Le jouet de ma femme

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il y a 1 an

Pendant des années j'ai proclamé haut et fort, avec un brin d'humour, que je ne voulais pas être esclave du téléphone et que j'aurais un portable uniquement le jour où j'aurais une maîtresse. Depuis quelques semaines cependant, j'en ai mais un pour une raison quelque peut différente...

En effet, je n'ai pas une maîtresse au sens d'adultère, comme mes collègues l'ont supposé, mais j'ai belle et bien une Maîtresse. Ou devrais-je plutôt dire qu'une Maîtresse me possède, le terme posséder étant certainement en deça de la réalité. :roll:

Cette Maîtresse n'est autre que mon Epouse, qui au fil des années, a accru Son emprise, Son pouvoir, Sa domination sur moi. Jour après jour, Elle S'est affirmée, de plus en plus souvent, de plus en plus fort. Semaines après semaines, Elle a pris l'ascendant dans notre relation, m'imposant régulièrement Ses volontés, Ses désirs, Ses ordres.

Mois après mois, Elle a su tisser une toile dans laquelle j'ai fini par me retrouver totalement prisonnier et dont je ne pourrais m'échapper même si je le voulais. Mais quand une Dame vous permet de S'offrir à Elle de la sorte, quel homme serait assez stupide pour vouloir y renoncer ? Certainement pas moi, même si il y a des moment vraiment difficiles à supporter. :evil:

Au début de notre relation BDSM, les jeux auxquels nous nous adonnions étaient principalement basé sur mon plaisir, ou sur un plaisir réciproque. Désormais seul importe Son plaisir quelque soit la façon d'y parvenir, avec ou sans moi, par la douceur ou par la force. Et si Madame est satisfaite, je peux avoir droit à quelques récompenses, mais pas trop souvent, afin de pas relâcher mes efforts, de ne pas faillir à ma Quête qu'est la recherche de Son bien-être.

Ne croyez pas que cela se limite aux frontières de notre chambre, il en est de même pour tous les domaines : éducations des enfants, tâches ménagères, choix des vêtements ... Les décisions d'ordre générales qui étaient d'habitude prises en commun sont devenues des exigences auxquelles il ne faudrait pas que j'essaie de m'opposer. Quand Maîtresse exige ou impose, hors de question de répondre autrement que par l'affirmative ou alors...

Mais comment diable ai-je pu passer de mon statut de souminateur à soumis, voire esclave dès qu'Elle le décrète ?

Tout naturellement, le jour où Elle m'a fait définitivement capituler.

Ce jour là était un jour comme les autres, ou presque, nos enfants étant chez leurs grands-parents pour les vacances de printemps. Les beaux jours étaient de retour et le soleil avait brillé toute la journée bien que le thermomètre n'ait pas dépassé les 20°. Lorsque je revins du travail, la voiture était stationnée devant le garage, m'empêchant alors d'y garer ma moto.

Madame ne travaillant pas le mercredi, je m'attendais à ce qu'Elle soit présente à mon retour mais pourquoi me bloquer l'accès au garage de cette façon, m'obligeant alors à entrer par la porte principale ? Mon esprit fertile commença à fantasmer sur tel ou tel scénario que j'avais pu Lui proposer naguère et l'excitation me gagna rapidement. Avant même d'avoir mis ma clef dans la serrure, mon sexe se retrouvait bien à l'étroit dans sa prison.

J'ouvrais la porte et pénétrais dans le salon où je découvrais Madame allongée dans le canapé, un verre de Cherry à la main, regardant je ne sais quelle connerie à la télé.

« On se prend du bon temps dirait-on » dis-je après L'avoir embrassée « On voit que les e n f a n t s sont absents.. »

« Ne t'inquiète pas, tu vas en profiter aussi» me répondit-Elle, validant Ses propos d'un regard malicieux. « Pour commencer, va te déshabiller, je te veux nu, avec juste ton string rouge » Bien ma Chérie dis-je avant d'aller me changer dans notre chambre.

Quand je redescendis quelques minutes plus tard, la ficelle entre les fesses, la cage cachée par un triangle de tissus, Madame m'attendait à la porte du cellier, son verre de nouveau rempli.

« Ben dis donc, tu as l'air d'avoir drôlement soif aujourd'hui »

J'eu droit à une clique bien appuyée en guise de réponse avant qu'Elle ne me dise « Cesse donc de dire des bêtises et avance ! »

Je traversais le cellier pour arriver dans le garage Quand j'y entrais, je constatais que Madame avait fait du rangement et descendu tous mes jouets : menottes, cordes, chaînes, cadenas, bâillons...rien ne semblait manquer. Sur le sol, une grande bâche sur laquelle Elle me demanda d'aller m'installer tandis qu'Elle posait Son verre sur un vieux guéridon entreposé là. C'est à ce moment que je l'aperçu : le caméscope.

Jamais auparavant, nous n'avions filmé nos jeux...

« Bien, je vais mettre en route la caméra afin de ne rien rater de ce spectacle, pas d'objection ? » demanda-t-Elle sans attendre la moindre réponse de ma part pour exécuter Ses dires.

« Mais non, c'est même une excellente idée » Lui répondis-je « On devrait le faire plus souvent »

« Silence et lève toi ! » me dit-Elle, « bien face à la caméra, retire ton string »

Pourquoi me l'avoir fait mettre pour m'obliger à le retirer si vite me demandais-je. Encore une lubby que je ne comprendrais jamais...

« Malgré la cage, on peut voir l'excitation extrême de ce jeune homme » dit-Elle en parlant de moi, comme on commente un documentaire animalier. En effet, mon sexe occupait toujours le maximum de place existant dans son espace si réduit.

En dehors de la présence inhabituelle de la caméra, tout se poursuivait comme un jeu traditionnel. Certes la quantité de jouets descendus était anormalement élevée et ça aurait dû me mettre la puce à l'oreille mais je me suis laissé faire docilement, comme toujours. Elle me passa les menottes en cuir à chaque poignet, les verrouilla grâce au cadenas dédiés et me bloqua les mains dans le dos grâce à un mousqueton.

Madame décida ensuite de me réduire au silence « pour éviter tes commentaires inutiles » dont je suis parfois ( souvent ) capable, et qui peuvent L'irriter au plus au point.

Elle me posa le bâillon boule et me demanda d'essayer de crier, comme si je voulais alerter les voisins. Bien que ma voix était assez atténuée, on pouvait encore m'entendre distinctement. Le bâillon-gode fut testé à son tour et cette fois, seul un léger hmmph sorti de ma bouche, trop léger pour franchir des murs mais encore trop fort selon Madame.

« Hum, encore trop bruyant, essayons de trouver autre chose »

Elle souleva Sa robe, ôta Sa culotte qu'Elle roula en boule avant de me l'enfoncer dans la gorge, le plus profond possible : le tissus soyeux était chaud et humide, me prouvant si besoin, que je n'étais pas seul à être excité par la situation. Elle prit le rouleau de chatterton sur une étagère et fit plusieurs fois le tour de mon visage, bloquant définitivement la culotte dans ma bouche. Cette fois plus aucun son ne pouvait en sortir.

« Parfait ! Passons à la suite. »

Des bracelets de cuir aux chevilles puis la barre d'écartement, et me voilà un peu plus contraint. Non, cela ne Lui plaisait pas, Elle retira la barre et me fit resserrer les jambes. Elle relia entre eux les bracelets, condannant mes pieds à rester collés. Une corde fut nouée au dessus de mes genoux, une autre au dessous. Plus aucune chance de marcher, j'aurais à peine pu sautiller. Elle semblait satisfaite pour le début mais n'en avait pas encore terminé de Son travail.

Madame replaça mes mains devant mon corps, les bloquant à nouveau avec le mousqueton. Mais je sentais bien que cela ne Lui convenait pas encore tout à fait. Elle recherchait quelque chose de différent, d'encore plus stricte. Elle réfléchit un instant, S'absenta et revint alors avec l'extrémité d'une chaîne qu'Elle passa au dessus d'une poutre. Elle repris la barre d'écartement qu'Elle utilisa cette fois ci pour séparer mes mains avant de relier l'ensemble à la chaîne qui pendouillait. Elle repartit et revint avec...la télécommande de la porte du garage ! Non, Elle n'allait quand même pas ouvrir ?

Sans que je puisse m'y opposer, Madame appuya sur le bouton et le moteur se mit en marche. Désespéré, je regardais la porte, craignant qu'elle ne s'ouvre et m'offre ainsi à la vue des passants. Mais au lieu de cela, c'est la chaîne qui bougea et mes bras commencèrent à être tirés vers la poutre. Je ne pouvais lutter et après quelques secondes je me retrouvais les bras tendus vers le ciel, sur la pointe des pieds, totalement immobilisé, parfaitement incapable de bouger et de prononcer le moindre mot.

Au final, Madame avait passé plus de 30 minutes pour terminer son œuvre, son chef d'œuvre devrais-je dire. Jamais Elle n'avait réalisé un bondage aussi abouti. Certes ça n'avait pas la beauté qu'un shibari mais ça en avait l'efficacité, et visiblement c'était l'effet recherché.

Après avoir tourné autour de moi pour contempler Son travail, Elle S'approcha de moi et susurra à mon oreille : « Te souviens-tu de ce que tu m'as dit dans un restaurant, un soir où tu rentrais d'un déplacement sur Paris ? »

Aucun gémissement ne pouvant sortir de ma bouche, c'est d'un hochement de tête que je répondis négativement

« Peu importe, moi je m'en souviens. Tu m'as dit précisément qu'un jour il faudrait que je m'occupe de te faire mal, de te faire souffrir, réellement. Ce jour est arrivé ! » ajouta-t-Elle froidement.

Je pense que j'ai effectivement pu être assez stupide pour tenir de tels propos, imaginant alors que je serais toujours maître de la situation. C'est vrai qu'à l'époque Madame était encore très timide dans Ses punitions. La cravache et la badine ne quittaient quasiment jamais le placard, sauf si j'en réclamais, et les coups ne laissaient que des traces éphémères, disparues dès le lendemain.

C'était souvent moi qui proposait des idées qu'Elle hésitait ou refusait de mettre en pratique, les trouvant trop dures ou sans intérêt. Il y avait déjà eu une petite évolution quand Elle avait commencé à échanger sur le net avec d'autres Maîtresses, d'autres KH car je découvrais réellement des scénarios que je n'avais jamais envisagé mais cela restait particulièrement soft.

Mais aujourd'hui, ça semblait encore différent...Etait-ce le ton employé ? La perfection de Son bondage ? J'ai commencé à redouter ce qui allait se passer :? . J'avais envie de Lui demander si Elle était sérieuse mais c'était impossible, le bâillon étant d'une rare efficacité. Je tentais de remuer dans mes liens mais je n'avais aucune chance de m'en défaire. J'étais bel et bien pris au piège et une légère inquiétude se mélangea à l'excitation omni-présente ; mon sexe serré au maximum dans sa prison :cage:

« On dirait que le petit lapin aime bien ça, se savoir à la merci de Sa Dame » dit-Elle en soupesant ma cage totalement remplie « Mais on va vite le faire changer d'avis. Ne bouge pas, je reviens tout de suite. Ah mais suis-je bête, tu ne peux pas bouger, hi hi hi »

Je fus très surpris de voir revenir Madame avec un grand sac et la clef de ma cage à la main.

« J'ai une bonne et une mauvais nouvelle pour toi. La bonne nouvelle c'est que je vais te vider. Vu ton état d'excitation, ça ne devrais pas prendre plus de 2 minutes. La mauvaise nouvelle...non, je te la révèlerais plus tard »

Elle ouvrit alors le cadenas et le retira. Mais mon sexe était tellement gonflé qu'Elle ne parvint pas à retirer le tube de ma cage.

« Bon, pas de problème, je vais procéder autrement »

Elle alla fouiller dans Son sac et en sortit Son magic-wand.

« Avec lui, tu vas vite couler »

Joignant le geste à la parole, Elle mit Son jouet en marche et le pressa contre mes couilles gonflées. Il ne fallu pas plus de 30 secondes pour que je me raidisse et coule sous Son regard amusé. Sans être un orgasme, ce fut une jouissance agréable, le magic-wand est vraiment redoutable.

« Encore plus rapide que prévu finalement »

Tandis qu'Elle profitait à Son tour des vibrations de Son jouet. Elle sembla jouir presque aussi rapidement que moi, ce qui me surpris énormément. Je ne l'avais que rarement vu aussi rapide pour atteindre l'extase mais ça confirmait l'impression ressentit grâce au goût se Sa culotte, qui emplissait toujours ma bouche et commençait à endolorir ma mâchoire.

Comme après chaque éjaculation, mon sexe dégonfla rapidement et retirer le tube de ma cage ne fut plus nécessaire, il tomba de lui-même sur la bâche souillée par ma semence. J'étais de plus en plus mal à l'aise, redoutant de plus en plus la suite de la séance, à raison.

Madame prit dans Son sac des pinces à seins dont j'ignorais l'existence.

Du moins, j'ignorais que nous en possédions un tel modèle que j'avais déjà repéré sur le net. Probablement un achat réalisé par Ses soins. Elle me les posa soigneusement sur chaque téton, serrant au maximum pour empêcher qu'elles puissent tomber. Une vive douleur s'empara de moi mais seul mon regard pouvait la trahir. Et pour vérifier qu'elles tiendraient quelques soient les circonstances, quelle autre solution que de tirer fortement dessus, provoquant ainsi une nouvelle douleur que je ne pouvais exprimer toujours pas exprimer verbalement.

Je remuais dans mes liens mais ne pouvait empêcher Madame de continuer Son traitement. Maintenant qu'Elle était convaincue que les pinces resteraient bien en place, Elle pouvait y ajouter les accessoires : des poids magnétiques qui se collaient les uns aux autres. Voyant le ressenti du tiraillement dans mes yeux au bord des larmes, Elle jugea que 4 poids de 25 grammes seraient suffisant et me fit grâce des 2 derniers, comme Elle me le fit remarquer « Je suis encore trop bonne avec toi ».

Ce fut ensuite au tour de mon sexe d'être équipé. Celui-ci étant redevenu flasque, Madame n'eut pas de difficultés à retirer le cockring de ma cage avant de m'équiper d'un parachute, inconnu lui aussi jusqu'à ce jour.

L'objet de cuir fut rapidement placé, fermé par des pressions et je découvris une subtilité dès lors qu'Elle y accrocha le poids de 500 grammes. Il était équipé de pointes à l'intérieur qui vinrent se planter dans la peau de mes bourses. J'eu la respiration coupée un court instant par la soudaineté de ces multiples piqûres. Passé la surprise, cela redevenait tout à fait supportable. Néanmoins, je me demandais combien d'autres nouveautés allaient encore se présenter à moi pour aujourd'hui.

La réponse ne tarda pas à venir. Une tape de la main de Madame sur mes fesses me fit comprendre rapidement la perversité de la situation : dès que mon corps vibrerait, les poids en mouvements viendraient accentuer la pression sur mes seins ou sur mes bourses. Je serais assailli de tous côtés.

Et cette première clique, pas trop appuyée m'avait éclairé sur la suite à prévoir : j'allais déguster.

« Tu commences à comprendre ? » me demanda Madame « Si je t'ai vidé avant, ce n'est pas sans raison. C'est pour que tu subisses ta punition, sans excitation, uniquement la douleur sans le plaisir. C'était ça la mauvaise nouvelle dont je ne voulais pas parler tout à l'heure. Tu vas réaliser qu'à compter d'aujourd'hui je serai ta Maîtresse, réellement, de façon irrémédiable, et pour toujours. Il est révolu le temps où tu te moquais de moi, où tu me considérais comme une Domina de pacotille. Il m'a fallu du temps mais aujourd'hui je suis enfin prête à savourer tout ce que je peux avoir, avec ou sans ton consentement. C'est pour cela qu'il faut que tu souffres aujourd'hui pour assimiler que jamais plus tu ne seras maître de la situation. Désormais, tu craindras mes actions, tu redouteras mes punitions. Jamais, plus jamais tu ne me défieras par peur de la répression dont je suis capable de faire preuve. »

Je savais maintenant pourquoi le bâillon devait être si efficace. Je voulais crier que je n'étais pas d'accord mais aucun son ne sortit. Je remuais dans mes liens pour protester mais ça ne fit que raviver les douleurs dues pinces et aux pointes du parachute. J'arrêtais aussitôt, réalisant que je me faisais mal pour rien car quoique je tente je ne pourrais me détacher. Je ne pouvais que subir ce qui m'attendais, résister du mieux possible jusqu'à ma libération pour exprimer alors mon refus de continuer dans cette voie. Contraint et f o r c é, je La laisserais me faire mal mais ce serait la dernière fois.

Madame, toujours aussi calme et sereine fixait mes yeux où Elle pouvait lire ma capitulation, que je croyais encore provisoire, mais capitulation quand même. Elle alla prendre Son verre qu'Elle vida d'un seul trait avant de le reposer.

« Bien, j'en ai fini avec mon cherry, au tour de mon chéri »

Même dans l'humour, Madame avait bien progressé.

Elle déplaça le sac pour le poser à mes pieds, me permettant ainsi d'en découvrir le contenu Cravache, badine, paddle, martinet... Tout ce qu'il fallait pour me faire souffrir était là.

« On va commencer doucement, pour préparer tes fesses » dit Elle en sortant le paddle.

Et Elle commença.

La séance de flagellation dura, dura, dura... Elle alternait les outils, ainsi que les zones de frappes. La cravache sur les fesses laissait place à la badine sur les mollets ou les cuisses puis c'était le martinet dans le dos, relayé par le paddle, un peu partout. Chaque changement d'arme me donnait quelques instants de répit, bien trop courts.

A chaque coups, je tressaillais, me raidissait dans mes liens, faisant vibrer les poids de plus belle, générant des douleurs de plus en plus insupportables :( :( . J'avais perdu la notion du temps depuis bien longtemps et je manquais de défaillir lorsque cessèrent les assauts.

Ce fut le temps d'une petite pose afin que Madame remplace la batterie du caméscope. Connaissant l'autonomie de ma caméra, cela voulait dire que 90 minutes s'étaient écoulées depuis notre entrée dans le garage. Madame profita aussi de cette interruption pour me retirer les pinces à Seins, ce qui provoqua une douleur encore plus atroce que les précédentes, qui dura de longues secondes. Elle enleva aussi le parachute de mes testicules en feu mais le remplaça immédiatement par mon ball-strecher le plus lourd.

Le tournage reprit, la punition aussi.

Mes couilles gonflées et déjà endolories le furent encore plus quand elles reçurent plusieurs coups de paddle. Encore quelques coups de badines et de martinet tombèrent avant que la séance de ne termine.

« Désolé mais Il n'y avait plus de zone libre pour la cravache » semblait regretter Madame

Avant de me détacher, Madame alla chercher une vielle couette qu'Elle posa sur la bâche. Elle S'occupa de mes jambes et mes chevilles mais j'étais encore suspendu par les bras. Ce fut au tour de mon bâillon d'être retiré. Le chatterton partit avec quelques poils de ma barbe.

« il faudra penser à te raser, ça fait un trou »

La télécommande dans la main, Madame activa de nouveau le moteur de la porte. Je m'affaissais au fur et à mesure que la longueur de chaîne grandissait, d'abord à genoux pour finir par m'écrouler sur la couette. Madame détacha mes poignets de la barre d'écartement mais me laissa les menottes. Je finissais allongé et Elle replia la couette sur moi, pour me mettre au chaud. Etait-ce nécessaire car je brûlais de presque partout, les fesses, les cuisses, les seins, le dos... et les testicules, toujours prisonnières du ball-strcher.

« Comme je ne pense pas que tu rentreras ta moto ce soir, j'ai fermé le portail d'entrée. Je te laisse reprendre tes esprits tranquillement, il y a une bouteille d'eau et des petits pains si tu as faim. Je t'aime mon chéri »

Je n'ai pas eu la f o r c e de répondre, et encore moins envie de manger quoique ce soit. Je suis resté allongé sous la couette, somnolant quand la douleur s'apaisait et m'y autoriser. Par le vasistas, je constatai que le jour était tombé lorsque j'émergeais réellement. Me sentant déjà beaucoup mieux, je décidais de quitter le garage et d'aller m'expliquer avec mon Epouse.

Arrivé dans le salon où j'espérais La retrouver, je ne trouvais qu'un petit mot posé sur une pochette rouge.

Quand tu te sentiras prêt, tu remettras ta cage et tu viendras me rejoindre dans la chambre pour que nous aillons une conversation. Avant cela, je t'invite à ouvrir la pochette rouge. Prends ton temps, je ne suis pas pressée

Juste à côté, ma cage, son cadenas et la clef allène permettant de libérer mes couilles.

J'ouvris la pochette et découvris ce qu'elle contenait : Madame avait monté un dossier complet pour me tenir en laisse. Méticuleusement, Elle avait classé toutes les photos; en soubrette, en camisole, un plug dans le cul... Elle y avait ajouté tous les mails salaces que je Lui avais envoyé ou les articles de mon forum. Tout ce que je voulais garder secret, Elle menaçait de le révéler si je refusais de Lui obéir, de Lui appartenir totalement. Elle m'indiquait même avoir déjà envoyé une partie des éléments à Justine, ma collègue de bureau.

Je aurais pu avoir envie de me révolter en découvrant tout cela mais ce n'était pas le cas. Je retirais mon ball-strcher et le remplaçais immédiatement par ma cage, que je ne verrouillais pas tout de suite. Je marquais une hésitation, comprenant ce que signifierait ce geste plus que symbolique. Je relis le mot, décidais de m'asseoir pour réfléchir. La douleur aux fesses me fit me relever plus vite que prévu.

Je me dirigeais alors vers l'escalier pour rejoindre Madame

Lorsque j'arrivais dans notre chambre, Elle était assise dans le fauteuil et bouquinait tranquillement. Elle ne leva même pas les yeux en m'entendant arriver. Je cliquais le cadenas, emprisonnant à nouveau ma queue pour une période indéterminée et me précipitais aux pieds de ma Reine.

"Merci Dame Lucrétia, merci Maîtresse adorée" :bisous: :bisous: :bisous:

Elle souleva Son livre, me regarda sans un mot et replongea dans Sa lecture tandis que je m'agenouillais, devenant définitivement Son jouet ce jour là

Chaste59

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Très très belle histoire j'adore.
Ouh là là c'est hard !
C'est vraiment très beau
J'ai beaucoup aimé cette histoire ! Merci
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