La discipline domestique s'applique au locataire 2

Catégories : Hommes fessés
Ce récit est la suite de : La discipline domestique s'applique au locataire
il y a 6 ans
  • Daniel, faut-il que j’aille te chercher ? Je t’attends !

Je me dirigeais aussitôt vers la cuisine, délaissant les questionnements qui m’avaient arrêté. La fermeté de la voix de Louisa avait suffit pour me ramener à une obéissance immédiate.

Elle était assise à la table de la cuisine. Le petit déjeuner était prêt. Le café fumait, des pots de confitures, des toasts grillés, quelques œufs durs, … c’était un copieux repas qui m’attendait.

  • Viens ici Daniel !

Je n’eus qu’une petite seconde d’hésitation avant d’obtempérer à sa demande. Je m’approchais de Louisa jusqu’à me tenir à portée de ses mains.

  • Tourne-toi !

Elle me fit pivoter, me plaçant de profil. Puis, sans l’ombre d’une hésitation, elle baissa ma culotte de pyjama jusqu’à mi cuisses, me mettant le derrière à nu.

  • Biens, fit-elle après avoir examiné mes fesses, ce ne sera pas trop grave. Je crois que tu vas te remettre plus vite que prévu de la fessée d’hier soir ! Allez, rhabille-toi et prends ton petit déjeuner.

Cet examen avait été fait si rapidement et si naturellement que je ne trouvais pas de motif à me plaindre. Elle avait agi comme si me déculotter pour examiner mes fesses était la chose la plus légitime qui soit. Mon attitude devait d’ailleurs conforter cette impression : alors que Louisa me déculottait et qu’elle contemplait mes fesses, je n’avais pas esquissé le moindre geste de protestation. Seul mon visage avait rougi, s’enflammant de honte autant causée par le traitement que je subissais que par mon incapacité à marquer ma désapprobation, comme mon âge aurait dû m’y inciter.

Je me reculottais et je m’assis à ma place, face à elle. Je ne savais plus comment me comporter. Je gardais les yeux baissés, m’absorbant dans la contemplation de mon bol.

  • Daniel, je n’ai pas l’intention de prendre mon petit déjeuner avec, assis en face de moi, un jeune homme qui fait la tête. Si tu persistes, je me fâche comme hier soir !

  • Oh, non, non, s’il te plait Louisa, j’arrête tout de suite !

Je levais mes yeux et croisais son regard. Elle me fit un sourire.

  • Tu sais, Daniel, ce n’est pas parce que tu as reçu une petite fessée hier soir qu’il faut en faire tout un plat. Je crois même, au contraire que cela t’a fait beaucoup de bien. Un jeune homme comme toi qui n’arrive pas à respecter une règle de vie aussi simple que de ne pas fumer, se comporte comme un petit garçon. Il est donc logique qu’il soit puni comme tel : une bonne fessée déculottée puis un séjour au piquet. Tant que tu vivras dans ma maison, je te punirai de la sorte à chaque fois que tu l’auras mérité. Je crois qu’en tant qu’adulte responsable, c’est mon devoir. Tu recevras d’autres corrections, certaines beaucoup plus rigoureuses. Hier soir, comme c’était la première fois que je te fessais, je n’ai pas voulu être trop sévère.

Pas trop sévère ? Je me souvenais encore de la cuisson de mes fesses et je ne voyais pas que pourrait être une fessée « plus rigoureuse », comme me le promettait Louisa.

  • Ne me dis pas que tu n’as jamais reçu une fessé de ta vie !

Je dus déglutir afin de réussir à parler. C’est d’une voix étouffée que je parvins à articuler :

  • Non, jamais comme ça !

  • Que veux-tu dire ?

Il me fallu faire un effort de volonté pour m’expliquer. Certains mots avaient du mal à sortir de mon gosier.

  • Je n’avais jamais été … heu … déculotté pour recevoir la fessée. Mes parents ne m’ont donné que quelques claques en passant sur le fond de mon pantalon ou sur mes cuisses quand j’étais en short, jamais plus. C’était il y a longtemps, quand j’étais petit. Et puis…

  • Oui, et puis ?

  • Hier soir, ce n’était même pas mes parents !

  • Tout ça ce n’est pas très grave. Tu t’habitueras. Quand je t’aurais donné la fessée, culotte baissée, une bonne dizaine de fois, tu auras vite compris qu’il est préférable de défaire ton pantalon quand je l’ordonne et subir ta punition jusqu’au bout. Tu sais, mon petit frère, qui a 16 ans maintenant, l’a compris depuis longtemps. Chacune de ses bêtises, de ses désobéissances et à chaque fois que ses résultats scolaires sont insuffisants, Maman ou moi, mous le punissons. Comme il est certain, s’il ne se comporte pas bien, de recevoir une bonne fessée, il réfléchit à deux fois avant faire quelque chose qui est défendu. Cela l’aide à devenir grand et responsable. Je comprends que si tu n’as pas reçu assez souvent la fessée jusqu’à maintenant, cela te soit difficile. Je vais arranger ça. Dorénavant, tu seras traité comme mon petit frère. Je te promets que tu vas faire des progrès très rapidement, tu ne crois pas ? Pour commencer, plus de cigarette, compris ?

  • Euh, oui Louisa.

Une nouvelle fois, j’abondais dans son sens. La fessée d’hier soir m’avait fait forte impression. Je ne me sentais pas dans une position de f o r c e pour exprimer le désaccord que je ressassais au fond de moi. Il me semblait qu’à la plus petite contrariété, Louisa se ferait fort d’appuyer son point de vue par une nouvelle correction. Mon pyjama n’était pas une protection suffisamment rassurante pour constituer un réel obstacle pour Louisa si elle décidait de me soumettre de nouveau à son autorité.

  • A la bonne heure ! Tout compte fait, notre cohabitation va certainement se dérouler au mieux, pour toi comme pour moi.

Un examen rapide me fit entrevoir assez facilement les avantages qu’elle pouvait y voir. Par contre, en ce qui me concerne … à part un toit, je ne voyais pas.

  • Si tu as fini de déjeuner, tu vas prendre ta douche. Je tiens à ce que tu sois propre. Mon petit frère n’y est pas toujours très attentif et j’ai dû le punir à plusieurs reprises l’été dernier pour avoir négligé sa toilette. Allons, file !

Je me levais prestement. Apparemment, Louisa avait décidé de contrôler tous les aspects de ma vie.

Je passais une journée difficile. Je n’avais pas l’esprit au travail. Je repensais toute la journée à ce qui s’était passé depuis que j’avais emménagé chez Louisa. Mon éloignement physique de ma colocataire me laissait un peu de répit. Je n’étais pas sous la menace immédiate d’une fessée si mon comportement était jugé inapproprié. Cela me permit de reprendre du poil de la bête.

Ici, dans une salle de cours de l’IUT, la situation que j’avais vécue chez Louisa me semblait irréelle, comme un cauchemar dont je n’avais pas su me réveiller plus tôt. Négligeant les cours, je pris mon temps pour faire le point et construire un plan d’action pour me sortir de cette mauvaise passe. J’étais assez nerveux. Je vis rapidement la fin de mon paquet de cigarette et, de façon inhabituelle pour moi, je dus en ouvrir un deuxième dont je consommais plus de la moitié dans la journée.

La première hypothèse qui me vint à l’esprit consistait à faire mes valises. En mettant de la distance entre Louisa et moi, j’échappais à tout risque de correction. Il restait un petit détail à régler : où aller ? Mes vaines recherches des semaines précédentes, m’avaient convaincu que l’appartement de Louisa était ma dernière planche de salut. Quitter cet abri bien confortable si on exceptait la fessée, et la sécurité qu’il représentait, était exclu. Je ne pouvais pas risquer mon avenir en étant contraint de rentrer chez moi, pour me retrouver au chômage sans possibilité de reprendre des études.

Je me surpris à rechercher toutes les bonnes raisons de rester. J’envisageais difficilement de m’éloigner de Louisa et de son autorité. Elle représentait pour moi la stabilité et comme un e n f a n t j’avais besoin de cette protection, quoiqu’il puisse m’en coûter. Il fallait que je reste chez Louisa, et trouver une autre solution afin de ménager un peu ma dignité bafouée de jeune adulte.

Il me fallait négocier. Assis à mon pupitre d’étudiant, entouré d’amis de mon âge, recevoir une fessée paraissait plus une plaisanterie qu’un risque effectif. Il était certainement possible de faire comprendre à Louisa que cela ne se faisait pas, que c’était un traitement réservé aux petits e n f a n t s et que je n’en étais plus précisément un. Que si elle avait des griefs à mon encontre, il y avait d’autres moyens de les aborder, en discutant entre adultes, par exemple. Je fis le tour des arguments à lui opposer, mais hélas, je me doutais qu’elle fût consciente de tout cela, mais ne jugerait certainement pas suffisantes ces raisons pour m’épargner les châtiments corporels qu’elle jugeait pertinents comme elle me l’avait annoncé ce matin.

Pour finir, assez tard dans la journée, il m’apparut que je m’étais rendu à ses menaces bien trop vite. J’avais eu le tort de croire qu’elle m’expulserait si je refusais de me soumettre à la correction qu’elle avait planifiée. Il n’y avait rien de moins sûr. D’une part, elle avait reconnu qu’elle ne me mettrait pas dehors de gaîté de cœur, il y avait donc de fortes chances qu’elle n’aille pas jusqu’au bout de ses menaces. D’autre part, je ne la voyais pas me soumettre à la fessée de f o r c e . Tout au plus, réussirait-elle à m’appliquer quelques claques sur le fond de mon pantalon, la belle affaire ! De là à me baisser la culotte, il y avait un fossé que je me sentais de taille à éviter. Nous pourrions nous mettre d’accord, si elle insistait, pour d’autres formes de punition : des tâches ménagères en plus, des excuses à présenter, … bref, ce n’était pas ce qui manquait.

Je peaufinais ma tactique : dans un premier temps négocier entre adulte, puis résister, si nécessaire, pour l’empêcher de passer à l’acte. Il serait toujours temps, par la suite de discuter de mon expulsion, surtout que je lui avais versé le premier mois de loyer. J’étais dans mon droit. En fin d’après-midi, je repris le chemin de l’appartement de Louisa, remonté, prêt à faire valoir la raison qui ne pouvait que triompher.

Quand je pénétrais dans l’appartement, Louisa était assise à la table du séjour. Elle travaillait. Elle leva les yeux, me fit un grand sourire et me demanda :

  • Ta journée s’est-elle bien passée ?

Sans attendre ma réponse elle précisa :

  • Si tu veux prendre un goûter, il y a ce qu’il faut dans la cuisine. Regarde dans le frigidaire et sers-toi.

Jugeant que ce n’était pas le bon moment pour lancer mon offensive anti-châtiment corporel, je préférais me réfugier dans la cuisine afin de réfléchir concrètement à la façon d’aborder le problème : ne valait-il mieux pas attendre qu’une nouvelle punition se profile et, à ce moment seulement, faire valoir mes arguments ? Je tournais cette idée dans me tête tout en me servant un verre de jus d’orange.

Mon esprit avait enregistré un changement dans l’aménagement de la cuisine, sans y prêter trop d’attention. Il y avait une nouvelle décoration sur le mur juste à droite de la porte. C’est en sortant, toujours indécis, que je pris conscience de ce que c’était.

En évidence, prêts à servir, quatre instruments étaient suspendus chacun à un petit crochet. Quoique n’en ayant jamais vu en vrai, je reconnu celui qui était accroché au plus près de la porte : un martinet. C’était l’incongruité de la présence d’un tel objet qui avait finalement attiré mon regard, me sortant de ma concentration. Tout à coté, il y avait une baguette de bois qui avait été récemment coupée dans une petite branche d’arbre. Elle donnait une impression de solidité, mais également de flexibilité. Une règle plate en bois continuait l’alignement. Elle mesurait quarante centimètres de long. Enfin, une lanière plate en cuir complétait l’assortiment. Elle devait faire quatre à cinq centimètres de large pour un bon mètre de long, de sorte que son extrémité effleurait le sol.

Il n’était pas utile de me préciser l’usage auquel Louisa destinait ces quatre objets : c’était visiblement des instruments punitifs. Cela éclairait la promesse qu’elle m’avait faite ce matin : « tu recevras d’autres corrections, certaines beaucoup plus rigoureuses. » Je comprenais mieux, maintenant, comment elle comptait augmenter la sévérité des punitions quand elle déciderait de me fesser. Les objets qu’elle avait installés dans la cuisine constituaient une menace explicite pour toute personne qui pénétrerait dans la pièce. Il y avait dans cet appartement une personne soumise à des fessées rigoureuses. Si celle que j’avais reçue hier soir, m’avait réduit à l’état de petit garçon suppliant et pleurnichant, qu’en serait-il quand la fessée serait administrée à l’aide d’un des ustensiles que je contemplais fixement sans réussir à en détacher mon regard ?

C’est presque avec un sentiment de panique que je marmonnais une vague excuse et que je me ruais dehors. J’avais besoin de réfléchir, au calme, loin du danger qui me semblait bien trop proche. Afin de me calmer, j’allumais une cigarette. Je commençais un tour du pâté de maison.

Allons, calme-toi, me raisonnais-je, il n’y a rien de changé ! Ce n’est pas parce que Louisa a préparé les instruments pour me donner la fessée qu’elle va réussir à me l’administrer. J’ai décidé de ne pas me laisser faire. Il suffit d’aller jusqu’au bout. Plus j’examinais cette résolution, plus elle me paraissait adaptée à la situation. De plus, il fallait mettre les choses au point tout de suite. En passant la porte du hall d’entré de l’immeuble, j’écrasais ma cigarette et je montais résolument les étages.

  • Et bien, où es-tu allé ? Tu es parti presque en courant ! J’étais un peu inquiète. Je me demandais ce qui t’arrivait. Ce n’est quand même pas la vue des instruments que j’ai préparé pour te punir qui t’ont fait aussi peur ?

  • Ecoute Louisa …

  • Attends une minute, peux-tu redire ce que tu viens de dire ?

Elle s’approcha un petit peu de mon visage.

  • Ecoute Louisa, je …

  • C’est bien ce que je pensais ! Tu pues la cigarette ! Tu viens de fumer !

  • Justement, je voulais …

  • Ce que je t’ai dit ce matin n’était peut-être pas assez clair ? Je t’ai dit que je ne voulais plus que tu fumes ! Je vois que tu ne comprends jamais du premier coup. Je vais te montrer comment, moi, j’étais sérieuse et comment je tiens toujours mes promesses.

Elle me prit par le bras et m’entraîna derrière elle, dans le séjour. Il y eut juste un bref arrêt devant la porte de la cuisine. Sans me laisser libre de mes mouvements, Louisa s’empara de la règle qu’elle posa sur la table basse devant le canapé sur lequel elle s’assit. Puis elle m’ordonna :

  • Viens ici !

  • Non, il n’en est pas question !

  • Comment ? Qu’as-tu dit ?

  • Voilà Louisa, je crois qu’il est temps de …

  • Je vais faire comme si je n’avais pas entendu tes deux dernières phrases. Daniel, viens ici, tout de suite et baisse ton pantalon !

Je faillis reculer devant la colère rentrée qu’exprimait son visage. Elle était furieuse et se contenait à grand-peine. Son courroux dégageait une énergie palpable qui avait envahi tout l’espace de la pièce dans laquelle nous nous tenions.

  • Non Louisa, c’est ridicule ! Je suis trop grand pour recevoir la fessée. C’est une punition pour les e n f a n t s et je n’en suis plus un. S’il y a des choses qui ne te plaisent pas dans mon comportement, je te propose d’en discuter, entre adultes, raisonnablement. Pour ma part, je ne me soumettrai plus à la fessée. Je ne joue plus à cela. Hors de question que je baisse mon pantalon ou que je te laisse le faire !

Son ton de voix devint plus calme, mais également plus coupant.

  • Je crois que tu n’as pas bien saisi la situation. Je n’ai pas eu l’impression de te demander si tu étais d’accord pour recevoir la fessée. En général, même quand on a désobéi de façon aussi flagrante comme tu viens de le faire, on n’est pas d’accord pour recevoir une correction. C’est souvent l’attitude de beaucoup d’e n f a n t s. Il est pourtant évident que tu en mérites une, et une très sérieuse. Je vais te l’administrer tout de suite, et crois-moi, tu vas regretter d’avoir fumé cette cigarette. Je te préviens que si tu n’obéis pas immédiatement, tu recevras deux fessées : une maintenant et une autre après le repas. La première pour avoir fumé, la deuxième pour avoir refusé ouvertement d’obéir lorsque je t’ai demandé de baisser ton pantalon. Je vais te le demander une dernière fois, après, c’est trop tard !

Elle me fixa droit dans les yeux et répéta lentement.

  • Daniel, viens ici, et baisse ton pantalon !

Son discours m’avait impressionné. Il montrait une détermination et une confiance qui ne laissait pas de doute sur sa certitude de m’administrer la punition qu’elle me destinait quelle que soit ma réponse.

  • Louisa, je suis désolé mais il n’est pas …

Je n’eus pas le temps d’en dire plus. Elle bondit hors du canapé et se rua sur moi. Elle saisit mon bras droit et, d’un geste fluide, elle passa dans mon dos en me faisant pivoter légèrement. Il me fut impossible d’esquisser un geste de défense avant que la clé dans laquelle elle emprisonnait mon bras, arrive à sa butée. Mon épaule, au maximum de la torsion qu’elle pouvait supporter, se bloqua. Dans la même seconde, je reçu un coup derrière les genoux qui me fit tomber à genoux. Elle accompagna le mouvement et accentuant sa torsion sur mon bras, elle m’intima :

  • Avance, sur les genoux, jusqu’au canapé !

Comme je ne m’exécutais pas sur l’instant, elle insista sur la torsion qu’elle imposait à mon épaule. Je poussais un cri, mais je me mis en marche. Arrivée à destination, elle posa mon torse sur les coussins du canapé. A genoux sur le sol, immobilisé par sa prise, je ne pouvais qu’attendre son bon vouloir.

Elle se positionna derrière moi, je sentis alors ses genoux enserrer mon bassin dans un étau. Elle glissa sa main jusqu’à la boucle de ma ceinture. De ma main gauche, encore libre de ses mouvements, je saisis la sienne afin de l’empêcher de poursuivre son geste. Vivement elle agrippa mon poignet et le ramena sur le bas de mon dos. De sa main droite, elle saisit mes deux poignets et les enferma dans une prise d’où, malgré quelques contorsions, je ne pus pas plus me défaire qu’hier soir.

Sa main saisit de nouveau la boucle de ma ceinture et la dégrafa. Je tentais de me relever, en prenant appui sur mes genoux. Louisa affermit un peu plus sa prise sur mes hanches, ma ruade fut interrompue aussi vite qu’elle avait commencée. Je lançais une jambe en arrière, pour essayer de la déséquilibrer, je ne rencontrais que le vide. Frénétiquement, je remuais mes hanches alternativement de gauche à droite dans l’espoir de faire glisser sa prise afin de pouvoir donner de l’ampleur à mes mouvements. Louisa n’y fit pas attention. J’accompagnais tous ces efforts de grognements étouffés qui quand elle resserra sa prise sur mes mains se transformèrent en un cri haletant tant mes poignets étaient douloureux, pris dans l’étau de ses mains. Puis, elle défit le bouton qui tenait mon pantalon à ma taille.

  • Non, Louisa, s’il te plait, arrête !

Ignorant ma supplique, elle s’appliqua à faire glisser la fermeture éclair de mon pantalon. Elle dut s’y reprendre à plusieurs fois car elle ne glissait pas facilement, gênée par les plis que faisaient mes vêtements. Je livrais mon dernier combat sérieux pour résister à mon déculottage en cours en me plaquant contre le canapé. Une simple torsion sur mon bras me remit en place.

Enfin, elle se saisit de ma ceinture et petit à petit, elle fit descendre mon pantalon le long de mes cuisses.

  • Non, Louisa, non !

Mes supplications n’eurent qu’un seul effet. Louisa se saisit de l’élastique de ma culotte de sa main libre et la baissa. Je tentais de serrer mes cuisses l’une contre l’autre afin de l’empêcher de dénuder mes fesses. Elle raffermit sa prise, je dus cesser mes mouvements.

  • Ne te fais pas d’illusion, Daniel, je vais te donner la punition que tu as méritée et c’est une fessé déculottée. Tu ferais mieux de te rendre à l’évidence.

Cette évidence ne me paraissait pas encore en être une, malgré ma tenue qui démentait sérieusement mes prétentions.

Il lui a suffit d’insister un peu en tirant un peu plus fort ma culotte vers le bas pour qu’elle glissât le long de mon ventre et qu’elle dévoilât complètement mes fesses en restant positionnée tout en haut de mes cuisses.

Louisa s’assit à coté de moi et, sans relâcher sa prise sur mes poignets, elle souleva mes jambes et les installa sur ses genoux.

  • Nous y voilà, conclut-elle !

Elle prit le temps de baisser un peu plus mon pantalon pour l’amener à hauteur de mes chevilles, puis pour descendre ma culotte sur mes genoux. J’agitais mes jambes dans tous les sens ce qui n’eut pas d’effet apparent. Enfin, elle fit passer mon bras gauche derrière son dos, me plaquant contre son bassin. Je me retrouvais dans la même position que la veille au soir : allongé à plat ventre en travers des genoux de Louisa, les fesses à l’air, totalement immobilisé, à la disposition de la main de ma colocataire. Curieusement, je m’en aperçus plus tard, je ne me débattais plus. Même mes jambes qui n’étaient pas tenues, étaient immobiles, pendaient inertes. Elles étaient repliées, à angle droit, le long de la jambe droite de Louisa. Cette première bataille perdue sonnait le glas de ma résistance. Elle venait de gagner le droit de me punir, implicitement, je le lui reconnaissais en patientant, attendant son bon vouloir.

Il ne me fallut pas attendre bien longtemps. Sa main claqua sur mes fesses, bien au centre. Une deuxième fois, elle l’abattit sur ma fesse droite, puis sur la gauche. A chaque fois, j’accompagnais la fessée par un cri que je n’essayais pas de contenir comme je l’avais tenté hier soir. Toute volonté de garder un restant de dignité m’avait quitté. La faillite de ma stratégie anti-fessée avait annihilé toute volonté de résistance. Il m’était indifférent de me comporter comme un petit garçon puni par une adulte. Louisa, en me déculottant de f o r c e m’avait prouvé qu’elle avait le pouvoir de me traiter comme un e n f a n t désobéissant et de me soumettre à sa volonté.

Je vécus donc cette fessée comme un gamin recevant une punition à laquelle il ne pouvait pas se soustraire. Louisa n’avait pas claqué mes fesses plus d’une dizaine de fois que je me mis à supplier :

  • Aïe, pardon, …aïe, je serai sage, …aïe, je promets d’obéir, …

Je retrouvais très vite les sensations ressenties lors de ma précédente fessée : l’échauffement se répandant sur mes fesses en un picotement qui se transformait en une brûlure couvrant bientôt la totalité de mon postérieur puisque Louisa changeait les zones des mes fesses qui étaient l’objet de son attention punitive.

Il ne lui fallut pas bien longtemps pour que mes implorations s’étouffent dans des s a n g lots. Je me préparais à une longue punition quand, soudainement, elle cessa, dès mes premiers pleurs.

  • Deux jours de suite pour la même bêtise, me dit Louisa, ça mérite une fessée plus sévère.

Je poussais un véritable hurlement quand la règle me fut appliquée pour la première fois sur les fesses provoquant un claquement sonore. Mon corps tout entier s’arqua alors que je lançais mes deux jambes en l’air. Louisa me maintenait fermement en place, de sorte que j’étais installé juste comme il le fallait pour recevoir une deuxième fois le plat de la règle sur mon séant déculotté.

Je crois que je pleurais à gros s a n g lots avant de goûter la morsure de la règle une troisième fois. Après, je perdis le compte. Dans mon vague souvenir, j’eus l’impression que la cuisson de la peau de mes fesses augmentait et qu’à chaque fois je pensais ne pas pouvoir en supporter plus. Mais la règle s’abattait inexorablement recherchant les centimètres de peau qu’elle n’avait pas encore visités.

Je suis incapable de dire combien de temps dura cette fessée avec la règle. Lorsqu’elle cessa enfin, j’éprouvais presque de la gratitude envers Louisa qui me laissa s a n g loter, allongé sur ses genoux. Lorsque les mouvements convulsifs de mes jambes perdirent de leur brusquerie, elle me souleva le buste et m’ordonna :

  • Mets-toi debout !

J’obéis tout de suite, oubliant de continuer à pleurer sur mon sort de grand garçon fessé.

  • Les mains sur la tête et au piquet !

Elle se leva. Mes doigts se croisèrent sur le sommet de mon crâne et il aurait fallu au moins un tremblement de terre pour les désunir. Louisa pinça le lobe de mon oreille entre son pouce et son index et elle me conduisit le long du mur du séjour. Je n’eus pas besoin d’autres consignes pour coller mon nez contre la cloison et m’immobiliser dans la position requise par la suite de ma punition.

  • Et souviens-toi, je ne veux plus entendre parler de toi !

Il était, en effet, dans mes intentions de me faire oublier. Les attentions que Louisa avait eues à mon égard me paraissaient largement suffisantes pour aujourd’hui. La mise au piquet avait, temporairement, distrait mon attention du feu qui embrasait mes fesses. Ayant, maintenant, tout le loisir de m’y consacrer, je résistais difficilement à la tentation de me frotter les fesses pour soulager la douleur qui se concentrait sur mon postérieur.

Faute d’autre moyen pour la soulager, je recommençais mes s a n g lots, m’eff o r ç a nt de les rendre discrets afin de ne pas provoquer le courroux de Louisa. Elle me laissa faire durant quelques minutes, puis …

  • Tu cesses ce bruit, s’il te plait Daniel, je ne veux plus t’entendre !

Est-il utile de préciser qu’il ne me fallut que quelques instants pour réussir à pleurer silencieusement ?

Dans mon dos, j’entendais Louisa vaquer à ses occupations. Elle allait de la cuisine au le séjour, remuait quelques casseroles, puis venait s’asseoir à la table, certainement pour continuer le travail qu’elle avait interrompu pour me punir. Quand elle rangea ses affaires, elle chantonnait doucement entre ses lèvres un refrain qui occupait les radios périphériques depuis quelques jours. Enfin, elle dressa la table, annonçant l’heure du dîner. Avait-elle l’intention de me laisser là, en pénitence, pendant qu’elle mangerait ? Je devais tenir la position depuis plus d’une demi-heure et mes muscles commençaient à émettre une sourde protestation. Je la devinais s’asseyant à sa place.

  • Daniel, viens me voir !

L’obéissance me sembla de bonne politique. Je me présentais, debout devant sa chaise, les mains sur la tête, exhibant maintenant mon sexe puisqu’elle avait eu tout le temps de contempler mes fesses.

  • Tu viens de recevoir une punition pour avoir fumé alors que je te l’avais interdit. Je te préviens que si je te prends, de nouveau, à désobéir sur ce point, tu seras corrigé de la même façon, mais plus sévèrement. Est-ce bien compris ?

  • Oui, Louisa, arrivais-je à articuler entre deux s a n g lots silencieux.

  • Après le repas, je te donnerai une autre fessée pour avoir refusé de baisser ton pantalon et m’avoir résisté quand je le faisais moi-même. Pour le moment, remonte ta culotte et mets-toi à table.

Lorsque je me baissais pour attr a p e r ma culotte qui avait glissé jusqu’à mes chevilles, je sentis la raideur de la peau de mes fesses. Chacun de mes mouvements renouvelait la sensation de cuisson, la ravivait, la déplaçait à peine, juste assez pour ranimer la douleur. Quand, par habitude, je fis glisser l’élastique de ma culotte sur la peau encore à vif, je repris mes s a n g lots, encore plus fort qu’auparavant.

Etait-ce le tissu habituel de mon sous-vêtement ou avait–il été transformé en une matière abrasive qui se chargeait d’entretenir mon érythème fessier ? J’étais partagé entre le soulagement de voiler ma nudité face à la jeune fille assise de l’autre coté de la table et le souhait d’éviter tout contact du moindre carré de tissu avec mon postérieur enflammé. La consigne émise par Louisa était claire et ne me laissait pas le choix. Je me reculottais en serrant les dents, faisant fi des protestations lancinantes de mes fesses.

Il me fallut encore m’asseoir sur ma chaise, et rester en place tout le repas durant qui passa, malgré tout trop vite.

Je fus prié de participer au débarrassage et il me fut annoncé que c’était à mon tour de faire la vaisselle. Je ne trouvais rien à y redire. J’eu beau exercer le sens de la propreté le plus méticuleux, la pile diminuait dans l’évier. Il fut bientôt vide.

  • As-tu fini, Daniel ?

Louisa m’interpellait depuis le séjour.

  • Oui, ça y est !

  • En passant, peux-tu me rapporter le martinet ? Je t’attends.

Bien que formulée de façon interrogative, je ne crus pas avoir le choix de décider par moi-même s’il était pertinent d’accéder à cette requête. Je décrochais le martinet et marchais vers mon destin. Louisa se tenait debout dans le milieu de la pièce. Elle tendit la main à mon approche, je lui remis l’instrument. Calmement, elle me dit :

  • Baisse ton pantalon !

Tout en m’exécutant, je tentais de plaider ma cause :

  • Louisa, je te promets de ne plus le faire. J’obéirai maintenant, je te le jure !

Elle ne prit pas la peine de répondre à mes supplications. Dès que mon pantalon laissa place nette et libre accès à mes fesses, Louisa s’avança et, me ceinturant de son bras gauche, elle pesa sur mes reins pour me placer à sa guise : courbé sous son coude. Instinctivement, j’avais trouvé la position adéquate en allongeant mes bras devant moi, ôtant ainsi tout obstacle potentiel entre la main de Louisa et mes fesses. Prendre l’élastique de ma culotte pour faire glisser le sous-vêtement le long de mes cuisses me présentait plus de difficulté. Louisa l’abandonna à mi-cuisses.

Un petit courant d’air frais vint caresser mes cuisses et remonta jusqu’au bas de mon dos que Louisa avait pris la peine de dégager en remontant ma chemise sur mes reins. Je sentis l’étreinte de ma colocataire se resserrer, annonçant l’imminence du début de ma punition.

Je m’attendais à connaître sa main, ce furent les lanières du martinet qui prirent leurs aises sur mes fesses. J’eus l’impression qu’un fer rougi par le feu s’appliquait sur ma peau. Ma main droite, libre de toute entrave vint recouvrir, autant qu’elle le pouvait, mon postérieur afin d’en protéger la surface de la cuisson provoquée par les lanières de cuir.

  • Daniel, soyons clairs, quand je te donne la fessée, je ne veux pas que tu cherches à éviter la punition en protégeant tes fesses. Tu vas enlever cette main de là où elle est, sinon, c’est moi qui l’écarte. Dans ce cas, tu recevras la même fessée de nouveau demain soir et je continuerai jusqu’à ce que tu te soumettes convenablement à la correction que tu as méritée.

J’ôtais ma main, effrayée par la menace.

  • Je veux que tu me laisses te donner la fessée. Si je dois m’interrompre encore une fois, tu seras puni également demain soir. Est-ce bien compris ?

  • Oui, Louisa, arrivais-je à articuler en reprenant péniblement mon souffle.

Je devinais le bras de Louisa s’élevant au-dessus de mes fesses afin d’imprimer la vitesse voulue au martinet qu’elle tenait en main. Les fesses contractées, j’attendais l’impact des lanières de cuir. La douleur fut comparable à celle que j’avais ressentie suite au premier coup. Sans que je puisse le contrôler, mon bras, instinctivement, se porta en arrière. J’arrivais tout juste à éviter que mon mouvement aille à son terme. Je mis ma main dans ma bouche et la mordis afin de tenter de l’immobiliser.

Puis, régulièrement, comme un métronome, le martinet s’abattit sur mes fesses. Comme lors de la fessée reçue juste avant le repas, j’avais abandonné toute idée de dignité. Je me laissais aller à crier, accompagnant ainsi chacun des contacts du martinet avec la peau de mes fesses. Je me mis à pleurer presque immédiatement. Je dansais d’une jambe sur l’autre, sans que mes mouvements puissent prendre de l’ampleur. Le pantalon enserrant mes chevilles limitant l’exubérance de mes ruades. C’était une gesticulation qui ne cherchait même pas à me libérer de l’éteinte de Louisa. Il était, toutefois nécessaire, qu’elle me maintienne solidement en place. Lorsque mes deux pieds quittaient le sol de concert, elle supportait la totalité de mon poids, me replaçait à sa convenance, sans interrompre le rythme de la fessée.

Elle dut me fesser ainsi plusieurs minutes. J’avais le sentiment qu’à chaque fois le martinet m’était appliqué sur une surface encore vierge, renouvelant la cuisson qui embrasait mes fesses au-delà de tout ce que je pouvais imaginer. Je pensais, à chaque fois, que je ne pourrais pas en supporter plus. Mais, à chaque fois, la brûlure se faisait plus intense, à chaque fois le bras de Louisa se relevait pour retomber encore une fois, puis une nouvelle fois, encore et encore …

Cela faisait un certain temps que la fessée avait cessé, alors que je continuais à sautiller d’un pied sur l’autre. Louisa me tenait toujours courbé sous son coude. Puis, alors que j’arrivais enfin à contrôler mes mouvements, Louisa me relâcha.

  • Bien, fit-elle, cela suffit pour ce soir.

Mes deux mains couvrirent mes fesses pour tenter d’en atténuer la cuisson.

  • Ça suffit, Daniel, enlève tes mains !

Elle accompagne cet ordre d’une claque sur le haut de mes cuisses que mes mains ne pouvaient pas protéger. Appliquée sur la peau que le martinet avait abondamment visitée, la claque à main nue me donna un avant-goût de ce qui m’était promis si je n’obéissais pas sur l’heure. Je laissais mes mains le long de mon flanc.

  • Allez, au coin !

Joignant les actes à la parole, elle me prit par l’épaule et me conduisit dans le coin le plus proche de la pièce.

  • Mets-toi à genoux !

Je pris la position indiquée.

  • Le nez dans le coin ! Croise tes bras derrière ton dos ! Si je te vois bouger, tu sais ce qui va t’arriver !

Elle n’eut pas besoin de me le dire une seconde fois.

C’était ma troisième fessée et j’avais déjà appris à pleurer en silence. Mes fesses me brûlaient, me démangeaient, c’était une douleur uniformément répartie comme si mon arrière-train était plongé dans un bain à l’eau beaucoup trop chaude. De plus, de façon lancinante, j’avais la sensation que mes fesses étaient parcourues de petits vallons que les lainières avaient creusés et que de temps en temps, une brûlure aiguë suivait d’un bout à l’autre, puis, après quelques instants de répit, passait au suivant. Elle eut le temps de visiter chacune de ces petites ravines que la fessée avait complaisamment laissées sur mes fesses, voire, me semblait-il, d’explorer certaines à plusieurs reprises ou plus longuement.

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