Grace sombre dans la débauche

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il y a 2 ans
Cocufiage interracial malgré elle avec de nouveaux voisins serviables

La vie a toujours été aussi clémente que satisfaisante avec moi. J'étais une travailleuse acharnée lors de mes années collège, je ne rêvais qu'à m'élever dans la société. J'avais été élevée dans les stricts principes d'une famille catholique et je croyais dans des règles de vie que me dictait la morale chrétienne.

Lorsque je fus assez vieille, je me portais volontaire pour des travaux charitables dont je faisais bénéficier la communauté dans laquelle je vivais. Les relations amoureuses étaient fortement prohibées par ma mère, aussi n'en eus-je aucune pour ne pas décevoir ma mère qui me servait de modèle. Ce n'est qu'au lycée que je rencontrais le prince charmant, mon futur mari, ce fut le coup de foudre réciproque.

C'était un mauvais garçon qui avait bien tourné, je croyais que j'y étais pour quelque chose. Inutile de dire qu'assez rapidement je lui offris mon pucelage, j'appréciais de faire l'amour régulièrement avec lui. Environ deux ans plus tard, peu après la remise de mes diplômes, nous nous sommes mariés et nous eûmes rapidement notre premier e n f a n t , ce qui nous précipita brutalement dans le monde des adultes.

Nous étions si impatients de vivre notre propre vie que nous nous sommes installés dans un appartement à bas prix dans le plus mauvais quartier de notre ville. Mon époux trouva un emploi de col blanc dans une maison de courtage, son salaire était des plus modestes alors que je dénichais un travail professionnel bien mieux rémunéré.

Cette histoire débuta deux mois après la naissance de notre second bébé.


Je m'appelle Grace et je suis une femme mariée et heureuse de l'être, j'ai 29 ans et je mesure 1, 72 m, mes longs cheveux noirs cascadent sur mes épaules, ma ferme poitrine nécessite des soutiens-gorge B du 105 et même des bonnets D du fait de mon récent accouchement, je suis fine, j'ai un beau petit cul avenant, l'on remarque tout de suite mes origines philippines.

Mon voisinage est des plus agréables, ma sœur et mère habitent à proximité. L'appartement dans lequel nous vivons est un bâtiment à loyers modérés qui attirent les couches populaires dont certaines assez indésirables, mais le loyer est bas et nous disposons de deux chambres et d'un grand séjour.Dans quelques années, lorsque nous aurons économisé suffisamment d'argent nous achèterons une maison et nous inviterons ma mère et ma sœur à vivre avec nous.

Deux mois plus tôt, mon mari a programmé des vacances golf de 4 jours avec ses copains ce qui induisait que je prenne quelques jours de congé et que je confie mes e n f a n t s à la garde de ma mère le temps que je voulais rester seule. Un mois environ avant ce voyage, un couple de nouveaux locataires s'installa dans l'appartement contigu au notre.

Il s'agissait de deux noirs, deux colosses d'environ 25 ans, apparemment ils dépendaient de la base militaire proche. Mon mari et moi étions là lors de leur emménagement, mon époux offrit de leur donner un coup de main. Ils se présentèrent, ils se nommaient Tyrell et Robert.

Pendant les semaines qui suivirent, mon mari se mit à les haïr, il prétendait qu'ils étaient totalement immatures et totalement infréquentable. Je n'ai jamais été très ouverte aussi n'allais-je pas plus loin que les échanges normaux entre voisins. Alors que le jour de son départ arrivait, je réalisais subitement que l'anniversaire de mon mari surviendrait très peu de temps après son retour.

Cela faisait longtemps qu'il désirait un home cinéma avec une télé grand écran, il avait épargné sévèrement pour pouvoir se l'offrir. C'est pourquoi je décidais que j'allais l'acquérir pour lui en faire la surprise à son retour. Aussi avant son départ, j'achetais un dispositif alliant un son surround, une télé grand écran et une nouvelle caméra vidéo digitale.

Je devais réceptionner la livraison dès le premier jour d'absence de mon époux. Je ne pouvais m'empêcher de me congratuler pour cette excellente initiative. Enfin arriva le jour du départ de l'amour de ma vie.

Je le conduis à l'aéroport puis j'emmenais mes deux fils chez ma mère. Après avoir passé une bonne partie de l'après-midi avec ma mère et mes e n f a n t s je me ruais chez moi attendant impatiemment la livraison. Enfin ce moment tant attendu arriva, je réceptionnais donc les différents articles, puis j'offris un rafraîchissement aux livreurs et me retrouvais soudain confrontée à un problème que je n'avais même pas envisagé.

Je n'avais aucune idée de la façon d'assembler et de mettre en marche tout ce matériel. C'est à ce moment, alors que ma porte était encore entrouverte que Tyrell et Robert remarquèrent mon embarras, ils offrirent de m'aider en échange de quelques bières et d'un bon repas. Comme je n'avais pas le choix, bien que je sache que mon mari n'approuverait pas mon initiative, j'acceptais leur offre.

Une fois qu'ils eurent débuté l'installation, je me rendais au marché du coin et j'achetais quelques bières et une pizza. Le temps que je rentre chez moi, ils avaient terminé et m'attendaient pour tester ce nouveau matériel. L'ensemble marchait encore mieux que je l'avais espéré. Ils me tendirent la télécommande et m'indiquèrent son mode d'emploi, j'étais vraiment une novice en la matière.

Tout fonctionnait correctement, nous fêtâmes cela en soupant. Ils m'offrirent une bière que je refusais, je n'en avais bu qu'une auparavant et je m'étais retrouvée tout de suite éméchée. Une fois la pizza engloutie, ils insistèrent pour que je boive une bière me disant que cela ne se faisait pas de refuser de boire un verre à des amis.

Au bout d'une trentaine de minutes, de guerre lasse j'acceptais pour qu'ils arrêtent de me harceler pour que je boive avec eux. Et bien sur, à peine avais-je bu la moitié de ma cannette que je me sentais légèrement grise, je m'excusais pour me rendre aux toilettes. Lorsque j'en revins, Tyrell se roulait une cigarette, il me demanda s'il pouvait fumer. Sentant que je devais leur être reconnaissante de leur intervention et sous un état alcoolique euphorisant, je l'y autorisais lui demandant de n'en fumer qu'une.

Il me remercia vivement et sourit à Robert comme si je venais de leur ouvrir une voix à explorer. Lorsque je bus une seconde bière, je ne ressentais aucune douleur, mais j'étais confuse, je me rendis subitement compte qu'ils fumaient de la marijuana. Je leur demandais de cesser immédiatement, ils se contentèrent d'en rire et me dirent qu'ils avaient quasiment terminé leur joint.

Robert s'approcha de moi et s'assit à mon coté et m'avisa que c'était la fumée de la marijuana qui troublait l'esprit, il insista pour que j'essaie, que cela m'emporterait vers des paradis que je ne soupçonnais même pas. Je n'avais jamais vu de joint ni de D r o g u e de quelque sorte, j'étais tentée d'essayer pour voir.

Ce fut tout d'abord un véritable désastre. Je m'étouffais avec la fumée et toussais comme une malade. Ils me convainquirent de recommencer me disant que cette fois Robert me soufflerait la fumée dans la bouche. Lorsqu'il s'exécuta, je sentis ses lèvres frôler les miennes, je m'affolais alors comprenant que cette situation pouvait dér a p e r à tout instant.

Alors que j'allais leur dire de me quitter, une lourde masse de béton s'abattit sur moi me paralysant momentanément l'esprit. Tyrell s'assit tout contre moi à ma gauche et me demanda si tout allait bien. Je ne pouvais répondre, je n'arrivais plus à contrôler mon esprit! ....

Ils restèrent assis, tournés vers l'écran Tv en me disant qu'ils resteraient avec moi tant que je ne me sentirais pas mieux, puis ils rentreraient chez eux. Comme ils naviguaient sur les différents canaux ils tombèrent sur une chaîne pour adultes dont je ne croyais pas disposer. Robert me dit alors qu'ils avaient installé un décodeur pirate pour que mon mari puisse disposer de toutes les chaînes gratuitement.

Je ne parvenais pas croire ce que je voyais, pas plus que le fait que ce film porno se déroule sur mon écran. Je n'avais jamais vu de film porno, mais j'avais déjà entendu mon mari et ses amis en parler de temps à autre. Sur l'écran, un noir se faisait sucer par une asiatique.

Un bref instant de lucidité envahit mon esprit, je me rappelais alors que j'étais une femme mariée et heureuse en ménage, que j'accueillais dans mon appartement deux noirs que mon époux détestait, qu'on buvait de la bière alors qu'ils fumaient de l'herbe, et sur tout que je regardais un film porno en compagnie de DEUX HOMMES NOIRS ! ......

J'étais si confuse que je ne trouvais pas le ressort de les faire partir. Brusquement Robert posa son bras sur mon épaule et me demanda si tout allait bien. Je restais assise les bras le long du corps espérant vaguement qu'ils partent et que le nuage qui obscurcissait mon esprit se dissolve. Mon cœur dérapa alors que Robert entreprenait de me caresser les contours d'un de mes nibards au travers de mon tee-shirt. Lorsqu'il dénicha mon mamelon et commença à le manipuler lascivement je poussais un soupir en lui demandant d'arrêter.

Il me répondit en posant ma main sur son entrecuisse. Tyrell empoigna alors mon autre main et en fit de même, et commença à caresser la face interne de mes cuisses au travers de mon jean, et bientôt il palpait mon minou au travers de l'épais tissu. J'étais sans défense, incapable de leur opposer la moindre résistance, ma seule pensée était d'espérer qu'ils arrêtent et quittent mon appartement.

Ils sortirent tous deux leurs grosses bites de leurs pantalons! .... La bite de Robert faisait bien 25 centimètres et celle de Tyrell une trentaine. Je ne pensais pas que des pénis puissent être aussi longs et gros, et ce-la me semblait des armes redoutables. Ils voulaient que je les branle, mais je laissais mes inertes sur leurs grosses queues, ils improvisèrent alors emprisonnant mes mains dans les leurs pour guider mes gestes.

Robert avait remonté mon tee-shirt au-dessus de mes nichons et titillait un des mamelons tandis qu'il suçait l'autre. Tyrell avait glissé sa main dans mon jean et mignotait ma chatoune. Je faisais de mon mieux pour garder le contrôle de la situation mais je ne pouvais m'empêcher de soupirer en gémissant :

  • Oh mon Dieu.....

Robert s'était levé et attirait mon visage sur sa bite en me prévenant qu'il n'allait pus tarder à jouir. Une rafale de jets de sperme s'écrasa sur mon visage et mes nibards. Je devais admettre que de sentir ce sperme chaud s'écraser sur mes chairs me semblait étrange et pour tout dire irréel. Une fois que Robert eut traité mon visage comme une cible pour jets de foutre, à son tour Tyrell cracha sa semence sur mon visage et mes miches en grommelant :

  • Prends ça fieffée salope! .......

Puis ils se rhabillèrent et me quittèrent sans dire un mot me laissant hébétée, choquée et couverte de leur foutre! .......

Chapitre 2 : le chantage se met en place

Le lendemain matin, je me réveillais, et pris une douche tout en cherchant à me remémorer les événements de la nuit dernière. J'enfilais un nouveau tee-shirt à même la peau et un short de sport sans culotte ni soutien-gorge, j'avais décidé de ne pas sortir de l'appartement. Tout me semblait brumeux et je sentais confusément que ce qui s'était passé me perturberait profondément.

  • Avais-je trompé mon mari puisque je n'avais pas eu de véritables rapports sexuels avec ces deux types! .... Me demandais-je confuse.

Lorsque je sortis de la salle de bain, je trouvais un message posé sur l'écran télé qui m'enjoignait :

  • Regarde la vidéo qui se trouve dans le magnétoscope! .....

Je mis le magnétoscope en route, mon cœur sauta alors une paire de battements : ils avaient enregistré ce qui s'était passé la veille à l'aide de la caméra digitale que j'avais achetée pour mon mari. Cette infâme séquence où ils crachaient tous deux leur épais venin sur mon visage se déroulait sur l'écran. Je ne savais ni que dire ni que faire, lorsque soudain quelqu'un frappa à ma porte.

Tyrell se trouvait derrière la porte un grand sourire plaqué sur les lèvres, un joint à la main. Je le laissais entrer à contrecœur et fondis immédiatement en larmes. J'étais dégoûtée de moi-même, de ce que j'avais laissé faire, et de m'être montre aussi naïve! .....

Il m'intima de m'asseoir sur le canapé et prit place à mon coté. Il me demanda alors de lui servir une bière bien fraîche, lorsque je revins une cannette à la main il avait allumé son joint de marijuana et en tirait les premières bouffées. Il me fit boire quelques lampées de bière et tirer une paire de bouffées de son joint.

De nouveau l'impression familière de flotter sur u nuage m'envahit. Il alluma la caméra et m'invita à regarder le film avec lui. Je lui dis que je voulais justement le détruire, il m'informa alors qu'il en avait déjà tiré une copie, qu'il était prêt à diffuser sur le web si je ne me montrais pas gentille et docile avec eux.

Alors que nous regardions l'enregistrement je ne pouvais que me reprocher d'avoir été assez stupide pour laisser les choses aller si loin. C'était un véritable cauchemar de me voir lentement tomber dans leur ignoble piège. Je ne parvenais pas à croire que c'était bien moi que pelotaient ces deux noirs dégoûtants, que c'était moi qui palpais leurs grosses bites les laissant tripoter mon intimité.

Je commençais à pleurer de honte et de peur alors que les conséquences de ma faiblesse venaient au jour. Il avait posé son bras autour de moi et me serrait fermement contre lui. Il me dit que rien de fâcheux n'arriverait tant que je me montrerai docile et disponible. Il caressait les contours de mon sein gauche au travers de mon tee-shirt, je restais assise, passive, regardant défiler les images me montrant leurs deux grosses bites en main.

Il posa ma main sur sa bite qu'il avait extrait de son short et m'enjoignit de la caresser lentement. Mon tee-shirt remonté au-dessus de mes miches il prit un de me tétins en bouche, je cherchais à protester :

  • Je vous en prie arrêtez... Je ne veux pas qu'on recommence! .....

Il ignora ma plainte et se mit à sucer avidement mon téton, tout en pinçant douloureusement l'autre mamelon. Son pénis s'était entièrement déployé, une goutte de pré sperme suintait du méat, je continuais à le branler lentement espérant qu'il tiendrait compte de mes lamentations. Il m'ordonna de me mettre à genoux face à lui, j'obtempérais servilement.

Sa grosse bite se trouvait maintenant à quelques centimètres de mon visage. Elle était grosse, épaisse et noire, je n'avais jamais vu de bite aussi grosse d'aussi près. Il me commanda d'embrasser son gland, puis de le lécher. Et finalement il m'enjoignit de le sucer, je me sentais incapable de désobéir à ses ordres.

J'ouvris la bouche à contrecœur et l'embouchais misérablement, je goûtais déjà la salinité de son présperme et l'acidité de sa sueur. Lorsque je commençais à aller et venir su sa hampe dressée je laissais perler quelques larmes et poussait un soupir de résignation. Il me dit alors que j'allais me sentir bien mieux que je m'étais jamais sentie dans quelques minutes et que j'étais une gentille fille de faire tout ce qu'il me demandait.

Alors que je suçais docilement sa grosse bite, il jouait avec mes nichons, puis il posa sa main sur ma nuque guidant mes mouvements fellatoires. Je sentis soudain sa bite durcir et s'épaissir. La seconde suivante il poussa un grand soupir et explosa dans ma bouche.

Je cherchais à reculer ma tête, mais sa main posée sur ma nuque me maintenait fermement en place, je dus avaler chacun de ses nombreux jets de foutre, sa semence s'avérait chaude, salée et épaisse j'avais bien du mal à tout avaler tant le flot était important. Finalement il relâcha son emprise sur ma nuque me permettant de respirer librement.

Après une bonne minute de silence il me fit signe de jeter un oeil dans le hall d'entrée, alors que son ami nous rejoignait la caméra au poing. Comment le fait que son copain nous filme avait-il pu m'échapper ? Il s'assit à coté de son pote la caméra toujours braquée sur moi et susurra quelque chose dans l'oreille de Tyrell.

C'est alors que Tyrell m'enjoignit de dire des choses épouvantables qui me hanteraient tous les jours à venir. Comme je n'avais pas le choix, il avait renouvelé ses menaces de diffuser ces infâmes images illustrant ma débauche, je pris une profonde inspirations et les yeux rivés sur la caméra je commentais :

  • j'adore avaler le foutre de noirs! .....

Chapitre 3 : Robert et Tyrell assoyent leur emprise.

Une fois encore je me retrouvais le visage couvert de foutre dégouttée de moi-même. Qu'avais-je fais et comment allais-je me tirer de cette galère? ....

Robert tendit la caméra à Tyrell, ouvrit sa braguette et extirpas sa queue bandée de son caleçon. Robert m'intima de regarda la caméra e de faire d'autres commentaires tous aussi obscènes qui me donnaient des nausées. Je pris une nouvelle goulée d'air, avala ma salive et clama :

  • Je suis tout à fait prête à sucer une autre pine noire! ....

Je fermais les yeux, ouvrais la bouche et entrepris de mener à bien ma tâche. Elle était grosse, elle était chaude, elle était noire. Pour rendre cet acte moins dégradant je m'imaginais que je suçais la bite de mon mari et que le tout ne se passait pas sous l'objectif d'une caméra qui enregistrait la scène. Il me sembla que déjà mon émoi grandissait. Je bavais comme une folle alors que je le suçais de plus en plus avidement. J'entendis alors Tyrell dire :

  • Je crois qu'elle commence à aimer tailler des pipes aux noirs! ....

Ce commentaire acerbe me ramena dans la réalité, mais c'était bien trop tard. Mes efforts avaient mené Robert si près de l'orgasme que sans un seul mot il projeta des flots de foutre chaud au fond de ma bouche, me tapissant le visage lorsqu'il se recula. J'avalais instinctivement ce qu'il projetait dans ma gorge veillant à ne pas laisser en échapper une goutte.

Je pensais qu'ils en avaient maintenant terminé avec moi, pour l'instant tout au moins, je poussais un soupir soulagé. Deux mais me puissantes me relevèrent alors que deux autres mains me débarrassaient sans vergogne de mon short de sport. Ils me dirent de grimper sur la table basse et de danser, ils avaient mis du rap, une musique que je haïssais d'ailleurs m'ordonnant de danser de façon érotique. Je tentais d'imiter ces filles qu'on voyait danser à la télé en faisant de mon mieux pour copier leurs gestes.

Je leur demandais si je me montrais très docile et que je dansais de mon mieux ils me donneraient les enregistrements. Ils se regardèrent l'un l'autre en riant et Tyrell s'esclaffa :

  • Pour l'instant occupe-toi de danser salope et ne te tracasse pas pour la façon dont on va employer ces cassettes...

Robert me tira vers le bas et m'informa qu'il allait me baiser comme jamais je ne l'avais été. Je paniquais et braillais :

  • Non, Pas ça, Je ne veux pas, laissez-moi tranquille! ....

Il me répondit en me projetant sur le canapé, allongée sur le ventre avant de m'enfourcher, je vis que Tyrell s'était remis à filmer la scène.

  • Je vais me faire baiser par une grosse bite noire! .... Soupirais-je anéantie.

Il m'avait prévenue qu'ils allaient me déposer entièrement nue sur le trottoir si je refusais de dire ce qu'ils voulaient entendre. A mon grand désappointement je dus répéter à voix haute :

  • Je vais me faire baiser par une grosse bite noire! ....

Lorsque Robert me pénétra, il me fit atrocement mal! ... C'était inscrit sur mon visage que jamais chose aussi énorme n'avait pénétra dans ma chatoune. Le membre de mon mari mesurait 13 cm et je m'imaginais que tous les pénis avaient cette taille.

C'était maintenant le deuxième jour depuis le départ en vacances de mon époux, Je m'étais saoulée, j'avais fumé de la marijuana, je m'étais excitée sexuellement, j'avais été molestée, j'avais sucé deux grosses bites noires qui m'avaient ensuite baisée. Telle était l'horrible réalité, de plus j'étais révulsée d'y avoir pris du plaisir, beaucoup de plaisir. Enfin je n'étais pas fière de ce qui m'était arrivé juste dégoûtée de moi-même, je ne parvenais pas à me regarder dans le miroir sans me mettre à pleurer! .....

Une fois que Robert et Tyrell eurent quittés mon appartement m'enjoignant de prendre une douche avant de les rejoindre chez eux, je passais un coup de fil à ma sœur. Ma petite sœur Joyce avait toujours sollicité mon avis pour toutes sortes de sujets, mais maintenant c'était à mon tour de lui demander son opinion.

Avant de discuter avec elle je devais décider de ce que j'allais lui dire. Je ne pouvais pas lui dire que tout était de ma faute, je ne voulais pas me déconsidérer à ses yeux. Elle avait toujours voulu me ressembler et m'avait pris pour modèle. Elle pensait tant de bien de moi que je ne voulais pas laisser péricliter mon image.

Lorsqu'elle décrocha le téléphone je me réjouissais déjà d'entendre sa douce voix. Je commençais par parler de tout et de rien, mais elle remarqua que ma voix tremblait et le demanda pourquoi. Je lui répondis que j'étais dans une sacrée galère, que des sales types me faisait chanter.

Lorsqu'elle me demanda ce que voulait mes maîtres-chanteurs je lui répondis de l'argent. Je lui racontais qu'ils avaient déniché une vidéo sur la quelle on me voyait boire et fumer de la marijuana, et qu'ils me menaçaient de la diffuser aux yeux de mon voisinage, de mes amis et de mes parents si je ne me pliais pas à leurs volontés.

J'étais si heureuse de lui avoir confié mes ennuis que j'allais lui dire qui étaient mes maîtres-chanteurs et où ils habitaient. Elle semblait consternée et m'offrit de me prêter l'argent dont j'avais besoin ou toute autre aide dont j'aurai besoin. Nous nous sommes alors dit au revoir et, lorsque je raccrochais le téléphone je me sentais bien mieux. Puis la réalité me rattrapa, je me rendais dans la chambre pour m'habiller pour me rendre à leur rendez-vous.

Ils avaient posé une boite accompagnée d'un message sur le lit. Il m'enjoignait de porter les vêtements contenus dans la boite, de me maquiller légèrement et de nouer mes cheveux en arrière avec un ruban. Lorsque j'ouvris la boite, je ne trouvais rien de ce que je craignais. Elle contenait une ravissante robe de soleil couleur rouille et des pots de crème.

La robe descendait aux genoux, elle était sans manches avec un col en V. J'espérais alors que les choses tourneraient bien, je regardais ensuite sous la robe. J'y trouvais un soutien-gorge de coton blanc et un thong de coton blanc. Je les enfilais à contrecœur et à ma stupéfaction me trouvait très sexy et provocante en me regardant dans mon miroir.

Une fois que j'eus enfilé la petite robe d'été, tiré mes cheveux en arrière que je liais avec un ruban, je fis une petite pause le temps de me regarder à nouveau dans le miroir. Je devais admettre que le spectrale que je voyais me comblait, ma peau brune s'harmonisait parfaitement avec la couleur rouille de ma robe, j'étais très aguichante, exotique, je me sentais à la fois élégamment vêtue et discrètement sexy.

Il était temps maintenant de les rejoindre.

En arrivant à leur porte je m'imaginais que je me rendais à mon premier rendez-vous, cela me permettait d'évoluer plus à mon aise. Tyrell ouvrit la porte et poussa tout de suite un sifflement enthousiaste. Il m'attira contre lui m'empoigna les fesses au travers du fin tissu et me roula une pelle avec la langue. Il m'entraîna à l'intérieur, c'était la première fois que je pénétrais dans l'appartement de mes maîtres-chanteurs.

Il était petit, mais la salle de séjour était vaste. Elle était meublée de trois confortables canapés entourant une large table basse en bois. Deux de ses amis étaient assis sur un des canapés. Cédric, un musculeux jeune noir et Carl un noir plus âgé couleur café au lait. Ils se présentèrent eux-mêmes et me roulèrent tous deux des pelles passionnées. Je sirotais une paire de verres et fumais quelques bouffées de marijuana.

Bien vite je ressentis à nouveau ce familier flottement alors que Tyrell annonçait qu'il était de partir. Nous avons grimpé dans la voiture de Tyrell, je m'assis sur le siège passager au coté de Tyrell. Ils discutèrent et plaisantèrent tout le long du chemin. Ils me dirent qu'ils étaient impatients de m'emmener au club pour m'y exhiber.

Tyrell me caressait machinalement les cuisses passant de temps à autre ses doigts sur le fond de ma petite culotte, j'essayais de repousser sa main il me montra alors une photo de moi suçant sa grosse bite noire, m'intimant de garder les bras le long du corps et d'écarter les cuisses. Je m'exécutais docilement, et, le reste du chemin il me doigta tout à son aise sous l'œil intéressé des passagers arrières.

-Nous arrivâmes devant un club appelé "Nuits Exotiques, alors que nous nous dirigions vers la porte d'entrée, je remarquais plusieurs types accompagnés de filles se serrant autour d'eux.

Les filles étaient vêtues de façon extrêmement provocante ce qui m'alerta un peu. Je ne m'étais rendue qu'une seule fois dans une boite de nuit avec ma petite sœur et quelques amis, mais cette fois cela me semblait tout autre. L'ouvreur annonça que puisqu'ils amenaient une jolie fille, ils n'avaient pas à acquitter de droit d'entrée.

Tyrell s'esclaffa :

  • Ce n'est pas une jolie dame, c'est ma petite pute! .....

Puis il me regarda et m'invita à dire qui j'étais, je répétais docilement :

  • Je suis sa petite pute! .....

Ce n'est qu'en entrant dans le club que je réalisais qu'il s'agissait d'une boite à strip-tease. J'étais si choquée de ce que je voyais que je demeurais immobile, incapable de faire un geste. J'avais les yeux écarquillés comme des soucoupes, alors que la mâchoire m'en tombait! ....

Nous avons débouché dans une sombre avec deux grandes scènes dans le milieu. Des fauteuils noirs entouraient les scènes et des stalles noires ouvertes derrière les sièges. Les lumières étaient vives au-dessus des scènes alors que la salle restait dans la pénombre. Bien entendu le seul fait choquant était que les 6 filles qui dansaient sur les scènes étaient entièrement nues ou quasiment nues.

Les scènes étaient couvertes de pièces de monnaie et de billets de banques, la musique était très forte. Comme nous traversions la salle un tas d'hommes me reluquaient de la tête aux pieds, d'autant plus que j'étais vêtue comme si je me rendais à un repas dominical ou bien même à l'église. Ma tenue semblait totalement déplacée dans cet endroit, il me semblait qu'ils savaient tous ce qui m'attendait, tout le monde sauf moi bien sur! .....

Comme nous continuions de progresser, je ne parvenais pas à croire qu'un tel monde puisse exister et pourtant il s'étalait là sous mes yeux. Ils nous trouvèrent une loge, chemin faisant j'avais remarqué la présence de deux ex-collègues blancs assis le long de la scène. Quand j'avais travaillé un court moment dans un petit commerce, avant d'enseigner, je les avais accusés d'harcèlement sexuel parce qu'ils m'avaient proposé de coucher avec moi contre rétribution.

Lorsque j'avais refusé, ils avaient dit à tout le monde que j'avais couché avec les deux en même temps et que j'étais une rude salope qui en demandais encore plus! .... Quelques mois plus tard, les charges bien établies contre eux, ils avaient été renvoyés de la compagnie.

Je n'avais jamais oublié la fureur qu'exprimait leur visage et j'espérais bien qu'ils ne m'avaient pas remarquée. Je sautais prestement dans la loge pour éviter tout contacte avec eux et m'assis entre Tyrell et Carl. Nous avons beaucoup bu en mangeant des amuse-gueule que je mâchais lentement.

Pendant tout ce temps ils se livraient tous les trois à de grossiers commentaires sur les filles qui dansaient sur scène s'exclamant qu'ils aimeraient qu'elle leur fasse des cravates de notaire alors qu'ils leur boufferaient la chatte. Je vivais un véritable enfer.

Que se passerait-il si quelqu'un connaissant mon mari se trouvait dans la salle? ..... Comment allais-je me sortir de cette galère? .....

Tyrell commençait à me peloter les nichons au travers de la robe me demandant si j'aimerai me produire sur la scène. Et soudain il se leva et m'entraîna vers la scène. Je le suppliais de ne pas m'y obliger, mais il se contenta d'ignorer mes plaintes et appela une fille pour qu'elle danse avec moi.

La fille qui me rejoignit était de type japonais, elle avait de gros nibards, un petit cul bien rond, et un visage des plus innocents. Elle portait un haut de bikini rose fluorescent et un string, elle parut fort étonnée de me voir en ces lieux. Je la reconnus alors soudainement : c'était Kyoko, une de mes anciennes étudiantes que j'avais eu en cours ces deux dernières années.

Elle avait eu besoin d'une assistance spéciale et j'avais été longtemps sa tutrice aussi bien après les heures de classe que chez elle. Je m'étais liée d'amitié avec ses parents et avait perdu tout contact avec elle une fois qu'elle fut diplômée. Elle semblait différente mais c'était bien elle. Elle me sourit aimablement, s'approcha de moi et m'embrassa sur les joues, nous avons alors entamé une courte discussion.

Elle me demanda qui était Tyrell et qu'est ce que je faisais là, je lui répondis seulement que Tyrell était un rendez-vous, et que c'était la première fois que je me trouvais dans une boite à strip-tease. Tyrell lui murmura quelque chose à l'oreille, elle hocha la tête et me dit d'apprécier le spectacle. Elle se tenait assez proche de moi et se mit à danser de façon fort érotique sans me quitter des yeux.

Je ne pouvais m'empêcher de la regarder avec excitation, peut-être à cause de ma grande confusion, mais plus sûrement parce que je n'avais jamais assisté à un tel spectacle.

Elle se tortillait de façon si sensuelle, si érotique que je comprenais rapidement pourquoi elle avait tant de billets de banque glissés dans sa jarretière. Elle n'avait plus rien à voir avec la jeune fille timide et innocente que j'avais connue. Tyrell me caressait les cuisses sous ma robe et je sentais sa main se rapprocher peu à peu du fond de ma petite culotte.

Je lui demandais d'arrêter ses manœuvres et me retournais vers mon ex-élève qui faisait son boulot de strip-teaseuse et me répéta de regarder attentivement le spectacle. Tyrell me palpait maintenant la chatte, je me mordais les lèvres pour ne pas gémir de façon trop révélatrice. Elle avait du remarquer mon émoi, elle se rapprocha de moi jusqu'à me serrer contre elle.

Elle enleva son haut de bikini exhibant deux grosses mamelles avec de larges tétons au centre de petites aréoles, et tout cela naturel. Elle se caressait les nibards et les mamelons alors que Tyrell triturait ma chatoune m'amenant au bord de l'orgasme alors que je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher. Je fermais les yeux et ensevelis ma tête dans son épaule, pour cacher ma honte de succomber à un v i o l ent orgasme qui me secoua pendant deux bonnes minutes.

Quand j'ai ouvert les yeux Kyoko avaient enlevé son string et me chuchotais à l'oreille que paraissais très chaude quand j'ai joui. Elle me cligna de l'œil et reprit sa danse. Tyrell se leva alors que Carl et Cédric s'asseyaient à mes cotés, Tyrell se posta face à moi.

Alors que Kyoko continuer sa danse lascive, les deux gaillards qui m'encadraient se mirent à explorer mes charmes en détail. Ils allèrent si loin que je me retrouvais les miches à l'air sous les regards concupiscents de mes voisins. Il y avait maintenant un attroupement qui se formait autour de nous, beaucoup d'assistants voulant mater de plus près cette innocente jeune mère de famille conversant avec une des strip-teaseuses, entourée de ses 3 amants noirs.

Je n'avais aucune envie de me rebeller et faisais de mon mieux pour les satisfaire. Comme je jetais un coup d'œil panoramique, je réalisais que tous les yeux étaient posés sur moi, étrangement ce constat m'émoustillait. Jusqu'au videur qui s'était approché et prenait des photos.

Kyoko était maintenant entièrement nue, elle se lovait contre moi me roulant une pelle passionnée. Je me reculais, mais elle me suivit enfonçant sa langue dans ma bouche ou elle se mit à frétiller, puis elle frotta ses nichons contre mon visage, en poussant un soupir de satisfaction. Ses miches se balançaient tout contre mon visage, elle me supplia d'ouvrir la bouche.

Des hommes qui nous encerclaient m'enjoignirent de sucer les tétons de cette salope ! Cédric se pencha sur moi et m'ordonna à son tour de mignoter ses nibards, je m'exécutais utilisant ma langue pour titiller un des épais mamelons, exactement comme je le faisais à mon mari. Elle gémit sourdement et tourna le buste logeant son autre téton entre me lèvres.

J'étais tant sous l'influence de l'alcool et de la D r o g u e que n'ai même pas réalisé que Cédric avait retroussé ma robe sur mes hanches exposant ma petite culotte blanche alors que Kyoko en avait tiré les épaules sur mes bras livrant aux yeux de tous, mon fragile soutien-gorge.

Lorsqu'elle recula ses miches de mon visage, la foule nous entourant poussa des soupirs de contentement, elle recula et me pelota les nibards au travers de mon soutien-gorge. Tyrell dégrafa les attaches dorsales de mon soutien-gorge et le tira vers le bas ainsi que ma robe exhibant mes nichons et mes tétons dardés. Elle suça un de mes tétons tout en triturant l'autre.

Lorsque je jetais un coup d'œil circulaire, je vis que les spectateurs me fixaient avec intensité alors que partaient les éclairs de flashs des appareils photos. Cette attention généralisée et les stimulations de Kyoko et Cédric me provoquèrent un orgasme fracassant au grand ravissement de la foule. J'en étais arrivée au point de me demander ce que je faisais.

Comment pourrai-je retourner à ma vie ordinaire alors que tous ces gens venaient de me voir me comporter comme une pute de bas étage, une véritable salope. Il pouvait y avoir dans l'assistance des gens que je connaissais très bien et je m'en foutais! Je repoussais Kyoko et cherchais à réajuster ma robe, Tyrell coupa mon élan me prévenant que je ne partirai pas d'ici tant qu'il ne l'aurait pas décidé. Il me dit de ne pas oublier qu'il détenait des vidéos de moi fort compromettant et que ma vie serait dévastée si elles étaient diffusées.

De nombreuses mains étrangères palpaient mes nichons exposés à leurs caresses, je ne pouvais rien faire, Tyrell maintenant fermement mes bras de chaque coté de mon corps. Cédric me doigtait maintenant alors que Carl tétait un de mes nichons. Kyoko s'allongea devant moi, écarta ses cuisses en grand et caressa lascivement sa foufoune embrasée.

Je distinguais clairement l'instant où elle jouit à la vue de sa chatte s'inondant de cyprine, elle se caressait tout en me miaulant des appels luxurieux lorsque je me penchais sur elle je compris :

  • Je vous en prie madame Warner... Je vous en prie... broutez-moi le minou! Je suis toute tourneboulée et je voudrais que vous me fassiez minette! S'il vous plait apprenez-moi madame Warner, cajolez-moi!

Je haletais en entendant ces mots et me rejetais v i o l emment en arrière. La foule m'encerclait à nouveau m'encourageant à la gouiner. Deux fortes mains me tenaient fermement derrière la tête et me poussaient vers elle. Elle n'avait plus rien à voir avec l'innocente ex-étudiante que je connaissais.

Je connaissais bien ses parents et je les avais rencontrés à plusieurs reprises pour discuter de son avenir. Et voila qu'elle ouvrait en grand ses cuisses au ras de mon visage me suppliant de lui bouffer le gazon. La foule qui nous encerclait nous encourageait avec des commentaires salaces comme :

  • Et toi la pute lèche lui la chatte, plonge ta langue dans sa foufoune fais lui minette!

J'étais à demi nue, des étrangers palpaient mon corps inventoriant lubriquement mes charmes. J'essayais de reculer ma tête mais ce n'était pas possible, Tyrell était bien trop fort. Mon visage était pressé contre son vagin et je cherchais à garder la bouche fermée, mais je dus bien un moment donné ouvrir la bouche pour respirer. Le goût initial de sa chatoune était plutôt doux alors que Tyrell me plantait le visage entre ses cuisses m'intimant :

  • Bouffe-lui la chatte salope!

La foule s'enthousiasma alors que je m'exécutais. Des larmes me vinrent aux yeux, l'homosexualité m'avait toujours révulsée jusqu'ici, j'allais jusqu'à foutre dehors les filles que je surprenais à s'embrasser dans mon appartement. Tyrell me dicta ses instructions et je lui obéis servilement.

Je passais la langue sur ses babines et goûtais pour la première fois à la saveur d'un vagin inondée de cyprine. C'était à la fois musqué et doux, sa chatte était véritablement détrempée. Plus je suçais sa foufoune, plus elle coulait dans ma bouche. Comme ma tête était maintenue fermement en place, je ne pouvais qu'avaler son jus intime.

Je mignotais son clito le titillant de la pointe de la langue. A ma grande gêne, Tyrell m'enjoignit de me servir de ma langue comme d'une petite bite et de l'insérer profondément dans sa caverne baveuse. Mes caresses la rendaient folle d'excitation et, après quelques minutes elle succomba à un puissant orgasme en frottant âprement son vagin sur mon visage.

Elle se laissa tomber sur la scène, se redressa et lécha son jus qui marbrait mon visage. Elle me roulait des pelles passionnées, langue au frétillant au fond de ma bouche et me dit de l'appeler lorsque j'aurai besoin d'une leçon de gouinage! Je dus admettre, honteuse que j'avais moi aussi joui lourdement sous les yeux de ces nombreux spectateurs ravis.

Je me sentais une vraie salope auparavant et voilà que maintenant s'y ajoutait le péché de lesbianisme. Tyrell me laissa réajuster mes vêtements puis les rejoindre dans la loge. Je me mis à pleurer silencieusement, regrettant amèrement d'avoir accepté leur aide l'autre soir.

Tyrell m'ordonna de sécher mes yeux, la soirée était loin d'être terminée et je devais encore leur faire partager beaucoup de plaisir, il agrippa ma mâchoire me f o r ç a nt à le regarder dans les yeux et me dit :

  • Tu vas te faire tant de grosses bites ce soir que jamais plus tu ne pourras te passer des grosses bites de noirs.

Qu'est ce que cela signifiait? Allait-il me faire coucher avec ses amis ou même avec des étrangers ?

J'avais déjà eu des rapports sexuels avec deux hommes ces derniers jours, delà à coucher avec des gens qui me seraient totalement étrangers... Déjà que je venais d'avoir mon premier rapport lesbien! Jusqu'où pensait-il me pousser, que voulait-il encore de moi!

Il fallait que je sois forte, que je sorte indemne de cette nuit et peut-être qu'alors je trouverai le moyen de me sortir de cette galère! Il devait bien y avoir un moyen de me tirer d'affaire, d'effacer mes erreurs et de reprendre mon style de vie ordinaire comme si de rien n'était.

Tyrell empoigna fermement ma main et m'entraîna à l'arrière du club. Tous les hommes avaient les yeux fixé sur moi et me désignaient à leurs interlocuteurs alors que je traversais la salle. Il s'y trouvait quelques cabines assez vastes pour ce que les gens y faisaient.

Comme nous nous dirigions vers une stalle vide, je vis que des hommes copulaient avec des strip-teaseuses de toutes les façons possibles et imaginables dans ces cabines, je me sentais honteuse de me trouver ici, avec elles.

Coulybaca

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tres bon recit y aura t'il une suite ?
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