Une rencontre BDSM originale

Catégories : Sodom Facesitting lèche Gode ceinture strapon Bondage Shibari Kinbaku Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem Hommes fessés
il y a 3 ans

L’histoire d’une rencontre BDSM avec une jeune dominatrice surprenante.

Dans cette très jolie histoire d’amour, le pauvre garçon va aller de surprise en surprise de taille XXL et devenir fou amoureux de son initiatrice. Il ne tardera pas à se retrouver sous cage de chasteté et à découvrir des pratiques qu’il acceptera par amour.

.................

Surfant sur mon ennui et mes fantasmes en cette période de pandémie, j’étais à la recherche d’une rencontre BDSM. Mon idéal était de rencontrer une maîtresse, ou une jeune fille à éduquer par la fessée. Sur Fessestivites, un soir je tombe sur l’annonce d’une fille âgée de 28 ans se disant dominatrice. Bien décidé à lui sortir le grand jeu de la séduction, j’étudie son profil avant de la contacter puis fait quelques recherches sur l’origine de son pseudo. « Domikrav ». Ne trouvant pas, je décide donc de l’attaquer par cet angle :

« Mademoiselle, le professeur d’histoire que je suis sèche, que dis-je, sors les rames pour trouver l’origine de votre pseudo. J’ai donc l’outrecuidance d’oser vous demander, son origine avant de caresser l’espoir de vous proposer d’être votre dévoué sujet. Si nos échanges de messages vous conviennent, je n’hésiterai nullement à vous confier mon numéro de téléphone si vous le demandez. En caressant l’espoir d’une réponse, je vous prie d’agréer mes respectueuses salutations ».

Oh miracle, Domikrav me répond le soir même qu’elle est dominante de nature et que son pseudo est une réduction de deux mots dont un est un sport. A la suite de quoi, elle part à la question sur ma modeste personne. Une discussion s’installe sur la messagerie instantanée. Nous avons parlé de beaucoup de choses et très peu de BDSM. !

La seule chose que je sais à propos de BDSM, c’est que lui mettre ne serait-ce qu’un soufflet sur les fesses serait dangereux pour mon propre fessier.

  • Hummm, vous titillez mon envie d’essayer, avec le respect lié à un simple petit jeu cela va de soit !

Et là, elle reprend littéralement ma réponse

  • Hummm, vous titillez mon envie de vous laisser essayer ce jeu, à vos risques et périls, cela va de soit ! Où et quand oseriez-vous relever ce défi ?

Je trouvais que cette jeune femme était particulièrement imprudente, de répondre ainsi à la provocation d’un homme.

  • Je vous propose une rencontre publique sur la plage du Prado. J’apporterai un petit pique-nique que nous pourrions partager en regardant la mer. Après cette collation, si vous me le permettez bien sûr, j’essayerai par surprise de mettre une toute petite claque respectueuse sur vos fesses, sans nul doute ravissantes.

La discussion devient de plus en plus amusante et dérive à nouveau sur de multiples sujets. Vers 1h du matin, la belle me propose de l’attendre dimanche midi face à la statue de David. Je devais être au bord du trottoir avec un livre sous le bras et mon pique-nique bloqué entre mes chevilles comme signe distinctif. Lorsque je lui ai demandé comment je la reconnaîtrai, elle m’a répondu qu’elle se présenterait à moi. Joueuse jusqu’au bout la nana !

..........

Il était midi pile, j’étais au bord du trottoir avec un bouquin sous le bras et le pique-nique pour deux dans un sac à dos posé sur le sol entre mes jambes. Soudain une moto s’arrête juste devant moi. Je râle parce qu’il y a toute la place pour s’arrêter ailleurs. Au lieu de redémarrer, son pilote fait hurler son moteur en me regardant. « fait ch... ».

  • Mais qu’est-ce que tu veux mec ?

  • Un soumis kamikaze ! Me répond une blondinette aux cheveux courts après avoir retiré son casque.

  • Domikrav ?

  • Qui tu veux que ce soit banane ! Je ne me suis pas arrêtée pour voler ton pique-nique ! Toujours partant pour casser une croûte ?

  • Bien sûr !

  • Attend ici, je vais me garer.

Quelques instants plus tard, je vois arriver la blondinette avec son casque à la main. Je dis blondinette mais ses cheveux sont plus châtains clairs, très clairs. Un mètre soixante avec ses bottes et un corps menu, je l’imagine mal en dominatrice, même si elle a un magnifique visage. Erreur ! Ce préjugé sur la taille est vraiment une erreur ! Nous allons donc sur la plage où nous nous installons pour pique-niquer en respectant une distance de sécurité.

  • Alors toujours partant pour essayer de me claquer les fesses ? Me demande Domikrav.

  • Si tu me le permets, ce n’est évidement qu’un jeu !

  • Je sais mais tu me permets de me défendre ?

  • Bien sûr !

Nous nous sommes levés, nous avons fait trois pas et quand j’ai envoyé la main vers son adorable petit fessier, elle n’est pas arrivée à destination. Ecartée en une fraction de seconde, ma main et mon bras sont remontés dans mon dos. Elle n’était plus devant moi mais derrière moi et m’obligeait à me pencher en avant. Un coup de pied dans mes fesses m’a propulsé la tête en avant dans le sable. Avant que j’ai le temps de réagir, elle était à cheval sur mon dos et claquait de bon coeur mon fessier.

  • J’aurai pu te déboîter l’épaule mais j’ai décidé de faire soft ! M’a indiqué Domikrav. Là on ne peut pas, il y a du monde, mais tu me dois une vraie fessée, puisque tu as perdu.

Dans sa grande gentillesse, Domikrav m’a aidé à me relever avant de m’indiquer qu’elle pratique le Krav-maga depuis quinze ans. Pour ceux qui ne connaissent pas, le Krav-maga est un sport de combat combinant les techniques provenant de la boxe, du judo, du ju-jitsu et de la lutte. Autant dire que je n’avais aucune chance de lui faire quoi que ce soit de plus, que de lui claquer les fesses UNE fois.

Lucie a décidé de pratiquer ce sport de combat à cause de sa petite taille. Ses petits frères plus grands qu’elle, ainsi que les garçons quand ce n’étaient pas les filles à l’école, lui en faisaient trop baver. Elle a cassé ses premières côtes et un nez à 16 ans, lui tirer les cheveux ou essayer de la tripoter, n’était pas une bonne idée.

Cette super nana est un peu un garçon manqué, si elle est très jolie, ses loisirs préférés sont la moto et la mécanique. Sa maison ressemble plus à celle d’un mec que d’une little, comme j’ai pu le constater le jour même après avoir eu TRES PEUR. En effet, comme elle habite à cinq minutes de moto de la plage du Prado, elle m’a prêté un casque pour que nous allions prendre le café chez elle. (Et pour ma fessée). Cinq minutes de moto, cinq minutes de peur. En voiture, j’aurais mis une demi-heure. Sa moto est une BMW F800R, « 90 étalons fougueux » et dans Marseille, c’était beaucoup trop à mon goût.

Son appartement, situé aux Goudes, est dans une vieille maison marseillaise. Les murs de pierres sont épais, les escaliers usés par le temps. La décoration est plutôt sommaire contrairement au garage où nous avons garé la moto, un véritable atelier.

  • Ta fessée, avant ou après le café ?

  • Heu, on est obligé ?

  • Ne me dit pas que tu te débines, je serai déçue !

Devant mon blocage, Lucie m’a pris par la main pour me guider vers son vieux canapé. Elle s’est assise et, sans aucune gêne, a commencé à défaire mon pantalon. Moi le prof d’histoire géo, j’allais me faire déculotter par une nana plus petite que les deux tiers de mes élèves. Sans aucune hésitation, elle a tout baissé ! Le slip et le pantalon aux chevilles, j’ai été basculé sur ses genoux. Autant dire qu’à 35 ans, cela fait drôle.

  • Alors comme ça tu as essayé de me claquer les fesses ! Tu étais prévenu que c’était à tes risques et périls, alors je vais t’expliquer qu’il ne faut pas le faire ! A conclue Domikrav en me mettant une première claque très appuyée sur les fesses.

La douleur m’a surpris, je lui ai demandée d’aller doucement, et là, elle a décidé de m’expliquer, à moi le prof..., les formules de politesses. J’aurai du dire « s’il vous plait Maîtresse ». Les claques suivantes étaient moins fortes que la première, heureusement car cela aurait été horrible. Malgré tout, la belle y allait de bon coeur. Mes fesses prenaient feu et rien ne m’indiquait qu’elle comptait arrêter. J’ai fini par la supplier et présenter des excuses avec de belles phrases. Après une dernière série de claques qui m’ont fait plier les jambes et mettre la main en défense, elle m’a ordonné d’aller au coin le temps qu’elle fasse le café ! Moi au coin ?

Je n’ai pas osé essayer de négocier. Fesses à l’air, pantalon et culotte aux chevilles, j’ai été conduit à un des coins de sa cuisine. Et là, j’ai trouvé qu’une Senseo c’est de la m... ça met beaucoup trop de temps à chauffer. Je me sentais observé et, si le ridicule ne tue pas, il fait quand même mal au vernis social.

  • Alors, cette première rencontre avec celle qui pourrait devenir ta Maîtresse. Cela t’a plu ?

  • Ca fait mal aux fesses !

  • N’est-ce pas le but d’une fessée ? Répond à ma question, que penses-tu de notre première rencontre ? Désires-tu devenir mon soumis ? On peut faire un test sur quelques semaines et si on continue de se plaire dans cette relation, moi je suis pour !

J’ai accepté sa proposition avec grand plaisir et quelques craintes je dois l’avouer. Lucie est vraiment un garçon manqué, si elle est petite, c’est une grande Dame dans sa façon d’être. Elle décide, elle fait et elle ne semble pas connaître la peur. A côté de ça, elle est très jolie en garçonne, elle a de l’humour, une certaine culture, elle n’est pas farouche et elle était célibataire. « Etait » parce que depuis ce jour, nous avons commencé une vie de couple.

Ce n’est pas vraiment moi qui ai décidé et les gestes barrières n’ont plus été respectés.

En effet, après le café, Lucie s’est mise à cheval sur moi. Assis sur son vieux canapé j’avais l’impression d’avoir une gamine sur les genoux. La gamine s’est avérée être une mante religieuse. Domikrav a mis sa main sur mon cou comme pour m’étrangler. Ses yeux brillaient du feu du désir. Son visage s’est approché du mien, ses lèvres ont touchées les miennes. Elle a serré un peu sa main sur mon cou et m’a embrassé. Il était clair que c’est elle qui décidait. Nos langues ont commencé la danse câline avant que nos bouches deviennent de véritables gloutonnes. Adieu les gestes barrières.

Entre deux bisous, j’ai fait de l’humour en lui disant : « Je ne couche jamais le premier soir ». Domikrav m’a répondu, « tu ne couches pas, je te v i o l e avec ta permission » avant de s’attaquer aux boutons de ma chemise. Je n’ai évidement pas protesté ! C’était la première fois de ma vie que je me faisais dévêtir et dévorer ainsi par une femme. Si c’est perturbant, c’est grandiose ! J’étais à poil alors qu’elle était encore vêtue quand elle m’a entraîné dans sa chambre. Le Striptease n’a pas duré longtemps, Lucie semblait pressée d’en découdre sous la couette. Son pull et son tee-shirt ont traversé la chambre, suivis rapidement par son pantalon et son caleçon.

Son petit corps est merveilleusement bien proportionné, tout est petit et mignon. Ses petites fesses sont à faire damner un saint, sa poitrine est du bonnet B avec des tétons dardant comme des appelants. Si je voulais partir à la chasse avec des bisous et des caresses plein les « poches », c’est encore elle qui a décidé de mener la danse de l’amour. Elle m’a dévoré de partout, oui aussi entre mes cuisses, avant de se laisser ceinturer pour s’offrir à moi. Lucie ne fait rien à moitié, elle vous prend comme elle se donne. La fusion fut terrible, sauvage, animale. Nous ressemblions à deux amoureux se retrouvant après trois mois de voyage. Le rapport, les rapports, pardon, étaient évidement protégés.

Je dis « les » parce que Lucie est vraiment gloutonne. Elle ne pouvait accepter que mon modeste Popaul reste sur un « tir ». Domikrav l’a attrapé en enroulant sa main au-dessus de mes précieuses avant de commencer à les écraser. En même temps, elle me dévorait si bien que, « sûrement par peur » le Popaul s’est remis au travail sans tarder.

Ramené à une vitesse raisonnable à mon véhicule vers une heure du matin, je suis rentré chez moi en chantant. Comme je ne faisais pas attention, j’ai eu droit à ma photo souvenir au radar alors que je ne faisais pas de folie. 105 au lieu de 90, seul sur une deux fois trois voies à une heure du matin....

.............................

Le lendemain, elle était chez moi pour un tête à tête ne tardant pas à déraper pour un tête à queue et une nouvelle chevauchée fantastique. Mes élèves ont du attendre un peu que je corrige leurs copies. Ce soir là, j’ai découvert que Domikrav adore se faire brouter le minou et surtout le facesitting. Elle ne m’a pas vraiment laissé le choix des orifices à déguster. Si bien que j’ai du lui faire une feuille de rose, pendant qu’elle se caressait pour faire son quatrième « tour ». Même de dessous, la vue de ses délicieuses petites fesses a fait des miracles entre mes cuisses. J’ai aussi pu faire un troisième tour, chose exceptionnelle qui ne m’était jamais arrivé !

Nous étions tous les deux sur un nuage, si bien que nous avons décidé de faire un test HIV pour nous débarrasser des « plastiques ». J’avais trouvé ma domina, elle avait trouvé son soumis, nos corps fusionnaient à merveille et pour les choses de la vie, nous étions totalement complémentaires.

Et les choses ont commencé à se corser pour moi !

Je vous en parle au prochain épisode, j’ai une vaisselle à faire et le plug commence à pousser sévèrement !

A SUIVRE sur ABCplaisir

Cette histoire érotique pourrait être la votre tant elle est réaliste.

Elle peut être lue et téléchargée en PDF (32 pages word) ici si vous êtes adepte de facesitting, de pratiques très coquines voir HOT... ABCplaisir histoires érotiques BDSM
Très belle histoire, bises
On a téléchargé cette histoire et on l'a beaucoup aimée. Cette façon d'emmener la vie du soumis, avec ses craintes, ses envies, ses coups de coeur est vraiment logique.
Le rythme est soutenu et tient le lecteur en haleine jusqu'au bout. Il est difficile de s'arrêter de lire avant la fin. Toutes nos félicitations à l'auteur.
le rêve, Merci!!!!
Trop sympa ce récit qui commence super bien
Publicité en cours de chargement