Mes fessées de petite et de grande

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il y a 2 ans

Mes parents se disaient partisans de la "fessée pédagogique".

Pendant toute ma jeunesse, je fus ainsi punie, lorsque je commettais une faute qui leur paraissait grave. A vrai dire, c'était plutôt un rituel qu'une véritable punition. C'était en général ma mère qui s'en chargeait. Elle s'acquittait de sa tâche de deux coups secs toujours accompagnés d'un petit discours moralisateur.

Mon père intervenait plus rarement, préposé aux grosses fautes; mais les fessées étaient alors un peu plus vigoureuses et les sermons plus longs. Je n'ai aucun souvenir d'avoir pris un quelconque plaisir à ces cérémonies. Quand j'entrai au collège, les fessées se firent plus rares, puis disparurent. Pourtant, je devais recevoir la dernière dans des conditions restées pour moi mémorables.

J'étais en classe de première, bonne élève, sans problème particulier comme sans conflit avec mes parents. Ces jours-là, nous avions reçu à la maison une lointaine cousine que je n'avais jamais vue et qui, devant régler pour son travail une affaire dans notre ville, était passée voir mes parents qui l'avait invitée à séjourner pendant la semaine chez nous, plutôt que d'aller à l'hôtel. C'est peu de dire qu'elle m'avait séduite: elle m'avait subjuguée. Elle avait vingt-trois ans et occupait un poste important dans une entreprise d'informatique; elle était belle, élégante, distinguée, sûre d'elle.

Chaque soir, nous avions bavardé comme deux amies; elle était, à son insu sans doute, un peu condescendante, mais l'écart d'âge le justifiait sans doute. Le dernier soir, elle rentra plus tôt et vint me retrouver dans ma chambre où je terminais mes devoirs. Elle n'y était pas encore rentrée et prit le temps d'examiner la décoration, les livres qui traînaient. Comme je rangeais mes cahiers, comprenant que j'en avais fini, elle me demanda si je voulais bien lui faire voir ma garde-robe.

Je me montrai réticente et lui assurai qu'elle ne pouvait qu'être déçue. Mais, en souriant, elle ouvrit mon armoire et se mit à passer en revue son contenu. Elle s'arrêta sur une petite robe que j'avais achetée l'année précédente pendant un voyage scolaire en Espagne.

Elle était si courte et si décolletée que mes parents avaient poussé des hauts cris quand ils l'avaient vue sur moi quelques temps plus tard. J'avais compris qu'il valait mieux la réserver à des circonstances où ils ne me verraient pas. Ma cousine sortit cette robe, la regarda quelques instants en la tenant à bout de bras, puis me la tendit en disant: "J'aimerais beaucoup te voir dedans." Le tout était accompagné d'un sourire que je crus un peu ironique. "Mets-la pour le dîner, veux-tu ?" Et sans attendre davantage de réponse, posant la robe sur mon lit, elle redescendit.

J'hésitai quelque peu, puis me dis que c'était une bonne occasion de la mettre et, par la même occasion, de faire comprendre à mes parents que d'autres savaient apprécier ce qu'ils jugeaient inconvenant. Je la portais donc quand je descendis. Dès qu'elle me vit, ma mère me demanda sèchement si je n'avais rien d'autre à me mettre; je lui répondis que je n'avais fait que suivre le conseil d'Agnès, notre invitée, ce qui n'entraîna de sa part aucun commentaire.

Par contre, mon père, arrivé à son habitude en retard, ne put s'empêcher pendant le repas de me faire plusieurs remarques désagréables à ce sujet. Agnès ne précisa pas le rôle qu'elle avait tenu dans ce choix, ce qui m'irrita. Un énervement de plus en plus grand s'emparait de moi.

Je n'arrivais pas à surmonter une agressivité qui m'entraînait à me moquer de tout ce que disait mon père. A un moment, tandis que je desservais la table, je me laissai aller à lui dire qu'il était "trop bête pour comprendre." Je prenais alors son assiette et j'étais tout près de lui.

Sa réaction fut sans doute instinctive; il recula v i o l e m m e n t sa chaise, me saisit par le bras et me coucha sur ses genoux. L'assiette roula par terre et se fracassa. Je crois aussi que je me mis à crier. Déjà, il avait soulevé ma jupe et m'appliquait deux claques retentissantes sur les fesses. J'entendis la protestation de ma mère: "Pierre !".

Je me retrouvai libre aussitôt, atterrée de ce qui venait de se passer devant ma cousine, humiliée d'avoir été traitée comme une gamine. Je croisai alors ses yeux et je crus y lire de l'amusement. Les larmes m'aveuglèrent et, sans trouver rien à dire, au milieu de mes sanglots, je courus me réfugier dans ma chambre que je fermai à clef.

Le lendemain matin, j'attendis que la maison devienne silencieuse. Quand je compris que mes parents étaient partis, je jugeai qu'Agnès avait dû partir en même temps qu'eux. Je ne voulais pour rien au monde me retrouver devant elle. Je sortis silencieusement de ma chambre, écoutai quelque temps dans le couloir, allai jusqu'à la chambre qu'elle avait occupée. J'entendis le bruit de la rue, signe que la fenêtre était ouverte. J'allai jusqu'à la salle de bain : tout était silencieux. Je me glissai dans la pièce.

Je compris trop tard mon erreur: Agnès était devant la glace, en peignoir, occupée à se maquiller les yeux. Sans bouger, elle me dit : "Entre".

Partagée entre le désir de fuir et l'orgueil de ne rien montrer de mon ressentiment, je restai maladroitement en déséquilibre devant elle. Elle tourna le visage vers moi, en me souhaitant le bonjour. Troublée par la tournure des événements, au lieu de tendre la joue, j'avançai les lèvres et y reçus son baiser. Je voulus reculer, mais sa main était venue se poser sur mon épaule et elle maintint quelques secondes la pression de ses lèvres. Je me sentis rougir.

Elle éclata de rire: "Petit clown!". Puis, du coin d'une serviette, elle enleva le rouge qui me barrait les lèvres. Son regard descendit le long de mon corps, remonta jusqu'au motif qui ornait le devant de mon pyjama. De l'index, elle suivit le dessin, passant plusieurs fois sur la pointe de mes seins que je sentis se dresser.

"C'est joli", murmura-t-elle. Puis elle se pencha vers moi et murmura distinctement à mon oreille: "Si tu veux savoir ce qu'est une véritable fessée, rejoins-moi dans ma chambre." Sa main relâcha son étreinte sur mon épaule, elle me fixa droit dans les yeux, prit ses affaires de toilette et sortit, me laissant abasourdie.

Mon cœur battait à se rompre. Je doutais un moment d'avoir bien entendu. Je ne savais que faire. Quelque chose en moi me disait d'y aller et aussitôt je me révoltais contre cette idée. Je fis durer ma toilette plus longtemps que nécessaire, espérant vaguement qu'elle partirait pendant ce temps. Quand je sortis, je longeai sur la pointe des pieds le couloir, écoutai devant sa porte: un faible bruit se faisait entendre. Je me dirigeai vers ma chambre, hésitai, revins en arrière, mis la main sur la poignée. Je restai ainsi quelques secondes, incapable de me décider, sentant le s a n g battre mes tempes. Je dus appuyer un peu, car la porte s'entrouvrit.

Une main se posa sur mon poignet, m'attira à l'intérieur; Agnès était en tailleur beige et en chemisier. Sa veste était sur le dossier de la chaise, à côté de sa valise déjà fermée. Sans me lâcher, elle me désigna du menton le lit. Je ne pensais plus à rien: son regard me fascinait et je ne cherchais qu'à lire les signes de sa volonté. Je mis un genou sur le bas du lit. "Petite sotte", dit-elle, et elle m'attira tout près d'elle. De la main gauche, elle remonta le haut de mon pyjama, le retourna par-dessus ma tête et le rabattit derrière ma nuque sans dégager les bras.

Un instant, elle effleura ma poitrine, puis elle s'assit sur le lit, et me reprenant par la main, me fit signe de me plier sur ses genoux. Je me laissai aller, prenant appui des deux mains sur le lit, gênée par le vêtement qui limitait mes mouvements. "Mets tes bras dans le dos". J'obéis, cachant mon visage dans l'oreiller où je retrouvais son odeur. Je sentis qu'elle faisait glisser le bas du pyjama jusqu'aux chevilles. Ce moment où je me trouvai étendue, nue, offerte sur ses genoux est l'un des plus troublants de ma vie.

Pendant quelques secondes, elle me caressa les jambes en un lent mouvement qui allait de l'extérieur vers l'intérieur des cuisses, tournait autour des fesses. Puis sa main gauche m'emprisonna les poignets après les avoir réunis. Je respirais bruyamment, le nez écrasé contre l'oreiller. Elle m'appliqua deux coups brefs, un à gauche, un à droite, tandis que l'étreinte sur mes poignets se resserrait. Je gémis.

Une avalanche de coups succéda à un court répit: la plupart visaient les fesses mais certains s'égaraient sur les cuisses. Je commençai à me débattre sous la douleur qui grandissait. Tout s'arrêta. Sans lâcher mes poignets, elle dit sur un ton sec: "Oui ou non, est-ce moi qui commande?" J'éprouvais une grande volupté à lui dire oui. Elle me donna quelques claques supplémentaires, plus pour concrétiser cette reddition que pour me faire mal. Enfin, elle m'intima l'ordre de me relever.

Non sans mal, je me mis debout. "Ne bouge plus", m'intima-t-elle. J'étais devant elle, le haut du pyjama retroussée autour du cou, le pantalon sur les chevilles; je voyais sur mes cuisses deux marques rouges qu'avait faites le contact avec sa jupe. Elle glissa sa main droite entre mes cuisses, remonta lentement jusqu'à mon sexe, qu'elle explora d'un mouvement furtif, observant sans doute s'il était humide. Il l'était. Plaçant ses mains sur mes hanches, elle me tira vers le sol: "A genoux".

Elle me fit enlever le haut du pyjama qu'elle jeta sur le lit et promena longuement ses mains sur mon visage, sur mes seins, comme si elle s'appropriait mon corps. Puis elle força mes lèvres de son index et pénétra ma bouche d'un lent mouvement de va et vient. Enfin, me saisissant par les cheveux, elle me fit baisser la tête jusqu'à toucher ses chaussures: "Lèche!" Le goût fade du cuir emplit ma bouche. "As-tu compris?", me dit-elle. Je lui souris, mais elle se releva et me demanda d'en faire autant. Puis, désignant sa valise, elle dit: "Prends-la; nous descendons."

Je voulus relever le pantalon de mon pyjama, mais elle mit vivement le pied dessus: "Passe devant." Je pris la valise, et, entièrement nue, descendis l'escalier. Les fesses me brûlaient, mais je ressentais plus d'excitation que de douleur. Quand je vis qu'elle avait mis sa veste et qu'elle me dirigeait vers l'entrée, je compris qu'elle avait décidé de partir immédiatement.

Arrivée devant la porte d'entrée, elle resta derrière moi, plaçant une main sur mon épaule. Je sentais son souffle dans mon cou. "Ouvre la porte", murmura-t-elle. Un frisson me parcourut : derrière, il y avait un étroit jardinet, puis la rue.

Elle était peu fréquentée, mais obéir c'était m'exposer à être vue du moindre voisin ou d'un passant. Je posai la valise. La voix se fit plus autoritaire: "Ouvre la porte". Une sorte de stridence retentissait dans mon esprit, m'empêchant de penser. Je mis la main sur la poignée, commençai à l'enfoncer. La pression sur mon épaule était presque un pincement. "Dépêche-toi."

Un rai de lumière se dessina le long de la porte. Je fermai les yeux, immobile, haletante. Le bruit de la rue devint plus présent. Je n'eus que le temps de me plaquer contre le mur, cachée par la porte, quand, passant devant moi, elle l'ouvrit brusquement en grand. Elle saisit sa valise et au dernier moment, se tournant vers moi, elle dit : "Ton éducation n'est pas terminée.

La prochaine fois, je te fouetterai." Ce furent ses derniers mots. Sans même fermer la porte derrière elle, elle s'éloigna à grands pas.

Je refermai la porte et courus dans la cuisine, regarder son départ derrière les rideaux. A aucun moment, elle ne leva les yeux vers la maison. Je la vis monter dans sa voiture et s'éloigner.

Le souvenir de cet épisode ne m'a jamais quittée; et il m'a même obsédée pendant les premiers mois. Je revivais chaque moment, je repensais aux dernières paroles d'Agnès. L'envie me taraudait de l'entendre et de la voir à nouveau. J'avais beau me dire que je ne désirais en rien être fouettée, qu'il y avait dans cette relation quelque chose de ridicule et de pervers, l'idée de retrouver le trouble délicieux que j'avais ressenti quand je m'étais livrée à elle était plus forte que ma raison.

J'en vins à concevoir des plans pour la revoir; c'était d'autant plus difficile qu'il n'existait aucun lien habituel entre elle et ma famille et que son séjour semblait plus avoir été le fait du hasard que d'un désir de créer avec nous de véritables relations. Après avoir échafaudé mille plans irréalisables, j'en conçus un que j'osai présenter à mes parents.

Je m'inventai une difficulté soudaine en mathématiques; plus exactement en géométrie. Dans la perspective prochaine du bac, c'était un motif d'inquiétude pour mes parents qui se désolèrent de ce problème inattendu. Comme mes résultats ne laissaient rien paraître de ces prétendues difficultés, j'accusai le professeur d'un trop grand laxisme dans ses notes. J'arrivai même à faire dire la même chose à une camarade devant eux. Mais j'avais aussi la solution, que je leur suggérai progressivement: pourquoi ne pas demander à la cousine Agnès de me donner quelques cours? On la savait brillante et elle ne demanderait certainement pas mieux que de rendre service. Mes parents finirent par penser que c'était un moyen poli de lui permettre de s'acquitter du service qu'ils lui avaient rendu.

La difficulté venait du fait qu'elle habitait Lyon; c'était bien loin de chez nous. Je réussis pourtant, là encore, à convaincre mes parents et ils se décidèrent à lui écrire pour lui faire part de leur demande. La réponse se fit attendre et j'en perdais le sommeil; enfin, dans une réponse sèche et froide, elle fit part de son accord, sans même joindre le moindre mot à mon intention.

J'en fus froissée et en vins à me dégoûter de mon projet. Pourtant lorsque mon père me demanda si j'étais d'accord pour partir pendant le long week-end de la Pentecôte, le désir m'envahit à nouveau et je lui dis que cela me convenait.

Quand le mardi du départ tant attendu fut venu, au dernier moment, sur une sorte de coup de tête, j'ajoutai à mon bagage la petite robe qui avait été la cause du scandale. Le voyage passa comme un éclair : je ne cessai d'imaginer les retrouvailles. La réalité fut plus terne : Agnès m'attendait à la gare. Elle se montra aimable mais sans enthousiasme. Nous dînâmes dans un Mac Do, puis elle me conduisit dans son appartement, me montra ma chambre et s'éclipsa pour toute la soirée.

Le lendemain matin, elle me réveilla de bonne heure. Elle était entrée dans la chambre, avait ouvert les volets et, prenant mon sac de voyage, avait déversé le contenu sur le lit. Elle regarda ce que j'avais apporté, dépliant les tee-shirts, inspectant les sous-vêtements, posant les livres sur une chaise. Enfin, elle me tendit une culotte blanche, des socquettes à fleurs et la petite robe, en me disant: "Fais-moi plaisir; après ta douche, habille-toi avec ça. Tu te feras aussi des couettes."

Le ton était péremptoire. Ainsi équipée, j'avais l'air d'une petite fille. Quand je la retrouvai, après m'être lavée et avoir déjeuné, j'eus la surprise de voir qu'elle était prête à partir. "Bien, dit-elle, puisque tu es venue pour travailler ta géométrie, j'ai demandé à une amie de s'occuper de toi. Je ne pus cacher ma surprise et mon désappointement.

La géométrie n'avait été qu'un prétexte, je pensais qu'elle ne pouvait l'ignorer. Mais elle se fit cassante: "Tu fais ce que j'ai prévu ou tu retournes chez toi." Je me le tins pour dit. Il s'agissait, m'expliqua-t-elle, d'un professeur de mathématiques qui avait été auparavant institutrice. Elle avait accepté de m'aider.

Je devais savoir m'en montrer reconnaissante. "Tu feras exactement ce qu'elle te demandera, n'est-ce pas? Tout ce qu'elle demandera. Je ne veux pas qu'elle ait à se plaindre de toi." Je promis et elle m'emmena en voiture chez cette femme.

Elle pouvait avoir trente-cinq, quarante ans; elle était grande et mince avec des yeux délavés, comme absents, perdus dans une sorte de rêverie. Sa mise n'était pas très soignée: un jean et un pull informe; pas de maquillage. Agnès nous présenta, me parlant comme si j'étais une enfant. Son amie proposa aimablement de lui offrir un café et, d'autorité me servit un grand verre de coca. Je n'avais pas très soif et l'aurais bien volontiers laissé à moitié plein mais elle me demanda de le finir et Agnès profita de la circonstance pour me rappeler la nécessité d'être attentive et obéissante. J'obéis donc et mon verre fut aussitôt rempli à nouveau. Puis Agnès s'éclipsa, nous laissant en tête-à-tête.

Bernadette, tel était son nom, s'enquit des difficultés que je rencontrais et me proposa de résoudre un premier problème pour voir mon niveau. Je m'en tirai sans mal et elle me donna ensuite un exercice plus difficile. Je dus demander de l'aide. "Appelle-moi maîtresse, dit-elle, comme le faisaient les enfants." Elle expliquait calmement et avec clarté. Une partie de la matinée, nous enchaînâmes des problèmes de géométrie. De temps en temps, elle me rappelait à la nécessité de boire. Je réussis à faire remplacer le coca par de l'eau, mais elle semblait obsédée par cette nécessité de boire. "Les jeunes filles doivent boire beaucoup", répétait-elle.

Enfin délaissant son rôle, elle me proposa de résoudre seule par écrit une démonstration et s'installa en face de moi avec un livre dans lequel elle s'absorba.

Après avoir terminé ma démonstration, je lui demandai où se trouvaient les toilettes. Elle me regarda comme si j'avais prononcé une incongruité. "Voyons, Alicia, est-ce ainsi que l'on demande?

  • Oh! Pardon. Puis-je aller aux toilettes, s'il vous plaît, maîtresse?

Elle me corrigea: "On dit: Puis-je aller faire pipi, maîtresse?" Bien qu'un peu agacée d'être traitée comme un bébé, je répétai docilement. "Aurais-tu souillé ta culotte, Alicia?" Je protestai que non.

Je compris brusquement son jeu : elle exigeait de moi que je me comporte effectivement comme une petite fille; c'était pour cela qu'Agnès m'avait fait adopter cette tenue.. "Viens ici", me dit-elle. J'hésitai puis, obéissant à son geste, je vins auprès d'elle. Agnès m'avait volontairement amenée ici; c'était sans doute dans son esprit une preuve que je devais lui donner de mon désir de lui plaire. Je décidai de me soumettre.

Bernadette recula sa chaise, tout en se tournant sur le côté, me fit avancer entre ses jambes écartées, se remit dans l'axe, me poussant du bout des doigts jusqu'à ce que je m'appuie le dos à la table. Je me demandais à quoi visait son attitude. Ses jambes serrèrent légèrement les miennes. "Montre-moi." Abasourdie, je la regardais sans comprendre; d'autorité, elle releva le devant de ma jupe jusqu'à découvrir ma culotte. Je balbutiai: "Mais..."; elle me fit taire d'un "silence!" autoritaire. Sa main effleura ma culotte, passa entre les cuisses. J'entendais sa respiration un peu bruyante; sa main était froide et, malgré moi, ma peau se rétractait sous son toucher. "Madame, dis-je, maîtresse, s'il vous plaît, non..."

Elle sembla hésiter, puis se levant à demi, elle m'attira sur ses genoux, m'enlaça de ses deux bras autour de la taille. Ses lèvres parcouraient ma nuque, tandis qu'elle chantonnait. J'entendais qu'elle murmurait "pipi, pipi". Je le trouvais un peu folle et, mal à l'aise, je restais très raide, attendant qu'elle me libère enfin.

Sa main passa sous ma jupe, vint caresser mon ventre. La caresse se transforma en une pression insistante. Tout à coup, elle rabaissa brutalement ma jupe, me poussant sur le côté. Il y avait de la colère ou du dépit dans la voix. "Vilaine fille; tu racontes des bobards pour ne pas travailler." Mes protestations n'eurent pour effet que de faire monter le ton. Me prenant par le coude, elle me raccompagna vivement à ma place, me fit asseoir et me donna un nouveau problème à résoudre.

Je cherchai à m'y absorber, mais la tâche dépassait mes forces. Je n'y comprenais rien. Peut-être avait-elle même choisi volontairement un problème insoluble. L'envie d'uriner se faisait plus violente; une douleur me barrait le bas-ventre et je serrais désespérément les cuisses pour résister. Au Bout d'une demi-heure, n'y tenant plus, je me levai: "Il faut que j'y aille, vite, où sont les toilettes?"

Alors qu'elle avait feint de m'ignorer tout ce temps, plongée dans son livre, elle se leva avec violence, fondit sur moi, me saisit par l'une des couettes et se mit à me secouer la tête. "Qu'est-ce que c'est que cette impertinence? Est-ce que c'est comme ça qu'on obéit? Compte sur moi pour en parler à ta cousine! Petite pimbêche! En attendant, va au coin, là." Et elle m'entraîna vers l'angle du mur. Je voulus protester et me retournai. Folle de rage, elle me remit face au mur: "Maintenant, tu restes au piquet." De temps en temps, je risquai un "S'il vous plaît", mais elle répondait invariablement par un impérieux "silence!".

Au bout d'un temps qui me parut interminable, un coup de sonnette retentit. Je me retournai et esquissai le geste de m'enfuir. D'un bond elle fut sur moi: "Ne bouge pas!" Je me mis silencieusement à pleurer; le besoin d'uriner était si lancinant que je ne pouvais m'empêcher de me plier à demi. Je reconnus la voix de ma cousine dans l'entrée, puis les bruits se rapprochèrent. Elle vint tout près de moi. "J'en apprends de belle; ne t'avais-je pas dit d'être obéissante et polie? Tu te conduiras donc toujours comme une gamine ?"

Je fus assez naïve pour essayer d'expliquer, mais cela ne m'attira que des sarcasmes et l'ordre de rester au coin et de me tenir droite. Elles eurent ensuite la cruauté de s'installer confortablement près de moi pour prendre le thé.

Ce qu'elles attendaient finit par arriver. L'urine commença à me couler le long des jambes. Je balbutiai, cherchai à la retenir de mes doigts mais le flot libéré jaillit, m'inondant les jambes, remplissant mes chaussures, souillant même ma jupe que dans un mouvement convulsif je pressai contre moi.

Après quelques longues secondes, je me retrouvai à genoux dans une mare d'urine, accablée de honte. Agnès vint auprès de moi, me toucha du bout du pied: "Lève-toi, souillon." Elle contempla le désastre et me prévint: "Je ne veux pas que tu salisses ma voiture." Bernadette proposa de me prêter du linge et voulut m'accompagner à la salle de bain, mais ma cousine refusa. "Elle ne le mérite pas". Elle me fit enlever ma culotte, mes chaussettes et mes chaussures qui furent mises dans un sac en plastique. On me tendit une serpillière humide et un seau: "Essuie-toi et nettoie le sol."

Non sans répugnance, je passai la serpillière sur mes jambes, puis épongeai le carrelage. "Ca va, ça va", disait Bernadette, qui semblait maintenant pressée de nous voir partir. Je dus pourtant lui demander pardon et la remercier pour tout ce qu'elle avait fait pour moi. "Tu pues", me dit Agnès dans l'escalier et elle m'ordonna de marcher derrière elle.

Je descendis l’escalier, pieds nus, sans culotte, avec ma petite jupe si courte qu'elle cachait à peine le bas des fesses, trempée d'urine sur le devant, toute froissée d'avoir été essorée. Je mettais le sac plastique avec mes affaires devant moi pour essayer de cacher le désastre. Je priais que personne ne nous croise. Déjà nous arrivions près de la porte vitrée.

A travers les carreaux brouillés, je voyais passer des silhouettes. Ma cousine avait descendu la dernière marche quand elle se retourna, m'arrêtant d'un geste impérieux, deux marches plus haut: "Montre-moi si tu es propre." Je la suppliais du regard, mais de l'index, elle m'ordonnait de me découvrir. Je soulevai ma jupe. A nouveau une ombre passa devant la porte; je rabattis précipitamment l'étoffe. "Tourne-toi. Penche-toi; davantage."

Ainsi placée, je n'avais même pas besoin de soulever ma jupe. J'entendis brusquement le grincement de la porte, me redressai d'un coup et me jetai au bas des marches pour découvrir que ma cousine était déjà dehors. Sa voiture était au pied de l'immeuble. Elle voulut d'abord installer un journal sur le siège avant de me laisser m'asseoir.

Après quelques minutes de route, elle éclata de rire et me dit: "Tu n'as rien compris à ce qu'elle voulait!" Je l'interrogeai du regard. "Elle voulait que tu lui pisses dessus; elle aime ça." Un frisson de dégoût me parcourut. "N'es-tu pas venue pour apprendre à obéir ? Crois-moi, tu vas encore apprendre."

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Une histoire vraiment délicieuse :) merci !
Un texte tout à fait fascinant. Et remarquablement bien écrit. On suit pas à pas les états d'âme de cette jeune femme qui tombe sous la coupe de sa cousine et de son amie.
Merci beaucoup pour ce partage pleins d'émotions. On espère avoir une suite un jour ^^
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