La secrétaire médicale

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il y a 2 ans

Mon prénom est Caroline. J'ai 24 ans, brune assez grande, mince, mignonne. Mes cheveux m'arrivent à la taille, j'ai de petits seins très fermes, un derrière bien rond. Depuis trois ans, je suis l'assistante d'un médecin, je devrais plutôt dire l'esclave...

À l’époque, je cherchais du travail, avec mon diplôme en poche et très peu d'expérience, à part quelques stages et un peu d'intérim. D'un naturel assez timide, sur le plan sexuel, je ne savais pas grand-chose non plus. Je me présentai donc après avoir lu une annonce.

L'homme qui me reçut dans son cabinet était grand, bel homme, la cinquantaine bien conservée et me fit d'emblée une forte impression, malgré son air très froid. Il était spécialiste en gynécologie. Il était en blouse blanche, me fit entrer dans son cabinet, me fit asseoir dans un fauteuil assez bas devant son bureau où il prit place. Il examina mes références, m'expliqua ce qu'il attendait de moi.

Tout en me parlant, il m'examinait de la tête aux pieds de façon insistante, finissant par me mettre mal à l'aise : par exemple, je tirais machinalement sur ma jupe un peu courte, que la position faisait remonter sur mes cuisses... Il m'expliqua aussi qu'il ne fallait pas s'attendre à des horaires de bureau dans ce métier, mais ça je le savais déjà. Il me posa aussi tout un tas de questions. J'acquiéssais à tout, voulant obtenir le poste qui présentait pas mal de contraintes mais aussi un très bon salaire. Au bout d'un entretien assez long, il me dit enfin :

  • Eh bien, je pense que vous pourriez faire l'affaire après bien sûr une période d'essai. Il reste une formalité, la visite médicale d'embauche : j'ai besoin de pouvoir compter sur une fille en excellente santé, vous le comprenez. Pour gagner du temps et si vous êtes d'accord, je peux vous examiner tout de suite : pourquoi confier à un confrère ce que je peux très bien faire moi-même ?

Je ne m'attendais certes pas à ça, mais après tout cela paraissait logique... Je dus rougir et balbutiai, très gênée, que j'étais d'accord. Il me demanda alors de me déshabiller, précisant :

  • Mettez-vous en slip et soutien-gorge s'il vous plaît !

Il n'y avait pas de paravent et bravement je me levai, retirai mes vêtements que je posai sur le fauteuil où j'étais assise l'instant d'avant. Il m'examina d'abord debout, palpant longuement mon dos, me faisant pencher en avant, avant de m'inviter à m'allonger sur une table d'examen.

Il agissait de façon très professionnelle, avec beaucoup de compétence. Couchée sur le dos, il prit ma tension, m'ausculta les poumons au sthétoscope, devant et dans le dos, me palpa longuement le cou, le ventre, les jambes. Tout en m'auscultant attentivement, il me posait une foule de question sur mes antécédents médicaux. À un moment, il me fit frissonner en glissant ses doigts sous l'élastique de ma petite culotte pour me palper les aines. Il me fit aussi ouvrir grand la bouche pour examiner ma dentition. Puis il me demanda de retirer mon soutien-gorge et une fois rallongée, il palpa longuement mes petits seins, pinçant les tétons et les faisant durcir, me faisant un peu mal. Quand il me dit :

  • Parfait, vous pouvez descendre de la table...

    J'en fus soulagée, pensant que l'examen était maintenant terminé, mais il ajouta aussitôt :

  • ... je vais maintenant vous pratiquer un examen gynécologique : voulez-vous enlever votre culotte et monter sur cette table ?

Là, c'était trop ! Je n'étais pas sûre que ce genre d'examen entrât dans la visite médicale d'embauche. J'hésitai un moment, osai même demander timidement :

  • Est-ce vraiment nécessaire, Docteur ?

  • C'est mieux, en effet : pour le reste, vous me paraissez en pleine forme, et je voudrais simplement m'assurer que tout va bien aussi de ce côté-là.

Pourquoi continuer à discuter ? Il fallait y passer, et j'en étais malade de honte. Outre ma pudeur malmenée, je m'interrogeai mentalement sur ma propreté intime, si ma toison était bien taillée... Questions idiotes au demeurant : je me savais impeccable de ce côté, comme d'habitude...

Morte de honte, je quittai donc mon slip et grinpai toute nue sur la table. Il m'aida gentiment à mettre mes pieds dans les étriers et je me retrouvai les cuisses écartées devant lui, exhibant bien malgré moi, les parties les plus intimes de mon corps...

Évidemment, ce n'étais pas la première fois que je me trouvais dans cette posture humiliante, qui m'a toujours gênée, encore aujourd'hui où j'ai acquis pas mal d'expérience. Je prenais la pilule, et plusieurs fois déjà j'avais consulté une gynécologue pour un examen rapide : toucher vaginal, spéculum, le tout en quelques minutes. Mais ce jour-là ce fut vraiment autre chose !

Il braqua une puissante lampe sur mon entrejambe exposé et prit tout son temps pour enfiler une paire de gants en latex.

Assis sur un tabouret entre mes cuisses, il m'examina longuement, minutieusement, tirant sur mes lèvres intimes pour ouvrir mon sexe, introduisant ses doigts profondément dans mon vagin, puis mettant en place un spéculum au contact métallique et froid, qu'il ouvrit largement, me faisant un peu mal.

À un moment le téléphone sonna et il alla répondre, prenant tout son temps. Tout ce temps, je restai écartelée sur la table, le spéculum m'ouvrant le vagin en grand, n'osant bouger. Enfin, il revint me le retirer pour le remplacer par ses doigts : il en enfonça deux profondément entre mes cuisses, explorant l'intérieur de mon vagin. Il les bougeait doucement, les faisait aller-et-venir en moi.

Je n'étais nullement idiote et je savais bien qu'il sortait là délibérément du domaine médical par cette espèce de masturbation insidieuse, mais je n'osai le remettre vertement à sa place, et en plus, ses manoeuvres vicieuses étaient loin de me laisser indifférente ! Je me mis à mouiller en abondance, malgré ma honte, et il ne pouvait pas l'ignorer !

J'essayai de penser à autre chose, de résister au plaisir que je sentais monter dans mon ventre, mais il insistait lourdement, encouragé par ma passivité et mon excitation croissante. De toute façon, il était trop tard pour résister !

Son pouce se posa tout naturellement sur mon clitoris qu'il se mit à frotter, alors qu'il me baisait littéralement avec ses deux doigts accolés. Mon orgasme fut comme une explosion et je ne pus me retenir de gémir. Il fit mine de ne s'être aperçu de rien et ne fit aucun commentaire mais je vis une lueur de triomphe passer dans son regard. Il retira ses doigts de ma chatte et me demanda de me prosterner sur la table pour examiner mon anus. Là aussi, il prit tout son temps, m'écartant les fesses, regardant longuement mon petit trou plissé, puis y introduisit un doigt de toute sa longueur, me fouillant lentement, le faisant tourner, aller et venir, etc...

J'étais morte de honte, d'autant qu'il continuait à me poser des questions, comme il le faisait depuis le début de l'examen de mon intimité, sur ma vie sexuelle, de plus en plus intimes. Je n'osais pas me rebeller et lui avouais ainsi que je n'avais jusqu'ici connu que deux ou trois garçons de mon âge, et aussi que je n'avais jamais été sodomisée...

Il finit par retirer son doigt de mon anus, me donna une petite claque sur les fesses et me dit de me rhabiller, ce que je fis maladroitement et à toute vitesse, enfilant culotte, soutien-gorge, collant, chemisier, jupe. Je me retrouvai assise face à lui, horriblement génée : je devais être rouge comme une pivoine. Il m'obseva un moment en silence avant de reprendre la parole :

  • Bon, je pense qu'on peut partir sur un mois d'essai. Autre chose : je suis assez exigeant, en particulier sur nos futurs rapports hiérarchiques. Ainsi je te tutoierai, et toi tu me diras "vous" et m'appellera Docteur. On est bien d'accord là-dessus ?

J'étais folle de honte et de rage, mais je répondis :

  • Oui, Docteur...

  • Pendant le travail, cheveux attachés, dessous blancs sous la blouse, une hygiène impeccable. Tu m'as dit que tu habitais chez tes parents : si nous nous entendons, au bout de ton mois d'essai je mettrai un confortable studio entièrement meublé à ta disposition, te donnant ainsi ton indépendance. Le studio est situé dans l'immeuble, tu n'auras ainsi pas de trajets fastidieux à accomplir. Cela te convient ?

  • Je... oui Docteur, merci...

J'étais subjuguée, disant oui à tout, fascinée par la prestance de mon futur patron. Il me montra le cabinet, vaste et bien équipé, ainsi que mon bureau. Avant de me congédier en me donnant rendez-vous pour le lundi suivant à 9h précises, il nota toutes mes mensurations : tour de poitrine, de taille, de hanches, pointure exacte, etc, m'expliquant :

  • C'est pour préparer ta tenue de travail...

J'étais assez partagée entre l'humiliation subie et le plaisir de peut-être avoir trouvé un boulot et j'annonçai joyeusement à mes parents que j'étais engagée à l'essai, passant évidemment sous silence l'examen humiliant que j'avais dû subir... et le plaisir que j'avais ressenti malgré ma honte. Car il m'avait faite jouir, malgré moi, et sans doute de la façon la plus instance que j'ai jamais éprouvé jusqu'ici ! En y repensant, le soir dans mon lit, je ne pus m'empêcher, malgré ma honte, de me masturber deux fois de suite...

Le lundi suivant, je me présentai pile à l'heure. Il me reçut aimablement, un peu froidement, me conduisit dans mon bureau ou il me laissa seule en me disant :

  • Range tous tes vêtements dans ton vestiaire et enfile ceux-ci à la place. Dès que tu est prête, viens me rejoindre.

Des dessous étaient posés sur une blouse blanche et je compris que je devais me mettre nue pour enfiler tout cela. Il y avait un joli soutien-gorge en dentelle, le petit slip assorti, ainsi qu'un porte-jarretelles et une paire de bas, le tout d'une blancheur neigeuse. Je me déshabillai donc entièrement pour les passer, non sans quelques difficultés avec le porte-jarretelles et les bas, moi qui jusqu'ici n'avais connu que les collants ! Je me sentais un peu déguisée, mais l'ensemble m'allait plutôt bien, y compris les chaussures blanches également, escarpins à talon de hauteur modérée. La blouse s'arrêtait juste au-dessus du genou.

Je le rejoignis dans son bureau et il m'expliqua rapidement le travail, la première patiente arrivant à 9 h 30. A un moment, il me souleva le menton avec son index pour m'obliger à le regarder droit dans les yeux et me dit en souriant :

  • Et attention, petite fille : à la moindre faute, c'est la fessée assurée !

Je ne dis rien, pas vraiment sûre qu'il plaisantait. La matinée s'écoula sans incident notable. Je faisais de mon mieux bien sûr. Le maniement de l'ordinateur ne me posait aucun problème particulier. Je faisais tout le travail de secrétariat : Accueil des clientes, saisie du dossier des nouvelles, encaissement des honoraires, répondre au téléphone, prendre les rendez-vous, ouvrir la porte. Avant l'examen, je faisais entrer la femme dans une cabine de déshabillage et lui demandais de retirer soutien-gorge, slip, gaine, collant avant de la conduire dans le cabinet du médecin.

J'assistais aussi à quelques examens, un peu gênée quand même de voir ces femmes les cuisses écartées, les pieds dans les étriers de la table, subir toucher vaginal et rectal et l'introduction du spéculum. Je devais également laver les instruments qu'il employait, et là aussi ça me faisait tout drôle de les manipuler alors qu'ils sortaient tous chauds et humides du vagin de la patiente.

Il avait une très importante clientèle et le boulot ne manquait pas : une douzaine de femmes et jeunes filles se succédèrent dans la mâtiné. Cela allait de la très jeune adolescente de 12 ou 13 ans, amenée par sa mère à l'occasion de ses premières règles, à la femme mûre de plus de cinquante ans.

Il m'emmena déjeuner dans un petit bistrot du quartier et tout en mangeant me prodigua d'autres conseils. Il se fendit même d'un demi-compliment, daignant reconnaître que "je ne m'en tirais pas trop mal..."

Dès notre retour au cabinet, alors qu'il restait une demi-heure avant le prochain rendez-vous, il me dit tranquillement :

  • L'autre jour, en t'examinant, j'ai remarqué un petit truc que j'aimerais bien vérifier. Retire ta jupe et ta petite culotte et monte sur la table d'examen !

J'étais complètement affolée, me refusant intérieurement de céder à sa demande.

  • Oh non, docteur, je vous en prie, ne me demandez pas ça...

Il ne dit rien, se contentant de me fixer de son regard froid, et, telle le lapin fasciné par le serpent qui va l'avaler, je craquais, je cédais... Les larmes aux yeux, j'enlevais ma jupe et mon slip et pris la pose humiliante qu'il m'avait demandée !

J'étais aussi très lucide, me reprochant intérieurement de me soumettre aussi facilement. Par exemple, j'avais noté qu'il ne m'avait pas demandé d'enlever mon collant : le salaud était vraiment très sûr de lui, persuadé que je lui avais obéi en mettant des bas. Cette fois, il ne mit pas de gants et se mit à explorer soigneusement tout mon entrecuisse dévoilé, du clitoris à l'anus, me caressant, écartant mes lèvres, me pénétrant doucement la fente. En quelques secondes, il réussit à me mettre dans tous mes états, à me faire complètement perdre les pédales.

J'étais domptée, ne feignant même plus, ondulant du bassin sous ses savantes caresses. Régulièrement, il me demandait :

  • Avoue que tu aimes ce que je suis en train de te faire !

  • Non... non...

Alors, il arrêtait de me branler, me frustrant au maximum en laissant mon plaisir en suspens, et de moi-même j'allais au-devant de sa main habile, m'écartelant davantage, poussant mon pubis vers lui... Là aussi il réussit avec maestria à démolir mes ultimes défenses et j'entendis une seconde moi-même murmurer :

  • Oh... oui... encore... n'arrêtez pas... s'il vous plaît...

Mais ça ne lui suffisait encore pas ! Il me demanda :

  • Veux-tu que je te baise ?

  • Oui, oui...

  • Alors demande-le moi poliment !

  • Oui, Docteur, baisez-moi...

  • Mieux que ça !

  • Je vous en supplie, venez en moi, s'il vous plaît, enfoncez-vous entre mes cuisses...

  • Alors, tu es une vrai petite salope ?

  • Oui, oui, je suis une salope...

  • Tu es une chienne en chaleur ?

  • Oui, je suis votre chienne ! Faites de moi tout ce que vous voudrez, mais par pitié, baisez-moi !

  • Bon, si tu insistes...

Il défit sa braguette et je sentis son gland appuyer à l'entrée de ma chatte. Il me pénétra d'un seul coup, s'enfonçant très loin dans mon ventre, me faisant crier de plaisir. Il m'avait tellement excitée, qu'en quelques aller retours de sa queue de bonne taille dans mon vagin il me fit jouir ! Au moment de sa propre jouissance, il se retira et je sentis le sperme gicler violemment sur mon ventre.

Le temps de reprendre mes esprits, il s'était déjà rajusté et me tendait un kleenex en me disant :

  • Allez, dépêche-toi de te rhabiller : la prochaine patiente va arriver !

En toute hâte, je m'essuyais le bas-ventre, remis slip, jupe et blouse, juste à temps en effet pour accueillir sa cliente. L'après-midi fut aussi chargée que la matinée et nous n'eûmes aucun répit. La consultation se termina vers 19 h 30. Le toubib me prit alors dans ses bras pour m'embrasser profondément, enfonçant sa langue très loin dans ma bouche. Mais comme d'habitude, la douche froide : avant de m'autoriser à m'en aller, il me regarda droit dans les yeux et me dit froidement :

  • Ce qui c'est passé entre nous ne te donne absolument aucun droit. Je reste le patron. Compris ?
  • Euh oui, docteur...

Le soir, autour de la table familiale, je racontais ma première journée, en gommant bien sûr l'épisode le plus sulfureux, et de nouveau, dans mon lit, je ne pus m'empêcher de me branler, tout en me disant que j'étais sur une pente glissante avec mon nouvel employeur...

Le lendemain matin, il m'accueillit par un joyeux :

  • Bonjour Caroline. Bien dormi ?

  • Oui Docteur, je vous remercie.

  • Bon aujourd'hui, sur le tas, il y a trois clientes très spéciales : des femmes qui fantasment sur les examens médicaux et la blouse blanche. Ça arrive parfois, et dans ces cas-là, tu fais ce que je te dis de faire sans poser de questions et tu gardes le tout pour toi. Ok ?

  • Oui docteur.

Son doigt désigna un nom sur l'écran allumé de l'ordinateur, qui affichait la liste des rendez-vous du jour :

  • Celle-ci, tu la fais entrer dans la salle que je vais t'indiquer, et tu lui dis de se mettre complètement à poil. Ensuite, tu vérifies sa propreté...

  • Mais... comment Docteur ?

Il me regarda avec commisération et me dit :

  • Tu es conne ou quoi ? Regarde ses pieds, derrière ses oreilles, fais-lui lever les bras et renifle ses aisselles, mets-la en position gynécologique, ouvre-lui la chatte, sens-la,écarte-lui les fesses... il faut vraiment tout te dire ! Ensuite tu me l'amènes, toujours nue, dans mon cabinet. Je te demanderai alors si elle est bien propre de partout, et tu me répondras un truc dans le style : "Non, pas vraiment...". Tu as compris ?

  • Oui Docteur. J'essayerai de faire de mon mieux...

  • Tu as intérêt, sinon prépare ton cul ! Pour les autres, je te le dirai le moment venu...

Et la journée démarre, les femmes se succèdent cuisses écartées sur la table d'examen. La patiente indiquée arrive bien à l'heure : 10 h 30. C'est une petite blonde, un peu enrobée d'une quarantaine d'années, bourgeoise à souhait, à l'air timide.

Tout se passe bien avec elle : je suis intimidée, bien sûr, mais elle l'est bien plus que moi. De plus, elle semble habituée à obéir. Je la conduis dans la salle que le docteur m'a indiquée, et qui dispose d'une table munie d'étriers, en plus d'une chaise et d'un porte-manteau. Je lui dis, essayant de rendre ma voix la plus ferme possible :

  • Déshabillez-vous, madame s'il vous plaît.

  • Qu'est-ce que j'enlève, Mademoiselle ?

  • Tout : mettez-vous toute nue.

Elle commence à se déshabiller : la veste du tailleur, la jupe, le chemisier, la combinaison et apparaît devant moi en soutien-gorge, porte-jarretelles et petite culotte, le tout noir, ainsi d'ailleurs que ses bas montant très haut. Je m'efforce de masquer ma gène à voir cette femme se mettre à poil devant moi.

Sa chair est très blanche, ses seins lourds et un peu tombants, ses cuisses et ses fesses épaisses, montrant de la cellulite. Quand elle est toute nue, elle attend debout, les bras ballants. Je m'approche et essaie de faire ce que le docteur attend de moi. L'attitude très craintive de la femme me facilite grandement la tâche !

Effectivement, elle est négligée d'un peu partour : oreilles, aisselles. Quand elle s'est installée en position gynéco sur la table et que je me penche entre ses cuisses écartées, une puissante odeur de femelle monte à mes narines, lourde, grisante, et qui me trouble malgré moi. Ça ne s'arrange nullement quand je l'ai fait se retourner et se prosterner sur la table, lui demandant d'écarter ses fesses à deux mains (je n'ose pas la toucher), me dévoilant son anus rose, strié et… Très odorant.

La femme est très rouge, et je la conduis ainsi dans le cabinet du docteur. Celui-ci la salue froidement et se tourne tout de suite vers moi me demandant :

  • As-tu vérifiée sa propreté, Caroline ?

  • Oui, docteur, bien sûr, et cette dame est assez négligée dans l'ensemble...

  • Merci Caroline.

Il se tourne alors vers la femme qui ne sait où se mettre et l'apostrophe :

  • Vous pourriez tout de même avoir la politesse de vous laver quand vous venez me voir ! J'en ai assez de votre négligence...

La femme est très rouge, tête baissée et murmure :

  • Pardonnez-moi docteur !

  • Vous dites cela chaque fois ! Montez sur la table et mettez vos pieds dans les étriers !

Aussitôt la blonde grassouillette obéit, ouvrant largement ses cuisses. Le docteur enfile lentement une paire de gants en latex et s'avance vers elle. Il lui introduit d'emblée deux doigts dans le sexe, les tourne brutalement, puis y adjoint un troisième doigt, puis un quatrième ! La femme, le vagin très dilaté geint doucement mais se laisse faire.

Tout en continuant de la fouiller brutalement, il me demande de lui faire passer une tige de caoutchouc noir qui se trouve dans une des armoires vitrées qui ornent les murs de la pièce. Il y en a plusieurs : je les lui montre et il me désigne la plus grosse qui doit bien mesurer 25 centimètres de long pour un diamètre à peu près égal à celui de mon poignet ! Je la lui tends et il retire sa main du vagin de la femme pour la saisir et en présenter le bout arrondi un peu plus bas contre son anus.

Intérieurement, je me dis qu'il n'arrivera jamais à introduire cette tige dans le derrière de sa patiente : c'est bien mal le connaître ! Cela ne se passe pas sans mal pour lui, mais surtout pour elle : pendant un moment, le bout arrondi pousse sur l'anus de la femme qui geint doucement, sans pouvoir le pénétrer, si peu que se soit, mais le petit orifice finit par céder sous la pression intense qu'il subit, s'entrouvre et la tige s'engouffre entre ses fesses ! La femme geint, pleure, supplie, mais n'essaie pas de se dérober à cet empalage : j'en ai mal pour elle. La tige finit par disparaître presque entièrement dans son rectum...

Le docteur entreprend un large mouvement de va et vient de la grosse tige entre les fesses de la femme qui, à mon grand étonnement finit par jouir de cette pénétration monstrueuse ! Il laisse alors la tige profondément fichée et retire ses gants, d'abord le gauche, qu’il entreprend de faire disparaître dans le vagin de la blonde, le poussant le plus loin possible à l'intérieur.

Alors il retire l'autre gant et désempale la femme, lui retirant complètement la tige d'entre les fesses : l'anus de celle-ci reste ouvert et il en profite pour y fourrer le deuxième gant roulé en boule, avant de le repousser le plus loin possible avec la tige ! Il la ressort enfin : la séance est terminée. Il congédie la femme :

  • Allez, c'est tout pour aujourd'hui. La prochaine fois, tâchez de vous laver le cul avant de venir !

La femme penaude descend de la table d'examen et le docteur lui tend la sonde souillée qui sort tout droit de son anus et me dit :

  • Raccompagne madame et avant de la laisser partir, veille à ce qu'elle nettoie correctement cette sonde avec sa langue.

Il se penche à mon oreille pour me murmurer, me faisant frissonner de dégoût :

  • Si la sonde n'est pas impeccable, c'est toi qui finiras de la nettoyer en la suçant !

Je ramène la femme dans la pièce où je l'ai fait se déshabiller et effectivement, elle se met à sucer et lécher la sonde, sans que j'ai rien à lui dire. Un peu écoeurée quand même, je la regarde faire. Pendant qu'elle s'applique à lécher la tige qu'elle a eu récemment dans le cul, je prélève sa petite culotte sur le tas de ses vêtements, et ostensiblement la glisse dans la poche de ma blouse.

Quand je suis certaine qu'elle a terminé son travail de nettoyage, je l'autorise à se rhabiller et l'accompagne vers la sortie. Au moment de me quitter, elle me tend une enveloppe en me disant :

  • Voulez-vous remettre ceci au Docteur, s'il vous plaît...

Puis-je revenir mardi prochain à la même heure ?

Je consulte le planning et lui répond affirmativement et lui conseille de faire sa toilette intime avant de venir...

Après son départ, je renifle sa petite culotte toujours dans ma poche : elle sent vraiment très fort, et paradoxalement, cela m'excite un peu !

Le deuxième "cas spécial" de la journée est pour 15 h. C'est une brune d'une trentaine d'année, assez mince, mignonne, vêtue d'un ensemble veste-jupe en cuir noir. Le docteur m'a donné ses instructions avant son arrivée et je sais exactement ce que j'ai à faire. Je commence à prendre de l'assurance et à m'habituer à ces bizarreries. Elle me suit docilement dans une pièce qui comporte une table d'examens médicaux, mais pas spécialement destinée à la gynécologie : le dessus est tout plat. La jeune femme me remet une enveloppe contenant vraisemblablement des billets de banque pour le docteur. Je la déshabille et elle se laisse faire passivement.

Je déboutonne d'abord sa veste de cuir très fin qu'elle porte à même la peau, sans soutien-gorge, dévoilant ses beaux seins blancs. En lui enlevant sa jupe, je lui demande :

  • Avez-vous bien suivi la préparation ?

  • Oh oui, Mademoiselle : j'ai pris la purge, fait les lavements et mis le slip d'engodage...

Sous sa jupe, elle a un porte-jarretelles en cuir également, qui soutient de long bas noirs à couture, ainsi qu'un string toujours de cuir noir, dont l'utilité, je le sais, est de maintenir une sonde dans son rectum. Je lui retire ses escarpins à talons aiguilles, la fais allonger sur la table pour détacher et rouler soigneusement ses bas. Pendant l'opération, nous échangeons quelques mots et elle me demande avec anxiété :

  • L'examen que je vais subir est très douloureux ?

  • Oui, je pense. Mais vous allez vous détendre et vous montrer très docile. D'ailleurs, je vais vous préparer et ensuite vous serez bâillonnée et immobilisée.

  • S'il le faut... mais j'ai quand-même peur...

Je détache les lacets qui maintiennent son cache-sexe sur les hanches et la partie avant retombe entre ses cuisses légèrement écartées, dévoilant son pubis entièrement épilé, tout lisse et charnu, fendu très haut, bombé, comme un sexe de fillette. Je ne peux m'empêcher de trouver ça très beau.

Sa fente légèrement entrouverte semble très humide ; je n'ose la toucher franchement, mais j'ai la confirmation qu'elle mouille quand je la frôle en avançant mes doigts pour saisir la tige qui ressort un peu de son anus et la lui retirer. Je lui avais demandé de plier et de relever ses genoux écartés. La tige n'en finissait pas ressortir de son anus : de la taille d'une bougie, elle devait bien mesurer 25 à 30 centimètres ! Enfin j'en vins à bout et je vis son anus rester entrouvert.

Je posais le string-gode sur une petite table sur laquelle je pris l'objet que je devais lui introduire dans l'anus : une espèce de vis conique géante en plastique jaune très lisse, ressemblant à une vis à bois, mais d'une taille sans aucune mesure ! D'une hauteur d'une vingtaine de centimètres, la pointe arrondie était à peu près du diamètre de la sonde que je venais de retirer d'entre ses fesses, par contre, à la base, le diamètre dépassait celui de mon poignet et je me demandais comment j'allais pouvoir lui introduire une chose pareille dans le derrière ! Je lui dis :

  • Je vais maintenant dilater votre anus avec cet instrument. Je vais sans doute vous faire mal ; voulez-vous que je vous bâillonne et vous attache ?

  • Non, je ne pense pas que cela soit nécessaire : je vais être très sage, je vous le promets ! Dois-je me mettre à quatre pattes ?

  • Oui, s'il vous plaît...

Aussitôt, elle se prosterna sur la table, visage et buste appuyés, genoux très écartés, fesses hautes et très ouvertes, exhibant le trou rond ouvert de son trou du cul de couleur sombre.

Je dois avouer qu'à ce stade j'étais très embarrassée : je n'avais jamais encore fait, ni imaginé une chose pareille !

Allais-je me montrer à la hauteur ? J'utilisais à la réflexion le temps passé à enfiler une paire de gants en latex et me lançais, aussi bravement que possible, tremblant intérieurement. Je commençai donc par plonger les doigts de ma main droite dans le pot de lubrifiant posé sur la petite table avant de les avancer entre ses fesses et les lui enfoncer dans l'anus : mon index et mon médius accolés entrèrent avec une facilité dérisoire. Je leur adjoignis rapidement l'annulaire puis l'auriculaire, les faisant aller et venir entre ses fesses, les écartant pour la dilater au maximum, comme me l'avait recommandé le docteur.

Elle gémissait doucement, sans que je sache exactement si c'était de douleur ou de plaisir, sans pour autant essayer de se soustraire à la pénétration, poussant même son cul vers mes doigts !

Je n'avais jamais ressenti une quelconque attirance sexuelle pour mes semblables, mais là, je dois bien avouer que ça m'excitait de fourrer mes doigts dans le cul de cette belle brune docile. Je les retirais à regret, lubrifiai abondamment la vis géante et en pressentais la pointe entre les fesses écartées de ma patiente.

La pointe pénétra son anus bien préparé sans difficulté, ensuite le postulat était simple : il suffisait de "visser", son petit trou servant en quelque sorte d'écrou, et comme la vis était conique, se dilatait un peu plus à chaque tour. Au début, ce fut très facile, puis de plus en plus dur : il fallait f o r c e r pour tourner la vis.

J'aurais pu abandonner en route, mais en fait, c'est elle-même qui me guidait par des paroles murmurées, alors que je voyais de profil son visage se déformer sous la douleur. Elle me disait :

  • S'il vous plaît, arrêtez un instant, j'ai trop mal...

Je marquai une pause puis elle me disait encore :

  • Ça y est, vous pouvez y aller...

Et je reprenais mon vissage infernal ! Elle avait bien plus d'expérience que moi de ce genre de situation et je me laissais guider par elle. Malgré sa coopération et sa passivité, il me fallut un long moment pour arriver à lui introduire la vis en entier, jusqu'à ce que la base circulaire servant de poignée bute contre son anus atrocement dilaté, empêchant ses fesses de se resserrer. Vers la fin de l'intromission, pendant la période la plus pénible, elle me demanda humblement, hoquetante :

  • Me permettez-vous de me masturber, Mademoiselle ? Je pense que ça vous aiderait... S'il vous plaît...

  • Si vous voulez, mais vous ne devez pas jouir !

  • Oh, merci, merci, Mademoiselle !

Aussitôt, profitant de la permission, elle glissa une main entre ses cuisses et se mit en effet à se branler ! Enfin la phase de vissage pris fin : son anneau culier avait perdu toutes ses stries et formait un cercle tendu et livide à la base de l'engin de torture. Je me demandais comment il n'avait pas encore éclaté ! Sa vulve, repoussée vers le bas, formait une fente presque horizontale ! Ses yeux étaient remplis de larmes et elle transpirait abondamment. Je lui demandais de cesser de se masturber et sans discuter, elle retira sa main d'entre ses cuisses.

Quant-à-moi, de lui défoncer le cul et de la voir se branler juste sous mes yeux m'avait mise dans un état épouvantable : ma culotte était à tordre tant j'avais mouillé ! Je lui dis alors :

  • Remettez-vous sur le dos que je finisse de vous préparer...

Elle obéit immédiatement, je sortis de la poche de ma blouse, où elle était restée, la petite culotte (très) sale et odorante de la blonde de ce matin, et en présentais l'entrejambe pour le moins douteux devant son visage : elle fit la grimace, mais ouvrit grand sa bouche dès que je le lui demandais.

J'y enfournai le petit chiffon infime, le tassai avant de lui appliquer une large bande de sparadrap en travers des lèvres, finissant ainsi de la rendre totalement muette... Il ne restait plus qu'à la faire remettre à plat ventre, elle d'elle-même, elle me tendit ses poignets pour que je les relie aux pieds avants de la table à l'aide de deux paires de menottes qui se trouvaient sur la petite table. J'en fis autant pour ses chevilles, attachée écartées aux pieds opposés.

Avant d'aller chercher le docteur, je contemplai mon oeuvre, cette belle jeune femme bâillonnée, écartelée à plat ventre sur la table, les fesses très hautes, maintenues écartées par la base circulaire de la vis que j'avais eu tant de mal à lui introduire dans le cul ! Malgré sa position grotesque, elle restait superbe.

J'allais prévenir le docteur que sa patiente était prête et il vint dès qu'il en eut fini avec son rendez-vous en cours. Il salua froidement la femme qui ne put bien sûr lui répondre, enfila des gants, trempa sa main droite dans le pot de crème lubrifiante, se posta sur le côté de la table, et alors, j'assistai hallucinée à une scène terrifiante : il arracha d'un coup la vis fichée dans le derrière de la jeune femme, la faisant violemment sursauter dans ses liens et entreprit de la remplacer dans l'anus béant par sa main toute entière, tout simplement !

J'en étais malade pour elle.

S'il réussit à introduire sans trop de mal ses quatre premiers doigts, le passage du pouce fut plus compliqué ! Sans se soucier des grognements étoffés, des pleurs et des ruades de sa victime, il f o r ç a i t sans douceur, tendu vers le but qu'il s'était fixé. À un moment, je lui lançai un regard implorant auquel il répondit par un regard signifiant nettement : "Regarde et ferme-la !" et je me tins coite.

Enfin, chose incroyable, toute sa main disparut dans le cul de la pauvre fille qui ruait, se cabrait, se tortillait comme un vers coupé en deux. C'était atroce de voir ainsi son poignet ressortant entre les fesses de la fille.

Il marqua une pause, le front en sueur, puis imprima à sa main introduite un mouvement de va et vient brutal et peu après, nouvelle surprise et de taille, malgré la douleur épouvantable qu'elle semblait éprouver, la femme jouit violemment ! Si on m'avait dit qu'une chose pareille était possible, j'aurais bien ri, mais là, je l'avais vu de mes propres yeux !!!

Le médecin eut du mal à retirer sa main du cul de la fille, puis il retira ses gants et les jeta dans la corbeille, disant simplement en quittant la pièce :

  • Voilà, chère Madame. Je veux vous revoir dans quinze jours. Caroline vous donnera un nouveau rendez-vous.

Je délivrais la jeune femme, l'aidais à se rhabiller, elle se remaquilla et je lui donnai un nouveau rendez-vous. Au moment de quitter le cabinet, elle glissa discrètement un billet dans la poche de ma blouse me disant :

  • Merci, Mademoiselle, à bientôt...

Elle avait repris tout son maintien et je me disais que les gens qui la croiseraient dans la rue ne se douteraient pas un instant que cette belle et jeune bourgeoise cachait un anus encore démesurément ouvert et défoncé à l'abri de son élégante jupe de cuir...

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excellent
Je confirme très pervers mais si agréable à lire
Vraiment très bon ! ! !
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