Catégories : Cuckold candaulistes cocu Sodom Gang bang
Ce récit est la suite de : Du candaulisme au gang bang
il y a 9 ans
Le lundi au bureau, le téléphone sonna tôt comme je l'attendais. C'était Bernard qui me salua chaleureusement, me demandant si j'avais passé une bonne nuit. Je le rassurais et lui demandais à mon tour s'il n'était pas trop fatigué.
« A propos de fatigue, me répondit il, comment va Michelle se matin? »
Je l'assurais qu'elle allait bien, que je l'avais trouvée plus gaie que d'habitude et plus heureuse de vivre.
« Tu sais que j'ai pensé à elle, enfin je veux dire, ce que je pourrais faire avec elle, bien sur, si tu l'acceptes. »
« Dis toujours. »
« Tu sais que je suis sorti plusieurs fois avec ma femme dans cette boite échangiste à Paris, j'ai pensé que je pourrais y aller avec ta femme. »
Je restais un peu sans voix. Je savais que Bernard et sa femme fréquentaient cette boite assez assidument les samedis soirs, il m'en avait raconté les détails, les hommes qui prenaient les femmes les uns après les autres, les femmes qui repartaient soutenues par leur partenaires tant elles étaient épuisées par la baise. Il m'avait dit avoir soutenu sa femme jusqu'à leur domicile car elle avait subit tant d'hommes qu'elle ne tenait plus sur ses jambes. Je savais tout ça, et je savais aussi qu'un moment ou l'autre viendrait cette interrogation de sa part. Il m'appartenais de dire oui ou non. Mais au fond, mon accord avait il de l'importance? Bernard ne pouvait il pas contacter Michelle sans me le dire et l'emmener la où il voudrait?
Je lui donnais donc mon accord en lui demandant toutefois de prendre soin d'elle.
« Ne t'en fait pas, me répondit il, je veillerai sur elle, il n'est pas question qu'elle fasse tout ce que ma femme a fait. »
Je ne le crus qu'à moitié, je connaissais Bernard d'assez longue date pour savoir que dans le feu de l'action, il ne contrôlait pas toujours tout, je l'avais connu assez directif avec les femmes, les f o r ç a nt parfois. Mais l'excitation de savoir Michelle en boite était la plus forte, et puis me disais je dans le fond, si elle souffre par le cul, elle l'aura cherché.
Il me fit part alors d'un stratagème, le bougre, avant même de me téléphoner il avait son plan en tête! Ça ne m'étonnait pas, connaissant le personnage je le savais assez pervers pour y avoir pensé. Il m'exposa son plan: il voulait inviter Michelle en journée à le rejoindre dans cette boite où il avait ses habitudes. Il aurait au préalable, avertit quelques amis surs à lui et il comptait ainsi partouzer ma femme.
« Combien seront-ils? » demandais je un peu inquiet quand même.
« Juste deux potes et moi, pas plus. »
Je donnais mon accord à Bernard ainsi que le téléphone de Michelle, lui laissant l'initiative tout en lui demandant de me faire part des réactions de mon épouse et de l'avancement du projet. Il m'assura que je serais au courant de tout du début à la fin, me proposant même, de m'appeler au téléphone depuis la boite échangiste.
Et puis le temps passa, je n'eu plus de ses nouvelles pendant une semaine. Je guettais les réactions de mon épouse, mais rien dans son comportement ne me laissait présager quelque chose de particulier. Elle était parfaitement naturelle, comme tous les jours. C'est à peine si elle me reparla de Bernard pour me demander si j'avais de ses nouvelles. J'éludais en lui disant que je n'en avais aucune tout en rajoutant « Et toi? » Mais elle ne tomba pas dans le panneau, me répondant en riant que c'était mon pote après tout et qu'elle n'avait pas à avoir de ses nouvelles.
Pourtant un beau matin le téléphone sonna sur mon bureau, je décrochais machinalement et la voix de Bernard me sauta aux oreilles, « ça y est! Me dit il, elle a accepté!! »
« Qui a accepté quoi? »
« Mais ta femme!! Elle a accepté de venir en boite cet après midi! »
Je restais un peu sans voix, ma gorge soudain s'était asséchée. Ainsi, il avait travaillé Michelle au corps et il avait réussit dans son entreprise. Je ne demandais pas de détail à Bernard mais j'envisageais assez bien qu'il avait du la rencontrer à mon insu, l'emmener à l'hôtel et passer avec elle de bons moments.
« Elle a accepté...comme ça? »
« Heu...il a fallu que je sois diplomate mais elle a fini par accepter. »
Diplomate! Je m'abstenais de lui demander en quoi consistait sa diplomatie, mais j'imaginais plutôt un complot autour de Michelle. Au fond, je l'avais voulu alors autant l'accepter, il serait bien temps plus tard de demander des détails à Bernard. Je savais qu'il ne me les refuserait pas.
« Et quand cela doit il se produire? »
« Cet après midi, elle doit venir me rejoindre vers quatorze heures. »
« J'avoue que j'aimerais être une petite sourie! »
« Ne t'inquiète pas! Je te raconterai tout! »
Je n'en doutais pas, Bernard n'était jamais avare de ses exploits féminins, au point de me les faire partager parfois.
« Bon, je compte sur toi pour que ça se passe au mieux! »
« Je te le promets, à plus. »
Le téléphone devenu soudain muet, je ressentis une profonde solitude. Quand Bernard était venu chez nous, j'étais présent, j'avais vu Michelle se faire prendre par lui, mais la c'était l'inconnu, tant pour elle que pour moi. Vers quoi allait elle aller? Quels étaient ses sentiments à ce moment? Au fait, comment s'était elle habillée ce matin? Je cherchais en vain dans ma mémoire, tant la routine entre nous faisait que j'étais oublieux de son apparence.
« Bien fait pour ta gueule! » Me dis je presque à voix haute, et je tentais dans un soupir de penser à autre chose.
Mais rien n'y fit, cet après midi la fut comme une espèce de t o r t u r e , une t o r t u r e entrecoupée de moments d'excitation intense quand je pensais fort à Michelle, que je l'imaginais les cuisses bien écartées recevant les hommages des hommes qui se pressaient autour d'elle la bite à la main. J'imaginais Bernard, mon pote voyeur et pervers guidant l'un ou l'autre, maitre de cérémonie attentif à la jouissance de ma femme, lui apprenant des choses qu'elle n'avait pas imaginé, la f o r ç a nt doucement à recevoir en elle deux hommes, l'un par devant l'autre par derrière, déclenchant un torrent de jouissance malgré la douleur au début, et puis petit à petit, à f o r c e de persuasion et de vaseline, Bernard l'amenant à l'acceptation de deux bites en elle, deux forts calibre qui lui étirent les chairs. Et puis encore un autre sexe qu'il guide jusqu'à sa bouche et s'il en est encore autour d'elle, un dans chaque main.
Mon imagination court remplissant ma tête d'images scabreuses de Michelle, ma femme tant chérie, écartelée par cet homme qui entra dans ma vie un jour, mais cela est une autre histoire. Ma femme livrée à lui, mais qu'ai-je fait la? Pourquoi? Je suis moi-même un pervers de l'avoir présenté à Bernard, car je savais, oui, je savais que cela arriverait, ce jour de perverse souffrance que je suis en train de vivre.
Le temps est interminable, je me demande s'il l'est aussi pour Michelle. Mieux ne vaut plus y penser, je rafle ma veste et je m'en vais sans me retourner, je quitte le bureau sans saluer personne et je pars au hasard des rues la tête trop pleine d'images obscènes.
Je ne sais comment je suis parvenu chez moi, mais toujours est il que j'y étais quand elle est rentrée. Il était tard, plus tard que son heure habituelle. J'ai entendu sonner à la porte, je suis allé lui ouvrir, je l'ai vue en face de moi, j'en ai été tétanisée, un baiser furtif au coin des lèvres et voila qu'elle file dans la salle de bains et s'y enferme. Ce n'est pas son habitude, bientôt j'entends la douche couler, cela dure longtemps longtemps. Puis tout s'arrête, je suis dans la cuisine, je prépare notre repas du soir. Je l'entends aller dans la chambre et enfin elle me revient en robe de chambre, mais toujours avec son air bizarre, renfrogné, qui me dissuade de lui poser la moindre question. Je n'en ai nulle envie d'ailleurs, mais j'ai hâte à demain quand Bernard m'appellera au bureau pour me faire son compte rendu.
Le repas est morne, Michelle est visiblement ailleurs, je ne lui pose aucune question tandis qu'elle évite mon regard et bien vite tout le monde se réfugie devant la télé où l'on peut faire pensée à part avant d'aller dormir.
Le lendemain matin je suis de bonne heure au bureau, j'ai bien fait car le téléphone ne tarde pas à sonner. Je sursaute en décrochant, je halète un « allo » et j'entends Bernard à l'autre bout du fil qui me réponds « Quelle journée hier! »
« Raconte moi! »
« La vache! Elle en a pris plein sa tasse! »
« Par qui? Combien étiez vous? »
« Oh! Je crois que nous étions douze. »
« Tu m'avais promis juste deux mecs en plus de toi!! »
« Oui je sais! Mes deux potes étaient bien la, mais il y avait d'autres types dans la boite, impossible de les contenir tous. »
« Tu veux dire que Michelle a du subir douze mecs?? »
« Heu...oui...enfin ....au moins douze oui. »
« Mais tu m'as dis qu'un jour ta femme après dix mecs sur elle ne tenait plus debout! »
« Ouais, c'est vrai et je peux te dire que ta femme s'est bien faite monter. »
« J'imagine! Dis je mi figue mi raisin »
«Mais ça s'est bien passé finalement, elle a bien du jouir une dizaine de fois, j'avoue ne pas avoir compté. J'ai même pas pu la baiser tellement il y avait du monde autour d'elle. »
« Je croyais que tu maitrisais? »
« Je sais bien, mais quand les types voient une femme arriver la dedans pour la première fois, tout le monde veut se la faire, et impossible de tout contrôler. »
« Ainsi donc au moins douze mecs l'ont sauté? »
« Oh! Oui! J'ai pas compté! »
« T'exagère quand même! »
« Je te jure qu'elle a aimé! »
« En tout cas elle faisait une tronche hier soir! »
« Elle a du bien dormir! »
« Elle dormait encore quand je suis parti. Dis moi comment les types l'ont prise? »
« Alors la, je peux te dire qu'ils lui ont tout fait, par devant par derrière, à deux, à trois, et plus encore, à un moment je ne la voyais plus tant il y a avait de mecs autour. »
« La salope! Et ....tu me dis qu'elle a aimé? »
« Oui! Sauf à un moment, il y avait un type avec une bite énorme, mais vraiment énorme, il a voulu l'enculer, la elle a gueulé et le type s'est retiré. »
« Combien de types l'ont sodomisée? »
« Je n'ai compté, mais bien la moitié des mecs de la boite. »
« Qu'est-ce qu'elle t'a dit après? »
« Après? Elle m'a dit être crevée et qu'elle voulait rentrer car il était déjà très tard. »
« C'est tout? »
« Oui c'est tout. Dans la voiture elle m'a dit avoir mal au cul mais rien d'autre. C'est une dure ta femme car je peux te dire que la mienne aurait capitulé bien avant! »
« Mais tu m'as dit que ta femme avait l'habitude... »
« Oui bin la tienne elle m'a épaté! »
« Oh! Vraiment? »
« Oui, je te jure, elle leur a tout fait ce qu'ils demandaient, sans rechigner, c'est pour ça aussi qu'elle a eu tant de succès. »
« T'appelle ça du succès?! »
« Comment veux tu que je te dise?! »
« En tout cas je pense qu'elle ne voudra plus retourner. »
« Penses tu! Elle m'a déjà demandé quand on retournait en boite! »
Je suis resté sans voix, me disait il la vérité? Voulait il me provoquer?
J'ai du attendre une semaine avant de pouvoir toucher Michelle, quand mes doigts ont effleuré son vagin, j'ai senti des lèvres intimes relâchées et quand je l'ai pénétrée, mon sexe nageait dans sa fente. J'en ai été si excité que j'ai jouir presque tout de suite. Je m'en suis excusé auprès d'elle. Michelle m'a sourit timidement en me disant que ce n'était rien, et ce fut tout pour ce soir la. Je ne lui ai pas posé de question, c'était inutile, Bernard répondait à toutes sortes de questions que je pouvais me poser au sujet de mon épouse et cela me suffisait. Je pense que de son coté, Michelle n'était pas dupe de mon mutisme, elle savait que je savais et cela l'autorisait à tout.
Désormais, j'étais le mari, juste un mari, un compagnon de route sans plus qui ne la faisait pas jouir, mais sa jouissance, Michelle l'avait quand elle voulait avec qui elle voulait.
Il lui suffisait d'appeler Bernard.
Jipai
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