Il rêvait de bondage

Catégories : Bondage Shibari Kinbaku Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 1 an

Henri rêve d’être dominé et de rencontrer une Maîtresse. Un de ses fantasmes porte sur les contraintes physiques avec cordes, menottes et autre carcans. Hélas, si les femmes peuvent être attachantes, elles ne pratiquent pas pour autant le bondage.

Il pratique donc le selfbondage pour compenser ses fantasmes inassouvis et drague les filles sur Fessestivites pour essayer de trouver celle qui lui fera vivre ses envies.

Le problème est qu’il est « lourd » dans ses prises de contacts, ne parle que de lui et de ses fantasmes. A priori, celui des filles contactées, il s’en moque un peu. En clair, l’égoïste de service.

M-Nina est une jeune femme dominatrice. Elle débute dans ce monde et s’y amuse depuis peu. Si elle est débutante, elle est aussi et surtout rusée, il faut dire que son cursus d’étudiante en psychiatrie l’a bien rodée dans les analyses comportementales. Il ne lui reste plus qu’un an d’étude et, depuis peu, elle s’accorde une soirée BDSM de temps en temps.

Même après l’avoir recadré dès sa première approche, ce qui l’a amusée avec Henri, c’est son manque de savoir vivre et son égoïsme de primate. Un peu agacée et après lui avoir rappelé X fois que les femmes ne sont pas de sextoys, elle décide un soir de donner une bonne leçon à ce mec cachant sa double vie à sa pauvre épouse qui ne peut que s’ennuyer avec lui. Le piège démarre par la messagerie de Fessestivites.

  • Bonsoir Henri, j’ai envie de m’amuser et de te faire vivre une belle session de bondage. Mon problème en tant qu’étudiante est que je n’ai ni le matériel ni le lieu. Comme chez toi ce n’est pas possible je te propose de louer une chambre d’hôtel et de venir avec le matériel. Qu’en penses-tu ?

  • Une bonne idée Maîtresse ! Répond Henri, avant d’ajouter qu’il faudra qu’elle lui fasse un bondage sévère qui dure un peu.

  • Justement, j’adore ça mais trouve une excuse pour que ta femme ne s’inquiète pas car je compte m’amuser toute la nuit.

  • Pas de problème, je dirai à ma « saucisse » que je serai en mission à Marseille ! Lui répond Henri.

Qu’il appelle sa femme « ma saucisse » n’a pas plu du tout à M-Nina qui n’a même pas relevé mais compte bien lui faire payer cher, ce manque de respect envers la gente féminine. Le rendez-vous est pris pour un mercredi à l’hôtel Ibis. Elle précise qu’elle sait, grâce au forum, qu’il aime aussi être féminisé. « Tant qu’à s’amuser, prends ce qu’il faut pour que je fasse de toi une belle soumise bien attachée » ajoute M-Nina.

Henri croit rêver, une Maîtresse non vénale va lui faire tout ce qu’il a envie ! « Et qui sait, autant elle se fait bouffer la moule et se laisse sauter après... » pense t’il en agitant sa zézette comme un malade mental en se cachant dans sa salle de bain.

LE JOUR J

Il se rend à l’hôtel Ibis pour prendre la chambre et adresse un MP à M-Nina pour lui donner le numéro de la chambre. Il fulmine de joie et constate que ce n’est pas un « lapin » en lisant la réponse qui arrive 15 minutes plus tard.

  • Petit soumis, c’est bien, tu es courageux et je suis fière de toi. Ce qui m’exciterait le plus, c’est que tu te féminises avant que j’arrive. N’oublie pas de mettre un soutien-gorge pour faire encore plus «femelle », je pourrai sûrement m’en servir pour ton bondage. J’en ai pour une petite heure pour arriver, arrange-toi pour être belle pour me plaire ! Par contre, tu mettras comme convenu tes menottes mains dans le dos avant que j’arrive ou je repars de suite.

  • Oui Maîtresse, tu m’excites grave !

Le « tu » irrite encore M-Nina et fait exploser façon puzzle ses derniers remords.

Pendant qu’elle fait le trajet en tram, Henri se féminise en mettant un shorty en dentelle et un soutien-gorge assorti puis une chemise de nuit. Ne s’étant même pas rasé depuis huit jours, le résultat n’est pas terrible mais il s’en moque, lui cela l’excite et faire des efforts ce n’est pas son truc.

Pour patienter, il surfe sur les vidéos de Fessestivites pour tuer le temps et se retient de se masturber pour être en forme, au cas où elle voudrait se faire sauter. Ce n’est que dix minutes avant son arrivée qu’il se décide à se menotter mains dans le dos comme demandé, après avoir posé les clés des menottes à côté de son sac sur la table. Ainsi, si la belle ne venait pas, il pourrait se libérer pour aller se faire une « pute ».

Sa superbe de macho chute soudain lorsqu’il entend taper à la porte. La chute est aussi géante que si il sautait du haut de la tour Effel au point que, quand il arrive en bas de ses prétentions, il hésite à lui ouvrir. Après avoir demandé « qui c’est » et entendu une jeune voix féminine, c’est en prenant son courage avec ses deux mains menottées, qu’il se décide à lui ouvrir la porte. M-Nina entre avec prudence en demandant à voir ses mains, chose qu’il fait bien volontiers en lui tournant le dos pour fuir son regard.

  • Mais la vilaine ne s’est même pas rasée pour se faire belle pour moi ! Va au coin comme une gamine pendant que je regarde ce que tu m’as emmenée comme jouets.

Henri s’exécute sans discuter, trop heureux de cacher son visage devenu rouge comme s’il venait de faire un Marathon en portant quelqu’un sur son dos. M-Nina se met à fouiller le sac d’accessoires BDSM et ne regrette pas d’avoir pris un rouleau de scotch d’emballage et des ciseaux pour le piège qu’elle lui prépare depuis quelques jours.

  • Oh la coquine, elle a même pris un gode-ceinture des fois que j’ai envie de lui faire plaisir. J’adore, si tu es obéissant, il pourrait bien servir.

Dans la tête d’Henri, c’est aussitôt Beyrouth et Nagasaki dans son shorty en dentelle ! S’il savait ce qui l’attend, il serait moins fier et surtout, moins excité ! ! !

M-Nina s’approche de lui, soulève la chemise de nuit pour faire un état des lieux. La poitrine ultra velue ne met pas en valeur la jolie lingerie laissant dépasser des touffes de poils. Pour continuer de l’exciter, elle lui dit qu’il est très belle et que, quand elle sera attachée, elle pourrait bien en profiter. Autant dire que Henri est prêt à coopérer.

Après lui avoir ajouté une corde visant à rapprocher un peu ses coudes, et de fait, bien mettre en avant sa poitrine, M-Nina fait remonter la chemise de nuit quasiment sous le cou d’Henri. Elle la bloque avec une corde comme si elle voulait faire un bondage de poitrine. Le soumis la regarde émerveillé et tente de lui voler un bisou ce qui lui vaut une gifle immédiate.

Une fois que ses sous-vêtements féminins sont bien exposés puis bloqués, elle le fait asseoir sur une chaise et entreprend de lui lier les jambes à chaque pied. A l’aide de la dernière corde restante, M-Nina le saucissonne fermement contre le dossier de la chaise. N’étant pas très sûre de ses noeuds, elle rajoute des tours de scotch d’emballage sur la poitrine du gorille angora et ses bras poilus.

En guise de bâillon, elle récupère le slip du macho qu’elle lui colle dans la bouche avant de terminer son bâillon avec des tours de scotch atour de sa tête et, bien évidement, sur les poils de barbe.

Henri prend peur quand elle se met à fouiller son sac à main. Il prend conscience qu’il est peut-être en train de se faire escroquer. Il n’en n’est rien, mais ça il ne le sait pas. Dans son téléphone mobile, elle trouve, sans trop chercher, le numéro de sa femme qu’elle enregistre sur son propre mobile avant de faire des photos du désespéré.

  • Ne t’inquiète pas, c’est juste au cas où tu me ferais des embrouilles ou porterais plainte. Si tu ne fais rien et me fait une superbe évaluation sur Fessestivites, promis, ces photos resteront dans mon portable ! Disons que c’est une sécurité. Ah, j’ai aussi sorti cent euros dans ton portefeuille. Je vais laisser sur la table, ne t’inquiète pas, je ne suis pas une voleuse. Attend, je t’ai promis d’utiliser le gode-ceinture si tu étais sage, cela serait méchant de ma part si je ne l’utilise pas !

Sous le regard devenu haineux, M-Nina attache le gode-ceinture sur la tête d’Henri de façon à ce que le gland pointe vers le plafond. L’ensemble est bien tenu par des tours de scotch supplémentaires. A la suite de quoi, elle s’installe sur la petite table pour écrire quelque chose sur une feuille de papier.

  • Tu constateras que les techniciennes de service que tu appelles des saucisses peuvent être de véritables garces. Je te lis ce que j’ai écrit sur la feuille de papier : Le pourboire de cent euros est pour vous madame, promis, je ne dirai plus que vous êtes des saucisses de services si vous arrachez tous ces scotchs lentement pour me libérer avant de retirer les cordes.

  • Hummm, hummm ! Répond Henri comprenant qu’elle va le laisser attaché là en sous-vêtements féminins dans cette position.

  • Je t’explique les choses. Tu n’as pas arrêté de me harceler sur Fessestivites. J’aurai pu te signaler au webmaster, il n’aime pas et a le clic rapide pour virer un casse noisette. Au lieu de ça, j’ai décidé de t’apprendre à parler aux femmes avec respect. En plus de cette leçon, tu vas pouvoir vivre un bondage de longue durée comme tu en rêvais et, en prime, en étant féminisé. Elle est pas belle la vie ?

  • Hummm, hummm !

  • Arrête de râler ! Bon, tu as bien compris, j’ai le numéro de téléphone de ta femme et des photos, disons, plutôt gênantes. Si tu oses me contacter sur le site, je les lui envoies. Si tu oses porter plainte aussi ! Ah j’oubliai, tu diras bonjour à « la saucisse de service de ma part », enfin, si tu oses.....

EPILOGUE / SUITE ? C’est à vous de l’écrire !

Je proposais 1 mois d’abonnement à celui ou celle qui écrirait une suite.

TSM

La suite de cette histoire érotique a été écrite par blackangel04 une personne réelle et sérieuse que j'ai eu le plaisir de rencontrer plusieurs fois.

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