre soeur jumelle, (Pauline), ensuite Jérémy et enfin Nathalie. Une fois dans la cuisine, ils lui expliquèrent son sort. Celle-ci sachant que ce ne serait que pour un temps accepta sans trop de problème. Nathalie s’occupa de lui remettre son bandeau, Will et Jérémy s’occupèrent de la ligoter. Elle se retrouva les mains attachées dans le dos, les coudes quasi rejoints avec les cuisses et chevilles liées. Le tout avec des cordes. Une fois fait, ils la mirent dans la même salle que Manon en attendant le tour de Jess, effectivement, ils avaient décidé de la laissé avec Jess au rez-de chaussé.

Will appela ensuite tout le monde. Ils avaient décidé de ne rien dire à Jessica. Dès son entrée elle fut ceinturer par Jérémy, Thibaut et Jérémy lui attachèrent ses jambes et ses cuisses. Elle commença à protester en râlant et en gesticulant. Nathalie s’occupa à ce moment du bâillon : elle lui enfonça un foulard en boule, prit le rouleau de tape gris qu’avais ramener Manon et lui renoua autour de la nuque en 3 tours bien serrés. Will termina par lui lié les poignets dans son dos. Une fois ceci de fait, ils la mirent sur une chaise près de la fenêtre lui dirent le dernier gage avant la partie.

  • MMffpphhh! fit la cavalière
  • On n’a pas voulu te prévenir, on s’est dit que ce serait une meilleure surprise juste avant de dormir se moqua Will.
  • Et puis tu ne resteras pas comme ça toute la nuit ne t’en fais pas ! On te mettra avec Pauline dès qu’on la redescendra. Aller On va préparer les chambres avant d’aller dormir lui raconta Nathalie. Ils partirent tous de la cuisine en éteignant la lumière.

Jessica essaya de se débattre dans ses liens, comme elle le pensait, ils ne se desserrèrent pas d’un seul pouce. Elle se dit que cette soirée sera gravée dans sa mémoire. Effectivement, être enserré dans ces liens l’amusait tant que cette ambiance resterait. Quelque chose lui attira l’oeil dehors. Elle regarda de plus près et cru voir des personnes près de la maison de Will et même une dans le jardin ! Croyant que son imagination lui jouait des tours, elle plissa les yeux et vit réellement ces personnes. Elles transportaient aussi un grand sac qu’ils déplaçaient à plusieurs. Soudain très inquiète elle cria dans son bâillon pour prévenir ses amis.

  • MMMMMFFFFPPHHHMMMMM !!! ****** ! Rien à faire, ce bâillon était décidément trop serré. Dès que Will et Nathalie revinrent, elle essaya de les prévenir mais ses amis croyant qu’elle se débattait jouaient toujours le jeu. Ils la transportèrent jusqu’au canapé du salon, ajoutèrent une corde entre ses poignets et un des pieds du canapé. Même si elle arrivait à se lever, elle le pourrait pas aller bien loin … Elle repris de plus belle :

  • MMMPPPHHHMMMMMM!

  • Ne t’inquiète pas, ça durera pas longtemps Jess ! répondit Nathalie

  • ***** ! Elle vit à ce moment là que Pauline était attachée au milieu de la pièce. Elle vit la gymnaste toujours en tenue de voltige attachée, les yeux bandés et ses bras déjà attachés reliés par une corde qui était accrochée au plafond de la salle par un anneau qui tenait autrefois un lustre. Pauline était quasiment en équilibre précaire sur la pointe de ses pieds. Pour plus de confort, Will avait décidé de desserrer les liens autour des chevilles de la gymnaste. Jess se dit que son amie offrait un beau spectacle placée comme elle l’était… Sa tenue mettait en valeur toutes ses formes, des jambes, ses hanches jusqu’à sa poitrine. Mais toujours inquiète, Jess continua d’essayer de prévenir que des intrus se trouvaient non loin d’eux.

  • *** !

En faisant semblant de ne pas l’entendre, Will cacha les yeux de Jess et Nathalie cacha les clés des 3 menottes de Manon. Une dans le canapé, une au dessus d’une armoire et enfin la dernière dans la tenue de Pauline dans le dos. Avec précision et délicatesse, Nathalie la déplaça jusqu’au niveau du pied droit de la gymnaste. Celle-ci surprise lâcha un petit cri de surprise mais rien de plus. Nathalie ne lui en dit pas plus sur ce que c’était, effectivement ils réservaient quelque chose de spécial pour Manon cette nuit … Il faut savoir que la tenue de voltige ne comporte pas de fermeture éclair et qu’elle recouvre Pauline de la tête aux pieds. Pour récupérer les clés, il fallait donc aider Pauline a enlever ses liens et ensuite qu’elle retire sa tenue pour récupérer la clé. Manon pourrait toujours chercher loin …

  • On reviendra vous voir vite ! dirent-les 2 jeunes avant de sortir de la salle.
  • MMMPPHHHHHMMM !!
  • À tout à l’heure se contenta de dire Pauline.

Manon était toujours dans son lit dans la chambre menottée de toute part, à côté d’elle Nathalie préparait son lit. Will avait prévu de dormir dans sa chambre et enfin Jérémy et Thibaut au grenier. Une fois que tout fut fini, Nathalie dit à Manon :

  • Avant de dormir, tu vas devoir trouver les clés que j’ai cachées dans le salon en bas ! tu verras jess ne pourra rien te dire et ta soeur ne pourra rien faire pour t’aider. Si au bout de 20 minutes tu n’y arrives pas on te laissera comme ça cette nuit fit-elle avec un clin d’oeil.
  • Je m’attendais à un truc louche de ta part ! Mais bon ok j’accepte le jeu, c’est juste qu’il se fait un peu tard. Bientôt 3 heures du mat ! Les garçons ils savent ?
  • Pas tous mais on va les appeler. VOUS POUVEZ VENIR TOUT DE SUITE ? dit-elle pour les appeler. Une fois que tout le monde fut là, elle décrit la situation de Manon et leur proposa un extra pour Manon. Personne ne protesta.

Pendant ce temps …

Jessica se débattait et essayait de crier dans son bâillon. Elle décida vite d’arrêter et d’attendre que Will ou une autre personne vienne la délivrer. Elle vit Nathalie redescendre avec Manon menottée et en plus bâillonnée comme elle avec du tape, elle ne savait pas ce qu’ils avaient bien pu lui mettre en dessous… Pauline qui était aveugle pouvait juste deviner le rôle de sa soeur mais elle se décida de ne lui rien dire.

  • Bon Manon je te laisse 20 minutes, tu devras te déplacer un peu partout dans la salle, il va falloir que tu te dépêches !
  • ***! c’est sûr qu’avoir les mains menottées dans le dos, en plus des chevilles et des genoux ce défi avait l’air d’être simple … Nathalie partit et ce fut le départ pour Manon. Celle-ci ne sachant où aller se déplaçait lentement , trop lentement. Au bout de plusieurs minutes de combats; elle s’assit sur une chaise posée non loin et se reposa quelques instants.

À ce moment là il y eu une coupure de courant dans la maison et elles se retrouvèrent toutes les 3 dans le noir. Jessica qui pensait savoir d’ou venait cette panne cria de peur :

  • MMPPHHMMMMMMMMMM ! Manon fit pareil mais croyait que c’était une blague de Nathalie. Quant à elle, Pauline qui était aveuglée de base demanda :
  • Qu’est ce qui se passe les filles ?
  • MMppphhmm!
  • ******* ! Ce furent leurs seules paroles…

-Et will ! Je crois qu’il y a une coupure de courant ! cria Thibaut

  • J’avais remarqué ! Quand c’est comme ça tous les volets se ferment automatiquement.
  • Tu as quelque chose pour éclairer ?
  • Et bien en fait tout se trouve en bas, j’ai pas pensé à mettre des trucs en haut au cas où.
  • C’est malin ! Jérémy se mis dans la conversation
  • Au pire on peut traîner au lit non ? On verra ça demain matin.
  • Il y a encore les filles en bas ! répliqua Nathalie.
  • Au pire elles sont pas non plus part terre, on verra demain héhé, ça apprendra à Pauline et Jess de nous mettre dans un filet. Et Manon n’avait pas qu’à dire oui pour être menottée . Cette dernière phrase les convainquit tous, chacun alla dans sa chambre respective. Bonne nuit les gens !

Quelque part dehors …

  • C’est bon, je leur ai coupé le jus !
  • Ok on va pouvoir y aller dans pas longtemps, le temps qu’ils s’endorment, il n’y avait que 2 ou 3 lumières encore, ils ont du rien remarquer.
  • On la mettra où ? -il montra du doigt le sac ou quelqu’un ou quelque chose se tortillait à l’intérieur-.
  • On trouvera bien quelqu’un pour rester avec elle …

VIII) Une visite inattendue.

  • Bon il est 3h30, j’ai pas l’impression d’avoir vu du mouvement au travers les volets. Je pense qu’ils sont tous en train de dormir fit l’une des cambrioleuses.
  • Je récapitule, on passe tous par la porte qui mène à la cave. J’ai observé la serrure et je pense la crocheter facilement, ça durera 2 ou 3 min sans un bruit grand max. Ensuite numéro 1 -il désigna la première cambrioleuse- vérifiera qu’il n’ y a aucun problème au rez-de-chaussée. Moi je vais rester à la cave avec la jeune pendant un petit temps. Je viendrai en renfort au cas où ils réussissent à vous donner du fil à retordre. Numéro 3 et 4 -il montra le dernier homme et femme du groupe- vous jetterez un coup d’œil à tous les étages voir où ils sont placés et vous reviendrez en bas. On discutera de la suite une fois les repérages effectués. On essaiera de les avoir 2 par 2, ce sera plus simple. Il faut qu’on trouve le dossier du boss et si on peut un peu de fric, d’après les rumeurs, le proc cache un sacré pactole chez lui. Vous êtes ok ? Ils hochèrent la tête un par un et mirent ensuite leur lunette de vision nocturne en connectant leur micros entre eux via un système wifi. -Go

Une fois à la porte, numéro 2 réussis (comme dans ses prédictions) sans mal à crocheter la serrure discrètement. Ils purent tous entrer. Numéro 3 et 4 laissèrent leur jeune captive dans le grand sac en compagnie de numéro 2.

Comme selon le plan, numéro 1 se plaça au niveau de l’entrée et laissa ses collègues se diriger aux étages supérieurs. Elle attendit une vingtaine de seconde pour explorer l’endroit. Elle fit le tour de ce qu’elle pensa être la salle à manger de la maison, elle vit effectivement une grande table ovale au milieu de la pièce avec beaucoup de livres, des feuilles personnages, des crayons enfin bref tout ce qui faut pour une soirée jeux de rôles. Une chose attira son regard : des bouts de ce qui semblait être des cordes dépassaient d’un des sacs des occupants. Laissant sa curiosité de côté, elle inspecta la cuisine, RAS de ce côté et rentra dans le grand salon…

  • Mais qu’est ce que c’est!! ? se demanda t-elle*

Elle eut un geste de recul en voyant une personne debout à quelques mètres devant elle ainsi qu’une autre sur une chaise. Celle-ci avait l’air de se débattre. Elle entendit un autre bruit:

  • mmpphhhmmmm !!!

Elle tourna la tête et devina ce qui n’allait pas. En regardant mieux dans ses lunettes elle vit une jeune fille en tenue d’équitation attachée et bâillonnée sur le canapé. Elle regarda celle sur la chaise, celle-ci n’en menant pas large non plus menottée comme elle l’était. La dernière était attachée au beau milieu de la pièce, les bras derrière son dos reliés à un crochet au plafond. Celle-ci par contre n’était pas bâillonnée. Elle s’avança silencieusement (merci ses semelles en cuir) et regarda de plus près les 3 camarades. Le jeune cavalière était aussi reliée à un des pieds du canapé et se dit que les liens de l’aveuglée auraient du être un peu plus serré que ça au niveau des chevilles. Elle ne comprit pas comment et pourquoi elles se sont retrouvées dans cette position mais elle crut reconnaître les deux jumelles grâce à leur tenue de gym et leur forte ressemblance. Rien n’était sûr à cause de leur bâillon et bandeau. Cette incursion nocturne allait être beaucoup plus simple et amusante que prévu ! Elle se redirigea vers le canapé, se pencha à l’oreille de la cavalière et lui chuchota :

  • Merci de nous faciliter la tâche, on a ramené votre amie Aurélie en même temps. On va bien s’occuper de vous ricana t-elle
  • ******** ??! Elle en profita pour lui caresser ses jambes et le bas de son ventre.
  • Jess, tu entends quelqu’un arriver ? demanda Pauline
  • MMMMPHHHHHMMMMMMMMM !! fit la captive en se débattant.

La cambrioleuse d’une trentaine d’années -tout de noir vêtue souria intérieurement et se promis de s’amuser un peu plus que prévu. Elle revint à l’entrée -toujours sans bruit- et dis doucement dans son micro :

  • Vous en êtes ou ? Numéro 3 parla pour lui et numéro 4
  • On a regardé discrètement dans les chambres, on a trouvé seulement 4 des jeunes. Il y a celle qui s’appelle Nathalie dans la première chambre à gauche au deuxième étage, le fils du procureur est dans sa chambre au bout du couloir et les 2 autres geeks sont dans des lits au grenier. On a vu aucune trace des 2 jumelles et de la cavalière. Et toi ?
  • Pour une raison inconnue, Manon ou Pauline est menottée et bâillonnée sur une chaise; sa sœur est attachée au beau milieu de la pièce, aveuglée et reliée au plafond. Enfin Jessica est sur le canapé ; elle aussi est réduite au silence et immobilisée avec des cordes.
  • Sérieux ? demanda numéro 4
  • Oui, je t’ai fais une capture vidéo, je vous l’envoie à tous. Reçu numéro 1 ?
  • 5 sur 5 ! répondit-il. Bon je remonte et viens avec 1. Moi et elle on va s’occuper des 3 en bas, la priorité est de bâillonner celle qui ne l’est pas encore et de resserrer les liens de toutes. On refera tout si nécessaire. On s’occupera d’elles une par une. On sortira la danseuse du sac et on vous la donnera 3 et 4. Vous, allez voir celle qui est seule dans sa chambre. Occupez-vous en rapidement et correctement. Pour Will et les 2 autres, vous utiliserez les fléchettes pour les endormir. Je suis sûr qu’ils ne seront pas faciles à maîtriser sans ces aides. Normalement vous avez tout ce qu’il faut dans vos sacs. Prêts ?
  • Oh que oui ! dit 1.

Elle vit leur chef remonter avec Aurélie et la laissa pour le moment à terre, toujours dans le sac.

  • Ne t’inquiète pas répondit 1 en voyant le regard désapprobateur de 2, ça va faire une demie heure à peu près qu’elle est dedans, elle peut respirer correctement et j’ai fais attention à ce que ce soit un minimum confortable. Elle hocha la tête.

Numéro 3 et 4.

  • N’empêche le coup des numéros, qu’est ce que c’est con ! fit numéro 3
  • Ferme-là ! Si un des jeunes réussis à entendre l’un de nos noms on est m o r t ! Au moins avec les numéros y’a pas de pseudos pourris répondit la deuxième femme cambrioleuse.
  • Oué mais s’ils voient la cicatrice de 1 sur la joue, on sera m o r t aussi !
  • Arrête de t’inquiéter, ils peuvent rien voir sous les cagoules, en plus avec nos lunettes comment veux-tu qu’ils fassent pour reconnaître quoi que ce soit ?
  • T’as pas tord numéro 4 ! N’empêche ça nous arrange bien leur situation, je sais pas comment ils voulaient continuer les « galopins » ! fit-il en riant discrètement. Au moins avec notre équipement High-tech, discrétion assurée !
  • Si tu ne te la fermes pas, tu vas réveiller tout le quartier ! Râla numéro 4. Aller, retournons rendre visite à Nathalie. Numéro 1 appela t-elle dans le micro, une fois qu’on en a finis avec les 2 premiers, on en fait quoi ?
  • Ramène les tous en bas, pour qu’ils comprennent la situation, on leur expliquera qu’une fois que les geeks seront aussi là.
  • Ok.

3 et 4 se rendirent de nouveau devant la chambre où s’était endormie Nathalie. Celle-ci était à moitié couverte par sa couette. Une de ses jambes était à découvert. Elle était sur le dos, sa tête sur l’oreiller, elle était endormie profondément (ce qui n’est pas étonnant après la soirée qu’elle a passé avec Jérémy). Elle était toujours dans la même tenue d’équitation à un détail près, sa chemise était légèrement déboutonnée sur le haut. Ceci était un détail qui ne gênait absolument pas numéro 3. Il alla fermer la porte et revint sans bruit.

  • Prête ?
  • Je la bâillonne en la retournant, tu t’occupes des jambes et moi après des bras. Tout le matos est prêt. Ok ?
  • Ok. à 3: 1;2 et 3 … !

Nathalie se réveilla brusquement, l’impression d’avoir une main entourant ses lèvres n’était pas des plus agréable. Avant qu’elle n’ai pu bouger ou pousser un cri; elle fut retournée brusquement. Elle pensa à une blague de Will mais ne reconnu absolument pas sa manière de faire. Prise de panique, elle essaya de se défendre mais rapidement elle fut immobilisée par les 2 inconnus.

  • Surtout ne bouge pas plus ! Entendit-elle dans un murmure.
  • MMMpphhmmmmm !! Fit-elle à la limite de la terreur en train de découvrir que c’étaient deux inconnus. Les mains enserrant ses lèvres les tenaient d’une poigne de fer.

Ses jambes furent immobilisées et enfermées dans une sorte de cocon. Un legbinders allant des chevilles jusqu’à mi-cuisses ! De plus en plus paniquée, elle se débattit encore plus mais ses bras furent aussitôt bloqués. Elle sentit cette fois des cordes s’enroulant autour de ces biceps jusqu’à ces poignets. Ensuite les 2 individus lui bouchèrent le nez, sachant pourquoi elle se retint de respirer. Après quelques secondes, n’en pouvant plus, elle essaya d’aspirer de l’air rapidement. Mais n’attendant que ça, la femme inconnue lui enfonça entièrement un morceau de soie fin dans sa mâchoire. Elle sentit après une boule s’enfoncer et une lanière passant tout autour de sa nuque serrant bien fort sa mâchoire. Comprenant sa situation, elle essaya de dégager le bâillon boule noir (couleur qu’elle ne pouvait voir) mais celui-ci était assez serrer pour qu’elle ne puisse pas le déloger. Sans délicatesse, ils la mirent debout. Celle-ci ne pouvant se tenir seule était soutenue par l’homme. Il en profita pour déboutonner encore 2 boutons du haut pour un meilleur résultat.

  • MMppphhmmmmmmm !! Essaya t-elle de crier mais seulement quelques gémissements discrets sortirent.
  • Du calme ma rousse ! Laisse faire un peu l’artiste, je veux juste que je sois un peu plus … esthétique. Je toucherai un peu à tes cheveux quand on y verra plus clair.
  • C’est bon, le corset est prêt !
  • ****** ! ?? fit Nathalie
  • Tu croyais tout de même pas qu’on en avait déjà fini !
  • ****** ! ** !

La femme se mit derrière la captive et lui enroula sur son torse un corset en cuir pleine poitrine. Un emplacement spécial était prévu pour ses bras qui furent enserrés plus étroitement dans un même temps. L’individu féminin rejoignit les deux partis en serrant les lacets sur les côtés au maximum. Le corset faisait ressortir les formes de Nathalie du haut de son corps, c’était du plus bel effet avec ses vêtements de sport! L’homme reprit la parole :

  • Quand on remettra la lumière, j’aimerai voir l’effet que ça fait ce corset marron ! Tu remarqueras ma chère prisonnière que je l’ai fabriqué spécialement pour ce genre de cas, il est esthétique, efficace à la fois en plus d’être très facile d’utilisation. J’aurais bien aimer m’occuper des trois gazelles au salon mais vous m’avez devancé. Je te remercie de me donner entièrement de ton temps pour m’occuper de toi fit-il avec un sourire.

Au fond d’elle, Nathalie ne put qu’approuver les paroles de l’homme. Ses jambes étaient totalement immobilisées dans le legbinders, ses bras étaient enserrés étroitement et immobilisés derrière son dos par le corset. Elle se sentait comme momifié, ce qui était un cas très approchant.

  • Aussi Nathalie, les garçons aussi auront droit à des petits traitements de ce genre, moi et numéro 1 on ne les oubliera pas. Nathalie ?? Numéro 1 ? Mais comment cette femme pouvait connaître son nom ? Qui était numéro 1 ? Pourquoi sont-ils venus ? se demanda t-elle. Inquiète elle essaya d’appeler Will à l’aide :
  • MMPPPHHMMMMMMM !!
  • Tsss ce n’est pas un bon comportement venant de toi répliqua numéro 4. Soit heureuse que pour le moment je réserve les cagoules à d’autres que ta personne !

Elle lui enroula un beau foulard de soie noir du bas du visage jusqu’au nez de la cavalière ne laissant ressortir que ses yeux et sa chevelure. Avec cet accoutrement en plus, elle eu plus de mal à crier et légèrement plus à respirer, comme si le corset ne la gênait pas assez. Elle compris à ses dépens que rester calme au maximum serait la meilleure solution même si elle avait vraiment peur.

Ils la mirent délicatement sur son lit sur le dos en n’oubliant pas de lui lier les chevilles sur les pieds du lit ainsi que plusieurs parties de son corset (trous prévus à cet effet) sur les deux autres pieds. Comme ça elle restera bien tranquille se dirent-ils …

  • Je suis numéro 3 et elle numéro 4. On va te laisser comme ça pendant qu’on s’occupe de ton ami Will. Après on te mettra en bas avec les autres après moi et mes copains on ira chercher ceux qui sont en haut. À plus ! lança t-il.

Ils sortirent de la chambre. Nathalie se débattit mais rien à faire, ses liens ne partiront pas en gesticulant de la sorte. Elle était totalement à la merci de ses ravisseurs. Apparemment ils avaient l’air de chercher quelque chose de bien précis et ils attendaient que les amis soient tous réunis pour leur en parler. Par espoir elle cria à travers son bâillon mais seulement un petit couinement sortis. Désespérée, elle essaya de se mettre à l’aise comme elle l’était; ce qui n’était pas chose facile. Elle commença à avoir de plus en plus chaud pour la deuxième fois de la soirée. En se débattant toujours un peu, elle se rendit compte qu’un nouveau sentiment l’envahissait grâce au corset et au reste. Une forme d’excitation commençait à surgir de sa situation. Elle ne se posa pas plus de question et essaya toujours de se dégager, peut-être qu’avec le temps se elle réussira à s’en sortir se dit-elle …

  • Bon en voilà une qui a de quoi s’occuper ! dit numéro 3
  • C’est sûr qu’elle ne risque pas de s’en sortir avec ce qu’on lui a mis. J’ai bien aimé le résultat final, le corset son pantalon avec sa chemise c’était très beau ! répondit son acolyte
  • Maintenant on va s’attaquer au plus gros morceau. Tu as sortis la fléchette ?
  • Oui , j’ai bien dosé. Normalement il ne devrai pas y avoir de soucis, j’en ai mis juste assez pour qu’il soit un peu stone comme ça on est sûr qu’il n’aura rien.
  • Ok, c’est partis !

Ils se faufilèrent vers la chambre du jeune Will et repérèrent une nouvelle fois leur cible. Celle-ci était comme à son habitude enroulée dans ses couvertures, évidemment ça n’allait pas arrangeait la tâche de nos 2 cambrioleurs.

  • Au fait quand tu tires la fléchettes, ça peut traverser les draps ? demanda numéro 3
  • J’avoue que j’en sais rien, bon on rentre dans la chambre et on improvise, il fait chier !

Après moult zig zag dans la chambre (pour éviter tout le foutoir au sol), et quelques dérapages, ils réussirent à s’approcher d’assez près pour accomplir leur objectif. Numéro 4 prépara la fléchette, la pris dans son poing et enfonça l’aiguille dans le cou du jeune homme.

  • C’est moi ou rien ne se passe ? remarqua numéro 3
  • Tais-toi ! Ça peut mettre du temps pour réagir !
  • Oué bah là il a eu aucune réaction le bonhomme, tu nous entend petit con ? dit-il en tapotant et bougeant la tête de Will.
  • Je crois que ça a marché, on le transporte ? Ils s’y mirent à 2 pour le porter et le sortir du lit un premier temps. 4 s’occupait des jambes et 3 du torse.
  • Oh ! C’est qu’il est lourd l’ enfoiré ! se plaignit 4
  • En même temps tu as vu sa taille ? il doit pas penser loin des 85 ou 90 kilos
  • Je sens que ça va être folklo ! Fais gaffe de pas glisser !

Après 3 coup sur le crâne (porte, rambarde d’escalier et mur) avec une glissade vers l’entrée, ils réussirent à descendre Will à la pièce où étaient les autres en un seul morceau (malgré quelques ecchymoses). L’équipe de choc avait installé plusieurs lumières portables dans la pièce. Ils le déposèrent sur le canapé à côté de Jessica et purent retirer leur lunette. La situation de Jess n’avait pas changé mis à part le bandeau noir sur ses yeux.

  • Pouah qu’est ce que c’était chaud ! Il est pas léger le garçon ! À part quelques coups involontaires pour lui, tout est ok ! s’exclama 3
  • OK ?! Vous avez fait un boucan d’enfer et c’est ok pour toi ? répliqua leur chef. Je te rappelle que le principe c’est d’être discret. Fin bref, il s’est pas réveillé ?
  • Apparemment non, la dose a du être un peu plus forte que prévu. À part quelques gémissements il a rien fait d’inhabituel rapporta 4
  • Et tu sais qu’il faut qu’on l’interroge ? Comment on fait s’il dort ? On peut pas se permettre d’attendre des heures non plus. Les 2 au grenier ils ont rien entendu ? demanda 1
  • Ils dorment toujours aussi bien ! dit 3
  • Bon on va s’occuper des 2 derniers lascars, on fait comment ? Vous avez eu du mal à descendre celui-là -il montra du doigt Will- alors 2 de cet acabit … demanda 1
  • On est 4, ça suffira surement en les endormant répliqua 3
  • Et il faut quelqu’un pour les surveiller. En plus s’il se réveille alors qu’on est tous là haut, ça risque de pas le faire.
  • J’ai peut-être une idée … commença 4 Soudain ils entendirent tous un grand bruit dans le couloir.

Thibaut et Jérémy …

  • Et du con !
  • ppppffffff se plaignit Thibaut.
  • J’y pense, on a pas fini le donjon sur Guilde Wars 2 ! On devait se le faire à 2 je te rappelle !
  • Ah m e r d e , j’avais oublié avec tout ce qui c’était passé tout à l’heure, il est quelle heure ?
  • Presque 4 heures du mat !
  • Bah ça va , ça fait 1 heure de sommeil. Ya toujours la coupure ?
  • Je regarde ça. Il se déplaça dans la pièce et essaya d’allumer la lumière. Niette.
  • Toujours rien ! On a laissé notre chargeur portable en bas, tu veux que j’aille le récupérer ?
  • À ton avis ? Tu crois que les pc tiendront 3 heures d’affilés avec 25 % de batterie ?
  • Ok j’y vais, je vais voir si Will est d’acc pour nous aider un peu. À trois ce sera plus simple ! Je vais essayer de pas réveiller les filles, normalement Manon et Pauline ont du remonter.
  • Pendant ce temps je prépare les PC. Dis à Will que le loot est juste pour nous, on pourra lui filer des Po ou d'autres trucs. Ramène aussi mon chargeur du con !
  • No problem !

Il descendit au troisième étage et se dirigea vers a chambre de Will. Il ouvrit la porte et sauta aussitôt sur le lit de son ami. Croyant lui faire une bonne blague il désenchanta vite quant il vit qu’il n’y avait personne.

  • m e r d e ! Il est passé où ? Bon je vais voir en bas.

En passant près de la chambre de Nathalie et Manon, il se prit le pied conte la porte grande ouverte. Après avoir maudit la porte et massé son pied, il crut entendre des soupirs plaintifs ou des gémissements sortir de la pièce. Sachant que ses amies avaient toujours l’habitude de fermer la porte il alla voir 3 secondes ce qui se passait. Évidemment en rentrant la tête dans la chambre il ne vit rien. Il dit doucement :

  • Sorry les filles, je ferme la porte et désolé pour le bruit ! Plusieurs soupirs et gémissements lui répondirent. Il prit ça pour des protestations mais comme il était loin, Jeremy ne pouvait pas comprendre exactement ce qu’elles essayaient de lui dire. C’est dingue ! pensa t-il. On s’excuse et on s’en prend encore dans la gueule, quelles ingrates ! Il ferma la porte sans bruit.

Il descendit ensuite les étages en boitant, il avait toujours mal à cause de son pied. Il pensa à ce moment là à la partie en ligne qu’il allait faire avec Thibaut et Will s'il le voulait bien. Il se dit aussi qu'il faudrait se connecter en 4g avec sa clé wifi. Il se félicita à ce moment là de l’avoir prise juste quand il percuta sur les dernières marches sur un sac. Pris de peur il voulut récupérer son équilibre en prenant appui sur la rambarde mais il tomba en avant, percuta avec ses bras la dernières marches et finit sa course sur le mur en retombant sur le flanc. Il avait en même temps avec son pied droit accrocher le rideau de la porte d’entrée et l’avait détaché de son poids. Tout ceci dans un boucan du diable. Le jeune homme pesta contre le mauvais sort et se redressa pour se diriger vers la salle du jeu de rôles …

VIII.1) La situation des jumelles et de Jess.

Numéro 1 et 2 entrèrent furtivement dans la pièce où étaient installées les 3 filles. Numéro 2 se glissa derrière la jumelle attachée au milieu de la pièce et la bâillona tout d’abord de ses mains.

  • Surprise les filles ! Elle sentit la gymnaste surprise qui essayait de se dégager. C’est très gentil à vous de nous faciliter la tâche, on va pouvoir trouver ce qu’on cherche beaucoup plus facilement ! En attendant on va s’occuper de vous un peu mieux que ça …

  • MMpphhmmmmmmm ! firent Pauline, Jessica et Manon La ravisseuse voulait tout d’abord bâilloner la jumelle. Elle demanda le plus simple à son collègue :

  • Tu peux me filer la cagoule ?

  • Tiens c’est pour toi !

Numéro 1 empressa le thorax de la captive et lui coupa la souffle pendant un instant. La cambrioleuse en profita pour enfiler l’outil sur Pauline. Avec quelques ajustements elle réussis à la mettre sans trop de difficulté. L’homme lâcha prise, la prisonnière eu le temps de récupérer son souffle avant de sentir une boule de latex s’enfoncer dans sa bouche et gonfler petit à petit, une s a n g le se serra fortement à l’arrière de la nuque. Une partie de la chevelure cuivrée dépassait de l’équipement.

  • C’est un petit spécial. Je viens de renfermer le bâillon boule intégré. C’est ce que tu sens gonfler. Elle fit bien entendre le bruit de la pompe. Encore un peu … Pauline secouait sa tête dans tous les sens pour tenter d’y échapper. -MMpppphhhmmm -MMm…….
  • Et voilà ! Entièrement silencieuse la petite !
  • ******* !?

Pour pimenter un peu les choses, elle mis un cadenas à l’emplacement prévu à cet effet au niveau de la s a n g le du bâillon et de la nuque.

  • C’est au cas où un de tes copains arriverait à te détacher. Ils pourront chercher la clé longtemps ! Elle la mis pour le moment dans sa poche. C’est avec plaisir qu’elle voyait sa cobaye gesticuler dans tous les sens pour essayer de fuir. Elle lui tapa dans les cuisses.
  • Tu vas bientôt arrêter de bouger ne t’en fais pas.

Son acolyte ramena plusieurs équipements. Une paire de bracelets en métal avec une fine chaîne en métal (idéal pour la glisser sur l’anneau du plafond) et un long harnais en cuir pour immobiliser tout son corps. Ils se mirent au travail : 1 défit les cordes qui reliait les coudes de Pauline et les cordes qui la reliée au plafond. Il glissa la fine chaine dans l’anneau et attacha les 2 extrémités aux bracelets qu’il enserra ensuite sur les poignets de la gymnaste. Le sort était favorable pour les inconnus, la chaîne était de la bonne longueur pour que la captive se sente surélever par les poignets alors qu’elle pouvait encore tenir sur la pointe des pieds. 2 enleva les liens lâches des chevilles et défit les derniers liens des cuisses. Voyant qu’elle retrouvait les mouvements de ses jambes, Pauline en profita pour donner des coups de pieds puissants au hasard devant elle en prenant appui sur la chaîne . Bingo, elle toucha de plein fouet numéro 1 au sternum. Celui-ci recula sous le choc.

  • Dis donc ! J’avais oublié qu’elle était balèze ! Et en plus vachement souple dit-il dans un souffle. On va voir ce que tu vas faire quand tu auras ton harnais ma jolie …
  • mmm…grrr ! fit-elle d’un ton très agressif
  • Je vais prendre ça comme un « va te faire foutre ». Tu connais pas la politesse ? se moqua 1

Ils mirent le harnais sur la jeune fille. D’abord sur le buste, il passait autour du coup de la jeune femme, puis descendait en deux parties pour entourer ses seins. Il descendait encore plus bas pour arriver jusqu’aux cuisses. Vint le moment fatidique: une lanière du harnais devait passait entre les jambes de la captive. Numéro 2 en profita pour qu’elle soit bien en contact avec l’appareil génital de sa captive, plus particulièrement sur les lèvres. Elle serra très fort termina cette partie en renfermant la lanière sur le dos de la jeune fille. La réaction ne se fit pas attendre.

  • MMMpppphhmm….. grrrrrrrrrrrr gloussa Pauline en bougeant dans tous les sens. Au moindre mouvement, elle sentait l’excitation montait en elle sans le vouloir.
  • Tu fais moins la maligne hein ! Attend je vais te rattacher les cuisses dit 1.

Il rajouta une lanière de cuir entre les cuisses de la jeune femme, il mit les 2 mousquetons dans les anneaux prévus à cet effet. 2 ensuite, attacha les chevilles de la gymnaste en les croisant avec plusieurs tours de corde blanche. Pauline était toujours sur la pointe des pieds sans pourvoir y faire quoi que ce soit.

  • Maintenant le final ! s’exclama 1

Il sortit un grand clou à tête ronde, l’enfonça profondément dans le sol derrière la gymnaste (le plancher dégusta), lui détacha ensuite les poignets pour les lui remettre derrière son dos et rejoignit encore une fois les bracelets. Numéro 2 en profita pour prendre deux longues cordes, fit 2 épaisseurs, se mis derrière la captive et passa les cordes dans l’anneau présent sur la s a n g le du dos qui lui titillait l’entrejambe et rejoignit ensuite cet anneau avec celui présent au plafond. Numéro 1 l’aida ensuite à faire un noeud solide et serra au maximum. Pauline se retrouva légèrement suspendue par le harnais, avec la s a n g le qui lui tiraillait de plus en en plus … Pour finir, numéro 2 rejoignit avec la chaîne les poignets de la malheureuse et le clou au sol. Elle ne pouvait plus faire grand chose comme elle l’était : ses bras tendue vers le bas et dans un même temps quasiment perchée.

  • ***** !!!
  • On t’avait prévenue. Mais je vois que tu commences à avoir chaud ! s’exclama 1. Il lui toucha dans un même temps son corps, en commençant par glisser ses mains sur le cou, fit le tour des seins et finit par les cuisses et les fesses de la captive.
  • Je vois aussi que tout ce corps est bien musclé rigola t-il en tapotant plusieurs fois les postérieurs. Aller, je te laisse j’ai encore du boulot ! Je dois encore aller chercher ta copine Aurélie …
  • ***?!! fit Pauline en se débattant au maximum, celle-ci commençait vraiment à ne plus pouvoir arrêter la vague de bien-être qui menaçait d’exploser à chaque instant…
  • Attend 1, je crois que 3 et 4 vont bientôt arriver à ce que j’entend dans leur micro ils ont un peu de mal. Je vais installer les lumières, ce sera plus agréable que ces lunettes. Avant ça, aveugle les 2 autres.
  • Ok. Il plaça un cache oeil sur l’autre jumelle, celle-ci était toujours menottée et toujours bien bâillonner. Celui ou celle qui avait fait ça s’en était plutôt bien sortis. Pour la cavalière, il mis juste un grand bandeau en tissu noir en faisant 3 fois le tour de tête de la victime. Pendant ce temps, 2 eu le temps d’installer les lumières.

Ils attendirent quelques instants et virent arriver leurs acolytes …

XI) Le rassemblement

  • Il arrive, éteignez tout et mettez les lunettes ! dit précipitamment le chef. Après quelques secondes d’attente ils entendirent Jérémy

  • Et Will ! Faudra dire au boulet qui a mis le rideau qu’il a fait son boulot à l’arrache ! Un petit accroc et boum, plus rien! Sinon ça te dirait de faire une partie de guild wars ? On doit faire le Manoir de Caudecus avec Thib, ça te dit ? Je suis en train de chercher nos chargeurs portables à cause de ta coupure.

  • 3, prépare la flèche ! chuchota 1. Ils se cachèrent tous du mieux qu’ils purent, 3 attendait derrière la porte de la salle pour surprendre sa cible.

  • Tu disais ? Je t’entends pas, j’arrive ! Malheureusement pour numéro 3, Jeremy ouvrit la porte un peu trop brusquement et elle alla se cogner fortement contre son poignet. Les filles ligotées et bâillonnées, tentèrent de prévenir leur ami : -MMMpppphhhmmmmmmmm!


  • Tu étais là ! Aller tiens, voilà un chargeur tu vas venir avec moi, prend ton portable !

  • MMMppphhmmmm !! prévint Jessica Jeremy sentit que quelque chose de louche se tramait

  • Mais c’est quoi ce bord… Il n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’il sentit une piqûre au niveau de son biceps droit. D’un coup il se sentit lourd, tituba quelques instants et s’effondra sur le sol. Il fut rattrapé par numéro 1.

  • Il m’a défoncé le poignet cet enculé !

  • C’est la frime, tu fais des rimes ! En même temps on peut pas dire que se planquer derrière la porte soit vraiment la meilleure idée …

  • D’habitude ça marche !

  • Ça n’existe que dans la science fiction ! répliqua numéro 1. Bon je vais m’occuper de faire descendre le dernier, on ira chercher l’autre fille après. Pendant ce temps occupez-vous mieux de ces jeunes gens y compris de la danseuse, je trouve qu’ils bougent trop à mon goût ! À tout à l’heure …

  • Je sais, on va déjà s’occuper des 2 jeunes hommes dit 2 à 3 et 4. On essaiera d’attacher ensemble quelques uns de ceux là … 3; tu peux aller chercher Nathalie ?

  • Sans soucis ! Elle sera plus légère que ce lourdaud , il désigna Will.

  • Il a raison sur un point, il va être chiant à attacher celui-là.

Elles rallumèrent les lumières allongèrent Will par terre. Elles choisirent pour lui la facilité, elles enroulèrent les chevilles, les cuisses, les poignets avec du tape noir. Celui-ci était conçu pour être très résistant et terminèrent par lier les bras derrière le dos au torse avec 3 tours de cordes. Elles lui mirent ensuite un bâillon boule et le laissèrent sur le sol. Plus tard il sera possible de mieux faire mais pour le moment ça suffira.

  • À qui le tour ? demanda 2 aux filles restantes
  • Je vais chercher la danseuse affirma 4.
  • Ok, pendant ce temps je vais voir notre chère Jessica et Jérémy. Tu t’occuperas de Manon ?
  • MMpphhmmmm! protestèrent-elles.

2 se dirigea vers Jessica. Elle coupa le lien qui la retenait au pied du canapé et l’allongea de f o r c e à plat ventre sur celui-ci. Elle s’assit sur ses reins et pu commencer en toute tranquillité. Ignorant les gémissements et tortillements de sa captive, elle défit les liens de ses chevilles et cuisse. Voyant qu’elle commençait à trop se débattre, elle frappa plusieurs fois Jessica doucement mais fermement sur ses cuisses pour qu’elle se calme, elle recommença trois fois de plus en plus fort et ça a eu l’effet escompté.

  • Ça y’est, tu es calmé ?
  • mmmfpphhmmm fit-elle très doucement, le poids de sa ravisseuse ne l’aider pas à respirer normalement et en se débattant elle n’a fait que se fatiguer.

2 pris la cheville droite de la cavalière, fit 3 tours avec un noeud simple. Elle plia la jambe, une fois que la cheville toucha la cuisse, elle relia le pied à celle-ci par plusieurs tours de corde. Elle fit de même avec la jambe gauche. Pour plus d’efficacité, elle ajouta le même genre de liens un peu au dessus des 2 genoux en enroulant les cuisses. Elle se releva et s’amusa avec sa captive. Elle la retourna sur le dos.

  • Sacré position ma chère ! Tu offres une belle vue de dos comme de face ! Évidemment, avec la tenue de concours de la cavalière, son polo moulant blanc à manche courte elle était très … désirable. Elle titilla l’entrejambe de Jess et sentit ce qu’elle voulait toucher. Elle continua pendant quelques secondes en ignorant les gloussements de Jessica -h…h…h ! **** !
  • Oui oui je sais, je prépare le terrain pour les frissons que tu vas avoir ! répliqua 2 en rigolant.
  • ???

Enfin pour en finir avec elle, elle lui relia les mains croisées dans son dos. Elle enleva son paillon fait exclusivement de scotch, serra bien fort sa tête et lui glissa un « bâillon boule harnais de tête ». Elle serra bien fort les attaches. La bande de cuir qui recouvrait le bas du visage était d’un bel effet sur la cavalière. Mais apparemment, celle-ci n’aimait pas son nouvel accessoire vu comment elle gigotait. Tsssss, pour l’esthétisme, elle coiffa les cheveux de sa captive en une queue de cheval en prenant soin de remettre le bandeau comme il l’était. Elle porta et plaça Jessica à plat ventre au sol, derrière pauline et lia avec une corde les poignets de celle-ci en la reliant avec l’anneau qui était toujours au plafond ou Pauline était aussi accrochée. La jeune cavalière eu les mains tirées vers le haut…

  • Un petit extra pour la fin ! Elle glissa un vibromasseur entre les cuisses de la jeune femme, réussit à les réunir l’une contre l’autre et à lui immobiliser avec du tape noir.
  • Et tu sais quoi ? Je peux le contrôler à distance ! Merci les applications mobiles !

Voyant ou elle voulait en venir, la cavalière cria à travers son bâillon de colère. Si elle n’avait pas eu de bandeau, numéro 2 aurait vu 2 yeux émeraudes lancer des éclairs. Elle appuya sur la touche de son smartphone et immédiatement, Jessica ressentit une v i o l ente secousse et commença à trembler et à gémir fortement.

  • Je vais le laisser à la moitié de sa puissance pendant 3 minutes le temps qu’on s’occupe de ton pote. J’espère que tu resteras bien sage après ça.
  • H….hhh mmppphmm ! Des couinements se firent entendre, Jess fut réduite à subir silencieusement les vibrations intensément excitantes diffusées par l'appareil.
  • Je vais te laisser là, je te fais confiance pour rester à ta place, tu auras peut-être un armbinder, je verrai selon ton comportement. Maintenant au garçon !

Pendant ce temps, numéro 4 revint avec Aurélie. Contrairement aux autres, celle-ci pouvait marcher et n’était pas aveuglée. Par contre elle était équipée d’une camisole de f o r c e qui avait l’a forme d’un justaucorps. La danseuse aux cheveux long châtain était bâillonnée d’un grand bâillon boule rouge, s a n g lée sur sa nuque et sous son menton. Apparemment, ils l’avaient k i d n a p p é juste après son cours de danse. Effectivement, elle avait encore ses collants noirs ainsi que ses chaussons. En voyant ses yeux d’ambre, numéro 2 vit que la prisonnière avait l’air calme mais surtout résignée.

  • J’ai ramené la danseuse ! Grâce à elle, on a pu savoir ce matin ce que vous feriez ce soir. On a pu faire un plan provisoire avec ses indications, remerciez là ! Personne lui répondit, celles qui étaient réveillées étaient soit occupées à bouger le moins possible (Pauline), soit étaient trop concentrées pour l’entendre (Jessica) ou encore faisaient profils bas (Manon). Will et Jérémy faisaient pour le moment, encore de beaux rêves …
  • Tu peux la mettre sur la chaise à la place de Manon ! Celle-ci, toujours menottée ne put rien faire quand elle fut prise par le bras et mise avec fermeté sur le sol. Aurélie quant à elle fut placée sur la chaise, ses mollets surent scotchés avec le même tape noir et ses chevilles liés avec des cordes sur les deux pieds avant de la chaise. Comme le dossier était haut, son bas ventre et son sternum furent aussi entourés de scotch pour une meilleure immobilisation.
  • 2, ça te dit de faire pareil pour ces deux là ? (Manon et Jérémy)

L’intéressée compris immédiatement et acquiesça. Elles commencèrent toutes les 2 par le garçon qui pouvait se réveiller d’un instant à l’autre. 2 saisit les poignets du garçon et les ficela paume contre paume; sa collègue ajouta des liens sur les cuisses du jeune homme, sur ses genoux et ses chevilles croisées. Elles prirent un malin plaisir à serrer les noeuds et à les positionner hors d’atteinte des doigts du sportif. Elle passa une corde très serrée autour de la taille et attacha celle-ci à celle des poignets. Ceci a eu pour effet de plaquer les mains du jeune homme sur ses reins. 2 s’empressa de relier des bouts de cordes dépassant des liens de ses chevilles à ses poignets et finit par lui mettre un bâillon boule harnais blanc en enfonçant bien la boule dans la bouche. Petite particularité, celui-ci avait un anneau intégré dans la boule. Jérémy se retrouva dans un hogtied très sévère sans la possibilité de bouger.

  • À toi Manon ! dit en souriant 4
  • Mpphmm !
  • Une minute, où sont les clés de tes menottes ?
  • **** ?!
  • Bon c’est pas grave, on va t’enlever tout ça. Elle prit une pince coupante d’un de ses sacs et brisa les chaînes des menottes des genoux et des chevilles. Par sécurité, elle décidé de ne rien faire encore pour ses poignets.
  • Pas la peine d’essayer fit 2 avant que Manon n’ai eu le temps de partir.

Elles la prirent par les bras et la forcèrent à l’allonger sur le sol à plat ventre en face de Jérémy. Comme à Jérémy, elles lui lièrent les chevilles croisées, les genoux et les cuisses avec plusieurs tours de cordes. Pour elle et sa souplesse, elles décidèrent de lui lier les coudes jusqu’à ce qu’ils se touchent. 2 put couper la chaîne de la menotte et 4 lui lier les poignets et mains paume contre paume et mis aussi une corde qui enroula Manon autour de sa taille. Elle fut attachée à celle des poignets et ses mains furent plaqués sur ses reins. Cette corde était très longue et deux bouts pendaient des poignets. Numéro 4 les passa entre les jambes de la gymnaste, puis de les remonter sur le ventre les passant sous la corde de la taille. Elle continua en chemin inverse : repassage entre les jambes pour revenir vers les poignets. 4 tira très fort sur ces bouts pour qu’ils reviennent pouvoir se fixer aux poignets. Ceci donna un crotchrope bien serré. Manon gémit sous son bâillon. Celui-ci d’ailleurs fut changer. Elles enlevèrent le scotch pour le remplacer par la même chose que Jérémy : un bâillon boule harnais de couleur blanche avec aussi, un anneau soudé dans la boule. Celui-ci s’enfonça profondément dans la bouche de la jeune fille.

2 prit une dernière corde, elle la passa sous le crotchrope en haut des fesses (au plus haut des poignets). Elle fit passer un bout de la corde dans un anneau situé au sommet du harnais bâillon boule soit au sommet de la tête de la jeune fille. Elle tira les deux cotés très sévèrement, afin que les deux bouts se rejoignent au niveau du lien des coudes. Une fois ces bouts fixés, on put comprendre que cela avait pour effet de tirer la tête de Manon vers l'arrière, et que cela exerçait aussi une forte pression sur son entrejambe. Enfin , une corde relia les chevilles de la captive à ses poignets.

Cerise sur le gâteau, 2 pris un autre cadenas et cadenassa les 2 boule des 2 jeunes gens. Le ligotage était parfait pour 2 et 4. En plus du bâillon, Jérémy aurait une sacré surprise en se réveillant ! Elles furent fières de leurs idée, les deux tourtereaux étaient dans un hogtied bien serré, manon quant à elle aura plus de mal à garder son calme que le garçon ... Leurs positions mettaient en atout leur morphologie, comme elle l'était ; Manon offrait une belle vu sur ses hanches et ses jambes. Son legging argenté et son justaucorps blanc étaient sans conteste bienvenues dans ce genre de situation. Jérémy n'était pas mal non plus avec son corsaire de course et son tee-shirt blanc qui était aussi moulant que son "pantacourt".

  • Au final 4, ils ont pas trop à se plaindre !
  • C'est vrai que comme ça, ils vont apprendre à mieux se connaître à mieux se voir ! rigola 4
  • Je suis sûr qu'ils nous remercieront plus tard, ils sont bien beaux comme ça ! Elle tapota la tête de la gymnaste qui n'était pas du tout de son avis.
  • MMhhh... !!

Au même moment, 3 et 1 revinrent avec leur prise. 3 mis Nathalie (toujours dans son corset et son legbinders) sur le canapé en position assise. Quant à Thibaut, celui-ci était stone par le produit injecté mais toujours conscient. Les 4 invités s’occupèrent tous en même temps de lui : 1 pris une chaise identique qu’à celle d’Aurélie et la ramena en face d’elle. 2 et 4 s’occupèrent à lui mettre une camisole de f o r c e comme sur Aurélie et enfin 3 lui attacha les mollets et les chevilles aux deux pieds avant de la chaise, lui enroula aussi le sternum et le bas du ventre sur le haut dossier. Enfin 4 termina par bâillonner le jeune homme avec une boule de latex enserrée dans un long foulard fin. Elle enfonça la boule et fit plusieurs tours de plus en plus serré ou la balle s’enfonçait de plus en plus. Elle termina par un noeud à l’arrière de la nuque.

  • Voilà ! s’exclama 1. J’aime bien les plans qui fonctionnent mieux que prévu ! Maintenant on va réveiller tout ce petit monde et on va passer à l’interrogatoire !

X) L’interrogatoire

  • Comment on va faire ? demanda 4. Je veux pas dire mais le plus important de ceux-là a été surdosé, on peut essayer de le réveiller pendant longtemps …
  • On a qu’à interroger les autres pour voir s’ils savent quelque chose en attendant proposa 3
  • Ok on peut faire comme ça ! répondit 1. On fait comment pour les 2 garçons ?
  • Je crois avoir une idée fit 4 avec un sourire. Elle avait vu peu de temps avant une cravache d’équitation dans la salle de jeu de rôles. Elle alla la chercher et revint vers ses collègues.
  • Ça ne m’étonne pas de toi ! commenta 3. Je veux pas dire mais ça manque cruellement d’originalité …

4 en profita pour frapper avec sa cravache les cuisses de Jérémy. Celui-ci, ressentit la douleur et se réveilla aussitôt en gémissant de douleur et commença à gigoter en voyant sa situation.

  • Mais toujours aussi efficace ! termina 4. Pas la peine de bouger mon petit, tu n’y arriveras pas et en plus tu gênes Manon ! Les intéressés liés par leur bâillon avaient un champ d’action très réduit. Dès qu’ils bougèrent un peu trop, une frappe éclair toucha Manon pour la remettre dur le droit chemin.

  • MMphmmm !!!!!

  • Aller on fait pareil pour Thibaut ! s’exclama 4. Celui-ci retrouva ses esprits de la même manière que Jérémy.

  • Très bien on va pouvoir continuer. Vous m’entendez tous ? demanda 1 Aucune réponse.

  • Vous savez, si je n’entends rien, numéro 4 va vérifier si vous êtes tous prêts à l’écoute … Celle-ci frappa toujours de sa cravache les fesses de Pauline. Un grand « clac » retentit.

  • M..hh! Tous gémirent sous leur bâillon.

  • Merci de votre attention. 2, tu peux arrêter le vibromasseur de Jessica ? Elle arrête pas de geindre.

  • Ah oui j’avais oublié ! dit-elle en ricanant. Voilà c’est fait, elle rangea son smartphone.

  • Bien, comme vous l’imaginez, on a pas fait tous ses efforts juste pour quelques milliers d’euros. En fait, cet objectif n’est que secondaire. On a bien galérer à ramener tous ce matos et à repérer les lieux. Je vous remercie encore une fois de nous avoir simplifier la tâche! Vous êtes tous filles ou fils de parents très aisés et c’est une des raisons de notre présence ici. Voyez-vous, vos parents sont dans des affaires de hautes importances, qu’ils soient hauts fonctionnaires comme vos parents Manon et Pauline, directeurs d’entreprises n’est-ce pas Jessica, Nathalie, Jérémy ou encore législateur, procureur et juge pour Aurélie, Will et Thibaut. Vos parents ont fournis des efforts en commun pour stopper quelques marchés illégaux. À cause de vos parents, mon boss trouve que son business est menacé. Il nous a chargé de retrouver des témoins qui lui ont directement ou indirectement gêné dans ses petites affaires. Alors bien-sûr pour le moment, il n’y a rien de grave donc ça devrait bien se passer. Mais comme c’est un homme prévoyant il préfère ne prendre aucun risque. Il est à la recherche de la liste des témoins et aussi de certains dossiers le concernant que la justice ne veut pas lui communiquer. On a cherché partout et apparemment vos géniteurs se seraient amuser à cacher tout ça par vous. Avez-vous compris la situation ?

  • Mmpphmm !! répondirent les prisonniers tous ensemble.

  • Bien, on va vous enlever vos bâillons un par un et vous allez nous dire où peut se trouver tout ça. On a tout notre temps devant nous. Officiellement, Aurélie est chez Will pour encore 4 jours pour ses vacances fit-il avec un sourire. On va commencer par Aurélie, elle est depuis longtemps bâillonnée et ça lui fera du bien de pouvoir parler. À toi de jouer 3. On t’écoute ma belle ! 3 enleva le bâillon boule de la danseuse. Elle prit plusieurs inspirations avant de répondre :

  • Sincèrement j’en sais rien, ils me parlent jamais de ce qu’ils font au boulot.

  • Tu es sûre ? demanda 2. Tu peux pas nous dire s’ils utilisaient ton ordi, ton portable ou avaient un comportement bizarre ?

  • Même si je le savais, je te foutrais ton info dans le c** mmphpmmmmm !! Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que 3 lui remit son bâillon boule, il sera le cran au maximum. La diablesse se secouait frénétiquement dans sa camisole.

  • Mauvaise réponse dit 2. À chaque comportement de ce type, l’un d’entre vous en subira les conséquences. 4 grand « clac » se firent entendre. 2 avait pris la cravache et avait frappé 4 fois Thibaut sur ses cuisses.

  • Humppggm !! gémit-il.

  • À ton tour mon grand ! s’exclama 2. Elle lui enleva son bâillon composé du foulard et de la balle en latex.

  • Putain tu sais que ça fait mal ta saloperie ? râla t-il.

  • Pas ma faute, j’ai trouvé la cravache près du sac de Nathalie.

  • PPff j’étais sûr qu’elle y était pour quelque chose. Elle peut pas s’empêcher de m’énerver ! Tu verras Nathalie, après on en rediscutera.

  • C’est très touchant tout ça mais tu peux répondre ?

  • Oué oué oué, alors alors … je vois pas. À la limite ils auraient peut-être mis des trucs dans mon ordi mais ça ça m’étonnerait.

  • Pourquoi ? demanda 1

  • Disons que mes parents sont vieux et qu’ils connaissent rien à la technologie et s’ils avaient osé toucher à mon ordi, je l’aurais su !

  • On va vérifier vos ordis, bonne idée. 4 tu peux aller les chercher ? Elle partit …

  • Bonne chance mec ! J’ai des protections de partout tu peux me croire.

  • J’imagine, mais tant qu’on aura pas tout découvert vous resterez à notre merci

  • Et m e r d e !

  • Comme tu dis. C’est tout ce que tu as pour nous ?

  • Non ! Tu connais le code « papier » ?

  • Dis moi tout.

  • C’est quand tu es dans une piscine et que tu n’as pas pieds !!! HHiiiiihiiihhhhiiiii il se tordit de rire avant de se faire de nouveau bâillonner par n° 2.

Tous ses amis soupirèrent d’exaspération.

  • Dites-moi il fait souvent ce genre de blague ? demanda t-il Tous acquiescèrent du mieux qu’ils purent. L’intéressé avait du mal à contenir son hilarité. Heureusement qu’il avait son bâillon.
  • Nathalie, à ton tour ! Il lui enleva ce qui lui entravait la mâchoire (morceau de soie sur le bas du visage, bâillon boule noir et le tissu à l’intérieur de sa bouche).
  • Ça fait du bien ! Tu sais que je commences à avoir mal de partout ? Alors tout ce que je sais c’est que mon père range tous ses dossiers dans un de ses bureaux chez moi mais c’est très surveillé, il a des caméras à l’intérieur reliées à un centre extérieur de mon domicile. Sans parler des clés et du lecteur d’empruntes digitales.
  • On sait tout ça, mais il l’a pas accès à autre chose à un truc de ton quotidien ?
  • Ma sellerie d’équitation mais c’est tout.
  • Très bien, à ton centre équestre ?
  • À ton avis gros sac à bière ? fit-elle d’un ton insolent
  • Répète ça ? !!
  • Sac à vin ? Sac à merd** mmmpphmmmmmmmmm !!!! N’aimant pas cela, numéro 1 lui remit l’intégrale de son bâillon en serrant bien fort.
  • 2 tu peux choisir ta cible. Elle choisit cette fois Jessica, elle lui cravacha 6 fois ses fesses et remit le vibromasseur en marche au 3 quart de sa puissance. Jess ne se fit pas attendre longtemps pour essayer de se dégager, ses gloussements et gémissements se firent très fort mais étouffés par le bâillon.
  • Voilà ce qui arrive quand on est pas coopérative … Pour toute réponse, Nathalie lança un regard noir en direction de celui-ci.
  • Bon 4 est revenue, on va tous interroger nous même un chacun, ça ira plus vite. 1 se dirigea vers Manon 2 vers Jessica 3 vers Pauline Et 4 vers Jérémy

Will commençait seulement à se réveiller …

Numéro 1

  • Alors Manon, tu te sens bien ? Pas trop à l’étroit ? Il titilla l’entrejambe de la jeune fille, passa sur son crotchrope en insistant de plus en plus. La gymnaste déjà échauffée ne tint plus et gémit plus longuement que d’habitude. De colère ? d’indignation ou d’excitation ? Surement un peu des trois se dit-il.
  • Mmm!!!!! ** ! MMmmmm**
  • J’imagine que tu aimerais peut-être être un peu plus détendue non ? Évidemment Manon ne put faire un signe de tête à cause du lien qui reliait son bâillon à son crotchrope. Celui-ci d’ailleurs l’empêcher de trop bouger.
  • Ce que je te propose, lorsque 4 va enlèvera le cadenas qui te relis à ton ami, j’enlèverai ton bâillon et tu répondras à mes questions. Si tu résistes, je te remet ce bâillon, je tend la corde au maximum pendant 1 minute et je reposerai ma question. C’est d’accord ? Tu peux couiner 1 fois pour dire oui.
  • M! -Très bien, alors par où penses-tu que tes parents ont pu nous cacher des choses ? Ces questions vent pour vous 2 dit-il en désignant Manon et Jérémy 4 décadenassa et il put retirer le bâillon. Après plusieurs halètements et plusieurs prises de goulées d’air, elle répondit :
  • Mon père et ma mère travaillent souvent ensemble chez moi. On a une habitation secondaire. Lorsqu’on y va et quand ils travaillent, moi et Pauline on a l’interdiction de les déranger. Ils traînaient souvent dans notre chambre ceci dit.
  • Ou se trouve cette « habitation » ? Et combien de fois y allez-vous ?
  • Elle se situe à Paris dans le 1er arrondissement, près de la place Vendôme. Et on y va presque 2 fois par mois.
  • Et bien ! Ça ne se refuse rien les hauts fonctionnaires ! Tu as d’autres idées ?
  • Et bien non c’est tout ce que je vois mais ..MMPPHM !!!!! fit-elle en secouant sa tête un maximum… N°1 avait remis son bâillon en le reliant une nouvelle fois à son crotchrope.
  • C’est bon pour toi mais laisse moi en profiter un peu !

Après cette déclaration, il caressa les jambes de sa captives, lui chatouilla les côtes et le bas ventre pendant plusieurs secondes. Ceci fut une t o r t u r e pour Manon qui est très chatouilleuse. Elle essayait de gigoter un minimum car à chaque mouvements vifs, une intense vague d’excitation la submergeait de plus de plus en plus. Elle ne voulait pas le montrer à son ravisseur mais elle n’y pouvait quasiment rien. Il lui enleva une seconde fois son bâillon.

  • Pourrais-tu me donner les codes de ton compte bancaire s’il te plaît ? On demandera ça aussi aux autres.
  • 13456 et 4567. Le code de ma carte bleue est aussi 4567.
  • Merci ! Il lui remit son bâillon et en profita cette fois pour palper la jeune fille sur son buste et claque ses mains plusieurs fois sur ses fesses malgré les protestations de celles-ci.
  • Arrête de râler, je le vois que tu aimes bien ça, ça se voit se moqua t-il. Ces paroles énervèrent Manon car l’individu n’avait pas tout à fait tord…

Numéro 2

  • Salut Jessica ! désolé pour cet accessoire mais il me paraissait indispensable pour quelqu’un comme toi se moqua la cambrioleuse. Elle manipula son smartphone et le vibromasseur arrêta de fonctionner. Le long soupir de soulagement de la cavalière se fit entendre.
  • Je vois que tu es prête pour parler. Je veux avoir ta carte, ton code et tes identifiants de ton compte bancaire. Je t’avoue que le reste et les papiers du bosse je m’en tape un peu. Je compte sur toi pour ton silence fit-elle avec un sourire en coin. Une fois délivrée de sa muselière, Jessica put enfin respirer correctement. Elle bougea sa mâchoire plusieurs fois avant de répondre :
  • La carte est chez moi, les ID : 6554 et 68870. S’il vous plaît vous mmhhmmm ! Évidemment, aveuglée par le bandeau elle ne pu voir sa ravisseuse lui remettre son bâillon harnais. 2 décida d’être clémente, elle détacha le vibro masseur sur jessica et changea sa position : elle lui lia les chevilles et poignets croisées et pris une corde pour les reliées pour donner un hogtied esthétique. Les cordes blanches s’unissaient avec la tenue de concours de Jessica. 2 sourit intérieurement en pensant à ce qu’elle allait faire à Nathalie … Elle se dirigea vers la jeune cavalière toujours dans son corset, son legbinders et armbinders en mettant en avant le vibromasseur et lui sourit en même temps. Voyant ceci, Nathalie commença à se débattre et à gémir fortement sous son bâillon …

Numéro 3

  • Que vais-je faire de toi ? demanda 3 à Pauline en lui tapotant les fesses.
  • Ça fait longtemps que tu as cette cagoule et ton affreux bâillon gonflable, si tu veux je peux te l’enlever à quelques conditions, tu m’entend ? Elle fit un hochement de tête positif
  • Je veux tout savoir sur tes identités bancaires et du liquide en ta possession dans un premier temps. Ensuite tu me diras où tes parents peuvent cacher ce qu’on cherche. J’attend à ce que tu sois coopérative sinon tu sais ce que fera numéro 4 avec sa cravache. Ceci dit, j’aime beaucoup ta tenue, elle te va à ravir ! Peut-être que je trouverai mieux qui sait …

La jeune gymnaste ne put s’empêcher de faire un mouvement de recul en entendant ces mots. Numéro 3 décadenassa la « serrure » de la cagoule, enleva la partie qui masquait les lèvre de la jeune fille et dégonfla le morceau de latex emprisonné dans sa mâchoire. Avant qu’elle n’ai pu dire un mot, 3 lui boucha les deux trous au niveau des narines et l’obligea à boire de l’eau. Il fit attention à ce qu’elle ne s’étrangle pas.

  • Je pense que ça peut te faire du bien, ce truc doit assécher la bouche ! Essai de parler , si tu en veux plus dis le moi …
  • Je veux bien croassa t’elle mais un peu plus doucement

Il lui en redonna mais cette fois-ci moins brusquement. Son récit ne se fit pas très différent de sa soeur. Elle lui communiqua son code et l’emplacement de sa carte bancaire et répéta à peu de choses près les mêmes dires que sa soeur. Une exception près : ses parents discutaient beaucoup avec des membres de la direction de son conservatoire. Des discussions à caractère professionnel si elle ne se trompait pas.

  • Bien, maintenant passons à la suite mais je veux que tu te taises ou sinon je te laisse comme ça pendant le reste de la nuit !
  • Ok dit-elle en déglutissant …
  • Tu as pas respecté la règle s’exclama t’il en riant Il remit dans un premier temps la balle de latex dans la bouche de Pauline et la gonfla au maximum. D’après les gémissements de la gymnaste, il sut que celle-ci n’était pas très heureuse de son coup.
  • Le temps que je sorte ce qu’il faut et je te donnerai une bonne raison de me détester ma puce ! Il partit de la pièce en sifflotant pour récupérer 2-3 équipements. Au final la soirée serait des plus agréable …

Numéro 4

  • Salut petit gars ! tu trouves que ta position est confortable ? demanda 4. En retour le garçon fit un grognement qui manifestait sa désapprobation.
  • Je te trouve bien ingrat , je te met en charmante compagnie et voilà comment tu me remercies ! Elle lui toucha les parties intimes de son anatomie et le garçon devint immédiatement rouge. Excitation ou colère ? se demanda 4. Elle sourit lorsqu’elle sentit que malgré lui et comme son amie Manon, ses instincts primaires reprenaient le dessus durant son ligotage. Les yeux noisettes de la jeune fille étaient attirés par les bleus de Jérémy. Elle attendit que 1 conclue son discours. « -Très bien, alors par où penses-tu que tes parents ont pu nous cacher des choses ? Ces questions valent pour vous 2 dit-il en désignant Manon et Jérémy. 4 décadenassa et il put retirer le bâillon ».

Elle prit un malin plaisir à laisser le bâillon sur le garçon. Numéro 4 s’amusait à le titiller de toutes parts (fesses, jambes, bas du ventre principalement) . Celui-ci n’aimait pas son châtiment mais devenait de plus en plus énergique sans le vouloir.

  • Je serai brève, je veux juste que tu nous réponde bien gentiment. Je vais t’enlever ta muselière et attention si tu ne répond pas correctement, tu risquerai d’avoir mal.

En prononçant ces mots elle crocheta de sa main droite les parties génitales du garçon et serra assez fort pour lui faire comprendre qu’elle pouvait aller plus loin mais trop peu ferme pour lui faire vraiment du mal. Elle sentit une petite chose devenir de plus en plus dur et la gêne du jeune homme s’agrandissant. Il devint plus rouge qu’il ne l’était déjà. Après l’avoir libéré du bâillon, elle lui ébouriffa sa tignasse blonde.

  • C’est bien gamin, maintenant à ton tour. Il eu du mal à commencer.
  • Mes parents ne sont pas très présents chez moi à cause de leur boulot. Par contre à ce que je sache, ils viennent régulièrement dans un restaurant où ils connaissent très bien les patrons. Sinon la plupart du temps je navigue entre ma chambre de pension et le domicile fixe. Par contre je traîne souvent chez Thibaut, à part ça j’ai plus rien à dire.
  • Tu es sûr ? demanda 4, elle le bâillonna une nouvelle fois de sa main gauche et serra plus vivement sa main droite. La réaction de jérémy ne se fit pas attendre longtemps, il gémit fortement et essaya de se dégager par tous les moyens. Il bougeait beaucoup au niveau du bassin et de ses postérieurs.
  • Je vais prendre ta réponse comme un oui. En attendant je te remet ça -elle lui renfila son bâillon harnais en cadenassant une nouvelle fois les deux tourtereaux .

XI) Le réveil

Will gémit et commença à bouger dans ses liens.

  • m e r d e je l’avais oublié celui-là, on s’en occupe comment ?
  • On voit comment il réagit et s’il est prêt à nous répondre. proposa 1 Il installa le jeune homme à côté de Nathalie, celle-ci s’est fait installer le vibromasseur par n°2. Il était pour le moment non déclenché. La captive essayait de se débattre pour l’enlever mais il était trop bien accroché. Numéro 2 donna 3-4 petites baffes sur les joues de Will pour que celui-ci se réveille. ——— Will se sentit happer de son sommeil. Il se sentait toujours stone mais réussis à ouvrir les yeux. Il bougea la tête de gauche à droite et vit Nathalie équipée bizarrement. Pourquoi bougeait-elle dans tous les sens en tremblant comme ça ? Il entendit des voix et sentit des picotements dans ses joues
  • Tu m’entends ? fit 1
  • Gmmphmmmm …. Pourquoi aucun son sortait de sa bouche ? Il sentit quelque chose se desserrer et sortir de celle-ci. Il essaya de parler mais il eu du mal
  • QQuuooi ?? demanda t’il ?
  • Putain mais vous avez a b u s é sur la dose ! J’ai l’impression qu’il est bourré ! râla 1
  • Ou qu’il a trop fumé … rétorqua n°2.
  • Je crois savoir ce qu’il faut dans ce genre de cas pensa 4 à voix haute. Elle alla chercher dans la cuisine une casserole qu’elle remplit d’eau froide. Elle versa brusquement son contenu sur la tête de Will en évitant de l’éclabousser. Ce serait désagréable de l’attacher s’il est mouillé pensa t’elle …
  • MMOOUHHAHAAA ! BANDE D’ENC**** MMMPhmhmmm ! ggmmm ! Le bâillon boule se relogea dans sa bouche grâce à 2.
  • Et voilà ! Merci 4. Alors Will je t’explique : on peut faire ce qu’on veut sur tes amis, ils sont à notre merci.
  • Mpgm !
  • On aimerait juste savoir 2, 3 trucs. Ou est l’argent que planque tes parents et que sais tu sur ses petites affaires actuelles ? Il fit un geste et 2 enleva la boule.
  • Euuh j’en sais rien et j’en saiiiis riiiiiien.
  • Tu es sûr ? demanda 2. Si tu nous mens, tes amis risquent de passer un sale quart d’heure … Puissance maximale ! dit-elle en rigolant. Vous êtes prêtes les filles ?
  • Mpphmm ?! Nathalie sachant ce qu’elle préparait se débattait comme une diablesse. Mais que voulait dire la cambrioleuse par « vous êtes prêtes les filles » ? Numéro 2 appuya sur ce qu’il crut être un smartphone et dès cet instant, Will entendit des forts gémissements venant de toute la pièce. Nathalie en se débattant tomba sur le jeune homme , tête la première sur ses jambes. Il se demandait ce qui pouvait bien lui arriver et remarqua par la même occasion qu’elle avait un legbinders et armbinders sans oublier son corset. Mais qu’est ce qui se passe ?

Il se rappela de Pauline, celle-ci était toujours à sa place mais était bien mieux ligotée qu’auparavant. Il avait du mal à distinguer son visage quand il vit que Pauline était équipée d’une cagoule ! Un cadenas était posé sur l’arrière de la nuque bloquant 2 lanières, sûrement les yeux et ce qui fermait sa bouche pensa t’il. Elle aussi tremblait et essayait vainement de sortir de ses liens. Il n’entendait quasiment aucun bruit venant d’elle à part le bruit de ses pieds nus sur le sol. Il ne put s’empêcher d’apprécier le physique de la jeune femme « voltigeuse ».

La tenue de Nathalie lui allait à merveille … Il secoua sa tête en essayant de sortir cette pensée de la tête mais ce fut difficile. Jessica à terre aux pieds de la danseuse dans un frogtied bien réalisé. Celle-ci avait l’air plutôt calme mais elle avait l’air essoufflée. Il se demanda bien pourquoi … Il remarqua à peine les Manon et Jérémy liés dans leur hogtied et jeta un oeil sur sa gauche. Thibaut et Aurélie ?! Comment ? Ils étaient tous 2 attachés sur une chaise dans une camisole de f o r c e . Les gémissements de ce côté venaient d’Aurélie. La danseuse toujours dans sa tenue (collants noirs et chaussons) n’avait pas l’air de bouger mais il remarqua qu’elle tremblait elle aussi comme Nathalie et Pauline. Il le comprenait pas leur situation et se sentit très fatigué tout un coup. Il commença à se rendormir quand il sentit deux brûlures sur ses joues. La boule avait disparu semblait-il.

  • Tu vas pas recommencer ! fit 1
  • Recommmenncerr quuoi ?
  • Putain mais il est pas possible ! 2 et 4 questionner le pendant que moi et numéro 3 on va fouiller un peu partout. Liquide, bijoux, la totale quoi. Tu viens 3 ?
  • Je termine de poser ça - il mit à terre plusieurs autres équipements- , c’est bon j’arrive!
  • On vous laisse 2 et 4, bonne chance !
  • Merci fit 4 avec un grand sourire. 2 tu peux expliquer la situation à Pauline et Aurélie ? Elles ont l’air surprise de ce qu’ils leur arrivent … Effectivement, la tête d’Aurélie montrait bien cette surprise. Elle ne pouvait pas bouger des jambes et son torse était attaché au dossier de la chaise avec le même scotch résistant qui liait Will.
  • C’est de la faute de 3 dit l’intéressée. C’est un petit inventeur de génie. Il a réussis à glisser à l’intérieur de vos s a n g les qui vous touche l’entrejambe une sorte de vibreur long large et plat. J’en connais pas plus niveau techniques donc c’est tout ce que je vous dirai. Je vous rassure les filles, vos garçons auront aussi droit à quelque chose … Pendant ce temps je vous laisse les filles dans votre plaisir (un regard noir d’Aurélie lui faisait pensait le contraire) et discuter avec Will !
  • C’eesttt mmoii wiiiillll

Ça n’allait pas être facile …

XII) Dernier interrogatoire et avertissements.

Pendant que 1 et 3 fouillaient la maison, 2 et 4 profitèrent ce laps de temps pour essayer de faire immerger Will de son état. Après avoir tout essayer (baffes, secousses eau froide, glaçons, cris etc) elles décidèrent d’attendre que le produit termine de faire effet. Pendant ce temps là elles décidèrent d’arrêter de taquiner les 3 filles. Elles voulaient garder encore un peu de batterie. De plus, si Will répondait correctement elles n’auraient rien à craindre … enfin de base. Au bout d’une dizaine de minutes, Will se réveilla « presque » pour de bon et elles purent commencer.

  • Ça y est ? Tu es bien réveillé ? demanda 2 en ébouriffant les cheveux du jeune homme
  • HHeuuu je crois que oui, avec un putain de mal de crâne
  • C’est pas très bon mais on va faire avec ! dit 4 pour sa collègue.
  • Alors je pense que tu as compris la situation ? commença 2
  • À peu de choses près, oui répondit Will.
  • Si jamais tu fais quelque chose de bête, tes amies risquent de t’en vouloir … Elle appuya de nouveau sur son smartphone et des gémissements étouffés se firent entendre durant 10 secondes et désactiva l’engin. Elle le posa sur le canapé à 1 mètre de Nathalie. Celle était cette fois assise sur le canapé attendant la suite.
  • Ok ok. Vous voulez quoi ?
  • Tu connaîtrais quelques affaires de ton père ? Au niveau professionnel bien entendu, ou il range certains dossiers etc …
  • Alors là, vous trouverez rien de tout ça ici je peux vous le dire !
  • Et pourquoi ça ? s’empressa de demander n°4
  • En fait c’est simple. C’est à cause de moi.
  • Continue … dit 2
  • Disons qu’il y a quelques années, en jouant dans son bureau j’ai pris certains documents de mon père, j’en ai déchiré une bonne partie et le reste est allé dans le barbecue comme allume feu. Depuis il ne met plus aucun document de son boulot dans cette maison. J’ai pas envie de dire, mais c’est con pour vous …
  • Alors celle-là je m’y attendais pas ! s’exclama 2. Et sinon tu saurais pas où il aurait une autre « planque » ?
  • Je vous l’ai dit, depuis ce temps il me fait plus confiance donc on en discute jamais et alors ben j’en sais rien.
  • Tu es chiant comme gamin ! râla 4
  • Et encore ! Vous connaissez pas touuuuutttt wwoouuaaahhhh
  • Et mmerrde. Il recommence à divaguer. bon on passe à la suite ? fit 4 à numéro 2. Je pense qu’on en a fini pour ce soir. Il saura rien et dans son état il peut pas mentir. En tout cas 1 et 3 ont l’air d’avoir trouver ce qu’ils cherchaient !
  • Je confirme ! tous le monde entendirent la voix de numéro 3 dans les micro. Commencez à vous occupez de Jérémy et Manon le temps qu’on mette tous ça dans la bagnole. Au final y’a pas grand chose, le procureur n’est pas si riche ! ironisa t’il.
  • À l’attaque ! se réjouit 2. Elle se dirigea directement vers Manon, décadenassa le cadenas et lui détacha les liens qui reliaient sa taille à ses chevilles. 2 et 4 décroisèrent les chevilles et resserrèrent aussitôt les liens. Elles les firent se relever. et de par leur posture peu pratique, Manon et Jérémy faillirent tomber sans l’aide des 2 inconnues pour les soutenir. 2 et 4 avaient déjà une petite idée depuis quelques temps concernant ces deux là …

Elles obligèrent les deux prisonniers à se déplacer à pied joints tout en les faisant sautiller. Elles s’amusèrent lorsqu’ils prirent les escaliers. 2 tirait sur la corde tendue du crocthrope donnant des soubresauts à chaque tension et à chaque sauts de Manon. Jérémy faisait aussi de son mieux vu sa situation. Arrivés sur le premier palier, elles préparèrent deux mouchoirs en les inhibant de produit. Voyant ceci, le garçon et la fille essayèrent de se soustraire au tissu sur leur visage. Rien n’y fit et ils plongèrent lentement dans une somnolence appuyée. -Ça c’est pour que vous soyez tranquilles ! leur expliqua 2. -Ça durera pas plus de 5 minutes, faut se dépêcher.

Lorsqu’ils arrivèrent à la première chambre venue, les 2 ravisseuses les firent tomber sur le grand lit qui se trouvait dans la pièce. d r o g u é s comme ils l’étaient, ils n’essayèrent même pas de se débattre.

  • On fait comme on a dit ? fit 2 avec un sourire.
  • Évidemment …

Manon et Jérémy furent placés sur les flancs et dos à dos. Elles relièrent avec une corde blanche les liens de leurs chevilles (en passant entre les noeuds déjà existant); firent de même avec leur genoux et cuisses. Pour leurs mains, elles choisirent de relier leurs poignets en les croisant. Une fois fait, 2 s’amusa à faire un noeud avec une nouvelle corde autour des poignets de Manon, plaça ceux-ci vers le bas de son cors et passa cette corde sous son entrejambe. Elle répéta l’opération une seconde fois avec une corde plus souple. Une fois une autre couche d’épaisseur obtenue, elle passa le reste des cordes entre les jambes du jeune garçon en faisant attention à ses parties.

Elles croisa deux bouts de corde pour bien caler sa verge sur l’aine et termina par un tour sur sa taille. La seconde corde était plus souple pour éviter de blesser les parties intimes du jeune homme. Comme quoi n° 2 faisait attention … 4 copia n°2, après avoir croisé les poignets de Jérémy et enrouler les autres cordes, elle attendit que sa collègue en finisse avec Manon et put enfin faire de même. Quant à elle, elle fit passer ses liens entre les jambes au dessus du crotchrope et serra les bouts de corde restants autour de sa taille. Pour le final, elles tirèrent les deux « baillons harnais » des jeunes en arrière et recadenassèrent cette fois sur les deux anneaux au dessus des harnais. Les deux jeunes étaient immobiles quant à leur position liés entre leur jambe, les baillons ramenés vers l’arrière ne leur permettait à peine de geindre. Sans compter que leur liens aux poignets allés tiraillaient leur entrejambe : dès que Manon bougera, ceci créera une pression sur l’entrejambe de Jérémy et vice versa.

Elles attendirent qu’ils commencent à sortir de leur état. Ce fut Manon qui bougea la première en attirant l’attention de Jérémy en un instant. Celui-ci fut étonné et essaya à son tour de se dégager ce qui crée un gloussement étouffé chez la jeune fille tremblotante; le garçon était bien plus fort qu’elle et la sensation se faisait plus … pressante. Devant leur étonnement et leur gêne manifeste, les 2 ravisseuses décidèrent de pimenter tout ça. 4 demanda :

  • Ça te dirait de masser ces gambettes ?
  • Bien-sûr ! Elles massèrent réellement leur jambes malgré les protestations. Elles commentèrent par les mollets s’attardèrent ensuite tout particulièrement sur le haut des cuisses. 4 commença à aller voir l’entrejambe du jeune homme … Celui-ci avait de plus en plus de mal à résister aux caresses de n°4.
  • Mais c’est qu’il résiste bien ce jeune homme ! C’est un bon garçon fit-elle en ébouriffant les cheveux blonds du garçon.
  • Tu crois que si on les fait trembler ça les réveillera ?
  • À voir !

Sans prévenir, 2 commença un tickling sévère sur les pieds et le reste des jambes de la jeune fille. Celle-ci très chatouilleuse et immobilisée comme elle l’était ne put s’empêcher des gesticuler dans tout les sens. L’effet fut immédiat sur le garçon et commença à pousser des cris étouffés sous son bâillon.

  • Je suis sûr que ça va venir ! Regarde comme ils bougent ! rigola 4
  • On va les laisser comme ça. Juste ne pas oublier … En disant cela, 2 mit sur les yeux noisettes de Manon et 4 sur les yeux bleus du jeune homme un masque de sommeil pour les aveugler complètement. Elles reculèrent et observèrent les 2 jeunes gens. Le résultat était bluffant, leur habits « légèrement » moulant y étaient pour beaucoup. Le pantalon de course noir du jeune homme s’alliait bien avec le legging argenté de la gymnaste et son justaucorps blanc. Leur mouvements étaient très limité et aveuglés et bâillonnés ils ne pouvaient plus faire grand chose. 2 s’approcha et leur mis sur eux la couette.
  • Bonne nuit les e n f a n t s ! Faites de beaux rêves ricana 2. Elles sortirent de la pièce et laissèrent les deux sportifs à leur gesticulation.

Thibaut et Aurélie …

  • Moi numéro 3 je vais vous montrer quelque chose fit-il joyeusement en se dirigeant vers Aurélie et Thibaut. Il leur montra un grand bâillon boule noir munit de 4 s a n g les. 2 s a n g les de chaque côté de la boule. Il le posa sur la table et se fit aider de n°1. Ils enlevèrent le scotch qui entourait le bas du ventre de la danseuse et son sternum. Par contre, ils laissèrent les cordes qui fixaient ses chevilles aux pieds de la chaise. Ça n’empêchait pas aurélie de se débattre comme une furie en bougeant dans tous les sens. 1 et 3 prirent le même produit que pour Manon et Jérémy et les appliquèrent sur les visages de ces deux jeunes. Ils se calmèrent aussitôt et furent dans le même état que leur amis plus haut … Ils défirent leur s a n g le qui retenaient leur bras.

Une fois ces deux jeunes gens entièrement détachés, ils les emmenèrent dans une autre chambre au premier étage. Ils les firent s’asseoir avec les jambes tendues vers l’avant. Ils rapprochèrent un maximum les jeunes gens jusqu’à ce leur bustes se touchent. Les bras d’Aurélie s’enroulèrent autour du torse de Thibaut et pareil pour lui. Ils purent ress a n g ler leur bras sur les outils prévus à cet effet sur le dos de chaque camisoles. Ensuite, 2 fit enrouler jambes d’Aurélie autour de la t’aille de Thib en prenant soin qu’ils se touchent même au plus proche de leur intimité …

Ses chevilles croisées furent liées avec plusieurs tours de cordes blanches. 4 fit de même avec les jambes du garçon et les deux se retrouvèrent dans une drôle de situation. Ils étaient assis en tailleur enroulés l’un sur l’autre. 3 termina en prenant son bâillon boule légèrement plus gros que d’habitude. Il l’enfonça de moitié dans la bouche de la danseuse tout d’abord et 1 f o r ç a l’autre moitié dans la bouche du coureur. 3 serra les s a n g les d’Aurélie et 1 celles de Thibaut. En serrant les 4 s a n g les au maximum, les lèvres des captifs se retrouvèrent l’une sur l’autre. Le regard de 3 s’attarda sur las jambes bien formées de la fille. Celles-ci étaient galbées grâce aux collants noir de la danseuse. Il décida de lui enlever ses chaussons de danse et du resserrer les liens par la même occasion. Ils attendirent 2 minutes le temps qu’ils se rendent compte de leur situation. Malgré leur situation, 1 voyait bien que leur position leur faisait ressortir leur instinct primaire…

  • Voilà pour vous ! s’exclama 3. Vous allez vous donner ce baiser pendant quelques petites heures j’en ai bien peur. Sur ce, on vous laisse ! En sortant de la chambre, 3 appuya sur son smartphone et entendit directement Aurélie crier dans son bâillon. Dommage pour elle, on entendait quasiment rien …

— —————— Aurélie sentit tout de suite la vibration revenir. Elle se débattit comme elle pouvait mais les liens étaient trop serrer et trop bien placer. En gesticulant, elle vit que son ami gémissait aussi. Elle se rendit compte à ce moment là que son sexe était pressé contre celui de Thibaut, elle sentit par la même occasion celui-ci devenir de plus en plus dur en même temps que son excitation montait. Malgré leurs efforts respectifs, ils ne purent se déplacer d’un seul pouce et vont devoir subir cet enlacement encore longtemps…

Will et Jessica.

  • Ils sont à la même place qu’on les a laissés ! lança joyeusement n°2.
  • En même temps où veux-tu qu’ils aillent ? railla 4. On s’occupe de qui ? En tout cas pas de Pauline, c’est 3 qui veut l’avoir. -mmphmm ! fit l’intéressée
  • Quoique tu fasses ma jolie, ce sera comme ça et puis c’est tout lui répondit 2 un sourire aux lèvres. -Bon on choisit qui ? Je pencherai bien pour Will et Jessica.
  • Ok on fait comme ça !

Elles voulurent tout d’abord s’occuper du jeune homme, le plus gros en premier comme on dit … Pour le moment il était toujours immobilisé dans ses liens (scotch noir très résistant et bâillon). Comme les autres, elles voulurent le placer correctement sur un lit pour plus de facilité. Par contre, elles ne le droguèrent pas une seconde fois, la dose de n°3 étant trop forte, une autre dose pourrait s’avérer trop dangereuse pour sa santé. Elles réussirent à le transporter jusqu’au troisième (étage des chambres de la famille ou amis proche), le mirent sur le lit occupé précédemment par Nathalie et se mirent au travail. Elles réussirent à le positionner en « croix » sur le lit, une des positions les plus classiques à l’aide de 4 bracelets en cuir épais reliés à des s a n g les. Le jeune homme en tenue de cheval fut pour le moment écartelé vers les 4 coins du lit. Ce fut non sans efforts car Will se débattait de plus en plus même s’il était encore groggy, heureusement pour les ravisseuses.

  • On te ramène l’autre paquet et en plus, tu vas avoir droit à un nouveau bâillon ! dit joyeusement 2 au jeune homme.
  • Mmmpphmm! protesta Will il trouvait que le bâillon boule était plus que suffisant
  • Oui oui oui mais tu verras, cette nuit tu ne l’oublieras jamais !

Pour la première fois de la nuit, Will était d’accord avec elle …

Elles revinrent 5 minutes plus tard avec Jessica dans les bras. Celle-ci très énervée se débattait par tous ses moyens. Mais les ravisseuses n’en étaient pas à leur premier coup d’essai. Elles la mirent sur le lit et plus particulièrement sur Will lui-même de manière à ce que son buste s’écrase sur celui du jeune homme. Les chevilles de la cavalière finirent entrecroisés grâce à plusieurs tour de corde, ses liens au dessus de ses genoux et sur ses cuisses furent remplacés par du tape noir qu’elles serrèrent un maximum en passant. 2 s' écrasa de tout son poids la cavalière toujours bâillonnée et aveuglée.

4 prit deux cordes longues, les firent passés sous le lien des chevilles de la cavalière et les attacha aux deux pieds du lit, les mêmes ou les s a n g les retenaient Will. Une fois passé cette étape, elles placèrent deux grands bracelets en cuir sur les poignets de Jessica qui se relièrent entre eux par 2 s a n g les extrêmement courtes spécialement conçues pour ce genre de cas. 4 autres tours de tape noir sur ses bras et sa taille immobilisa ses poignets au niveau de sa croupe. Elles détachèrent les s a n g les qui retenaient will sur les 2 autres pieds du lit, firent passés non sans mal autour de la taille de son amie et réussirent à lui lacer ses poignets juste en dessous de ceux de Jessica. Elles serrèrent les derniers centimètres de s a n g les autour des poignets de la fille. Leur position était originale : Jessica allongée sur le ventre de Will, celui-ci touchant avec ses mains l’arrière de sa belle amie. Au vu de leur réaction, ça devait être légèrement gênant pour eux.

  • 2 , on aurait pas oublier quelque chose pour ces deux là ?
  • si si ! le bâillon et la surprise pour la jument ! elle ne put s’empêcher de rire pour sa dernière blague …

2 sortit de nulle part le même bâillon que portait jessica : un bâillon boule harnais dont la boule était recouverte par une épaisse couche de cuir qui cacher l’intégralité du bas du visage en s’arrêtant sous l’arrête du nez. Le garçon essaya de se débattre mais les 2 femmes étaient trop expérimentés pour se laisser faire. Une fois mis, le cavalier fit de gros yeux sous l’effet extrême du bâillon, celui-ci pouvait tout au plus sortir quelques couinements. Il se demandait par ailleurs comment faisait Jessica pour tenir depuis si longtemps … 4 enleva le bandeau qui recouvrait les yeux de la cavalière, et lui glissa quelque chose entre les cuisses. Will prit aussi peur et gémit en même temps que la jeune femme.

  • MMpphhmmmmmmm! protesta celle-ci
  • Et si ! comme pour tout à l’heure mais avec ton compagnon juste en dessous !
  • J’allume ! s’écria 2

Jessica ne pouvait s’empêcher de se déhancher pour essayer de se soustraire aux vibrations intenses mais faisant ceci, son ami était aussi soumis aux frottements qui le faisait trembler. Surtout que son sexe était très proche de celui de Jessica. et ses mains sur la croupe de la jeune fille n’ l’aidaient absolument pas pour calmer ses pulsions. ils savent tous 2 que si tout ça ne s’arrêtait pas prochainement, ils succomberaient à un plaisir intense, ils se retrouvaient donc tous 2 dans le même cas .

  • On va maintenant s’occuper à 4 de vos amies restées en bas ! Après ça, on va s’absenter durant 1 heure ou 2 le temps de compter ce qu’on a gagné et le temps de retirer l’argent. Après on reviendra vous sortir de là. Aussi, les vibrations devraient s’arrêter sous seulement 1h30 à 2 heures. Plus vous bougez, plus ça vibre.
  • Alors restez bien sage et immobile ! conseilla 2
  • MMpphhmmmm leur firent les 2 prisonniers mécontents et bien évidemment excités à la fois. Plus facile à dire qu’à faire pour eux se dirent-ils silencieusement en se jetant un profond regard ...

Nathalie et Pauline

Malgré ses cris étouffés et ses protestations, Pauline ne pouvait faire grand chose face à son assaillant « le numéro 3 ». Après avoir était quasiment suspendue à cause de ce maudit harnais, voilà que l’homme voulait en rajouté ! Cette cagoule affreuse l’empêchait de voir, de crier et en plus de respirer normalement. Jamais de sa vie elle n’avait eu à subir ce genre de bâillon ! Cette chose gonflable dans sa mâchoire avait un goût désagréable et l’empêchait d’émettre le moindre son.

Tout un coup, elle sentit ses liens qui la retenaient au plafond se détacher et fut rattrapée par 3 avant qu’elle ne tombe lourdement sur le sol. Sans savoir pourquoi, elle fut plaquée sur le tapis de la pièce et tous ses liens disparurent petit à petit. Sentant cela, elle essaya de remuer pour gêner n°3 mais une claque sur ses cuisses l’arrêta :

  • Dis moi, où tu peux aller avec cette cagoule sur la tête ? lui demanda t’il . Ah oui … nulle part ! Et tu as oublié qu’un cadenas t’empêche de faire toutes choses stupides ?
  • Mpphmmmm,, …. elle se sentit idiote tout un coup.
  • Alors tu vas rester allongée bien gentiment et après je t’enlèverai ton bâillon. Compris ? 3 prit son silence comme une affirmation.

Pauline sentit qu’on lui prenait ses pieds et jambes pour les enfoncer dans quelque pose de long et d’étroit. Elle sentit par la suite quelque chose se resserrer sur elle et monter de plus en plus vers sa taille et son buste. Vint au tour de ses bras, ils furent enfermés dans des sortes de manches et ses bras se croisèrent comme sur une camisole. Elle sentit un noeud se faire dans son dos et enfin , l’équipement que lui mettait 3 finit sa course au niveau de sa gorge. Elle fut retournée assez v i o l emment et fut serrée par des lacets qui se trouvaient à l’arrière. Au final elle se retrouvait complètement momifiée.

Elle entendit le déclic du cadenas, la diminution de volume de ce qu’elle avait dans sa bouche et enfin sa cagoule fut enlevée. Elle regarda ce que lui avait mis l’homme et fut prise de panique en se voyant enserrer dans une sorte de grande combinaison qui lui allait des pieds jusqu’en dessous de la tête.

  • Et voilà ! Je te trouve très belle comme tu es …
  • C’est sé..rré !
  • Évidemment, ce serait dommage que tu t’échappes répondit-il. Avec les fils qui te retiennent, tu risques pas de t’enfuir haha !
  • Pourq.. mmphmmm!

Elle n’eut pas le temps d’en dire davantage qu’un bâillon boule se logea profondément dans sa mâchoire. Mais c’était celui que portait Nathalie ! Dégoûtée elle voulut l’enlever mais la boule obstruait parfaitement sa bouche. Elle vit ensuite l’homme se dirigeant vers Nathalie et lui enfila la cagoule que Pauline portait il y a moins de 3 minutes. Elle eut de la pitié pour son amie car le bâillon était vraiment sévère …

  • Et voilà pour la cavalière ! Ça t’apprendra à insulter le chef de gros sac à bière ! Bon c’est pas tout mais nous on va partir. Aller hop , au lit tout le monde !

Elles furent transportées toutes deux sur un lit dans la même chambre où se trouvaient Aurélie et Thibaut. Pauline remarqua que la danseuse était très rouge et que les 2 dans les camisoles gesticulaient énormément. Pauline et Nathalie qui n’aimait pas son nouveau bâillon furent juste placés sur le lit l’une à côté de l’autre sans autre lien. Si elles bougeaient trop, elles risquaient de tomber à terre donc mieux valait rester tranquille …

Tous restèrent un peu plus de 2 heures dans leur positions respectives. Après ce laps de temps, les cambrioleurs rebranchèrent le courant de la maison. Nos 8 jeunes se retrouvèrent menottés et attachés sur les chaises où ils ont joué à leur jeu de rôle plus tôt dans la soirée. Tous leur équipement ont été enlevés et ils se retrouvèrent dans leur tenue qu’ils avaient de base. Leur bâillons se limitaient à un morceau de tissu et des tours de scotch. Après un long discours, 1 finit par cette phrase :

  • N’oubliez pas, ne dîtes rien sur ce que vous avez subis cette nuit, à part qu’on vous a extorqué de l’argent et menottés comme vous l’êtes maintenant. Dans 2 heures, des policiers viendront vous donner un coup de main. Faites attention ! Pas un mot sur le patron et sur nos recherches, si vous lâchez un mot on le saura très rapidement et on reviendra vous voir … Sur ce, bonne semaine !

—————— Les cambrioleurs se séparèrent en 2 groupe pour évacuer les lieux. Une discussion commença …

  • Et bien j’en passerai beaucoup de ses soirées ! lança 2
  • Pareil pour moi ! Finissons-en, ça fait environ 2000 euros pour tous, on peut dire que c’est rentable. Fait gaffe 2, on est pas encore en zone sécurisée, évite d’enlever ta cagoule !
  • Roh ça va, on a rien à craindre ! lança celle ci en se recoiffant ses longs cheveux noirs. Une cicatrice se trouvait sur la longueur de la joue droite de la femme d'une trentaine d'années. Je retourne chez moi, et oubliez pas de regarder la télé demain ! Je vais interroger notre cher n°1 lui dit-elle en lançant un clin d’oeil.

À la télévision :

  • Capitaine, pouvez-vous résumer ce qu’il s’est passé cette nuit chez le procureur ?

  • C’est simple, son fils avait invité ses amis pour passer une soirée. Au cours de la nuit, des individus cagoulés sont entrés par effraction dans la maison et ont agressé ces jeunes gens. Ils les ont menacé qu’ils feraient du mal à leur amie Aurélie s’ils essayaient de se défendre. Au final, les 4 cambrioleurs les ont tous attachés, menottés et bâillonnés dans une des pièces de la maison pour qu’ils puissent commettre leur méfait.

  • Ont t'ils été blessés, choqués ?

  • Ils n’ont aucune blessure et n’ont pas l’air d’être choqués. Ils vont bien psychologiquement mais on ne sait jamais, des psychologues vont bientôt les écouter.

  • Merci capitaine de m’avoir accordé du temps, je suis sûr qu’on va bientôt réentendre parler de ces jeunes dit la journaliste balafrée avec un sourire.

  • J’en suis sûr aussi déclara le capitaine, au cas où, ils auront toujours 2 accompagnateurs lorsqu’ils se regrouperont de nouveau. Un homme et une femme dont leur identité resteront confidentielles …

FIN

Auteur moimoi2

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