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Ce récit est la suite de : Camping paradis revisité
il y a 6 ans
Chapitre 3
Jean est réveillé. Je lui tends mes croissants et l'embrasse avec fougue car mes divers périples de la matinée m'ont échauffée...
Lui aussi est de bonne humeur. Il m'enfourche donc immédiatement, ainsi qu'il le fait habituellement (il faut dire que mon Jean ne connaît absolument pas les préliminaires...). Il s'enfonce en moi avec facilité et me couvre de baiser dans le cou et sur le visage. Puis il entreprend deux ou trois mouvements de piston, au terme desquels il se vide en une saccade courte mais intense. Puis il débande rapidement, se retourne et se rendort. Je l'admire encore un petit peu dans la lumière du matin (à travers la tente, cela donne une teinte orangé du meilleur effet), lui caresse le front puis le dos jusqu'aux fesses.
Je suis heureuse de lui avoir donné de la joie et de m'être offerte à lui. En quelque sorte, c'est une vengeance sur les autres, qui, s'ils m'ont caressée, n'ont pas eu droit de se déverser en moi. Je ne suis le réceptacle que du sperme de mon mari ! Seul lui a le droit de me posséder complètement. Les autres n'ont qu'en ersatz ! Cette pensée me réconforte !
Je me laisse aussi aller à une légère somnolence, lorsque la fermeture à glissière de la tente s'ouvre tirée par une main extérieure. Un visage d'un garçon que j'avais déjà vu apparaît. Il me fait " Pssssit, psitt ! ". Je lui fais signe de ne pas faire de bruit car mon mari dort. Toujours par signe, il me fait comprendre que je dois sortir de la tente. Pour ne pas entrer en conversation et risquer de réveiller Jean, j'obtempère rapidement.
Lorsque je suis dehors, debout, je me rends compte que le sperme de Jean coule un peu sur mes cuisses. Mais je ne peux pas les essuyer, car un groupe de trois a d o l e s c e n t s m'observe. Je leur demande la raison de leur appel. Ils me répondent qu'ils veulent profiter du sommeil de leurs parents pour me " connaître " mieux. Doux euphémisme pour dire " caresser ". Mais mon engagement est ferme : je dois leur donner satisfaction. Ils m'entraînent alors dans la forêt toute proche pour " être tranquilles ".
Je les suis sans discuter, mais je suis toujours gênée par le sperme de Jean qui continue à couler à chaque pas. Lorsque nous sommes arrivés dans une petite clairière, un des garçons voit le liquide qui me maculer les jambes. Il me demande ce que c'est. Je lui dis la vérité sans ambages. Ils me répondent alors qu'eux aussi auraient aimé me " farcir " de leurs propres jus. Mais je ne leurs laisse pas d'espoir : " Vous pouvez me caresser autant que vous voulez, mais je refuse d'être pénétrée par un autre que mon mari " !
Déçus de ce demi-échec, ils se rattr a p e nt rapidement sur les caresses, y compris intimes, qu'ils me prodiguent avec d'ailleurs fort peu de délicatesse. Leurs manques d'expériences est flagrants. D'ailleurs ils m'avouent être tous puceaux, ce qui ne m'étonne pas. Avec gentillesse, je tente alors de les éduquer un petit peu. Ils acceptent de bonne grâce ce cours de travaux pratiques improvisés.
Chacun à leur tour, ils apprennent à m'effleurer le creux des reins avec le bout de leurs doigts. Lorsqu'ils commencent à éveiller en moi quelques pulsions, je les fais passer à d'autres parties : le contour des seins, les mamelons, l'intérieur des cuisses... Ils apprennent vite. Au bout d'une bonne heure, je me laisse aller, sous leurs doigts et commence à mouiller abondamment (et pourtant je ne leurs ai pas fait " travailler " mon sexe, de peur de ne plus pouvoir me contrôler).
Je me tortille sur un lit de mousse et d'herbe, les yeux mi-clos, à la recherche des meilleures sensations... A trois, ils ne me laissent pas beaucoup de répit : lorsque le premier effleure mes mamelons, un autre travaille l'intérieur de mes cuisses, et le troisième fait descendre quelques brins d'herbe le long de ma colonne vertébrale...
Malheureusement, je ne suis pas seule à m'échauffer : mes trois puceaux, ne souhaitant plus le rester, ont ôtés leurs habits, sans que je m'en rende compte... Trois magnifiques érections me fait maintenant face. Lorsque je rouvre les yeux, je sens le danger de cette situation. Que faire ? Si je leurs dis d'arrêter maintenant, ils sont capables, dans leurs déceptions, de s'attribuer ce qu'ils peuvent légitimement prendre pour leurs dus : moi. Or, même nue et échauffée, je me refuse d'offrir mon orifice reproducteur à quiconque hormis mon mari...
Il me reste la possibilité de les sucer à tour de rôle. Mais si je connais théoriquement cette pratique, je ne l'ai jamais réalisée dans les faits. De plus, j'ai peur de devoir avaler tous ce sperme accumulé... Il me restait aussi la possibilité de me retourner et d'offrir ma " voie étroite ", elle aussi pucelle. Je me refuse également à cette éventualité. J'ai alors l'idée de les faire se masturber ensemble, afin que les bourses vides, ils me laissent enfin m'échapper. Je prends alors l'initiative et dit : " Maintenant que vous avez caressé une femme, montrez moi ce que vous savez faire sur vos propres queues ".
Tout excités, ils ne se le font pas dire deux fois : chacun entoure sa hampe de sa main, et un ballet d'aller retour se met en marche. Le plus âgé (que je trouve aussi le plus mignon : brun avec des yeux verts, musclé mais sans plus...) me dit cependant : " puis-je m'enfoncer en toi une fois uniquement pour voir ce que cela fait, et je continuerais à me masturber après ? ".
Je refuse, bien sûr. Mais l'idée fait son chemin dans sa tête. Comprenant encore une fois le danger, je tente de me dégager en refermant mes cuisses, qui involontairement se sont ouvertes à la vue de leurs tiges en érections. Mais mon beau brun s'est subrepticement placé à genou entre mes jambes et je ne peux pas me reculer car un autre est placé à genou aussi entre ma tête et mes épaules.
Réalisant la situation, je bredouille des mots inintelligibles. Il en profite pour s'allonger sur moi, présentant son bâton de joie au garde à vous à l'entrée de ma grotte. La situation est presque désespérée (ou espérée ?) mais heureusement pour moi, son inexpérience lui joue un tour : se présentant trop bas, il ne trouve pas mon trou. Et son excitation étant au comble, il ne peut se retenir plus longtemps : il éjacule sur ma moule glabre, et se relevant, un second jet atterri sur mon ventre, suivi d'un troisième sur mon visage et dans mes cheveux.
La déception se peint sur son visage, que je trouve très beau. Je le console aussitôt : " Ce n'est pas grave, tu sais. Tu ne m'as pas pénétrée, mais tu m'as éjaculé dessus, et de quelle manière ! Je n'avais jamais vu autant de sperme à la fois. Toutes mes félicitations ! " A ses mots, son visage s'éclaire. Il me remercie de ma gentillesse. Pendant ce temps, ses deux compères continuent leurs va et vient.
Alors que je pensai qu’ils allaient m’éjaculer dessus, un des deux compères fût plus vif que le premier : il me saisi derrière la nuque et me présente son braquemard devant la bouche.
« Suce ma jolie, j’en ai trop envie ! ». L’heure passée à ma faire tripoter par les trois garçons, l’attaque ratée du premier d’entre eux, l’odeur musquée de la pine de celui-ci ont fini par me faire tourner la tête. Sans réfléchir, je prends la verge en bouche et je me mets à pomper avec énergie. Ma première pipe ! Mais je lèche et suce avec application, tout en malaxant les couilles du puceau.
Tout à mon ouvrage, je ne suis pas consciente que le troisième larron passe derrière mon dos. Complètement partie, je ne réagis toujours pas lorsqu’il saisit mes fesses à pleine mains et se met à les pétrir comme du bon pain. Au contraire, je me cambre d’instinct en écartant les cuisses pour mieux m’offrir. Le saligaud devait avoir vue non seulement sur mon cul, mon anus, mais aussi ma moule !
Le garçon que je pompe comme une damnée ne peut résister longtemps à ce traitement de choc et finit par me gicler en pleine bouche. J’avale tout le liquide sans dégoût, contrairement à mes craintes, bien au contraire !
C’est ce moment précis que choisit le troisième larron pour placer son gland sur ma pastille et me l’enfoncer d’un coup sec dans l’anus !
N’ayant rien vue arriver, la surprise est totale ! La douleur fulgurante ! Tout mon corps se crispe. Je pousse un feulement de bête à l’agonie. J’essaye de me dégager, mais les deux complices du garçon me f o r c e nt à rester à quatre pattes en me maintenant par les épaules. Le troisième puceau, qui ne l’est plus, commence son va et vient de suite en me calottant les fesses à toute volée. « Ah salope, tu la sens passer ! », hurle t-il. Et effectivement, je la sentais passer ! Heureusement qu’il avait la pine la plus longue et la plus fine du groupe ! Mais après la douleur, vint . . . le plaisir ! Et après les hurlements de douleur, succédèrent les cris de jouissances.
Cela n’échappa pas aux deux garçons qui me maintenaient au sol. Ils relâchèrent leur emprise afin de se mettre à me tripoter les nichons tout en aidant leur ami à me calotter les fesses. Excité comme un bouc, mon v i o l eur ne tint cependant pas la distance et se vida derechef dans mes intestins. Heureusement d’ailleurs, car cela aurait donné aux deux autres le temps de recharger, et qui sait ce qui serait arrivé ?
Ils m'aident à me relever et se rhabillent tout en me remerciant, un peu honteux, et s'éloignent. Ils veulent bien sûr renouveler l'opération plus tard, ce qui me fait un peu envie, mais m'effraye tout de même un peu car comment leurs refuser l'entrée de mon sexe maintenant ? Mais l'urgent est pour moi de me laver : comment faire pour aller jusqu'aux douches discrètement, ou comment me débarrasser de ce sperme qui me recouvre et me remplit sans attirer l'attention ?
Je décide de faire le tour du camping par la lisière du bois pour arriver aux douches par l'arrière. Ce que je fais, soulagée de n'avoir rencontré personne... jusqu'aux douches ! En effet, il est maintenant 10 h du matin, et les douches fonctionnent à plein régime... J'attends donc patiemment que le lieu soit plus calme.
A un moment, je m'aperçois qu'une cabine est libre. Je prends donc mon courage à deux mains et sort du couvert pour me précipiter vers elle. Mais au moment de fermer le loquet, je comprends pourquoi elle n'intéresse personne : elle ne ferme plus de l'intérieur ! Je devrais ressortir, mais les autres cabines sont toutes prises et après tout, tout le camping m'a déjà vu nue : me cacher ne rime donc à rien. Je me coule donc tout de même sous une douche bienfaisante. Un savon, oublié là, me sert pour me nettoyer soigneusement.
Alors que je me frotte énergiquement, la porte s'ouvre brusquement : l'homme " à tout faire " du camping vient avec sa trousse à outil effectuer la réparation ! Tout d'abord, par habitude, il s'excuse et esquisse un mouvement vers la sortie. Mais m'ayant reconnue, il se retourne et me dit bonjour. Puis il ajoute " Je viens réparer le loquet. Comme de toute façon, vous êtes comme ça tout le temps, je ne pense pas que cela vous gêne si je fais le travail pendant votre douche ? ". Puis, sans attendre la réponse, il commence à sortir ses outils et à dévisser la serrure...
Ne pouvant faire autrement, j'en prends donc mon parti. Mais pendant qu'il s'affaire, il bloque la sortie... Je restais donc sous la douche. Heureusement pour moi, il a rapidement terminé. Il me montre la réparation en faisant fonctionner la serrure après avoir rangé ses outils. De mon côté, j'ai arrêté l'eau et j'attends qu'il me laisse passer. Mais il ne se décide pas à sortir : il ferme le loquet et me fait face en me disant : " Après l'effort, le réconfort ! Approche-toi, ma belle ! ". Encore une fois, les caresses reprennent ! Il ne me reste plus qu'à me laisser faire, ce que je fais non sans répugnance car l'homme n'est absolument pas à mon goût : la soixantaine, un peu sale, avec des dents noires et une haleine horrible !
Tout d'abord, il m'empoigne la poitrine et martyrise mes seins en me disant " tu aime ça, hein ? ". Je préfère ne pas répondre. Cependant, je lâche plusieurs fois des petits cris de douleurs, qui manifestement le réjouissent. Puis il met sa main sur mon sexe et me malaxe à nouveau.
Lorsqu'il a repéré mes grande lèvres, il les pince jusqu'à que je crie, puis relâche et recommence une bonne dizaine de fois, cependant que de son autre main, il balade son index autour de ma rondelle. Je ne sais pas quoi faire : d'un côté, il est de mon devoir de remplir mes engagements, mais d'un autre côté, jamais je n'ai subi pareil outrage et j'aurais donné une grosse somme pour qu'il s'arrête.
Je tente tout de même de la calmer par quelques paroles " Doucement, vous n'êtes pas obligé de me faire mal ! " Dit dans un sourire, cette phrase fait un peu d'effet, puisqu'il relâche son pincement. Mais ces " caresses " se font de plus en plus précises : l'index de sa main gauche commence à tester l'élasticité de mon anus cependant que les pincements de mes lèvres deviennent moins longues, mais plus régulières. Résultat : des picotements de début de plaisir commencent à monter malgré la répugnance que l'homme m'inspire.
Bien sûr, il s'en rend compte, et commence avec ses mains à donner à mon bassin un mouvement de va et vient lent et suggestif au rythme de ses singulières caresses. Au bout d'une dizaine de minutes de ce traitement, mon sexe n'est plus douloureux et coule doucement de mon liquide intime. De mes yeux mi-clos, je vois le va et vient de ma poitrine vers celle de l'homme. A chaque fois, mes tétons frappent le tissu de sa chemise et s'érigent encore davantage.
Les jambes écartées pour goûter encore plus aux caresses, je m'offre sans retenue. Soudain, son index gauche f o r c e mon anneau. Après le travail préparatoire réalisé depuis plusieurs minutes et la toute récente pénétration, l'introduction est aisée, et son doigt me pénètre les fesses jusqu'à la garde en une seule poussée. Un s a n g lot de joie me fait tressaillir.
Côté pile, les choses évoluent aussi : son index de la main droite est également à la porte de ma vulve...et finit par y entrer gaillardement. Le vicelard me pistonne alors avec les deux doigts. Révulsée de honte et de rage, je ne peux cependant pas résister au plaisir et je me cambre pour mieux m’offrir. Mon anus palpite. J’ai trop envie de me faire reprendre par cet orifice ! Dans un état second, je ne peux me retenir de lancer : « mettez-moi la pine dans le cul ! ».
Le vieux pervers ne se fait pas prier. En un tour de main sa verge se retrouve à l’air, gland posé sur mon trou de balle et il se met à me l’enfoncer dans les intestins. J’en ai le souffle coupé. J’ai l’impression que mon cul va se déchirer en deux. La verge du vieux était visiblement bien plus noueuse que celle du petit jeune. Mais elle entre en définitive jusqu’à la arde ! J’en ai le souffle coupé et ne peux même pas crier.
Il se met alors à me ramoner avec f o r c e , claquant ses cuisses contre les miennes tout en me calottant les fesses. Décidément, cela doit être un réflexe Pavlovien chez les hommes de calotter les fesses de la fille qu’il encule ! Subliminalement encore consciente que je suis dans les toilettes du camping, je me retiens de crier. Le vieux pervers finit enfin par me remplir les intestins de son foutre. Heureusement, car mon corps tremble de partout. Une minute de plus et je tournai de l’œil.
Restant à quatre pattes, je reprends mon souffle peu à peu. Et c’est alors que j’émerge que je me rends compte qu’une foule d’estivants, hommes et femmes, s’est agglutinée autour du cabinet et me reluquait sans vergogne. Il faut dire que le spectacle que j’offrais était positivement obscène : mamelles pendantes, vulve béante et dégoulinante, cul dégorgeant de foutre.
Encore flageolante, je me relève. J’entends les commentaires grossiers : « la pute . . . c’est une chienne en chaleur . . . elle aime ça . . . elle en veut encore . . . il n’y a que les pingouins qui ne lui sont pas passé dessus . . . ».
J’éclate en s a n g lots et me mets à courir à en perdre haleine. Je fuis donc sous les quolibets. Arrivé à la tente, je constate que Jean n'y est plus. Cela me permet de sauver la face. Il m'a laissé un mot : " je suis à la plage ". Il ne me reste plus qu’à me nettoyer, me refaire une beauté et à le rejoindre...
Chapitre 4
Après les mésaventures que je venais de vivre, il n’était pas questions de repartir aux douches pour me refaire une toilette ! J’avais trop peur de me faire tringler en cours de chemin. Je me suis donc lavé comme j’ai pu avec de l’eau en bouteille et du Sopalain, je me suis coiffée et maquillée, puis je suis partie à la recherche de Jean.
Pour rejoindre la plage, j’ai du traverser le camping de long en large, toujours totalement nue. Mais cette fois, je m’en suis tirée à peu de frais, avec quelques mains baladeuses sur mes fesses, mes seins et ma vulve. Elément nouveau, j’ai alors remarqué certains regards appréciateurs de jeunes femmes, mais sur le moment je n’y ai alors pas plus prêté attention que cela.
Arrivée à la plage, je longeai celle-ci afin de retrouver mon Jean. Le soleil étant de plomb, beaucoup de femmes avaient la poitrine à l’air et ne portaient qu’un string minimaliste. Vous pourriez penser que ma nudité se fondait plus dans le décor. Il n’en était rien : étrangement, ma chatte dénudée attirait tous les regards !
Au bout de 2 minutes de marche, j’aperçue au loin une de mes concurrentes du concours : Julie. Il faut dire que celle-ci ne passait pas inaperçue : une vingtaine d'années, grande, blonde aux cheveux bouclée, belles jambes soyeuses, belles cuisses pleines et puissantes, fesses rebondies bien mises en valeur par un string dont la ficelle lui rentrait complètement dans la raie du cul, deux obus à l’air libre en forme de pomme.
J’étais bien consciente que je n’avais pu battre une telle beauté au concours qu’en mettant mes charmes à disposition de mes électeurs ! Ma concurrente malheureuse était en grande discussion avec une jeune femme élancée, brune à la peau mate, et aux longs cheveux, qui avait elle aussi la poitrine à l’air.
Un peu gênée de croiser le chemin de Julie, je continuai cependant d’avancer à la recherche de Jean. Julie finit par m’apercevoir, mais continua sa discussion. Au fur et à mesure que j’avançais, la gêne que je ressentais se fit de plus en plus pressante. La brune, que je ne voyais que de dos, me rappelais quelqu’un. Son allure générale, sa façon de bouger, me mettais en alerte.
Je m’apprêtais à tourner à 90 degrés afin de ne pas passer à côté des 2 jeunes femmes, lorsque l’inconnue se retourna brusquement. J’en restais pétrifié sur place : il s’agissait de Laetitia, la responsable du secrétariat médical ou je travaillais!
« Coralie . . . la chatte à l’air en public . . . qu’elle surprise ! », s’exclama t-elle d’une voix suave. « Mais je suis distraite : c’est vrai que tu as promis ton cul à tout le monde pour te faire élire Miss Camping ! »
« Non . . .C’est pas . . . », bredouillais-je.
« Vu ce que j’ai vu et entendu pendant le concours . . . c’est tout comme ! Mais si tu as un doute, nous pourrons revoir ce moment inoubliable sur mon camescope : j’ai tout filmé ! En gros plan ! . . . Un coup de chance ! », répliqua t-elle le sourire aux lèvres.
Mon cœur rata un battement. Je crus que j’allai m’évanouir. La salope ! La connaissant, elle allait se faire un plaisir de faire circuler ça sous le manteau au magasin ! J’allai devenir la risée de tous et toutes. Peut-être me faire renvoyer ! Elle qui prenait un malin plaisir à humilier son personnel, elle n’allait pas me rater !
« Et j’ai bien noté qu’il n’y avait pas de restriction dans tes engagements ma jolie ! », ajouta Julie en ma saisissant un sein à pleine main, « je vais donc profiter de l’occasion qui m’est donné de vérifier si c’était bien juste que tu l’emportes sur moi ! »
« Oh non, pas en public ! », couinais-je. Consciente des engagements que j’avais prise, il ne me venait pas à l’idée de me dérober, mais je ne voulais absolument pas me faire tripoter par une femme en public. Je me doutais bien qu’une telle nouvelle ferai le tour du camping et que le lendemain ce serait l’hallali !
« Et pourquoi, je ne te peloterai pas en public, ma salope ? Pour préserver ta pudeur ? Mais ça fait longtemps que tu n’en a plus aucune !’, lança Julie sur un ton venimeux.
« Allons Julie, il faut être compréhensive », dit Laetitia en me mettant la main droite sur les fesses. « Je suis d’accord que Coralie n’a plus de pudeur depuis longtemps . . . mais avec les hommes ! Se faire mater, peloter et tringler par un mâle, soit. Devant un public féminin, soit. Mais se faire mater, peloter, voire tringler par une femme, c’est nouveau ! . . . Il y a des dunes à quelques mètres. . . Autant aller derrière ou tu pourras profiter de Coralie en toute discrétion pour elle . . . et comme bon te semblera. »
Julie semblait hésiter. J’ai voulu f o r c e r sa décision.
« D’autant qu’il n’y a pas de problème sur le principe, je tiendrai mes engagements. Mon corps est à votre entière disposition ».
Cela ma faisait drôle de vouvoyer une fille de mon âge. Mais, intuitivement, je savais que c’était la bonne attitude à prendre. Julie voulait prendre une revanche. Il fallait lui en donner pour son argent. De toute façon, je ne pouvais pas y couper
« Tu es vraiment une garce ! », me lança Julie, en me saisissant par le bras et en me tirant vers les dunes de sables. Arrivées derrière celles-ci, je vis que Laetitia fermait la marche. Elle jeta un gros sac au sol.
« Tu as oublié tes petites affaires Julie. »
« Merci », répondit celle-ci avec un sourire carnassier.
D’un geste brutal, Julie me jeta alors au sol. « A quatre pattes pouffiasse ! Je vais t’apprendre à voler les concours à celles qui valent mieux que toi ! . . . Cambre-toi mieux que ça et écarte les cuisses que l’on puisse admirer ta chatte de pute ! »
Mécaniquement, comme dans un état second, j’obéissais. J’entendis alors la fermeture éclair d’un sac s’ouvrir. La chair de poule couvrit mon corps.
C’est alors que le premier coup de baguette s’abattit sur mes fesses. Une baguette de coudrier. La baguette me mordit ma peau en pénétrant dans les chairs de mes fesses. Je retins mon hurlement de douleur et de détresse.
« Beugle si tu veux chienne ! », commenta Julie. « Que du monde vienne voir le spectacle et ai ainsi l’idée d’en faire autant plutôt que bêtement te fourrer le con avec leur bites ! »
Les autres coups suivirent. Jusqu’à cinq. De plus en plus douloureux.
« Pitié . . . je ne vais plus pouvoir me retenir de crier . . . mon cul va exploser . . . », murmurais-je.
« Il faut être humain, Julie », enchaîna Laetitia. « Regarde, elle a le cul en feu ! Elle ne va plus pouvoir s’asseoir de la soirée ! »
Eperdue de gratitude de ce soutien, je lançais un petit « Merci »
« Je m’étais promis de lui donner 10 coups de baguettes, et elle recevra 10 coups ! »
« Soit, mais tu peux donner les 5 coups restants ailleurs que sur les fesses ! », lança ma chef de rayon.
Un frisson glacé me parcouru le dos. La garce, c’est là qu’elle voulait en venir en me « venant en aide » !
« Mais ou veux-tu la corriger ailleurs que sur les fesses ? », demanda Julie.
Laetitia éclata de rire. « Ah, l’innocence de la jeunesse ! Avec un martinet, j’aurai pu lui cingler la chatte, mais avec une baguette de coudrier . . . les seins restent une possibilité ! »
« 5 coups sur ses pis de vache laitière ! Génial ! », s’écria Julie.
« Mais il faut que Coralie soit d’accord ! Après tout, elle peut préférer recevoir les 5 coups sur son cul en définitive ! », ajouta Laetitia.
« A genoux ! », commanda Julie. Puis après que j’eu obtempéré, elle demanda : « alors qu’elle est ta préférence ma jolie ? Cul ou seins ? »
Le choix était cornélien ! Je savais que vu l’état de mes fesses, de nouveaux coups de baguettes à cet endroit me feraient hurler de douleur et attireraient les campeurs. Mais j’étais bien consciente que les coups de baguettes sur les seins allaient être parfaitement visibles et . . . interprétés comme il se doit par les campeurs ! Mais les coups reçus sur les fesses allaient déjà l’être me dis-je. Et puis, le danger n’était pas pour tout de suite, alors que si je me mettais à hurler, c’est de suite que j’allai devoir affronter l’assemblée et peut-être la curée qui allait s’en suivre! Cela me décida.
« Sur les seins », bredouillai-je
« Alors, présente les moi ! », lança Julie, implacable.
En s a n g lots, je pris mes seins par en dessous et les lui présenta. Le sourire aux lèvres, Julie abattit la baguette de coudrier sur la poitrine offerte. A 5 reprises, comme convenu. A la fin de la correction, je tremblai de tous mes membres, mais j’avais réussi à ne pas crier.
« Nous voilà quitte ! », s’écria Julie.
Haletante, je me relevai, imaginant que j’allai pouvoir me libérer de mes t o r t i o n n a i r e s.
« Et ou vas tu comme ça, ma jolie ? », me demanda Laetitia en me voyant faire mine de partir.
« Je repart à la recherche de mon mari », répondis-je d’une toute petite voix.
Julie éclata de rire.
« Comme je suis bonne fille, je t’emmène : je sais ou il est », me lança t-elle.
Et, prenant son sac en main, elle partit à travers les dunes. Je la suivis. Laetitia fermait la marche. Nous avons marché deux à trois minutes, tournés une dernière fois à gauche et débouché derrière une dune. Un homme était allongé. Une fille était sur lui. Accroupie, penchée en avant, elle s’embrochait avec frénésie sur sa verge en donnant l’impression d’être une grenouille !
« Ta femme ne t’a jamais fait ça, hein mon cochon ! . . . C’est ça . . . . vas à fonds ! Bouffe moi les nichons. . . . ! », lança t-elle.
Bien que je ne voyais que son cul, la voix me permis de reconnaître Christelle, une des concurrentes malheureuse du concours.
« Oui . . . vas-y, lâche la purée . . . la prochaine fois tu me prendras par le cul mon salaud ! ».
S’agrippant brutalement aux fesses de la jeune fille, l’homme éjacula dans un râle d’agonie. Christelle s’effondra sur lui, puis bascula sur sa droite. Je découvris que l’homme en question était . . . Jean, mon mari.
Un vertige faillit me faire tomber au sol, mais Laetitia me retint par un bras. Jean me vit et se redressa en un mouvement.
« Coralie, je . . . », commença t-il.
Je vis rouge. Ma main partit sans que je m’en rende compte et je lui mis une gifle mémorable. Laetitia nous sépara de suite.
« Allons Coralie, un peu de dignité . . . tu ne vas pas me dire que tu es surprise ? »
Saisie, je la regardai sans pouvoir parler.
« Tu te ballades à poil dans le camping, tu te fais peloter par tous les mecs que tu rencontres, sauter par certains, laissant ton mari seul. . . et tu comptes qu’il restera de marbre devant un joli lot ? »
« Mais je n’ai pas voulu ça », bafouillai-je.
« Parce que quelqu’un t’a f o r c é à prendre les engagements que tu as pris ? »
Pendant cet échange, Julie et Christelle s’étaient rapprochées de Jean pour finir par se coller à lui. Christelle lui prit la verge en main et se mit à le branler tout doucement Julie se mit à lui malaxer les bourses. Paralysé, Jean ne faisait rien pour se dégager. Il me regardait fixement. Laetitia regardait la scène et semblait trouver tout cela normal.
« Bref ma petite, si tu veux garder ton homme, tu ferais mieux de te montrer plus ouverte d’esprit et admettre que pendant que tu t’exhibes, que tu te fais fouiller et sauter, lui aussi peut saisir les bonnes occasions. »
«Oh, Jean . . . j’abandonne le bénéfice de ce concours idiot . . . que les choses redeviennent comme avant », dis-je entre deux s a n g lots.
« Coralie . . . tu as pris des engagements . . . et puis, je n’ai pas de quoi payer le camping », répondit mon mari en baissant les yeux.
Le salaud ! Le rapiat ! Il nous avait emmenés ici sans avoir de quoi payer, en connaissant dès le début l’existence de cet ignoble concours et en étant sans doute déjà décidé de me persuader à le passer !
« Et bien baise qui tu veux mon salaud ! », hurlai-je. « Pendant ce temps, je me donnerai à tous ceux qui voudront de moi . . . et, il y a du monde ! »
« Et si vous le voulez, pendant votre séjour ici, vous pouvez venir loger chez moi Coralie », me dit Laetitia. « Je loue un mobil home, et je vous trouverez bien une pl ace . . . Cela vous épargnera de voir votre mari en trop bonne compagnie ! ». Pendant que nous parlions, la verge de Jean s’était redressée. Julie s’agenouilla et se mit à la pomper avec énergie.
« Je vous suis », répondis-je à Laetitia par dépit, la voix étranglée par les s a n g lots, en n’ayant aucune idée de ce qui allait suivre.
Et sur ce, je pris la direction du mobil home, le nez retroussé, certaine d'avoir cloué le bec de mon Jean. Laetitia me suivait. Je ne vis donc pas le sourire narquois qu'elle me lança!
Chapitre 5
Arrivées au mobil home, sous le regard des voisins curieux, qui ne manquèrent pas de reluquer les rougeurs sur mes seins et sur mes fesses, Laetitia me fit entrer, l’air gourmand.
- Attends-moi là, je vais prévenir mon mari. Il sera content d’avoir ce petit cadeau à la maison, mais je veux le prévenir qu’il n’est pas question que sa queue ne sorte de son slip, sinon il aura affaire à moi…
Elle sortit, et je m’effondrai en s a n g lots, massant doucement les zones où j’avais été fouettée. Mes seins étaient gonflés, mon cul chauffait terriblement, je ne m’étais jamais sentie aussi mal et aussi humiliée de ma vie.
- Tu es Coralie, la miss camping ?
Je me retournai. Un a d o l e s c e n t se tenait là, l’air incertain. J’essuyai mes larmes. Et cachai mes seins et mon sexe.
-
Oui, répondis-je en reniflant. Comment es-tu entré, je ne t’ai pas entendu ?
-
J’habite ici. Je m’appelle Axel. Tu connais ma mère, Laetitia… enfin… je veux dire…elle m’a dit qu’elle te connaissait, l’autre jour, quand tu étais… tu sais…sur le podium… et que tu as promis ces choses…
-
Ah…
-
C’est vrai que tu acceptes que tout le monde te voit toute nue ?
Je soupirai.
-
Oui.
-
Je peux te regarder ?
Il était si timide, si gentil, que je décidai de respecter le règlement que je m’étais infligé. J’abaissais une main, découvrant lentement mes tétons. Ses yeux devinrent gourmands, et descendirent pour voir mon sexe. J’enlevais aussi la main qui le cachait. Il s’approcha presque à reculons, et déglutit.
- Et ce que tu as dit, là, quand l’animateur te pelotait partout… que tu voulais bien que tout le monde te touche comme lui… c’est vrai aussi ?
Je souris tristement.
-
Oui.
-
Je peux te toucher ?
Je fis signe que oui, c’était aussi la règle que j’avais accepté… même pour un gamin à peine sorti de l’a d o l e s c e n c e … mais pas beaucoup moins âgé que moi, finalement. Il me caressa délicatement les épaules, descendit vers mes seins, qu’il malaxa un moment, avec une infinie douceur, me mit la main sur le ventre, et, pouce par pouce, trouva le chemin de ma chatte. Il effleura les lèvres nues, sans toucher à mon clitoris, ni les pénétrer, tournant sa main maladroitement, sans savoir probablement ce qui se cachait entre mes jambes.
Une de ses mains disparut dans son caleçon, d’où il sortit sa fine queue, toute dure et dressée, qu’il branlait en me dévorant des yeux, timidement.
-Je… je peux te sauter ?
Je sursautai. Quelle naïveté, c’était trop mignon !
-
On ne dit pas ça à une femme, Axel. Mais, pensai-je, on ne se masturbe pas non plus devant une femme inconnue…
-
Oh, pardon, je suis désolé. Te voir comme ça, si près, si belle, j’ai trop envie, quoi.
Ce n’était pas dans les règles que j’avais juré de respecter, mais une pensée soudaine et méchante me vint à l’esprit… Laëtitia m’avait humiliée, battue, et ne voulait pas que je touche à son mari… que dirait-elle si je m’occupais de son fils…l’idée de cette petite vengeance m’émoustilla plus que je ne saurais le dire… ! J’accompagnai sa main vers les profondeurs de mon sexe. Je mouillais abondamment.
-
On ne dit pas « je peux te sauter », mais « j’ai envie de faire l’amour avec toi ». Demande le moi gentiment…
-
Je… j’ai envie de faire l’amour avec toi !
J’accentuai la pression sur ses doigts, qui entrèrent plus avant entre mes lèvres. J’écartai les cuisses.
-
Mmm… tu as raison, ce n’est pas assez excitant… dis-moi que tu veux me baiser…
-
Je… je voudrais te baiser !
Ses doigts se dressèrent dans mon vagin, appelant une vague de plaisir bienvenue.
-
Mmm…c’est mieux… tu as déjà baisé ?
-
Non, mais hier j’ai vu Véro, ma sœur, qui se faisait lécher les seins par son petit ami, et je dois dire que si tu veux bien….
-
Mmm… garde bien ta main où elle est… elle ressemble à quoi ta sœur ?
-
Elle n’est pas très grande, très jolie, mais ses seins sont moins gros que les tiens… Tu es très belle, tu sais… alors ? Tu veux bien… euh… baiser… avec moi ?
Je sautais le pas. Je dégageai ses doigts de mon sexe, lui pris le visage et l’embrassai longuement. Une de mes mains attrapa sa queue déjà vigoureuse et je le branlai, pas trop fort pour qu’il ne me vienne pas dans les mains. Je voulais ma revanche, et son dépucelage serait ma victoire, sur Laëtitia, et sur Jean. Je lui lâchai la bite et m’allongeai sur le lit du mobil home, écartant les jambes bien à fond.
- Lèche-moi, et je te lècherai après.
Il s’agenouilla entre mes jambes, et commença par m’embrasser timidement les lèvres, puis me donna des grands coups de langues sur le clito, de manière très maladroite. L’excitation arrivait très puissante, j’avais envie de cette jeune queue, de ma revanche, et de l’oubli du corps. Je pris sa tête et l’enfonçait dans mes lèvres, dans mon cul, sauvagement.
Je le vis s’activer sur sa queue, mais je ne voulais pas qu’il s’éjacule dessus. Je me relevai, l’embrassai encore, puis, à genoux, pris sa bite dans ma bouche. Je le suçai précautionneusement, découvrant chaque pli de son gland, titillant son méat et la zone sensible juste dessous, tout en me fouillant la chatte avec les doigts. Il gémissait, me demandant d’aller plus vite, mais je continuai à faire durer le plaisir, espérant que Laëtitia entrerait et nous trouverait ainsi, en plein ébats. Je lâchais sa queue et me mis dos au mur.
- Tu vas me baiser debout, tu vas voir, c’est très agréable.
Je le guidais en moi, surprise par sa fougue, et pris sa bouche dans la mienne. Tant pis pour l’exclusivité dont jouissait Jean jusqu’à ce que je le voie sur la plage avec ses deux traînées. Ses mains agrippèrent mon cul, mes seins douloureux, et il me donna des grands coups de reins, qui déclenchèrent des vagues de plaisir auxquelles je ne m’attendais pas dans mon bas ventre. Ma chatte était trempée, il jouit dans un râle, en pressant mes seins plus fort que je ne pouvais le supporter. Je criai et jouis en même temps, accueillant son sperme en longues saccades. Je prolongeai le baiser, appréciant sa bite en moi, qui dégonflait doucement. Des gouttes de sperme tombèrent sur le lino du mobil home, je souris en pensant à la tête que ferait Laëtitia en les voyant.
Axel me serra dans ses bras a d o l e s c e n t s en me chuchotant un « merci » tendre à l’oreille. Je me dégageai de son étreinte, plus apaisée que quand j’étais entrée, le plaquait contre le mur.
Je m’agenouillai, pris sa bite dans ma bouche et entrepris de lécher tout le sperme qui y était encore collé. Il me regardait, satisfait et curieux. Quelqu’un frappa à la porte.
- Axel ! Qu’est-ce que tu fais ? Véro nous attend !
Un des ados que j’avais sucé quelques heures plus tôt passa la tête, alors que j’avais encore la bite d’Axel sur la langue.
- Oh… je comprends, dit-il dans un sourire.
Je restai à genoux devant l’ado, un peu gênée. Axel rougit en disant :
- Coralie, je te présente Mickaël, le copain de ma sœur.
La nouvelle me fit sourire… si je dépucelais en plus le petit ami de la fille de Laëtitia, ce serait la cerise sur le gâteau…
-
Nous avons fait connaissance, dis-je d’un air coquin. Je marchai à quatre pattes, cul en l’air, vers Michaël, lui abaissai le caleçon et regardai sa bite, encore molle.
-
Tu veux encore que je te fasse un petit plaisir ?
Michaël n’en revenait pas, sa trique enfla d’un coup.
- Vous voulez bien ?
- Non seulement je veux, mais si tu dis les mots magiques, tu auras le droit de me… comment as-tu dit Axel ?
Axel rougit. Son sexe fin se réveillait aussi.
- De vous sauter.
- C’est ça.
- Oh oui, gémit Mickaël, laissez-moi vous sauter ! Je pris sa bite entre mes dents en chuchotant :
- Accordé !
Je finis de lui faire glisser son caleçon, tout en l’avalant lentement, tout au fond de ma gorge. Axel revint me caresser les seins et le dos, tandis que, croupe en l’air, j’allais et venais sur la trique de son copain. Je le gardais au fond de ma gorge, puis le libérais, laissant de grands filets de salive sur sa queue, puis je l’avalais à nouveau, lentement, profondément, délicatement.
- Oh, suce, ma jolie, suce encore !
Je lui souris en léchant son gland, le branlai encore plus lentement, en serrant bien fort sa bite entre mes doigts, récupérant ça et là une goutte qui n’était pas de la salive. Ces deux jours auront vu ma technique de fellation s’améliorer grandement… pauvre Jean, s’il pouvait en profiter…
Je léchai encore sa bite un moment, puis l’attirai à moi pour l’embrasser sur la bouche. Ma langue se fit épaisse sur ses lèvres, tandis que ma main pressait son sexe brûlant. Le petit Axel ne savait plus où se frotter, je pris le temps de lui caresser les couilles, sans relâcher le baiser qui m’émoustillait agréablement.
-
Alors, tu veux toujours me baiser ? demandais-je d’un air mutin. La bite durcit encore dans ma main.
-
Oh oui !
Je me retournai, à quatre pattes, lui présentant mes fesses rondes et ma vulve mouillée.
- Alors prends-moi… avec douceur !
Il s’agenouilla derrière moi, écarta légèrement mes jambes pour pouvoir bien appuyer ses genoux, et, agrippant son bâton de joie comme une épée, le glissa en gémissant dans ma grotte chaude. Axel s’agenouilla devant moi, me présentant sa bite, que j’avalai sans problème en soufflant par le nez. Elle était encore amère du sperme qui m’avait inondé, et salée de ma propre jouissance. Laëtitia ne tarderait plus maintenant, elle nous trouverait ainsi, et sa colère me serait douce…
Michaël allait et venait en moi, je me sentais mouiller comme une a d o l e s c e n t e en fleur, ses cuisses butaient contre mon cul qui me chauffait là où j’avais été fouettée. Il posait parfois ses mains sur les marques rouges et les pressait douloureusement, je m’empalais plus profondément sur lui pour lui faire lâcher prise, en gémissant de la brûlure qu’il m’infligeait ainsi. Il m’agrippa plus fort encore, devant penser que les gémissements étaient de la jouissance, et je n’osais le détromper, je voulais que cette première fois le marque à jamais, et que la petite Véro dont il avait léché les seins lui paraisse insipide à côté de la déesse du sexe qui l’avait défloré.
Ses râles devinrent plus lourds, ses coups de hanches plus v i o l ents. Je ne voulais pas qu’il vienne trop vite, Laëtitia n’était pas là !
Je sortis le sexe fin d’Axel de ma bouche, le gardant entre mes doigts, et, buvant toute honte, décidait de monter en puissance dans l’offre de sexe que je leur prodiguais.
- Attends, ne viens pas trop vite, tu ne voudrais pas que ton copain soit le seul à m’avoir sodomisée… ?
Il ouvrit les yeux d’un coup, n’en croyant pas ses oreilles.
- Tu… tu veux que je t’encule ?
Je grimaçai à peine, masquant tout juste la répulsion que cette idée pouvait encore avoir sur moi. Je l’avais déjà fait, malgré moi, je pouvais bien le refaire, volontairement, cette fois.
- Bien sûr, tu es si doux… Viens, je vais te guider…
- Je… pourrai aussi ? demanda Axel timidement.
Me faire troncher par deux mecs ne me tentait pas particulièrement, mais je ne voyais pas comment lui refuser…
- Chacun son tour, dis-je en attrapant la bite de Michaël dans ma main, par dessous, et en le menant vers mon petit trou.
Je le fis tourner un moment, écartant peu à peu mon petit anus tendre. Il n’y tint plus et s’enfonça comme dans du beurre, je criai encore, plus de surprise que de douleur. L’onde de plaisir qui me traversa était quelque chose que je n’avais encore jamais expérimenté, et je l’attirai en moi avec un enthousiasme non déguisé.
- OH OUIIIII !
Je repris la trique fine d’Axel et l’engloutis littéralement, le suçant, l’aspirant, l’inondant de salive, la caressant, la mordillant, la noyant de coups de langue, de dents et de lèvres, lui pressant la tige avec la main férocement. Michaël riait en me limant v i o l emment, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde, murmurant des « merci merci merci » et des « prends ça salope » parfaitement incohérents. Avec ma main libre, je branlais mon clitoris jusqu’à me l’arracher, avalant de grandes lampées d’air entre deux coups de langue.
- Coralie !
Nous nous arrêtâmes tout d’un coup, Axel gémissant, prêt à venir dans ma bouche, son sexe battant au rythme de son cœur sur mon palais.
- Coralie, c’est Jean, je sais que tu es là !
Je fis signe aux deux garçons de ne pas bouger, je me clouai sur la bite de Michaël, bien profondément, et gardait celle d’Axel dans ma main.
- Entre, Jean, entre !
Mon mari poussa la porte, et resta là, hébété du spectacle que je lui offrais.
- Viens, ferme la porte. Le règlement de miss camping stipule que tu peux me toucher tant que tu veux, mais rien ne m’oblige à ce que tu me sautes. Regarde comme ils me baisent bien…
Je repris le sexe d’Axel dans ma bouche, et le suçai, comme si de rien n’était. J’incitai Michaël à continuer à me fourrager, ce qu’il fit sans trop faire attention à Jean, qui restait là, blanc comme un linge. Je lâchais de temps en temps la tige d’Axel pour susurrer de la voix la plus suave possible :
- Oh oui, encule-moi plus profond, encule-moi, oh oui, oh oui, oh ouiiii…
Et je reprenais ma fellation. Axel explosa dans ma bouche, je le branlai sur ma langue, de manière à ce que Jean voie bien le sperme dégouliner sur mes lèvres. Un jet finit dans une de mes narines, je le laissai couler là, en suçant toujours. Michaël m’attrapa par le cul, à grands coups de reins. Il cria de plaisir quand il éjacula dans mes intestins, je criai aussi, jouissant à la fois de plaisir et de douleur, gardant autant que possible la bite d’Axel entre mes lèvres collantes.
Je regardai Jean en souriant. Apathique, il ne savait pas quoi dire, pas quoi faire, il restait là, les bras ballants, le choc drainant toute énergie hors de lui.
- Mais qu’est-ce que vous faites ici !?
Une blondinette taille mannequin, en maillot vert presque transparent venait d’entrer.
-
Vé… Véro... bredouilla Michaël.
-
Ce n’est rien, Véronique, dis-je, j’ai juste proposé à ton petit ami et à ton frère de perdre leurs pucelages avec moi, devant mon mari. Je dois dire qu’Axel ne m’a pas menti, tu es vraiment très belle… montre-nous tes seins ?
Véronique n’eut pas la réaction escomptée. Elle donna une grande claque à son frère.
- Toi, tu sors, et tu vas voir maman ! Si tu ne lui racontes pas ce qui vient de se passer toi-même, c’est moi qui le ferai, et ce ne sera pas beau à voir !
Axel sortit en courant, remettant maladroitement son caleçon taché de sperme. Véronique ferma la porte, poussa le verrou. Elle se dirigea vers Michaël, penaud, qu’elle gifla à son tour.
Chapitre 6
Elle fixa Michael d'un œil mauvais.
- Toi, mon salaud, tu t’assieds sur ce tabouret et tu ne bouges pas !
- Mais Véro, laisse-moi au moins...
- Tais-toi ! (elle se tourne vers moi en pointant Jean du doigt) C'est votre mari ?
Je hochai la tête, l'air innocent, en portant mes doigts plein de sperme à la bouche, puis en les léchant un à un. J'essayais d'en faire sortir un maximum de mon anus dégoulinant et trouvais amusant de jouer le jeu de la salope ingénue, contente de boire du sperme d’où qu’il sorte – bien que le goût un peu fort de la semence qui me venait aux narines n’avait rien d’agréable. Elle plissa les yeux et poussa Jean sur l'autre tabouret.
- Très bien ! dit-elle. Vous avez baisé mon mec devant le vôtre, je vais baiser le vôtre devant le mien !
Michael, la queue encore pendante, gémit de désespoir et je la regardai en introduisant mon majeur au bord de mon petit trou, raclant la moiteur du sperme de son mec en affectant un détachement étudié. Jean n'était plus rien pour moi – du moins essayais-je de m’en convaincre et si Laëtitia arrivait et trouvait sa fille qui baisait en public, devant celle qu’elle venait d’humilier, qui plus est, tout serait encore plus délicieux !
Véronique ondula lascivement des hanches, la main dans sa culotte, devant les yeux horrifiés de Michael, qui avait sans doute espéré qu'elle perdrait sa virginité avec lui...
Elle avait un corps taille mannequin, petite blondinette aux hanches fines qui s'ouvraient sur un superbe cul, ferme et ample dans son maillot de bain échancré. Elle ôta son bikini, révélant deux beaux seins bronzés aux mamelons minuscules, frottant son cul sur le caleçon de Jean, qui n'osait pas me regarder.
La blondinette tira les ficelles de son bas de maillot et l'enleva, écartant les jambes, un air de défi dans les yeux.
Son sexe était totalement et parfaitement rasé, ses lèvres délicates, un peu molles, son clitoris bien visible, érigé bien au dessus de son vagin humide. Elle était très appétissante, et je me surpris à mouiller en la regardant se dandiner de droite à gauche, s’arc-boutant sur le chibre de mon mari. Je ne sais pas ce qui me prit, mais j'avançai la main et caressai l'abricot délicat. Elle eut un mouvement de recul et je pus voir la bite de Jean, sous elle, qui dépassait de son caleçon et frottait les superbes fesses de l'a d o l e s c e n t e.
- Ne me touche pas, salope !
Je retirai ma main et me dirigeai vers Michael à quatre pattes, fesses en l'air, nichons pendouillant, frottant l'un contre l'autre à chaque pas.
- Très bien, dis-je, mais si tu veux faire tout ce que j'ai fait à ton copain, il va falloir t'accrocher... J'ai d'abord pris son beau sexe fin dans ma bouche. Sa pine est plus grosse que celle de ton frère, et bien plus nerveuse…
Je me plaçai derrière Michael, à genoux, mes seins contre son dos, et lui caressai les épaules, le torse et le bas-ventre, j'embrassai son dos et y frottai mon visage, mes seins, mon ventre. Sa main descendit discrètement vers ma chatte. Je me laissai faire.
La petite se retourna, s'agenouilla et attrapa la bite de Jean avec ses lèvres roses, enfonça le membre dans sa bouche et commença un mouvement de va-et-vient en poussant des petits gémissements de dégoût. Ses lèvres s’écartaient en rythme, la langue apparaissant parfois, faisant le tour du gland gonflé. Les dents de perles de la gamine mordillaient de temps-à-autre la pine, Jean fermait les yeux, grimaçant quand elle le mordait de manière trop appuyée. Il attrapa la tête de Véronique entre ses mains et appuya sur sa nuque, f o r ç a nt la jeune blonde à l’avaler tout entier.
La petite lutta un moment, puis ouvrit sa gorge, happant la verge jusqu'à la garde, avant de la libérer, langue dehors, et de s'attarder sur le gland gonflé de plaisir. Jean ne la laissa pas respirer. Il lui baisa la gorge à plusieurs reprises, ne tenant pas compte des petits cris de panique de l’a d o l e s c e n t e qui protestait en bavant sur la pine des flots de salive à chaque fois qu’il la libérait, avant de lui pénétrer la bouche, de la lui baiser en soufflant comme un bœuf.
La petite se masturbait, pétrissant ses lèvres délicates, enfonçant ses doigts dans son jus intime, gémissant parfois de désespoir, parfois de plaisir. Je pris le sexe de Michael entre mes doigts, quand elle se retourna pour me regarder, l'air vengeur, branlant la queue inondée de salive blanchâtre de Jean à pleines mains.
- Tu vois, me dit-elle d’un air moqueur, comme ton mec aime que je le suce, espèce de poufiasse !
- Oui, je dois dire que tu l’as sucé bien mieux que je n’ai sucé ton copain... Mais pour me rattr a p e r, je lui ai demandé de me mettre sa petite queue dure bien au fond du vagin, mais avec douceur... je ne voulais pas qu’il éjacule en moi avant que je n’aie pris largement mon quota de coups de pine…
Jean, Véronique et Michael gémirent tous les trois, mais pas pour les mêmes raisons. Jean, parce que je me montrais parfaitement capable d’être la pute qu’il voulait que je devienne, mais pas avec lui. Véronique, parce qu’elle allait devoir offrir sa virginité à un homme qu’elle ne connaissait pas et n’aimait pas. Et Michael parce qu’il allait voir sa nana se faire déflorer par un inconnu sans pouvoir rien y faire.
L'a d o l e s c e n t e se releva, se tourna vers moi, ses seins ronds pointant vers le ciel, comme deux seins de nonne.
- Si tu as bien baisé mon mec, ce n’est rien à côté de ce que va vivre le tien avec moi, sale pute. Regarde mon corps de déesse. Tous les hommes rêvent de me mettre dans leur lit depuis que mes seins ont poussé – et ton mari sera le premier à me baiser !
Elle enfourcha Jean et glissa la grosse bite dans sa fente bien humide. Je m'approchai à nouveau, tout près d'elle et dut admettre qu’elle ne se vantait pas : elle était vraiment taillée comme une déesse. Elle ferma les yeux, et guida la verge enduite de salive dans son abricot rasé.. J'en profitai pour ouvrir le verrou du mobil home discrètement et la regarder perdre sa virginité. Un filet de s a n g abondant goutta sur le lino de Laetitia. Je souris intérieurement en imaginant Laëtitia en string rouge et seins nus frottant le sol souillé en pestant contre miss camping… Je lui avais pris l’innocence de son fils et de sa fille, ce qui valait toutes les vengeances du monde !
J’empaumai tendrement un des seins de la blondinette dans ma main, tâtant sa douce texture, sa fermeté et, sentant une chaleur curieuse dans mon bas-ventre, j'approchai mes lèvres des siennes. Elle accepta mon baiser en couinant. Jean la fourrageait avec douceur, ses mains la caressant partout, avec une préférence pour ses hanches fines et son cul magnifique. Il la soulevait, écartant la chatte rasée avec ses doigts, et s'enfonçait en elle, en un râle satisfait. Il la reluquait, les yeux sur son cul doré, sur son ventre plat, son sexe nu, ses épaules parfaites. Il l'embrassait dans le cou, et la respirait tout entière. Sa bite avait la taille et la f o r c e des bons jours, et la pénétrait avec ardeur.
Elle finit par repousser mon baiser, à regret.
- Ne me touche pas ! répéta-t-elle d’un ton incertain. tu es une pute et je vais faire hurler ton mari de plaisir !
Elle joignit le geste à la parole, sautant littéralement sur le membre excité, le montant comme un cheval au galop, en gémissant un peu plus fort chaque fois que Jean l’accompagnait de ses coups de reins de plus en plus fermes, de ses coups de bite de plus en plus v i o l ents, pénétrant la minette inexpérimentée le plus loin possible.
Michael se masturbait en nous regardant, l'air à la fois désolé et excité. Je revins vers lui, et guidai sa main libre vers mes seins généreux. J'attendis que l'a d o l e s c e n t e me défie à nouveau du regard, empalée sur mon mari, sexe écartelé bien visible pour son petit copain, qui me touchait à nouveau le minou par derrière, discrètement, un doigt plongé dans mon vagin crémeux.
Elle cria :
- Le spectacle te plaît, espèce de trainée ?
- Plus que tu ne le crois, belle blondinette... mais pourras-tu aller jusqu’au bout ? Parce que j'ai aussi demandé a Michael de me sodomiser... J'ai eu trois ou quatre beaux mecs qui m'ont prise par derrière depuis que je suis miss camping, tu sais, on y trouve du plaisir quand la pine est bien dure. Il n’a pas résisté à ma demande, je dois dire, il m’a enfoncé sa trique dans le cul en pleurant de joie, le petit. Encore une virginité à perdre pour toi aujourd’hui…
L'a d o l e s c e n t e pâlit. Jean aussi. Je l’avais rarement vu aussi choqué. Véronique regarda Michael d’un air incrédule.
- Tu as fait ÇA !!!?
Le pauvre déglutit en hochant piteusement la tête. Je m'assis sur lui, plaçant son sexe sous moi, le frottant tendrement contre ma chatte toujours collante et humide. Il s'accrocha a mes seins généreux, tout honteux. Véronique se souleva pour dégager la verge de Jean de son abricot rasé et la plaça à l'entrée de son beau cul bronzé.
- Eh bien s’il faut qu’il m’encule, il m’enculera !
Elle f o r ç a l'anus à s'ouvrir, s'y reprenant à plusieurs fois, en haletant et couinant de douleur. Jean lui écartait les fesses pour l'aider, osant à peine respirer. Je lâchai la bite de Michael et me relevai lentement. Je m’approchai de la belle, et vins enduire de salive le petit trou étroit et la pine au garde-à-vous, en crachant sur le petit cul rond. La pastille céda d'un coup, la blondinette s'empala en hurlant, visage et tétons pointant vers le ciel, implorants. Elle entama son va-et-vient douloureux, bras à mi-chemin entre le ciel et la terre, yeux fermés. Je l'embrassai langoureusement, elle me rendit mon baiser sauvagement.
- C’est ça, embrasse-moi, petite fille, mange ma langue et mes lèvres pendant que tu te fais prendre, ça va t’aider…
Je caressai sa chatte toute ouverte, m'attardant sur son clitoris dressé tout en l'embrassant goulûment. Cette petite blondinette allumait un feu en moi qui n'avait plus rien à voir avec ma vengeance sur Laetitia. Jean se cambra, pour l'enculer plus profond, tandis qu'elle hésitait entre la fuite et le besoin de sentir la trique se frayer un chemin dans ses boyaux vierges.
- Laisse-moi te sucer, j’ai envie de te goûter, moi aussi…
Je m'agenouillai et commençai à la lécher, profitant de chaque coup de langue pour admirer ses lèvres écartées au goût de pêche et observer la bite qui l'empalait, sans concession, dans des mouvements de plus en plus durs, au fur et à mesure que l'excitation de Jean montait. Je sentis Michael venir derrière moi et glisser sa verge molle dans mon fruit intime.
Je l'aidai, avec douceur, et fermai les yeux, savourant le bonheur de l'instant. Je n'avais jamais sucé de femme de ma vie, ni ressenti une telle attirance. Chacun de mes coups de langue sur le clitoris délicat, sur les petites lèvres trempées, sur le périnée déchiré par le chibre avide qui pénétrait les entrailles de l'a d o l e s c e n t e, des éclairs et des vagues de cyprine me chatouillaient la chatte, dans laquelle Michael s'affairait, accélérant le rythme en matant sa petite copine se faire sodomiser. Véronique se tenait les seins, me caressait les cheveux en alternant les "oui, oui" et les "non, non", elle secouait la tête, gémissait, me prenait dans ses bras, m'embrassait le cou, les lèvres, la langue. Je mis mes doigts dans son bel abricot ouvert et la suçai encore et encore, la sentant s’abandonner enfin. Tout arriva très vite. La porte s'ouvrir d'un coup, Laetitia entra en hurlant.
- Que faites-vous ICI !?
Véronique dégagea la bite de Jean de son cul, Jean commença a éjaculer, je l'attrapai entre mes dents et lui mordit très fort le bout de son gland tandis qu’il venait dans ma bouche en criant de douleur .
- Maman ?
Véronique, chatte écartée, cul dégoulinant de sperme, avait un regard horrifié. Michael enfonça sa pine en moi, grappillant sa dernière chance de venir avant la tempête, et jouit en saccades brûlantes...
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