L'Hôtel pour travestis en formation

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il y a 2 ans

Notre première visite à l'hôtel arriva plus rapidement que je ne l'aurais jamais espéré. Ma femme Linda fut soudainement remplie d'enthousiasme pour mon projet. Je l'avais pratiquement traîné pendant un trajet de deux heures en voiture jusqu'à l'établissement appelé tout simplement l'Hôtel, pour notre journée de présentation mais elle avait changé d'opinion en l'espace d'une seule après-midi. Elle était passée de l'hésitation et la réticence à l'enthousiasme. Tout cela en l'espace de deux heures pendant notre première visite à l'hôtel.

Pour être honnête elle haïssait l'idée que je me travestisse. Je devais m'estimer heureux qu'elle le tolère déjà. C'était le plus ce que je puisse espérer. Quand je lui montrait le dépliant publicitaire, elle fut très réticente.

L'Hôtel Travestis, vous aurez une chance de vivre et de travailler comme bonne à tout faire pour une semaine entière. Épouse et petites amies seront convaincues. Contactez la responsable : Mme Evans.

Ensuite s'en suivirent trois pleines semaines de plaidoiries envers Linda. Finalement elle s'inclina mais seulement après que la responsable de l'hôtel, Mme Evans, lui parle personnellement au téléphone. Mme Evans m'avait assuré qu'elle pouvait convaincre n'importe quel femme hésitante quelle que soient ses opinions vis à vis de l'aspect travestissement.

Lors de cette journée de présentation, d'autres hommes et moi-même furent conduits à une petite pièce pour remplir un questionnaire tandis que Mme Evans montrait à nos vous épouses " les possibilités qui s'ouvraient à elles " comme elle disait d'une manière charmante.

Le questionnaire posait des questions du genre " quand avez-vous commencé à vous travestir " ; " préférez-vous être une bonne à tout faire, une secrétaire, ou une mariée " ; " êtes-vous soumis ". Le genre de question auxquelles vous pouviez vous attendre, et il y en avait des pages et des pages.

Lorsque nous retournâmes à la maison, tout au long du trajet, Linda était rayonnante comme un de ces Mormons bigots et béa qui vienne frapper à votre porte. Bizarrement elle fut silencieuse pendant tout le temps du trajet.

Je lui demandai ce qu'elle avait mais elle sourit simplement de manière énigmatique et me demanda " de ne pas m'inventer des problèmes dans ma petite tête ". " Ma petite tête ! " Comme elle venait d'accepter notre semaine de séjour je ne la réprimandait pas pour son insolente condescendance.

Mais cela n'importait peu. Ce que cela signifiait c'est qu'elle avait consenti à ce que nous passions une semaine dans cet hôtel. Je voulais avoir l'opportunité de vivre pleinement mon fantasme. La simple provision qu'avait demandée Mme Evans était très élevée.

Mais cela n'était pas cher en regard du fait de pouvoir vivre mon fantasme !

Quatre semaines plus tard, (et après une nouvelle ponction financière !), nous arrivions à l'hôtel.

Linda semblait bouleversée. Je ne l'avais encore jamais vu si rayonnante et sexy. Elle s'était fait coiffer à la dernière mode et avait également claqué beaucoup d'argent dans de nouvelles tenues très chic. Je pense qu'elle avait aussi perdu un peu de poids. Je fis un commentaire sur sa mini jupe, alors que celle qu'elle portait d'habitude des 100 des en dessous du genou, mais elle sourit d'une manière énigmatique et me dit " ne me harcèle pas avec cela ".

Comme vous pouvez l'imaginer, je ne la harcelai pas ! J'avais bien d'autres pensées dans mon esprit !

L'hôtel était difficile à trouver sans avoir les instructions précises. C'était à se demander comment il pouvait avoir des clients. Une voie communale, tortueuse et étroite, nous conduisit jusqu'à cet endroit de rêve isolé. Je ne trouvais aucun poteau indicateur en route.

Mme Evans était là pour nous accueillir. Elle était grande et imposante. Très les impressionnante. Le genre de femme qui ne supporte pas les plaisanteries grivoises. Quand je lui dis bonjour en, j'eus réellement l'impression qu'elle accueillait uniquement Linda. Je suppose qu'elle ne m'avait pas encore aperçu, peinant à transporter les valises de Linda, (on m'avait dit de ne pas apporter aucun vêtement pour moi ! Une demande qui avait fait sauter mon cœur dans ma poitrine.)

Je toussais pour attirer son attention et elle se tourna vers moi, son sourire s'effaçant de ses lèvres en laissant un petit rictus de mépris.

"Ah oui. Passez par derrière. Par l'entrée des domestiques."

C'était dit fermement, de manière directe qui me noua le ventre de manière très plaisante. " L'entrée des domestique ! " bigre. Et je devais l'utiliser. Quelle entrée en matière excitante.

À ce moment, un jeune homme italien grand et musclé, dans un tee-shirt blanc immaculé et des blues jeans descendit les marches et s'élança vers Linda. Les yeux de Linda s'ouvrirent comme des soucoupes lorsqu'elle aperçut la bosse dans son pantalon. Le jeune homme avec assurance sa petite main et la porta à ses lèvres.

Je pouvais voir que Mme Evans était enchantée de la réaction de mon épouse.

"Voici Paul qui satisfera tous vos besoins !"

Je n'ai pas aimé la manière dont elle insista sur le mot "tous" Je toussais à nouveau, humilié d'être ainsi ignoré. Après tout c'était mon idée et c'est moi qui avais payé tout le séjour.

Mme Evans ferma les yeux comme si elle devait s'auto contrôler devant une classe de mauvais garnements. "Oh Paul, soyez gentils, prenez les bagages de Mlle Johnson et accompagnez là jusqu'à sa chambre. "

Mlle Johnson ! C'était le nom de jeune fille de Linda.

L'arrogant Romain saisi la valise de mes mains et, en tenant la main de mon épouse, lui fit gravir les marches de l'entrée principale. Elle le suivie fascinée. Je m'apprêtais à les suivre mais alors Madame Evans m'arrêta : "laissez l'homme porter la valise jusqu'à sa chambre." Elle souleva ses sourcils sur le mot " homme ", ainsi j'ai été averti de ce que cela signifiait : i.e. Je n'étais pas un homme. " Vous devez passer par derrière. Dépêchez-vous ! "

Me dépêcher ! Oh, ma bite palpitait et commencer à enfler. Je ferai le point avec Linda plus tard ; maintenant je me dirigeai rapidement vers l'entrée de service. L'entrée des domestiques !

Chapitre 2

Nous étions quatre. Le plus jeune avait environ 30 ans et le plus vieux environ 35. Tous étaient minces, et je supposais qu'ils avaient dû perdre du poids. Je dis que je supposais, car une petite femme qui se présenta elle-même comme Mlle Steel nous accueillis. Elle avait des courbes magnifiques mais un air sévère et sans expression. Quoi qu'il en soit son premier ordre, (et c'était bien un ordre !), fut de nous demander de nous taire tant que l'on ne nous donnerait pas la parole.

" Suivez moi " dit-elle d'un ton cassant avant de se retourner sur ses hauts talons et de s'enfoncer dans les profondeurs de l'hôtel.

Non suivirent, avec un sourire plein de sous-entendus. Notre aventure commençait.

Nous fûmes introduit dans une pièce nue et pleine de courants d'air dont elle ferma et verrouilla la porte. Deux femmes que je ne saurais décrire que comme des amazones se tenaient derrière elle. Elles faisaient au moins un mètre 80. La première était une noire africaine très sexy, et l'autre une suédoise blonde. Elles étaient irréelles, comme surgit d'un rêve érotique. Elle portait des collants de danse blancs qui montraient toute leur musculature tendue. C'était comme si elles les allaient se rendre à la gymnastique pour faire quelques exercices physiques.

Une deuxième porte s'ouvrit dans la pièce et Mme Evans entra en claquant bruyamment la porte derrière elle. Cela me donna un vague sentiment d'être prisonnier. Le fait de n'être pas autorisé à parler nous donnait un sentiment d'impuissance.

La chambre constituait un appartement séparé. Il y avait un ensemble de douches, un certain nombre de lits, de sofas et un bureau. Elle n'avait pas de fenêtres et seulement quelques tapis avait été jetée sur le sol de pierre. Les seuls objets de luxe dans la chambre étaient un ensemble de miroirs pleins pieds qui étaient disposés sur le mur le plus long. À côté, il y avait une triple penderie qui semblait tout aussi minable que le reste de l'ameublement, qui consistait en un sofa et un couple de vieux fauteuils. Quelques chaises à dos droit étaient disposées à côté du bureau.

Je sentais que tous les quatre nous étions très attentifs, et je peux dire quelle partie de moi était déjà durement très attentive !

" Bienvenue les tapettes. Vous voulez être une bonne à tout faire et vous serez des bonnes à tout faire. Ceci ne sera pas un jeu. Ceci sera une chose réelle donc faite bien attention à vous !"

J'étais tremblant d'excitation.

" Vous resterez silencieux tant que l'on ne vous donne pas la permission de parler et vous devez vous adresser à quiconque en disant Maîtresse aux Maîtres, à moins que vous connaissiez leur prénom, alors vous devrez dire Maîtresse X et Maître Y. Est ce que c'est clair ? "

Nous acquiesçâmes de la tête et l'homme à ma main gauche chuchota un " oui ". Mme Evans lui flanqua ne gifle au visage comme un coup de fouet. Il s'effondra sur le sol en tenant sa joue.

"Silence ! Debout ! "

Choqué et tremblant l'homme se releva lentement du sol. Mon érection disparue.

" Je déciderai quand vous pourrez parler, " dit Mme Evans, comme si sa réaction avait laissé place au doute. " Est-ce que c'est clair ? "

Cette fois nous acquiesçâmes simplement de la tête, tous les quatre, très les attentifs. Je notais que les deux amazones avec un large sourire et que l'africaine se léchait les lèvres. J'étais maintenant très effrayé. Je me sentais pris au piège. Personne ne fit aucune réflexion au sujet de cette retentissante gifle.

" Vous connaissez Mademoiselle Steel, et, " elle indiqua les deux amazones, " voici Mademoiselle Jaguar et Mademoiselle Léotard. Ne vous inquiétez pas de savoir qui est qui. Si jamais elles doivent avoir affaire avec vous cela vous importera peu que ce soit Mademoiselle Léotard ou Mademoiselle Jaguar. "

Soudainement je désirais retrouver Linda et partir vite d'ici. Je n'étais pas prêt pour tout ceci.

" Vous devez maintenant vous déshabiller complètement et entrer dans les douches qui sont dernières vous et vous devez vous laver et vous récurer pour être propres comme vous ne l'avez jamais encore été dans votre vie. Ensuite vous devrez raser tous les poils de votre corps sauf vos cheveux et vos aisselles. Enfin vous raserez votre pubis afin d'y laisser un petit triangle de poils comme il convient à une petite bonne. Maintenant allez-y ! "

Nous nous sommes restés figés sur place, regardant Mme Evans, Mademoiselle Steel et les deux amazones. Mme Evans sourit cruellement, d'un air entendu. Je notais également que les trois autres femmes étaient elles aussi amusée par quelques chose. Mme Evans recula jusqu'au bureau et dénicha derrière lui une longue et fine canne qu'elle fit siffler dans l'air. Nous nous regardâmes entre nous avec appréhension mais aucun d'entre nous ne bougea.

" J'adore toujours ce moment. Ce sera la dernière fois que les tapettes que vous êtes désobéiront à un ordre. "

Alors les deux amazones s'avancèrent. Mademoiselle Steel pointa son doigt vers moi et le troisième homme : " et vous ne bougez pas d'un millimètre ! " Nous ne bougeâmes pas !

Mademoiselle Jaguar et Mademoiselle Léotard malmenèrent les deux hommes jusqu'à ce qu'il soit tous les deux courbés à genoux sur le sol, leur tête bloquée entre les cuisses puissantes des amazones. Elles manipulèrent ces hommes si aisément que je supposais qu'elle avait déjà fait cela de nombreuses fois avant.

Une Madame Evans joyeuse se plaça au côté du premier homme et commença à flageller sauvagement son derrière nu. Au même moment Mademoiselle Steel tenait de l'autre côté le deuxième homme et commençait à travailler son postérieur.

Bouche bée, je retenais ma respiration, choqué. La flagellation se poursuivi un long moment. Les hommes pleuraient et criaient comme des petits mais aucune des femmes ne montra la plus petite manifestation de pitié.

Le sifflement des cannes était redoutable. Des gouttes de sueur apparurent sur le front de Mme Evans, et son visage s'était empourpré sous son effort. Pour sa part, Mademoiselle Steel, avait un sourire démoniaque, les dents saillantes, qui dénaturait ses traits fins et lui donnait un air terriblement effrayant.

Finalement Mme Evans se redressa, et se tourna vers nous.

" Au suivant ! " Dit Mme Evans aux deux amazones.

Chapitre 3

Oh non ! La femme noire me prit et me fit tournoyer comme si je n'étais rien de plus qu'un gamin. Sa main poussa fortement sur ma nuque m'envoyant m'écraser sur mes genoux. Tout cela était arrivé si rapidement, je sentais tout son poids sur ma tête, ses cuisses bloquants mes épaules tandis qu'elle remontait mes deux mains derrière mon dos. C'était extrêmement douloureux. Ensuite elle saisit mes poignets d'une main tandis que l'autre s'attaquait à la fermeture de mon pantalon au niveau de mon ventre.

Et alors je me rendis compte que j'étais immobilisé par une poigne de fer. Je ne pouvais pas bouger un muscle pour l'empêcher de faire ce qu'elle désirait. Quelques secondes après mon pantalon, avec mon sous-vêtement, furent tirés en bas de mes cuisses. Suite à une rotation douloureuse imprimée à mes poignets, mon nez fut poussé contre le sol de pierre, mon postérieur se dressant vulnérablement derrière moi.

Le premier coup fut une telle surprise que je nous ne ressentis rien du tout. Ensuite les coups se succédèrent tellement rapidement que je suis sûr d'en n'avoir reçu six avant d'avoir crié. Je tentais désespérément de m'échapper de l'emprise de cette femme.

" Pitié, " criais je. Mais tout ceci en vain, l'avalanche de coups était sans merci.

J'avais souvent fantasmé d'être fessé à la canne par une voluptueuse femme dominante mais ceci était trop atroce pour être érotique.

À la fin je reçus un tel coup qu'il me laissa haleter et pleurer sur le sol. Mon derrière me brûlait. Je pouvais voir à travers mes larmes qu'aucun de mes collègues n'avait essayé de se lever de son humiliante position et de se dégager. J'étais honteux d'admettre que je restai prostré là où on m'avait poussé.

" Bien les tapettes, " dit Mme Evans comme si elle était très contente d'elle-même, " quand je vous demanderai de vous déshabiller j'espère que vous ne passerez pas des heures à réfléchir. J'espère que vous vous exécuterez immédiatement ! "

Nous la regardions à travers un rideau de larmes.

" Maintenant à poil ! " Commanda-t-elle.

Je me précipitai immédiatement sur mes lacets, et dès que mes chaussures furent enlevées je pus aisément et rapidement retirer mon pantalon et mon caleçon. Les trois autres étaient aussi dans une activité fébrile, et je pouvais voir que les femmes souriaient d'une oreille à l'autre de nos efforts fous.

" Très bien les tapettes. N'est-ce pas mieux d'obéir ? Oui ? Si je vous permettais de parler je suis sûr que vous répondriez 'oui' ! " Elle rit.

Les deux autres femmes riaient à gorge déployée.

" Maintenant écoutez bien : douchez vous, rasez vous et soyez sûr de retirer tous les poils de votre corps sauf le triangle de votre pubis ! Ceci est la seule partie pileuse qu'il vous est permis de conserver maintenant ! Allez ! "

Nous courûmes vers les douches. J'étais en train de me laver avant que l'eau soit chaude. Mettant du savon partout. En aucunes façons je comptais leur offrir une autre occasion de me flageller.

Dans mon nécessaire de toilette il y avait un rasoir et je commençais à m'en servir aussi rapidement que je le pus. Je désespérais que Mme Evans ne s'aperçoive pas que j'aurais exécuté ses instructions à la lettre.

Mais elle saisit le premier homme par le lobe de son oreille et lui fit si bien courber la tête que celle ci se trouva au niveau de son opulente poitrine.

" Le cou ! Vous les avez oubliés le cou. Imbécile ! "

Elle le traîna jusque vers le mur couvert de longs miroirs et il opina de la tête vers la déesse scandinave. La géante blonde sortit de nulle part une raquette de tennis de table et en menaça sa proie.

" Face au miroir tapette ! " Commanda Mme Evans. " Vous vous allez recevoir 20 coups, tout en pouvant vous observer être battu ! "

Avec une sottise incroyable l'homme se tint debout tandis qu'une slave de coups fut délivrée à la cadence d'une mitrailleuse sur sa croupe déjà endolorie.

Apparemment satisfaite elle se retourna vers le second homme effrayé et s'employa à l'examiner minutieusement. " Les orteils ! Les poils sur les orteils ! Venez ici petite tapette, " dit-elle en le traînant vers le miroir.

" Je suppose que vous savez ce qu'il va vous vous arrivez. Mettez-vous face au miroir et observez comment Mademoiselle Jaguar s'occupe de vous. "

La femme noire s'avança de façon menaçante vers le pauvre homme et prit la raquette de tennis de table que lui tendait sa soeur amazone et la posa sur le derrière du pauvre homme.

" Maintenant c'est à vous, " dit-elle avec un mauvais sourire tandis qu'elle s'approchait de moi, et que les coups de raquette retentissaient sur le derrière de l'autre homme.

Un rapide coup d'oeil à mes pieds m'indiqua que tout était correct. Je n'étais pas particulièrement poilu et de plus je savais que je n'avais jamais eu de poils sur le dos de mon cou.

Ouche ! Mon oreille fut tordue ce qui m'obligea à courber la tête dans ses mamelles tandis qu'elle m'inspectait, me tournant et me retournant dans tous les sens.

Je suppose qu'il était inévitable que je doive m'avancer vers les miroirs.

" Les derrières poilus et les jolies petites culottes en soie ne vont pas bien ensemble ma petite tapette ! Restez là, Mademoiselle léopard va s'occuper de vous. Observez la scène bien attentivement ! " Commanda-t-elle, tandis que j'observais son reflet en train de s'en prendre au malheureux et tremblant homme devant moi.

L'amazone scandinave prit la raquette des mains de son amie tandis que j'observais mon reflet se tenant à quatre pas.

Clac ! Ouille ! Je fixais mon reflet dans le miroir me montrant mon derrière nu sauvagement battu sur et extrêmement endolori. Il était déjà très en feu avant cette nouvelle fessé. Le pire était que je devais rester droit et me regarder. Je peux à peine décrire l'humiliation que je ressentais tandis que je m'observais devoir subir cette punition sans défense comme un vilain petit garçon, donnée par une femme qui me dominait totalement. Je vivais ces tourments aussi bien dans ma tête que physiquement tandis que les larmes coulaient le long de mes jours. Pourquoi n'avais-je pas pensé aux poils sur les fesses ! Quel idiot j'étais.

Je restai debout, obéissant, jusqu'à ce qu'elles finissent cette fessé ultra rapide, puis Mademoiselle Jaguar prit la raquette et commença à s'occuper de la quatrième victime.

Nous retournâmes aux douches pour exécuter nos nouvelles instructions et nous raser nous-mêmes complètement. J'étais sûr d'avoir fait du bon travail cette fois. Toutefois je m'observais sous toutes les coutures à travers ce triste miroir où je m'étais vu en train d'être battu. Quand nous eûmes terminé on nous tendit une bouteille d'une lotion qui sentait bon et on nous commanda de nous en frotter sur tout le corps mais de ne pas en mettre sur nos têtes.

" Ceci vous épargnera l'effort d'avoir à vous raser tous les matins, " roucoula madame Evans.

Quand nous sortîmes des douches cette fois Mme Evans fut contente de nous. " Très bien les petites tapettes. Vous voyez comme il est mieux d'obéir que de désobéir ? Vous pouvez acquiescer. "

Je dodelinais exagérément comme un cheval. Oui je pouvais le voir ! Les autres filles éclatèrent de rire à nos dépens mais nous nous étions simplement contents d'avoir satisfait Mme Evans et d'avoir ainsi évité une nouvelle punition.

Chapitre 4

"Maintenant Mademoiselle Steel va vous donner à toutes un petit cylindre de métal. "

Mademoiselle Steel s'approcha de nous avec une grimace de dérision que je finis par trouver irritante. À la première occasion je récupérerai mon épouse Linda et nous nous échapperons de cet endroit redoutable et de ses horribles et sadiques femmes.

" Tenez le étroitement, les tapettes. "

Mademoiselle Steel me tendit le mien. Il faisait 5 cm de long, très froid, et en dépit de sa mince épaisseur de métal il semblait très robuste. Je tenais le mien étroitement comme il nous l'avait été ordonné. Je n'allais pas courir le risque de recevoir une autre flagellation !

" Maintenant voici le moment que vous avez tous attendus si impatiemment, " et Mme Evans tenait un corset noir. Quoi qu'il soit d'apparence plus fonctionnelle que sexy, je sentis néanmoins mon sexe frémir à la pensée de sentir quelque chose de si fin et les deux délicats contre ma peau. Peut-être finalement toutes ces épreuves en valaient-elle la peine.

" Ce corset doit être placé autour de votre taille. Il devra être très serré, " averti t elle, " et soyons clairs mes chéris, si vous ne pouvez pas le porter vous serez exclus immédiatement de mon établissement. "

Toutes mes pensées d'évasion disparurent. J'étais déterminé à rester.

" Il doit envelopper la taille et doit pouvoir se fermer dans votre dos afin de que Mlle léopard et Mademoiselle Jaguar puisse aimablement aider les tapettes que vous êtes en s'assurant de son verrouillage. Aussi expirez profondément et retournez-vous ! "

Je me retournai et rentrer mon ventre aussi fort que je pus. Je pouvais entendre les deux premiers hommes gémir sous l'effort drastique de réduction de leur taille et pour s'adapter au corset. Mais cela ne prit pas beaucoup de temps car au bout d'un petit moment je sentis une des amazones rabattre l'engin autour de mon diaphragme avant de le serrer fortement et de l'installer autour de ma taille. Moi aussi je gémis. J'eus un moment de panique, ayant peur qu'il ne puisse pas s'adapter. Mais mon amazone donna une très puissante traction et il se mit en position.

Ensuite un autre moment de panique, bien plus intense que le premier : je me pouvais plus respirer. Ma tête me brûlait.

" Prenez de petites et rapides respiration les tapettes. Comme une a d o l e s c e n t e essoufflée ! "

Je suis ses instructions et je fus soulagé de sentir que ma respiration reprenait un rythme presque normal. Je ne pourrai jamais être capable de prendre une pleine inspiration tant que je porterai cela. Je ne me serais pas non plus capable de le porter très longtemps.

" Maintenant faites face et soyez très attentifs pour la suite. "

Je me retournai avec les deux autres hommes, qui comme moi, avaient maintenant une taille fine et féminine. Je voulais tâter la mienne pour sentir les effets du corset sur mon corps mais je n'en n'eus pas l'audace. Aussi je tenais je toujours le cylindre de métal et me mis en face de ces dames ricanantes.

Mademoiselle Steel était en train de retirer des minces bandes métalliques de son sac. Il n'y avait quelque chose de compliqué à l'extrémité des bandes mais je ne pouvait pas bien voir de quoi il s'agissait.

" Maintenant, " Mme Evans continua, "humidifiez l'extrémité du cylindre et faites pénétrer dans le cylindre l'organe inutile que vous portez entre vos jambes."

Le cylindre était sûrement trop étroit. Je regarde tes Mme Evans pour voir si je n'avais pas mal compris son instruction, mais elle me donna un tel regard mauvais que j'humidifiais immédiatement les extrémités et tentait de pousser mon zizi à travers.

" Seulement des vraies tapettes peuvent arriver à faire cela et peuvent ainsi passer à la prochaine étape, " nous avertit telle.

Je poussai mon membre tout en tirant le cylindre et je fis arriver un bout du prépuce à l'autre extrémité, puis en le coinçant entre le pouce et l'index, j'étais ainsi capable de le tirer et de le faire coulisser à l'intérieur. Maintenant le prépuce sortait à l'extérieur de l'autre extrémité du tube et semblait comprimer comme s'il ne serait jamais capable de se rétracter, et ainsi de pouvoir se libérer à nouveau.

" Bien. Maintenant mettez-vous bien droit avec vos jambes écartées à 60 cm et restez parfaitement tranquille. Nous allons très bien nous occuper de vous, n'est-ce pas Mademoiselle Steel ? "

Mademoiselle Steel s'approcha du premier homme placé à une des extrémités. " Bien sûr Mme Evans. Quatre petites tapettes bien obéissantes. "

Je la regardais s'activer en face de lui avec une de ces bandes de métal, semblant en fixer une extrémité devant le corset avant de passer l'autre derrière lui. Alors elle tira fortement l'extrémité libre entre ses cuisses où il se divisa en deux bandes. Elle les plaças des deux côtés face à face et les connecta toutes les deux sur les côtés du corset.

Elle se déplaça vers le deuxième homme et recommença la même mystérieuse procédure. Quand vînt mon tour je pus voir ce qu'il se passait. La première pièce de métal s'accrochait relativement haut sur le devant du corset et était ensuite abaissée vers le bas jusqu'à ce qu'elle s'accroche sur le cylindre de métal. En tirant la bande étroitement en arrière elles étaient en train de fixer mon zizi emprisonné et de le faire disparaître entre mes cuisses.

Après que le quatrième homme subit le même sort nous fûmes invité à nous lever étudier nous-mêmes dans les miroirs. J'étais stupéfait. Avec la taille étroite et aucun signe d'un membre viril je semblai très féminine. Seul un petit triangle de poils noirs décorés mon aine, ma virilité et ayant temporairement disparut. Peut-être, peut-être bien finalement, que cela valait la peine d'avoir subi tout cela.

" Vous semblez très contentes ainsi ! Petites coquines ! Maintenant étendez-vous sur un de ces lits. Et rappelez-vous que les tapettes font de petits pas et avancent lentement autrement vous aurez du mal à respirer.

Je réalisais rapidement qu'elle avait raison. En prenant ou de petites respirations et à petit pas j'atteignit un lit et très vite nous fûmes tous allongés sur le dos sur le lit.

" Maintenant vous devez rester parfaitement immobile. "

Mademoiselle Jaguar frotta ses énormes main au-dessus de mon corset. Je sentis que quelque chose de froid et gluant était appliqué sur le haut de ma poitrine. Ensuite elle plaça une chose en gelée rose au niveau de mon sein gauche. C'était un sein. Je veux dire, un sein réel muni d'un téton à son sommet. Je retenais ma respiration, mes yeux écarquillés d'excitation. Je n'avais jamais imaginé qu'une imitation puisse sembler si réelle. Tandis qu'elles laissent aller sur moi je pouvais voir qu'il bougeait comme un sein réel. Un instant après il fut rejoint par le second. Ceci était réellement excitant ! Mon derrière endommagé était un petit prix à payer pour une telle transformation.

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Un début d'histoire très prenant hâte de lire la suite.
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