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Ce récit est la suite de : J'ai voulu être cocu
il y a 8 ans
J'ai voulu être cocu - épisode 3
Notre libido a été exacerbée par l'aventure de Sylvie. Le week-end qui a suivit cette deuxième rencontre a été un mélange de sexe d'amour et de passion. Cette fois Alain a décidé de ne pas attendre pour continuer à dévergonder ma femme.
Je l'avais informé que, le lundi matin, je parts au travail à 7h00 et que ma femme ne parte que vers 9h00. Sans la prévenir, à peine je suis parti qu'il vient sonner chez nous. Sylvie va voir qui peut bien venir aussi tôt. Elle n'est vêtue que d'en peignoir, comme ça lui arrive souvent à ces heures-ci. Surprise mais ravie elle fait entrer Alain en lui disant :
- Qu'est-ce que tu fais la ? Tu aurais pu tomber sur mon mari
Même si je suis au courant de leur relation elle n'est pas prête à ce que je croise son amant, voulant garder un peu de mystère. Il lui répond :
- Ne t'inquiète pas, j'ai attendu de le voir partir avant de venir.
Sans plus attendre, il détache le peignoir et le fait tomber par terre. Il prend ma femme nue dans ses bras pour l'embrasser.
- Tu m’offres un café ?
Pendant qu'elle l'emmène à la cuisine et fait deux cafés, il la caresse et la pelote pour la chauffer. Mais il faut bien avouer que ce n'est pas vraiment nécessaire. Le fait de le voir, de repenser à ses coups de queue qui la font si bien jouir suffisent à la faire mouiller… Il n'a pas encore fini son café qu'elle est déjà à genoux devant lui en train de lui faire une fellation. Il lui dit :
-
Allons dans ta chambre
-
Je croyais que tu n'aimais pas baiser dans les lits, rigole-t-elle
-
Ce n'est pas n'importe quel lit, c'est ton lit conjugal. Cette fois, ton mari sera vraiment cocu.
Leur partie de jambe en l'air dans notre lit fait rapidement grimper ma femme au 7ème ciel. Alors qu'il l'a baise en levrette, il lui caresse l'anus et y entre même un doigt. Pas remise de son orgasme, ma femme sens qu'il sort son sexe pour le présenter devant son anus. Elle ne proteste pas, mais dit :
- Doucement, ça fait longtemps que ça ne m'est plus arrivé
Il la sodomise avec beaucoup de savoir faire et ma femme, qui y trouve rapidement du plaisir se caresse simultanément le clitoris pour jouir encore une fois alors qu'il se déverse dans son cul. Son amant vient de prendre un trou dans lequel je ne suis jamais allé. Ce n’est pas que ma femme me l’ait refusé, mais j’aime autant son vagin et la seule fois que nous avons voulu le faire, je n'ai pas réussi à la pénétrer car mon sexe n'était pas assez dur…
A sa demande, elle reste nue alors qu'il se douche, se rhabille et rebois un café. Il reprend ses caresses sur ma femme et sens rapidement son sexe durcir dans son pantalon. Il le sors et dit à ma femme :
- J'ai bien encore droit à une gâterie non?
Sans discuter, elle se met devant lui, à genoux et lui fait une fellation. Même si elle n'a avalé qu'une seule fois mon sperme car elle n'en n'aime pas le goût, elle n'essaye pas de retirer sa tète tenues par les mains de son amant et le laisse éjaculer dans sa bouche avant de tout avaler.
Depuis ce jour, Alain baise Sylvie 2 à 3 fois par semaine. Il l'appelle quand il a envie d'elle. Ma femme, rayonnante de bonheur, prend goût à lui obéir et à accourir, malgré 45 minutes de voiture.
Deux mois plus tard, j'ai reçois une invitation à une réception d'une équipe de football qui fait une semaine d'entrainement dans notre région. Nous sommes plusieurs représentants d'entreprises de la région à y participer. Ma femme m'a accompagné, vêtue d'une petite robe d’été droite sous laquelle elle a un shorty et un soutien gorge à dentelle. Elle ne sait pas qu'Alain est le masseur de cette équipe.
Même si elle essaye de cacher sa surprise, ses yeux se mettent à briller quand elle voit son amant. Elle vient vers moi et m'a dit :
- Tu vois le beau mec là-bas? Et bien lui il a un vrai sexe, c'est lui qui me fait grimper aux rideaux.
Alors que je feins la surprise de découvrir son amant, Alain vient vers nous. Comme elle est esthéticienne, ils discutent de massage et de soin. Habile, il lui propose de lui montrer son matériel "de voyage" et en particulier son lit de massage. C'est donc très naturellement et sans que personne ne se doute de quoique ce soit qu'il l'emmène voir la pièce qu'il a aménagé pour son travail.
Dés qu'ils ne sont plus visibles du hall de l'hôtel ou nous nous trouvons, il passe une main sur ces fesses. Inquiète, ma femme lui dit :
-
Attends un peu, n'importe qui peu arriver dans ce couloir.
-
Tu sais que je n'aime pas que tu discutes mes envies. Laisse toi faire!
Pour montrer son autorité, il descend la fermeture dans le dos de la robe et fait glisser les deux bretelles sur les épaules de Sylvie. Malgré la peur, l’excitation du risque d’être surprise et l’envie d’obéir incite ma femme à laisser la robe glisser à ces pieds. En shorty et soutien gorge dans le couloir, elle se fait gronder par Alain :
-
C’est quoi ses sous-vêtements, tu sais que je ne veux pas que tu en portes pour nos rencontres !
-
Je ne savais pas que je te verrais
-
Ça n’est pas une excuse. Enlève tout ça !
-
Pas ici s’il te plait, pas dans le couloir.
Alain la regarde et lui dit :
- comme tu voudras, si tu préfères que j’arrête de te faire jouir.
Après quelques secondes de silence elle dit timidement
- Non, non, je les enlève
Elle se retrouve assez vite nue alors que son amant ramasse ses vêtements et lui met une main entre les jambes, son index s’insinuant dans le vagin.
- Toutes mouillée, déjà prête à l’emploi, rigole-t-il.
Il lui tape les fesses pour la faire avancer jusqu’à son local de massage. Elle entre la première, mais reste pétrifiée de honte et mets les mains devant son sexe en voyant un des joueurs, un jeune homme noir d’environ 25 ans, qui la regarde avec un sourire amusé. Il dit à Alain :
- Tu avais raison, elle a l’air bien conservée ta salope ! En plus j’adore les femmes mariées.
Alain ferme la porte, prend les mains de Sylvie et les ramènent dans son dos sans difficulté car elle se laisse faire. Il lui dit :
- Je te présente Nicolas. Il a une belle grosse queue noire qui va te faire jouir.
Voyant qu’elle ne résiste pas il lui dit :
- Vas te mettre à genoux devant lui, sorts son sexe et suce le pour le mettre en forme !
Elle le regarde, baisse les yeux, puis sans dire un mot obéit. Le jogging du jeune homme est facile à enlever. Elle baisse le slip et commence à faire une fellation. Le sexe bande rapidement. Il n’est pas très épais, mais plus long que ceux qu’elle a vu. Dés qu’il est bien dur, il fini de se déshabiller, se couche par terre alors que Alain dit à ma femme d’aller s’empaler sur le sexe dressé.
Elle obéit, se rendant compte que c’est elle qui va volontairement se faire enfiler par se sexe inconnu. Elle gémit et commence rapidement à jouir. Alain vient derrière elle, la couche sur le joueur et appuie son sexe sur son anus. Elle ne fait rien pour l’arrêter, mais inquiète dit :
- Doucement, je n’ai jamais de sandwich !
Son amant, attentif à son plaisir fini de la sodomiser. Les deux hommes bougent ensemble et ma femme a rapidement un orgasme qui la laisse sans f o r c e . Mais les deux hommes ne s’arrêtent pas et elle jouit plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle sente, presque simultanément, les deux hommes éjaculer et remplir son ventre.
Alors que les homme se rhabille, elle va se rincer, un peu honteuse d’avoir si facilement accepter de s’empaler sur un sexe inconnu, mais aussi épanouie par son orgasme. Quand elle ressort de la douche, son amant est tout seul. Elle va vers ses habits et prend son soutien gorge. Alain l’arrête :
-
Tu ne vas pas continuer à désobéir ! J’ai dit pas de sous-vêtement !
-
Mais ça va se voir et la il y a plein de monde qui me connaît.
Le regard sévère, Alain s’approche, il prend le soutien gorge et le shorty.
- Arrête de tout le temps discuter. Tu aimes être une salope. C’est le moment de savoir assumer ! D’ailleurs, pour te punir, je t’informe que, avant la fin de la réception, tu devras accepter une troisième queue.
Sans oser discuter, elle ne remet que sa robe. Dans le couloir qui les ramène dans la salle, ils croisent une femme de chambre. Alain la salue parle de banalité avec elle. Sylvie comprend que ce n’est la première fois qu’ils se croisent et qu’elle apprécie le charme de son amant. Elle rougit m o r t e de honte quand Alain dit :
- Vous trouverez sur mon lit de massage des jolis dessous féminins de marque que j’ai confisqué à Madame. Elle n’en a plus besoin et vous avez la même taille. Si ils vous plaisent, ils sont à vous.
La jeune femme sourit, a un regard un peu moqueur et remercie Alain.
Sylvie vient vers moi et m’avoue qu’elle vient de se faire prendre en sandwich par son amant et un joueur noir. Elle me dit encore discrètement :
- Tu voulais être cocu, la tu es vraiment servi. Ils ont des sexes bien plus gros que le tien et en plus eux ils savent s’en servir !
Plus tard, Alain vient vers nous et me dit discrètement :
- Je t’emprunte ta femme, je lui ai promis encore une bite.
Il va ensuite vers Sylvie, lui murmure quelque chose à l’oreille. Elle rougit en regardant autour d’elle, mais personne ne semble avoir entendu. Docilement, elle suit son amant qui l’emmène en direction des WC. Ils entrent dans un local de rangement rempli de linge. Il lui fait enlever sa robe, se mettre face au mur, mains appuyée, cambrée, jambes écartées.
- La troisième bite va arriver, tu ne dois pas bouger et le laisser de baiser. Tu n’oublieras pas de le remercier à la fin.
Inquiète, mais aussi excitée, Sylvie qui a vraiment pris gout à la soumission opine de la tète sans rien dire. Alain pose la robe sur une étagère et revient dans la salle ou je suis en train de discuter avec le président du club. Il lui dit :
- Tu peux y aller Eric, elle est prête
Le président me dit :
- Excusez moi, je vais profiter du vide couille qu’Alain met à ma disposition.
Il se rend dans le local où se trouve ma femme. Le cœur bâtant, elle se laisse caresser sans oser se retourner. Elle l’entend ensuite se déshabiller. Puis elle sent un sexe bien dur et de belle taille venir la pénétrer. Il va la baisser virilement pendant plus d’un quart d’heure, la faisant jouir plusieurs fois avant d’éjaculer au fond de son ventre.
Alors qu’il se rhabille en lui disant qu’elle est une bonne pute, elle reprend ses esprits et se retourne et lui disant timidement merci. Il lui dit :
- Tu peux te rhabiller et venir vers nous, mais interdiction de passer aux WC. Je veux que tu sentes mon sperme entre tes jambes !
Pendant cette partie de baise, Alain me dit :
- Aujourd’hui ta salope a pris, en plus de moi, deux bites de mecs bien bâtis. Elle va en redemander et les mecs vont la recontacter. Elle va se retrouver avec trois amants qui auront le même but : en faire une vide couille qui écarte les jambes facilement pour n’importe quel homme. C’est ce que tu voulais non ?
La réalité commence a dépasser mes fantasmes, mais je réponds que oui en sentant mon sexe durcir. Le président revient vers nous avec un sourire satisfait et remercie Alain sans se préoccuper de moi :
- Ca fait du bien. Tu avais raison, c’est un bon coup !
C’est lorsque nous repartons qu’elle me dit :
- J’ai eu de ses orgasmes. J’ai adoré. Merci de me laisser vivre ça.
Elle me met la main sur la braguette et me dit :
-
C’était des belles queues, pas ridicule comme la tienne. Tu aimes toujours ce jeu ?
-
Oui, d’ailleurs tu sens bien l’effet que ça me fait.
Elle rigole, moqueuse elle dit :
-
J’ai eu ma dose aujourd’hui et j’ai pas envie d’écarter les jambes pour un éjaculateur précoce. Tu ne m’en veux pas ?
-
Non, tu sais bien que non et en plus j’aime être ton soumis.
Pour être sure que je ne la harcèle pas, elle me met ma cage de chasteté en arrivant à la maison.
J'ai voulu être cocu - épisode 4
Les semaines qui ont suivit, Eric, Alain et, dans une moindre mesure, Nicolas ont mis leur « femelle soumise » à contribution. Elle se rend 2 à 3 fois par semaine en ville pour aller au rendez-vous que l’un ou l’autre lui fixe. En général elle y va en fin d’après midi et revient 3 ou 4 heures plus tard. Souriante et de bonne humeur elle me raconte ses orgasmes pendant que je sers un petit repas.
Plusieurs fois, si son amant du jour est Alain ou Eric, il est accompagné d’un autre homme. Sylvie prend du plaisir à être baisée par ses nouvelles bites. A part dix minutes par jour pour me doucher, je porte en permanence la cage de chasteté. Elle en exhibe fièrement la clé pendue à une chainette autour du coup. Quand on lui demande ce que c’est que cette clé elle répond, mutine, que « c’est la clé de son bonheur ».
Le dimanche, je passe la journée sans ma cage, avec ma femme, qui est très câline et amoureuse. Nous faisons une fois l’amour, mais l’excitation et la frustration accumulée pendant la semaine n’arrange pas mes prestations. Le premier dimanche, le coït dure 10 secondes. Ma femme en rigole et me dit moqueuse :
- Eh bien heureusement que mes amants me font jouir !
Le deuxième je fais à peine mieux avec 20 secondes. J’ai le droit aux même rire. Elle me dit :
- Cette semaine j’ai été pénétrée par mes amants pendant au moins trois heures. Avec 20 secondes tu ne profites pas beaucoup de mon sexe. Toi qui es fort en calcul, ça fait quel pourcentage ?
Après un petit calcul je lui dis :
-
Si je compte bien, ça fait 0,2 pourcent.
-
Tu utilises ta femme le 0,2 pourcent de ce qu’elle est utilisée. On peut dire que tu es vraiment cocu mon chéri !
Le troisième dimanche, elle a surement voulu m’humilier encore plus car elle a pris mon sexe pour m’enfiler dans son vagin, mais en faisant ça elle a caressé sous le gland où elle sait que je suis hyper sensible. Le résultat ne s’est pas fait attendre. J’ai éjaculé sur son ventre sans même la pénétrer. Elle a rigolé en me disant :
- tu n’améliores pas tes statistique mon chéri ! Tant pis pour toi, tu ne me baisera pas cette semaine !
Cette vie de soumis cocu m’excite beaucoup et j’aime ses humiliations. Je précise que dans la vie courante, hormis ma cage de chasteté, nous nous comportons comme un couple tout à fait normal et nous trouvons les deux notre équilibre dans cette situation.
Sylvie aime la queue noire de Nicolas, son jeune amant. Elle ne ce gène pas de le lui dire et aussi de se plaindre un peu de l’espacement de leurs relations puisque ce n’est qu’une fois tous les 2 à 3 semaines qu’elle a le plaisir de se donner à lui. Il lui dit que, puisqu’elle a envie de queues noires, il va lui préparer une petite surprise pour le vendredi suivant. Le jour venu, il lui envoie un message :
« je viens te chercher chez toi à 17h00. Soit vêtue en bourgeoise : tailleur sexy, porte-jarretelle et bas blanc, escarpins à talon d’au moins 10 cm». Elle me téléphone pour me prévenir et obéis avec excitation.
Son amant sort de la voiture pour l’embrasser. Il lui roule une pelle dans la rue devant chez nous, ce qui met Sylvie mal à l’aise. Si quelqu’un la voit, sa réputation sera tout de suite faite. Pendant les 45 minutes de route il a une main baladeuse qui lui permet de s’assurer qu’elle a été obéissante et qu’elle n’a rien d’autre que ce qu’il a demandé sur elle. Ils arrivent d’un un quartier populaire ou elle n’est jamais venue. En parquant la voiture prés de grands immeubles, il lui dit :
- Je te présente le quartier ou j’ai grandit. Tu verras. C’est plein de noirs comme tu les aimes !
Voyant de l’inquiétude sur le visage de ma femme, il dit :
- Ne te fais pas de soucis, tu ne risques rien de mal ici. Il te suffit d’être bien obéissante et il n’y aura que du plaisir pour toi.
Dehors, elle sent les regards des personnes qu’ils croisent sur elle. Avec son tailleur de bourgeoise elle est regardée par tous. Mal à l’aise elle ne lâche pas Nicolas d’une semelle. Ils arrivent vers un groupe de jeunes noirs. Nicolas les salue tous chaleureusement. Sylvie compte 8 garçons. Ils ne doivent pas avoir plus de 20 ans. Elle se fige en entendant dire :
-
Madame, c’est dangereux de se promener dans une arrogante tenue de bourgeoise ici, vous risquez de vous faire agresser !
-
Oui, c’est vrai, la dernière fois qu’une femme en tailleur est venue ici, elle s’est fait lynchée par des femmes du quartier. C’est de la provocation de montrer que vous êtes bourgeoise !
En voyant le sourire de Nicolas, elle comprend qu’elle s’est faite piégée en lui obéissant. Il lui dit :
-
Oui ils ont raison, enlève ton tailleur c’est préférable.
-
Mais je ne peux pas, tu sais bien que je n’ai rien dessous.
-
C’est pas grave, nue tu ne risques rien d’autres que des coups de queue et comme tu aimes ça !
Ça a fait rire tout le monde. Sylvie ne pas réagit lorsque Nicolas s’est approché d’elle est a commencé à déboutonner sa veste de tailleur sous laquelle elle est nue. Il l’a fait glisser sur ses épaules. Elle entend des commentaires :
-
la pute elle est à poils dessous
-
tétine pendante, mais c’est normal à son âge
-
…
Alors qu’une première main vient la peloter, Nicolas a décroché sa jupe et l’a fait glisser le long de ses jambes.
-
Ouah un porte-jarretelle. C’est une vraie pute bourgeoise !
-
Elle est toute lisse comme les putes !
-
…
Sylvie n’a plus que son porte-jarretelle, ses bas et des escarpins sur elle. Elle trouve la f o r c e de dire à Nicolas :
-
On est en pleine rue, je ne peux pas rester nue.
-
Ne t’inquiète pas, ici aucun flic ne passe et tu as meilleures d’avoir une réputation de chienne en chaleur que de bourgeoise !
Pour toute réponse, Sylvie gémit de surprise car un doigt vient de v i o l er son intimité. Son propriétaire révèle à tous qu’elle est effectivement en chaleur et qu’elle mouille abondamment. Nicolas dits aux jeunes noirs :
- Vous voyez la clé qu’elle a autour du coup ? c’est parce que son mari porte une cage de chasteté. Pendant qu’elle vient se faire baiser, lui n’a même pas le droit de bander ni de se branler !
Alors que tout le monde rigole, ils entraînent Sylvie vers un immeuble. Ils la font monter 2 étages en la pelotant. Elle se retrouve assez rapidement à 4 pattes dans un appartement. Tout aussi rapidement elle doit ouvrir la bouche pour accueillir le premier sexe et un autre la pénètre en levrette. J’entends Nicolas leurs dire :
- Profitez bien d'elle, vous verrez elle est faite pour ça.
Après une demi-heure ou les sexes défilent dans ses trous, elle a déjà jouis plusieurs fois. Comme elle a de la peine à rester à 4 pattes, ils la couche sur un matelas et le défilé continue. Il dure encore presque deux heures et elle se retrouve pleine de sperme aussi bien sur que dans le corps. Nicolas l’aide à se relever, il l’emmène dans un autre appartement, la une jeune femme noire les reçoit. Il la présente comme étant Mita, une de ses amies. Elle va aider Sylvie à se doucher, vas la masser, lui mettre une crème sur son sexe pour l’aider à « récupérer rapidement ».
Les deux femmes vont partager un repas qui fait du bien Sylvie. Elle est entièrement nue. Ses bas sont déchirés et son hôte, qui elle est habillée, les a jeté. Ma femme va dormir une heure sur le canapé avant que Nicolas revienne la chercher. Il l’embrasse en lui disant qu’il est fier de ce qu’elle a fait. Il lui fait l’amour sur le canapé. Sylvie apprécie particulièrement ce moment où il la fait grimper aux rideaux et crier son orgasme comme elle ne l’a jamais fait avec moi.
Sylvie repart ensuite avec lui toute nue, mais heureuse. Dans le couloir, ils croisent un homme d’une cinquantaine d’année. Ma femme essaie de se cacher derrière son amant, mais celui-ci salue l’homme, prend les deux mains de Sylvie, les mets dans son dos pour l’exhiber et demande :
-
Comment tu trouves ma pute blanche ? tu veux l’essayer ?
-
Volontiers, venez chez moi on sera plus confortable.
Sylvie se retrouve ainsi baisée sur un canapé dans l’appartement de cet homme. Il éjacule rapidement, utilisant ma femme comme une simple vide-couille avant de la mettre dehors. Nicolas ramène Sylvie chez nous. Il la laisse dans la rue toute nue. Mais heureusement, à cette heure, c’est désert. Je l’aide à se doucher et elle s’endort rapidement…
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