Suprématie Féminine

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 3 ans

Comme le disent un bon nombre de magazines, la révolution sexuelle a donné aux Femmes le pouvoir. Elles ont gagné et il n’est plus temps de revenir à un conservatisme masculin dépassé.

Il y a quelques années encore, je n'aurais jamais cru que j'aurais un petit ami qui me satisferait de cette manière et ferait tout ce que je lui demande. Je n’aurais jamais pensé me retrouver à la tête d’une « Sororité » de Femmes consacrées à être adorées comme des déesses et servies par des mâles heureux d'agir en tant qu'esclaves de leur propre volonté.

Tout a commencé quand j'ai rencontré Owen peu de temps après mon entrée dans une grande université que je ne nommerai pas. Un week-end, je l'aidais à nettoyer son appartement. Quand j'ai déplacé une boîte de dessous son lit. La boîte s'est échappée de mes mains et le contenu s'est renversé sur le plancher.

C’était des magazines représentant des Femmes habillées de cuir ou de latex : des corsets, des bottes avec jambières et hauts talons qui tenaient à leurs pieds des hommes nus ou bien c’étaient des Femmes qui chevauchaient des hommes harnachés comme des chevaux.

J’ai été très surprise plus que fâchée et je lui ai demandé ce que c’était.

Il est devenu tout rouge et il m’a dit en bégayant de honte : « J’aime la domination sexuelle. Je ne suis pas un malade mental mais j’aime obéir. Je voudrais connaître une femme qui me domine. »

J’ai remis le contenu dans la boite et je suis partie en l’emportant. J’étais confuse. Avant de claquer la porte, je lui ai dit que je n’étais pas sûre de vouloir le revoir, que je ne voulais pas qu’il m’appelle. Je voulais y penser tranquillement toute seule. Je lui ai dit aussi que je l’appellerai peut être.

Quelques jours après, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai parlé à mon amie Chantal de ce qui c’était passé avec Owen. Je lui ai montré les magazines. Chantal a été très excitée par la lecture et m’a dit d’imaginer tous les avantages d’être servies et choyées par un garçon comme celui-là. Elle m’a dit que nous devrions tirer profit de cette situation.

Après lecture par les magasins, nous avons préparé un contrat d’esclave et j'ai invité Owen pour dîner sans rien lui dire de plus.

Toute la soirée, Owen fut très nerveux. Je voyais qu’il voulait me parler mais n’osait pas le faire à cause de Chantal Après le dîner, alors que nous étions installés autour de la table, j'ai dit à Owen, " Tu te rappelles de la dernière fois que nous nous sommes vus ? "

Il a baissé les yeux et il a dit "Oui."

"Tu te souviens de ce que tu m’as dit alors?"

Il a incliné la tête. Il était sur le point de dire autre chose mais je l’ai fait taire avant.

Chantal a soudainement sorti la boîte de sa cachette et en a vidé le contenu sur la table. Il était très embarrassé.

Je lui ai alors remis le contrat d’esclave. " Tiens lis cela à haute voix "

Il a jeté un coup d’œil sur le document et a ouvert la bouche pour protester.

Chantal a dit, " Vas-y, lève-toi et lis! "

Owen m'a regardé. J’ai croisé mes bras et je l’ai regardé droit dans les yeux. Il s'est levé et a lu.

"La partie sous-signée, ci-après est désignée sous le nom de « l'esclave », se donne à la deuxième partie, ci-après désignée sous le nom de « Maîtresse ». L’esclave remet en toute propriété son corps et son esprit. La limite de cet accord n’est pas défini dans le temps, Il peut être sujet à annulation par la maîtresse à tout moment, sans communication préalable, pour n'importe quelle raison.

Certaines conditions initiales qui sont imposées à l'esclave, peuvent être modifiées selon les caprices de la maîtresse, sont comme suit :

L'esclave ne doit pas s'adresser à la maîtresse autrement que par « Maîtresse » et ce à tout moment.

À tout moment en privé, ou à n'importe quelle autre heure sur demande de la maîtresse, les règles suivantes s'appliquent.

L’esclave ne doit pas parler sans avoir demander la permission. Sauf par nécessité, l’esclave doit faire sa demande en baissant les pieds ou les fesses de sa Maîtresse.

L'esclave ne doit porter aucun habillement sans autorisation spéciale, excepté des sous-vêtements féminins approuvés par la maîtresse.

Toutes les fois que l'esclave n'est pas engagé dans une corvée assignée, il doit attendre patiemment à côté de la maîtresse.

Car le corps de l'esclave est propriété de sa maîtresse, il ne doit pas se toucher pour son propre plaisir. On interdit l'orgasme excepté sur ordre.

L'esclave informera la maîtresse immédiatement chaque fois que le pénis de son esclave se mettra à bander.

L'esclave doit considérer Chantal en tant que sa supérieure et doit obéir tous ses ordres à condition qu'ils ne soient pas en conflit avec les ordres exprès de la maîtresse.

L'esclave acceptera avec gratitude n'importe quelle punition donnée par la maîtresse pour désobéissance, ou pour toute autre raison.

Quand il a eu fini de lire, j'ai informé Owen comment sceller le contrat.

  • " Si tu ne te sens pas capable de respecter le contrat, tu peux partir mais on ne se reverra jamais. Si tu acceptes, alors déshabille-toi et signe ton contrat avec ton sperme en te masturbant devant nous maintenant et en crachant ton jus sur la feuille. "

Cela lui a pris seulement une seconde pour décider, et il a bégayé un timide"OK".

"OK, QUOI?", a dit Chantal.

"OK. Maîtresse" A-t-il répondu.

Il a défait sa ceinture, et a laissé tomber son pantalon. Avec un regard furtif vers Chantal et moi, il a abaissé ses sous-vêtements et les a retiré en nous exposant son zizi.

Car il a mis son poing autour de lui. Je l'ai rappelé une des clauses contractuelles :" tu dois être tout nu avant de te masturber. "

Pendant qu'il continuait à se déshabiller Chantal est partie dans sa chambre pendant que je prenais tous ses vêtements. Avant qu'il soit totalement nu, Chantal était revenue avec son appareil-photo . Owen a voulu protester et partir mais il n’avait plus aucun vêtement.

J’ai mis le contrat sous ses yeux. Owen n’a pas insisté et s’est remis à se masturber. J’ai placé le contrat devant lui sur la table. Owen s’est avancé au-dessus. Il n’a pas fallu attendre très longtemps pour qu’il éjacule. Il a éclaboussé le contrat et la table. J’ai aussitôt tendu la main et Owen m’a remis le contrat maculé de son sperme. Chantal n’avait rien perdu de la scène et avait fait de multiples photos de cette signature.

Chantal a fait remarqué combien il avait été rapide pour éjaculer et constatait que maintenant son zizi était tout petit et ratatiné. Owen était rouge de honte d’entendre une fille se moquer de lui. Il était visiblement embarrassé d’être tout nu devant nous mais sans doute en repensant à sa soumission toute nouvelle, il a eu une nouvelle ardeur et son zizi a rebandé u peu. Je lui ai rappelé qu’il devait m’avertir à chaque fois qu’il voulait bander. Je lui ai dit de débarrasser la table et d’aller faire la vaisselle. Pendant ce temps avec Chantal nous nous sommes installées devant la télévision.

Quand Owen a eu fini son travail, il est venu et s'est tenu à côté de moi silencieusement et avec obéissance. Je pouvais voir du coin de l’œil que son pénis était tout droit. J’ai réalisais que j’avais du plaisir à le dominer et à le voir nu , soumis et très obéissant à côté de moi. J’ai pris conscience du bonheur d’avoir un homme obéissant qui vous sert

J'ai réalisé, naturellement, que pour le garder comme esclave je devrais le maintenir heureux. Comme c’était la première fois, je l’ai autorisé à parler, et a nous dire ses fantasmes, ses attentes, ses besoins et ce qu’il était prêt à faire. Avec Chantal, nous avons repris les magazines et nous lui avons demandé de nous montrer ce qui lui plaisait le plus.

Je lui ai alors expliqué que son devoir désormais était de me satisfaire avant tout et de me donner du plaisir sans rien attendre en retour.. Il pourrait néanmoins avoir lui aussi du plaisir aux conditions fixées par moi et à titre très exceptionnel. Je l’ai fait mettre à genoux devant moi et je lui ai ordonné de se masturber encore. J’ai attendu qu’il soit près de la jouissance pour lui ordonner de s’arrêter. Deux fois de suite j’ai recommencé cette caresse. Puis je lui ai intimé l’ordre de cesser complètement

Avant de nous coucher, nous avons ordonné à Owen de nous masser. Puis Chantal l’a utilisé dans sa chambre pour une caresse buccale. Ensuite, il m’a rejoint dans ma chambre et m’a léchée. J’ai eu plusieurs orgasmes. Je l’ai autorisé à se coucher au pied de mon lit sur les couvertures. Je n’ai pas l’impression qu’il ait beaucoup dormi. Au matin, quand je me suis réveillée, il me regardait en bandant. Je trouvais qu’il bandait plus fort que la veille. Je lui ai demandé de me lécher encore jusqu’à me faire jouir puis je lui ai ordonné de préparer le petit déjeuner.

Au petit déjeuner, Owen nous a servies et s'est tenu prêt tandis que nous mangions. Chantal a remarqué à quel point c’était agréable d’être servie par un homme tout nu et m’a complimenté sur mon esclave.

Quand j'ai dit à Owen qu'il pouvait aller s’habiller et rentrer chez lui en attendant que je le rappelle, Owen m’a demandé la permission de parler. Il s’est prosterné devant moi et à embrasser mes pieds. Je l’ai donc autorisé à parler

" S’il vous plait Maîtresse, puis-je vous faire l'amour? "

Je lui ai dit de se mettre en arrière et de s’asseoir sur ses fesses en écartant les cuisses, et j’ai vu qu'il bandait toujours comme à mon réveil.

" Tu veux dire que tu aimerais avoir le droit de soulager ton pénis qui doit te faire mal à f o r c e d’être bandé? "Oui Maîtresse."

Chantal a ri et a indiqué, " Tu devrais le punir pour avoir osé penser que le simple fait d’avoir mal à ses couilles pourrait lui permettre de te soulager sur toi. "

J'étais d'accord avec elle, et au lieu d'un orgasme, Owen a reçu une fessée avant que nous le renvoyons à la maison.. Je l'ai fait se placer à plat ventre sur une chaise, puis Chantal et moi, avons tapé chacune notre tour avec une brosse à cheveux jusqu’à ce qu’il ait les fesses toutes rouges. Il est parti, portant sous ses jeans un string ficelle à moi, trop petit pour qu’il puisse y ranger son zizi qui était toujours bandé.

Belle Histoire de soumission...!
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