Un job d'été menant à la régression

Catégories : Sodom Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy Facesitting lèche Gode ceinture strapon FANTASME Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 2 ans

Introduction

Cela c’est passé l’été de mes 19 ans. Étudiant à la fac d’éco de Strasbourg, je suis prioritaire pour travailler cet été au sein du conseil général. C’est ainsi que je me retrouve à travailler dans un service qui fait du social, à ranger des documents, trier des dossiers…

Dans ce genre de service, il y a bien plus de femmes que d’homme. Moi excepté, il y avait seulement un autre homme plus âgé qui avait pris ses vacances pour le mois d’Août. Lors de mon tout premier jour, j’ai visité les bureaux, et vis un cadre avec une jeune fille blonde, très mignonne. Je suppose que c’est sa mère qui travaille là, et je cherche à en savoir davantage…Mais on me dit que Sophie (le nom de la mère) n’est de retour que la dernière semaine de Juillet. Apparemment, elle vient tout juste de divorcer du père de sa fille à cause de son infidélité, et elle a ramassé un jolie pactole au passage dû à la situation de son mari (un avocat d’affaire gagne assez bien sa vie il parait…). Malgré une belle situation financière elle continuait à travailler car elle appréciait ce travail et elle se sentait trop jeune pour penser à la retraite.

Pendant les 3 premières semaines de travail, tout se passe bien, mais je n’arrête pas de penser à cette photo. Comment est la mère ? Vais-je pouvoir aborder cette jeune fille ? (j’ai un côté sans gène, et n’hésite pas à séduire la mère pour m’ouvrir le cœur de la jeune fille convoité). Début de la dernière semaine de Juillet, j’arrive en avance comme toujours, et voit une dame, âgée dans les 30 ans près de la machine à café. Blonde avec des long cheveux, une voix très aiguë, quelques rides, mais une taille de guêpe. De mignon petit sein (je ne suis pas intéressé par les trop grosses poitrines) et pour toute tenue une mini robe mettant en valeur ses belles jambes.

C’est quand elle s’est assit à son bureau que j’eus un choc. Elle était la mère de la jeune fille en photo qui devait avoir mon âge. Elle avait donc dans les 40 ans, facile. La première pensé qui me vint à l’esprit, c’est vu comme la mère est bien conservé, (surtout après un accouchement) j’ai encore plus envie de connaître la jeune fille.

Assez rapidement je me mets à l’aborder, lui taper la discutions, la faire rire… Apporter des gâteaux faits maison au service… Mais au fur et à mesure, je me sens de plus en plus attirer par Sophie. Son rire, sa joie de vivre…Tout chez elle m’attirait. Sans parler de ses tenues, tous les jours habillés sexy sans être vulgaire ou provocante.

Vendredi

Le vendredi, alors que je vais imprimer des feuilles au rez-de-chaussée (il y a 3 étages) je vois Sophie en robe couleur kaki, le dos à l’air… Elle aussi entrain de photocopier des feuilles dans le petit local. Légèrement cambré vers l’avant, ses fesses bien bombées… Je ne sais ce qui me prend… Je referme la porte du local derrière moi, et commence à lui masser les épaules… Voyant qu’elle semble apprécier, et ne fait aucun commentaire, je m’approche… Lui fais des bisous dans le cou… Descends mes mains vers sa poitrine…Qui est bien ferme soit dit en passant, surtout compte tenu de son âge. Elle se retourna vers moi, m’enlaça… Approcha ses lèvres vers les miennes… Puis sa langue s’introduisit dans ma bouche. Après quelques minutes qui me parurent une éternité, elle se retira, et me murmura à l’oreille : « rendez vous à la fermeture sur le parking ». Elle se retira alors, me laissant tout impatient à l’idée de la revoir ce soir.

Le soir même j’attendis la fermeture de 17h près de ma voiture. Vers 17h15, elle fit la fermeture et me rejoignit. Sa démarche, sure d’elle, m’hypnotisait… Je m’approchais pour l’embrasser, mais elle me repoussa… «Pas maintenant…J’ai des gouts particulier en matière de sexe… Serais tu prêt à passer le week-end entier à répondre à mes exigence ? » « Heu…Cela dépend… Tu entends quoi par là ? » « Il me semble que tu es attiré par ma fille, Marion. Ne mens pas, tu n’as pas arrêté de reluquer sa photo…Et sois plus discret à l’avenir, tu n’as pas arrêté dès le premier jour de me fixer du regard… Enfin… Si tu es sage, et dans tout les sens du terme cela va de soit, je t’autoriserai à t’approcher de nous deux… Mais il faudra que tu fasses tes preuves…Serais tu dispo dès ce soir, et ce jusqu’à lundi ? ». N’écoutant que mon sexe (il faut dire ce qu’il est) je prévins mes parents avec mon téléphone, que je passai le week-end chez des collègues, et que je ne rentrerai que lundi soir. « Bien. Mais je te préviens, Marion n’est pas là du weekend. Tu ne pourras pas la voir de suite… Et encore !! A condition que je t’y autorise bien sur. »

Je la suivis alors en voiture jusqu’à chez elle, pour éviter de laisser ma bagnole sur le parking tout le week-end. C’est alors qu’on arriva chez elle. Ou plutôt, dans sa demeure. Une maison très grande, à l’extérieur de Strasbourg. Une clôture de buisson de 2 mètres de haut entoure, le jardin et empêche de voir ce qui s’y passe. Je garai la voiture dans son jardin, et elle me fit entrer. A peine rentré, elle me demanda de me mettre torse nue. « Voilà le deal… J’ai étais très frustré par l’attitude de mon ex-mari, et comme ma fille, je ne supporte plus le comportement ‘’macho’’ des hommes que nous a montré son père. Tu vas nous permettre de nous défouler. Connais-tu le principe de l’ABDL ? » « Jamais de la vie…Qu’est ce ? » « Ce sont seulement des adultes, mais qui ont un comportement d’enfant. Une façon de penser enfantine. Je t’ai bien observé pendant les 5 jours … Tu me donnes envie, mais je pense qu’il vaudrait mieux que moi (et ma fille) remodelons un peu ton comportement…». Elle me descendit alors le pantalon, mon boxer… et me mena directement à la salle de bain. « Tout les enfants n’ont aucun poil. Je vais donc te les faire disparaître, de toute façon, ce sera plus hygiénique ».

Je n’osai répondre. Certes, je ne connaissais guère le concept auquel elle voulait m’initier, mais être dorloté par ces 2 sublimes créatures ne pouvait pas être une mauvaise chose en soit. Directement à la douche, elle passa le savon sur les poils de mes parties intimes, coupa la grosse partie avec un ciseau à ongle, et finit le tout avec un rasoir électrique. Ce fut ensuite le tour de mes aisselles, et de mes jambes. Elle n’apporta cependant aucun changement à mes cheveux (mi-long), que je puisse travailler sans éveiller des soupçons.

« Pour commencer, souviens toi que sans la femme, tu n’existerais pas… c’est elle qui t’a nourri au début de ta vie, et c’est elle qui te torchait… Tu dois mériter ton plaisir. » Elle me menotta les poignets, le temps de faire son ‘’opération’’. Ainsi immobilisé, elle me mit un bâillon, pour éviter toute protestation…Elle se lécha l’index, avant de le mettre entre mes fesses, et commencé à me f o r c e r mon trou. Bien entendu, par réflexe, je contractai mes sphincters ; « Calme toi, je ne voudrais pas te faire mal… Et puis si j’ai vraiment envie, ça rentrera, que tu le veuilles ou non »

Apaisé, mais pas tout à fait rassuré, je me laissai faire. Elle enfonça son doigt, commença les va et viens… Un deuxième suivit qui m’arracha un cri de surprise (vite étouffé par le bâillon). La douleur commença à laisser la place à une autre sensation plus… Agréable. Mon sexe commença à se dresser sous ce traitement. Tout en continuant à me masturber l’anus, elle me montra un plug, de taille moyenne, en me disant que je devrai apprendre à marcher avec… Et sur ce, me l’enfonça sans plus de préliminaire… Le but de l’opération étant de m’élargir les sphincters un minimum. Mon sexe était sur le point d’exploser, mais Sophie le vit… Prit le pommeau de douche, et m’arrosa le sexe à l’eau froide pour retarder (ce que je croyais) l’inéducable

« Je ne t’ai pas encore autorisé à salir ma salle de bain !! Heureusement que je suis là pour parfaire ton éducation, tu serais capable de salir l’habitat de ceux qui veuille bien t’héberger !! Attend un peu, je vais chercher de quoi te protéger…» Elle me laissa un court instant seul, et revint avec une culotte en plastique à laquelle pendaient un cadenas, une grosse couche pour adulte, et un petit sac.

« Chose promise, chose due !! Voilà de quoi t’éviter toute fuite, quelque soit leurs sortes!! Sois un gentil bébé, et lève tes petites fesses..» Me laissant faire, je levai mon derrière, pendant qu’elle glissa la couche dessus, l’a rabattis sur mon sexe, et l’accrocha. « Pas désagréable cette sensation de douceur pensais-je, malgré la frustration d’avoir le cul en feu à cause du plug » Elle me rajouta la culotte en plastique sur la couche, et y ferma le cadenas, dont elle accrocha la clé à son collier.

« Maintenant, il faut que tu comprennes que c’est MOI qui ai le contrôle de ton sexe… Même au travail, quand tu verras cette clé, tu te rappelleras ce que je viens de te dire. Maintenant que tu sembles disposé à m’écouter sans m’interrompre, sache que chez moi, tu passes sous la condition d’un petit garçon. Ce qui veut dire que tu n’auras pas F O R C E M E N T à marcher à 4 pattes, mais que tu devras tout faire pour le plaisir de maman Sophie. Le but étant de te dresser, et faire de toi un objet de plaisir, ayant du respect pour la gente féminine. Suis-moi ».

Dans un couloir, nous passions devant un miroir qui me reflétait en couche, et avec une tétine dans la bouche (c’était donc ça le bâillon…). Je me trouvais ridicule, mais ce petit cul se trémoussant devant moi me motivait à continuer dans cette régression. Maman Sophie me conduisit à la cuisine, où elle prépara des patates à la vapeur, avec une salade de tomates. Elle m’enleva alors ma tétine, ainsi que les menottes, et les remit dans son sac. Cependant, elle m’interdit de manger tout seul, et insista pour me nourrir.

On parla de tout, et de rien. Quel effet je ressentais dans cet état… Je lui avouai que j’appréciai le début de cette expérience, mais qu’il n’était pas nécessaire d’être allé jusqu’à me f o r c e r mon trou. Ce à quoi, elle répondu que cela était nécessaire dans ma transformation… (Je me demandai si cette partie-là je l’apprécierai…) Ainsi, c’est elle qui me fit manger ses patates, me coupa les tomates pour me les présenter à la bouche etc… Et ce, bien entendu, en s’amusant à m’en mettre partout sur la figure. Elle s’amusa même à en renverser sur moi. Dans ce même temps, elle insista pour bien me faire boire (pour une raison évidente…), en me présentant toutes les 5 minutes un verre d’eau à la bouche. Un petit yaourt conclu ce rapide repas, avant qu’elle ne m’essuie la bouche avec une serviette.

Elle me mena ensuite au salon (toujours avec son petit sac), composé de 2 grands canapés, et d’une table basse en verre au centre de la pièce. Me demanda de me mettre à genoux, avant de s’affaler sur l’un des canapés. « Cette journée m’a épuisée !! Et ensuite m’occuper de toi m’a achevée… Sois gentil avec maman, et commence par lui masser les pieds… et j’ai un peu froid, vois comment y remédier ». Je commençais en m’attardant sur la plante de son pied droit. Passer mes doigts entre ses orteils… m’attarder sur le coté… Comment lui procurer de la chaleur ? Je n’hésitai pas une seconde, et me mis à déposer un léger baiser sur son pied. Puis un second. Et un troisième s’ensuivit. Ma langue passa entre ses orteils, passant du plus gros, au plus petit. Passant et repassant. Avant que ma bouche n’engloutisse l’ensemble de ses orteils.

Je retirai alors ce pied de ma bouche, pour lécher la plante (toujours du pied droit). De haut en bas, de bas en haut… avant d’avaler une fois de plus le pied de ma nouvelle maman. Je pris un instant pour la regarder, et vis qu’elle semblait apprécier. J’enlevai alors ce pied de ma bouche, pour faire des baisers sur sa cheville… Remonter le long de sa jambe en accélérant la cadence des baisers. Mais alors que j’arrive au niveau de son genou, elle appuya sur ma tête avec son pied gauche. « Tu n’as pas l’impression d’oublier quelque chose ?? Il est jaloux, tu l’as oublié ». Sur ce, je refis mon opération en me concentrant sur chacun de mes mouvements pour procurer un maximum de plaisir à cette maman.

Au bout d’une dizaine de minute, je me remis à lui baiser le long de la jambe, commençant par la cheville, pour arriver jusqu’à ses genoux… Voyant qu’elle ne me fit pas reculer, je mis ma tête sous sa robe, et lui baisa sa fleur à travers le fin tissu de son string. Lui fit glisser délicatement cette lingerie le long de ses jambes. Une fois son string à terre, je remis ma tête entre ses jambes, pour lui titiller le clito. Faire glisser légèrement ma langue, en effectuant plusieurs légères pressions… Puis je remontai le long de son corps, pour embrasser son nombril, mais avant de monter davantage, elle m’arrêta… « Aurais-tu le complexe d’Oedipe ?? Désolé, mais je serais une bien mauvaise mère si je te laissai succomber ainsi à tes pulsions !! Une bonne mère doit savoir dire non !! Assis toi. » Je me laissai tomber sur les fesses, et la regardai chercher quelque chose dans son petit sac. Avec horreur, je l’observai sortir de son sac un gode ceinture, et voulus protester, mais elle fixa son regard droit dans mes yeux, et m’obligea à me taire. « Calme toi, c’est pour faire plaisir à maman Sophie. Et après, si tu es sage, je t’autoriserai à Jouir, c’est promis »

Elle m’attacha le gode ceinture sur la couche, en me demandant de rester allonger sur le sol. Elle commença par s’asseoir sur mon visage, pour que je puisse continuer mes préliminaires pendant qu’elle s’amusait à lécher ce gode ceinture. Elle se redressa alors pour enlever sa robe. Porta les mains à son dos pour défaire et laisser tomber son soutien gorge à coté de moi. Elle renfourna alors ce gode dans sa bouche. Je pouvais sentir ses petits seins pointer sur mon ventre pendant que je continuai à lécher sa fleur. Elle fit alors glisser son entre-jambe sur mon cou… Sur mon torse… Sur mon nombril… Avant de s’arrêter sur ma couche. Elle se retourna vers moi, que je puisse observer son visage et elle fit glisser doucement le gode dans sa chatte.

De mouvements lents, elle accéléra progressivement le rythme, en fonction de son excitation qui montait. Je laissai mes mains sur ses hanches, et mis plusieurs coup de rein pour combler son plaisir. Elle se trémoussait pour que le gode puisse s’enfoncer le plus profondément possible dans sa chair. Je pouvais ressentir chacun de ses mouvements à travers ma couche, et sentais un léger filet de sperme s’échapper dans cette prison de douceur sous l’excitation. Au bout de plusieurs minutes à jouer au rodéo avec son « bébé », maman Sophie s’arrêta brusquement, dans un cri de jouissance.

Elle se laissa tomber sur moi. Son entre jambe sur mon nombril, avec son excitation qui n’arrêtait pas de s’écouler sur moi. Son visage en face du mien. Je ne pus m’empêcher d’approcher mes lèvres des siennes, et de lui faire un baiser passionné. Baiser qu’elle me rendit malgré son statut de « maman ». Ma main s’attarda alors sur sa fleur dégoulinante, mais elle m’attrapa la main, et l’écarta. « Tu m’as comblée. Tu mérites de jouir comme promis. Met toi à genoux devant le canapé, et baisse ta tête dessus».

Je l’entendis sortir plusieurs objets de son petit sac. Pour commencer, elle me menotta les poignets avec 2 menottes, et l’autre extrémité de chaque menotte dans des anneaux en bois accrochés aux accoudoirs du canapé. Je me retrouvai à genoux, la tête sur le canapé et les bras écartés. Elle continua, en enlevant le cadenas de la culotte. La fit glisser le long de mes cuisses. Puis avec ce que j’imagine être un ciseau, elle commença à faire un trou dans la couche au niveau de mon derrière. Saisit de panique sur ce qui risqué de suivre, je commençai à me débattre en Hurlant. Mais maman Sophie, loin de perdre son sang froid, ce contenta de ressortir la tétine de son sac, et me la renfourna dans la bouche, puis attacha les sangles derrière ma tête. Elle me chuchota alors à l’oreille :

« Ce n’est pas une heure à faire du bruit. Ne fais pas ton capricieux, si tu continues à t’agiter, je risque de te faire mal ». Je la laissai faire son travail, et sentis bientôt mon derrière à l’air libre. Je me risquai à tourner légèrement la tête sur le coté, pour voir se dont je me doutai… Elle venait de s’équiper du gode ceinture, bien lubrifié par son jus. Elle me massa les fesses, et me leva le plug avec une grande douceur. Puis elle me présenta le « monstre » à l’entrée de ma rondelle, et commença ses va et viens. Mon anus, bien dilater par le plug, aspira plus facilement cette tige, mais maman Sophie ne se limita pas à « l’initiation ». Elle poussa ses coups de rein de manière à m’enfoncer ce gode au plus profond de moi. A la douleur s’est mélangée un sentiment de plaisir, et je sentais mon sexe se dresser. Dans le même temps, maman Sophie mit ses mains sur ma couche, et me frotta mon entre jambe au rythme de sa sodomie. Mon excitation devait être à son apogée, car malgré la douleur, je jouis au bout de quelques minutes seulement. Dans son élan, maman Sophie continua son action durant 4-5 bonnes minutes…

« Tu vois ? Je t’avais dit que tu avais besoin de cette couche. Tu ne sais pas te retenir. Il faut te changer impérativement avant d’aller au lit». Incapable de relever la tête après ce traitement, je la laissai se débarrasser de sa ceinture, m’enlever la tétine et me débarrasser de la couche. Encore sous le choc de ce qui venait de m’arriver, je ne pouvais que sentir ses mains s’activer, sans même pouvoir ouvrir les yeux.

Elle me leva la couche, et présenta encore quelque chose sur mes fesses béantes après cette sodomie. Doucement elle fit glisser cet objet, qui rentra doucement, mais surement (et sans grande difficulté) dans mon intimité. Elle rabattit alors la couche sur le tout, alors que mon érection venait de se re-manifester. Elle me leva chaque jambe (l’une après l’autre) pour glisser la culotte en plastique par-dessus. Une fois ajusté, le petit « clic » du cadenas me confirma que j’étais une fois de plus emprisonné.

« Je viens de t’enfoncer un gode. A la différence du plug, la couche est indispensable pour que tu le gardes, sinon, il sortirait tout seul. Mais il devrait t’élargir l’anus suffisamment. Regarde la couche que tu viens de porter !! Elle est toute crasseuse !! Tu es un vrai sale !! Attend un peu, je reviens, et on va au dodo. La soirée a été épuisante. » Je l’entendis partir, et revenir au bout d’une bonne dizaine de minutes. Elle était vêtue d’une nuisette rose transparente, une main derrière le dos. Elle m’enleva les menottes, et me guida dans sa chambre.

« Tu as été un gentil garçon. Pour te faire plaisir, je t’autorise à dormir avec maman. Allonge-toi sur le dos, dans le lit. » Elle passa alors son bras sous ma nuque, et me présenta un biberon aux lèvres. Par réflexe, je saisis le biberon, et commençai à téter. Même en ayant plus soif, maman Sophie me força à finir le biberon, avant de le poser sur la table de nuit, une fois celui-ci terminé. Elle s’allongea alors dans le lit, et m’entoura de ses bras. Je passai mes bras autour de sa taille de guêpe. Nos visages se rencontrèrent, et on s’échangea un dernier baiser avant de succomber aux bras de Morphée. Mon sexe, toujours en érection, m’indiquait que si le week-end se passait aussi bien que cette soirée, je ne regretterai pas d’avoir peloté cette déesse sur la photocopieuse, et encore moins de l’avoir suivit jusqu’à chez elle…

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Humm aimerais être à sa place
précision: il s'agit d'une histoire créée en... 2012. Je pensai l'avoir perdu depuis, mais suis retombé dessus ce matin... J'ai bien des idées pour une suite, mais depuis le temps, il faut retrouver la motivation... ^^ En espérant que ça vous plaise! :p
Très Très belle histoire .
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