Transformé en vraie poupée

Catégories : FANTASME
il y a 2 ans

Paparazzi de l’industrie, Jack s’aventure dans une usine fabriquant des poupées grandeur nature et des poupons. Etant petit et frêle, il parvient souvent à passer entre les barreaux de fenêtre ou des conduits d’aération pour aller faire des photos qu’il vend à des journaux spécialisés ou à des concurrents de l’entreprise visitée.

Cette usine de poupées fait un malheur sur le marché qu’elle inonde mettant ainsi, les fabricants de jouets en difficulté. Ce qui tue les entreprises concurrentes ce sont les prix bas, la nouveauté car ces poupées s’arrachent dans les magasin. Équipées d’ingénieux dispositifs électroniques, elles parlent et bougent un peu à cause de la matière souple. Quand on attrape la main, le reste du corps s’agite. Les filles jouent à la poupée grandeur nature et peuvent les habiller avec de vrais vêtements.

Jack s’engage dans les couloirs de l’usine et se cachant comme il peut quand il entend arriver quelqu’un. Par chance ou malchance..... la nuit les activités sont réduites, il y a peu d’ouvriers. Lorsqu’il parvient à ce qu’il prend pour un laboratoire, il découvre une partie du processus de fabrication en lisant les panneaux destinés aux enfants et parents.

  • Mettre l’enfant nu ici et le faire entrer dans le coffre
  • Lui demander d’attendre en fermant les yeux.
  • Le processus est indolore, c’est un simple scanner
  • Après le bip bip le rhabiller et passer au bureau prendre votre chèque.

Il est une heure du matin quand Jack se décide à essayer de faire fabriquer son double en poupée afin de découvrir la processus de fabrication. Il est convaincu et se déshabillant qu’il va réussir à se faire une fortune en volant les secrets de cette entreprise. Il entre donc dans le coffre avec quelque difficultés malgré sa petite taille. Il est même obligé de mettre son sexe entre ses cuisses et les serrer pour parvenir à passer sans se casser les c..... Quelques secondes plus tard, le scanner se met en route, c’est effectivement indolore et rapide.

Désirant découvrir le processus de fabrication, après le bip bip il ne sort par du coffre, et pour cause, s’il se rend au bureau il sera arrêté et condamné pour espionnage industriel. Au bip bip suivant dont il devrait se méfier, Jack reste dans le coffre. Quand la trappe d’accès se ferme, il comprend aussitôt que c’était une erreur. L’ordinateur a calculé où se trouvent ses narines, sa bouche, son anus et où aurait du se trouver un vagin car pour lui, cela devait être une fille. Des tubes entre dans tous ses orifices sauf qu’entre ses cuisses, c’est ultra douloureux. Par chance celui du vagin passe à côté de ses testicules et pénètre dans le canal inguinal. Le canal inguinal est un passage à travers la cavité abdominale qui laisse passer le cordon testiculaire chez l'homme.

Si les adeptes du tucking le font régulièrement sans ce faire mal, en créant un vagin factice sans précaution, la machine lui arrache un hurlement de douleur. Des buses projettent ensuite une sorte de silicone sur la totalité de son corps. Commençant à s’étouffer, Jack est convaincu qu’il va mourir. Dans ce si petit espace, il lui est même impossible de se débattre, il perd connaissance rapidement.

Lorsqu’il revient à lui, c’est sur les rouleaux de transfert d’une chaîne industrielle. Arrivé sur l’aire de conditionnement, quand il sent que le tube de sa bouche s’enfonce, il serre les dents pour le bloquer, c’est ce qui le sauve de l’asphyxie. La couche de plastique recouvrant son corps se perce, ce qui paraîtra comme un petit défaut au niveau de la bouche lui permet de respirer. La chaîne le conduit dans la mise en carton capitonné, un jeu de vêtements pliés est posé mécaniquement sur la partie intime de la poupée, pour ne pas faire scandale dans les rayons des magasins. Quelques secondes plus tard, il se retrouve debout sur une palette en compagnie d’autres poupées et poupons. La machine à cellophaner les serre pour le transport afin qu’en ne faisant qu’un bloc, les colis ne tombent pas.

Peinant à respirer, Jack essaye de se débattre dans ce corps qui n’est pas le sien. En vain ! S’il parvient à prendre assez d’air pour survivre, il s’affole en se demandant quand il sera vendu et pourra essayer de se libérer ou sera découvert. Il sait qu’on peut tenir quelques jours sans boire ni manger mais l’idée de rester enfermé des semaines voir des mois l’angoisse terriblement.

Le lendemain, la palette est chargée sur un camion pour être livrée dans un magasin. Il ne le sait pas car il ne voit rien et sa peur grandit en pensant qu’il va finir sa vie dans un entrepôt. Deux heures de route plus tard, la palette est déchargée. En comptant les colis, l’employé constate qu’il y a un colis en trop et le signale au patron. « chut on ne dit rien » lui répond le chef d’entreprise ravi de cette aubaine. Lorsqu’il déballe la palette, il constate qu’une des poupées est plus lourde que les autres et pour cause, il y a un humain à l’intérieur. En l’étudiant de près à travers l’emballage, il constate qu’elle a un défaut au niveau de la bouche.

  • Et merde, je vais pas pouvoir la vendre ! Dit Henri à haute voix pour lui même. Je vais la ramener à ma fille, elle sera ravie.

D’un coup de chariot, il l’a charge dans sa fourgonnette avant d’en mettre en rayon et dans sa réserve. Convaincu de mourir, Jack pleure à chaudes larmes. Lorsque sa vessie rend l’âme dans la fourgonnette, il espère que cela sera remarqué et qu’il sera découvert. Hélas, dans la fourgonnette garée en plein soleil, la température est telle que l’urine s’évapore en laissant juste un trace sur le carton. Le soir même, le carton contenant la poupée est déchargée dans la chambre de sa fille âgée de 10 ans. Après le repas, quand elle découvre sa poupée, elle hurle de joie et saute au coup de son père pour lui faire les bisous d’une fille comblée.

  • Tu ne te couches pas trop tard quand même ! Dit la mère en se disant que leur soirée en amoureux ne sera pas perturbée.

Plongés devant la télé main dans la main, ils ne se doutent pas que leur fille a pris un cutter pour ouvrir l’emballage. Même si sa vision est très limitée, Jack s’affole en la voyant découper le plastique avec un truc aussi tranchant. Par chance, elle est agile et ne souhaite pas abîmer sa nouvelle poupée grandeur nature. Attrapé par la main une fois le plastique retiré, Jack avance avec de grandes difficultés et pour cause, le silicone limite tous ses gestes.

La fille trop ravie d’avoir une poupée qui marche le fait se déplacer un peu avant de se décider à l’habiller. « Tu ne peux pas rester nue, ça ne se fait pas » lui dit elle avant de lui mettre un culotte et une robe. En se voyant dans le miroir, ce n’est pas d’être féminisé qui le traumatise, c’est qu’il ressemble vraiment à une vraie poupée. Il s’était plu à espérer le contraire et que l’on découvrirait qu’il y a un problème.

Pour survivre, Jack essaye de parler. Sa mâchoire bloquée par le silicone est un sérieux handicap pour formuler qu’il a soif. Répéter « ouaf » est tout ce qu’il parvient à dire. Par chance, la petite comprend qu’il a soif. Elle va emprunter un des biberons de sa petite soeur et lui le fait boire par le trou de sa bouche. C’est un véritable moment de soulagement pour Jack, le biberon de 25 cl est absorbé sans aucune difficulté par la poupée. La petite le pousse sur le lit ou il s’écroule et lui fait des bisous comme si elle maternait en vrai un bébé. Une heure de jeu de petite fille plus tard, ne pouvant aller aux toilettes, Jack restitue une parti du biberon par les voies naturelles et mouille le lit. La petite furieuse le gronde et le pousse pour qu’il se tourne. Prise dans son délire de petite fille, elle le gronde et lui donne la fessée.

Une petite fille donnant la fessée à un adulte ne fait pas mal, encore moins à travers du silicone. En entendant leur fille crier, les parents viennent voir ce qu’il se passe. La petite leur explique qu’il a fait pipi au lit et qu’elle la punie ! Étonnés par le réalisme de ce jouet, ils lui conseille de mettre une couche à la poupée et changent le lit de leur fille. Celles de la petite soeur sont trop petites mais découpées et additionnées dans une culotte, elle devraient pouvoir dépanner. « Je t’en achèterai à la bonne taille ma puce, comme ça tu ne seras plus embêtée » lui indique la mère amusée par cette mésaventure.

  • C’est complètement fou ces jouets, on dirait vraiment de vraies poupées ! Dit la mère à son mari lorsqu’ils sont couchés.

  • C’est sûr mais au prix où je les paie, il y a intérêt à ce quelles soient de qualité ! Répond le père en se tournant pour dormir.

Le lendemain, la petite débarque dans la cuisine en râlant parce que la poupée à fait « pot pot » dans sa couche et que ça pue.

  • Ce n’est pas possible, ils ne sont quand même pas si réalistes que ça ces jouets, débrouille-toi et arrête de chercher des prétextes pour ne pas aller à l’école ! Répond le père sur un ton cassant.

  • Je te jure papa, viens voir ! Répond la petite.

Agacé, Henri se lève de table pour se rendre dans la chambre de sa fille. L’odeur lui confirme ce qu’elle a dit et l’ennuie fortement. Son épouse étant déjà partie travailler, il n’a pas d’autres choix que de faire la toilette en expliquant à sa fille comment elle devra faire la prochaine fois. En même temps, il se demande comment cela peut être possible ! Où est le bug avec ces jouets ?

  • Allez vite, tu vas être en retard ! Dit le père en prenant sa fille par la main pour la presser de quitter la maison.

Après l’avoir déposée à l’école, Henri s’interroge sur cette poupée. Si elle peut déféquer, elle doit pouvoir servir par là. Au lieu de se rendre au magasin, il revient à leur domicile pour venir regarder de plus près la poupée. Couchée sur le ventre fesses rebondies en l’air avec sa petite robe, il la trouve pas mal du tout. Par curiosité, il relève la robe et plonge sa main dans la culotte. Ses doigts lui rapportent que le silicone des fesses est à la fois souple mais ferme comme des vraies. Ils trouvent aussi la faille par laquelle les excréments sont sortis. La surprise est de taille pour lui quand ils s’y enfoncent sans trop de difficulté.

Après une nuit très agitée, Jack dormait quand Henri est entré dans la chambre. Les doigts inquisiteurs l’arrachent aussitôt de son sommeil. Il peine à tourner la tête à cause du silicone mais suffisamment pour voir que ce n’est pas la petite qui est là. Affolé il essaye de bouger, de crier mais en vain pour se sortir de ce mauvais pas. Au contraire, en s’agitant, il excite henri qui, au lieu de se demander comment une poupée peut s’agiter toute seule, ouvre son pantalon pour se masturber un peu. Il pousse la poupée sur le côté, place un oreiller au niveau du ventre et la fait rouler dessus pour exposer les petites fesses à ses lubriques envies. Convaincu de baiser une poupée, l’hétéro pervers sodomise Jack sans plus de précaution.

« C’est magique elle crie de plaisir » se dit Henri alors que les hurlements de Jack sont étouffés par le silicone. Couché sur la poupée, il fait son affaire avec des « hans » de bûcheron, ravageant sans le savoir, le fondement d’un puceau. La chose faite, il lui remonte la culotte, baisse la robe et part travailler.

Désespéré, Jack pleure comme une madeleine, une expression détournée de la bible. Marie la Magdaléenne était une ancienne prostituée ou une victime habitée par le démon, selon les témoignages. Lors de sa rencontre avec Jésus, elle lui confesse la totalité de ses pêchés. Cela en pleurant à chaudes larmes. Là, Jack peut pleurer mais pas se confesser ni même parler du creux meurtris de ses fesses.

Après une heure d’effort, il parvient à glisser du lit de la petite et à se mettre à genoux. Une demi-heure plus tard, ruisselant de sueur dans sa « combinaison de silicone » il parvient à se mettre debout. Son but est simple, trouver de quoi couper le silicone pour se libérer et s’enfuir. Marcher jusqu’à la porte de la chambre est un calvaire, accroché à cette dernière, il choit d’épuisement et se retrouve à nouveau à genoux. Il tente alors de se déplacer sur sa gauche jusqu’au tableau pour essayer d’écrire. Refermer les doigts sur la craie est un véritable calvaire, tout comme d’écrire : « HELP » en écriture bâton.

Comme tous les mercredi, la femme d’Henri ne travaille que la matin. Elle achète des couches à la pharmacie avant de prendre sa fille à l’école. A leur arrivée à la maison, elles trouvent Jack dans la chambre étendu sur le sol. En râlant sur le fait quelle est trop lourde, la maman peine à relever la poupée pour la mettre sur le lit. Elle apprend à sa fille comment mettre une vraie couche à une poupée. La maman s’étonne de la bosse qu’elle a entre les jambes mais ne dit rien. Elle ne peut voir à travers l’épaisseur du silicone que c’est un sexe d’homme. A la suite de quoi, elle la laisse jouer un moment le temps de préparer le repas.

  • Il faut faire manger Suzie maman, qu’est-ce je peux lui donner ?

  • Ah, tu lui as trouvé un prénom ? Suzie c’est joli. Pour la faire manger, à part un biberon je ne vois pas. Tu sais les poupées n’ont pas d’estomac. Si tu veux faire semblant, tu peux lui donner un biberon avec du lait.

  • Elle est un peu grande pour du lait !

  • Oui tu as raison, mais ce n’est qu’une poupée ma puce ! Allez, à table.

Après le repas, la petite s’amuse avec sa poupée. Elle la fait boire plus que de raison, l’habille avec ce qu’elle a trouvé dans le grenier familial. Maman l’ayant menacée de retirer le poupée si elle ne fait pas ses devoirs, la petite fait ses exercices. Jack se désespère autant d’ennui que de peur. Abandonné debout dans un coin de la chambre, il ne peut que se lamenter sur son sort et s’abandonner dans sa couche. A nouveau changé par la petite, il est rangé dans la penderie. Quand la porte se referme sur lui, Jack essaye de crier mais cela n’est pas entendu. C’est à coup de tête contre la porte qu’il parvient à attirer l’attention de la petite.

  • Maman, elle tape !

  • Quoi ?

  • Oui, la poupée tape à la porte !

  • Arrêtes tes bêtises !

  • Non je te jure que c’est vrai, viens voir !

Lorsqu’elles arrivent dans la chambre, effectivement elle tape et la porte de l’armoire bouge. Lorsque la maman l’ouvre pour comprendre, Jack se laisse tomber sur elle et l’entraîne dans sa chute. Avec l’énergie du désespoir, il serre la main de la maman comme un fou en poussant des cris. Elle parvient à se libérer et constate que le silicone c’est déchiré et qu’il y a des poils sur le bout de jambe qui dépasse.

Affolée, elle prend sa fille dans ses bras et quitte la chambre en courant pour aller appeler son mari à l’aide. Au départ il éclate de rire en l’écoutant mais, à la voix de sa femme, il comprend qu’il y a un réel problème. Deux radars plus tard, il débarque dans la chambre prêt à en découdre avec la poupée agressive. Constatant qu’elle a raison, il y a des poils sous le silicone, il attrape des ciseaux et commence à découper la « peau » de la poupée. Henri constate rapidement qu’il y a un humain à l’intérieur.

  • Appelle la police pendant que je le surveille ! Hurle henri.

Après 5 minutes d’attente à écouter « vous avez appeler la police, ne quittez pas » elle finit par avoir quelqu’un en ligne. Quand elle lui raconte l’objet de l’appel, il lui conseille d’arrêter ses conneries si elle ne veut pas être inquiétée. Comme il ne l’écoute toujours pas, elle se met à l’insulter et le traiter de tous les noms d’oiseaux lui passant par la tête. Elle lui redonne sont adresse et lui disant de venir voir puis de l’arrêter si elle a menti.

L’officier de permanence lance un appel radio en demandant d’aller voir ce qu’il se passe chez les fous du 45 rue Voltaire. En arrivant, les gendarmes constatent qu’une femme et sa fille sont effectivement très agités. En arrivant dans la chambre de la petite, en voyant Henri armé d’un couteau posé sur le cou d’une poupée, ils sortent leurs armes en lui ordonnant de le poser.

Henri s’exécute et les remercie d’être venu puis leur raconte ce qu’il se passe. Un des gendarmes s’approche de la poupée en rigolant. Lorsqu’il glisse sa main dans la fente faite avec les ciseaux, il la retire vivement en criant « écartez-vous » puis en ressortant son arme.

  • Sortez de là ! Hurle le gendarme.

  • « e e a » répète la poupée en boucle. (Traduction je peux pas)

Cinq minutes plus tard, les pompiers appelés en renfort rejoignent les gendarme et le capitaine de gendarmerie venu en renfort et par curiosité. Au bout d’un moment Jack est libéré de son carcan. Henri lui prête des vêtements bien trop grands mais pour que les gendarmes puissent l’emmener au poste sans que sa fille voit un homme nu.

EPILOGUE

Après une journée d’hôpital, Jack retrouve sa liberté en attendant que le procureur décide des suites à donner. Ayant récupéré l’appareil photo, l’usine ne porte pas plainte sous condition qu’il garde le secret sur cette histoire. Les avocats concluent cet accord et l’archivent. Chose surprenante, Jack n’a pas porté plainte pour sa sodomie et Henri n’en a jamais parlé.

La petite n’a pas voulu qu’on lui donne une autre poupée !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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